|    Partie,  Section, Chapitre, Paragraphe1   1,     1,   2, 106 |     des hommes auxquels il eut recours dans le plein usage de leurs
 2   1,     1,   2, 129 |   primitive y aura constamment recours (cf. 1 Co 5, 6-8 ; 10, 1-
 3   2,     1,   1, 1096|       vivants et les morts, le recours à la miséricorde divine.
 4   2,     2,   2, 1475|   causer aux autres. Ainsi, le recours à la communion des saints
 5   3,     2,   1, 2116|    divination sont à rejeter : recours à Satan ou aux démons, évocation
 6   3,     2,   1, 2116|      phénomènes de voyance, le recours aux médiums recèlent une
 7   3,     2,   1, 2117|     fidèles de s’en garder. Le recours aux médecines dites traditionnelles
 8   3,     2,   1, 2153|       parole. La discrétion du recours à Dieu dans le langage va
 9   3,     2,   2, 2243|   avoir épuisé tous les autres recours ; (3) sans provoquer des
10   3,     2,   2, 2267|       pleinement vérifiées, le recours à la peine de mort, si celle-ci
11   3,     2,   2, 2306| risques physiques et moraux du recours à la violence avec ses ruines
12   3,     2,   2, 2370|       l’auto-observation et le recours aux périodes infécondes (
13   3,     2,   2, 2370|   entre la contraception et le recours aux rythmes périodiques
14   3,     2,   2, 2379|         après avoir épuisé les recours légitimes à la médecine,
15   3,     2,   2, 2399|       époux ne justifie pas le recours à des moyens moralement
16   3,     2,   2, 2435|      elle se présente comme un recours inévitable, sinon nécessaire,
17   3,     2,   2, 2498|      Rien ne peut justifier le recours aux fausses informations
18   4,     1,   3, 2732|      Seigneur comme le dernier recours : mais y croit-on vraiment ?
 
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