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 1 29| connaissance de nous-mêmes et de Dieu. Et c'est ce qu'on appelle
 2 30|     composé, à l'immatériel et à Dieu même, en concevant que ce
 3 38|         est ce que nous appelons Dieu.~
 4 39|          partout; il n'y a qu'un Dieu, et ce Dieu suffit.~
 5 39|          n'y a qu'un Dieu, et ce Dieu suffit.~
 6 41|         41. D'où il s'ensuit que Dieu est absolument parfait;
 7 41|          bornes, c'est-à-dire en Dieu, la perfection est absolument
 8 42|    perfections de l'influence de Dieu, mais qu'elles ont leurs
 9 42|        elles sont distinguées de Dieu.~
10 43|          Il est vrai aussi qu'en Dieu est non seulement la source
11 43|       parce que l'entendement de Dieu est la région des vérités
12 45|                        45. Ainsi Dieu seul (ou l'Etre nécessaire)
13 45|         connaître l'existence de Dieu a priori. Nous l'avons prouvée
14 46| éternelles, étant dépendantes de Dieu, sont arbitraires et dépendent
15 47|                        47. Ainsi Dieu seul est l'unité primitive
16 48|                    48. Il y a en Dieu la Puissance, qui est la
17 48|      faculté appétitive. Mais en Dieu ces attributs sont absolument
18 51|        que par l'intervention de Dieu, en tant que dans les idées
19 51|       tant que dans les idées de Dieu une monade demande avec
20 51|          demande avec raison que Dieu, en réglant les autres dès
21 52|     passions sont mutuelles. Car Dieu, comparant deux substances
22 53|      possibles dans les idées de Dieu et qu'il n'en peut exister
23 53|    raison suffisante du choix de Dieu qui le détermine à l'un
24 55|         sagesse fait connaître à Dieu, que sa bonté le fait choisir,
25 59|     comme il faut la grandeur de Dieu; c'est ce que Monsieur Bayle
26 59|     croire que je donnais trop à Dieu, et plus qu'il n'est possible.
27 60|       aller autrement. Parce que Dieu en réglant le tout a eu
28 72|         ni de génies sans corps. Dieu seul en est détaché entièrement.~
29 84|          manière de société avec Dieu, et qu'il est à leur égard,
30 84|          est à sa machine (comme Dieu l'est par rapport aux autres
31 85|         doit composer la Cité de Dieu, c'est-à-dire le plus parfait
32 86|                86. Cette Cité de Dieu, cette Monarchie véritablement
33 86|       divin dans les ouvrages de Dieu; et c'est en lui que consiste
34 86|       véritablement la gloire de Dieu, puisqu'il n'y en aurait
35 87|        grâce, c'est-à-dire entre Dieu considéré comme architecte
36 87|         machine de l'univers, et Dieu considéré comme monarque
37 89|          On peut dire encore que Dieu comme architecte contente
38 89|      architecte contente en tout Dieu comme législateur; et qu'
39 90|    contenter cependant de ce que Dieu fait arriver effectivement