Partie
1 1| que nous conduisons nos pensées par diverses voies, et ne
2 1| les meilleures de leurs pensées; que l'éloquence a des forces
3 1| digèrent le mieux leurs pensées afin de les rendre claires
4 2| loisir de m'entretenir de mes pensées. Entre lesquelles l'une
5 2| tâcher à réformer mes propres pensées, et de bâtir dans un fonds
6 2| conduire par ordre toutes leurs pensées, d'où vient que, s'ils avoient
7 2| de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets
8 3| en notre pouvoir que nos pensées, en sorte qu'après que nous
9 3| en leur pouvoir que leurs pensées, que cela seul étoit suffisant
10 3| où j'avois eu toutes ces pensées, l'hiver n'étoit pas encore
11 3| généralement toutes mes pensées selon les règles, je me
12 4| considérant que toutes les mêmes pensées que nous avons étant éveillés
13 4| parfaite. Pour ce qui est des pensées que j'avois de plusieurs
14 4| Car d'où sait-on que les pensées qui viennent en songe sont
15 4| douter de la vérité des pensées que nous avons étant éveillés.
16 4| nous dicte aussi que nos pensées ne pouvant être toutes vraies,
17 5| déclarer aux autres nos pensées : car on peut bien concevoir
18 5| ils fassent entendre leurs pensées; et qu'au contraire il n'
19 6| ma propre raison sur mes pensées, avoient désapprouvé une
20 6| quasi jamais aux premières pensées qui me viennent, toutefois
21 6| la communication de mes pensées, elle ne pourroit aussi
22 6| pas pour cela que leurs pensées aient été fort déraisonnables,
23 6| ni ne me repais point de pensées si vaines que de m'imaginer
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