Partie

 1      1|         esprit fût en rien plus parfait que ceux du commun; même
 2      4|       mon être n'étoit pas tout parfait, car je voyois clairement
 3      4|         à quelque chose de plus parfait que je n'étois; et je conclus
 4      4|        de l'idée d'un être plus parfait que le mien : car, de la
 5      4|       de répugnance que le plus parfait soit une suite et une dépendance
 6      4|         une dépendance du moins parfait, qu'il y en a que de rien
 7      4|       en eût quelque autre plus parfait, duquel je dépendisse, et
 8      4|        je participois de l'être parfait, j'eusse pu avoir de moi,
 9      4|      idée que j'avois d'un être parfait, je trouvois que l'existence
10      4|       Dieu, qui est cet être si parfait, est ou existe, qu'aucune
11      4|    existe, et qu'il est un être parfait, et que tout ce qui est
12      4|         de vrai vient d'un être parfait et infini, pour claires
13      4| possible que Dieu, qui est tout parfait et tout véritable, les eût
14      5|      point d'autre animal, tant parfait et tant heureusement né
15      5|   perroquet qui seroit des plus parfait. de son espèce n'égalât
16      6|       derechef été contraire au parfait repos d'esprit que je cherche;