Chap.
1 1| à vous donner que quinze écus, mon cheval et les conseils
2 1| Tréville gagne dix mille écus par an ; c'est donc un fort
3 1| nous l'avons dit, de quinze écus, du cheval et de la lettre
4 1| dans sa bourse que onze écus, ce qui ne l'a pas empêché
5 1| jours. C'est toujours onze écus de gagnés. "~
6 1| On sait que onze écus faisaient juste la somme
7 1| râpé ainsi que les onze écus qu'elle contenait ; mais
8 1| tira majestueusement deux écus de sa poche, les donna à
9 1| propriétaire le vendit trois écus, ce qui était fort bien
10 3| venu à Paris avec quatre écus dans ma poche, et je me
11 3| sa carrière avec quatre écus de plus que M. de Tréville
12 8| comme deux ou trois mille écus de rente dans le commerce
13 28| restera bien une trentaine d'écus.~
14 28| Trente écus.~
15 29| en tirer quelques pauvres écus. Oh ! si vous étiez comtesse,
16 32| monté un à un, les vieux écus de maître Coquenard.~
17 34| aussi je l'ai vendu trois écus, et il faut bien que ce
18 34| qu'il avait vendu trois écus.~
19 34| vous devait plus de cinq écus, votre maquignon est un
20 38| père l'acheta deux mille écus, à ce qu'il me dit autrefois ;
21 38| bien dessus un millier d'écus. Avec cette somme vous serez
22 38| qu'il y aura cinq cents écus pour vous et cinq cents
23 38| pour vous et cinq cents écus pour moi.~
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