Partie. Livre, Chap.
1 I. 1, 0| volontaires, il restait vingt-sept hommes, du deuxième trente-trois,
2 I. 1, 0| comptaient neuf cent douze hommes. Chaque bataillon avait
3 I. 1, 0| y faisait la chasse aux hommes.~
4 I. 1, 0| amortissaient le bruit des hommes en marche ; aucun sentier,
5 I. 2, 1| matelots déserteurs. Ces hommes étaient triés ; pas un qui
6 I. 2, 1| vieux et jeune ; un de ces hommes qui sont pleins d'années
7 I. 2, 1| courts dialogues que les hommes de mer ont entre eux ; mais,
8 I. 2, 3| répliqua Boisberthelot, des hommes estimables. Tenez, par exemple,
9 I. 2, 3| et qu'on ne fait pas des hommes de caserne avec des hommes
10 I. 2, 3| hommes de caserne avec des hommes des bois. Oui, j'ai connu
11 I. 2, 3| broie l'obstacle, écrase les hommes comme des mouches. Toute
12 I. 2, 3| une trouée dans ce tas d'hommes et en écrasa quatre du premier
13 I. 2, 3| venait d'entendre. Tous les hommes se pressèrent à l'escalier-échelle.
14 I. 2, 3| passaient et repassaient sur les hommes tués, les coupaient, les
15 I. 2, 3| Pendant que les hommes d'équipage réparaient en
16 I. 2, 3| caronades ont un avantage, trois hommes suffisent pour les manoeuvrer ;
17 I. 2, 3| hors de combat contre les hommes que contre les flots. On
18 I. 2, 3| ce canot, il y avait deux hommes, le vieux passager qui était
19 I. 2, 3| Les deux hommes qui étaient dans le canot
20 I. 3, 1| moment-ci ? Il y a là des hommes qui périssent, il y a là
21 I. 3, 1| France, tous, en vaillants hommes de guerre et de mer que
22 I. 3, 1| canons ; on mitraillera les hommes avec ce qui sauvait les
23 I. 3, 2| cantonnement de Parné où sont les hommes aux visages noircis. Ils
24 I. 3, 2| Sillé-le-Guillaume, Parannes, et tous les hommes qui sont dans tous les bois.
25 I. 4, 1| vague oubli que donne aux hommes fatigués la première minute
26 I. 4, 3| homme de grande taille. Les hommes grands sont rares ; c'est
27 I. 4, 3| rares ; c'est un pays d'hommes petits, la Bretagne. J'ai
28 I. 4, 3| braqués, et se vit entouré d'hommes à genoux.~
29 I. 4, 3| géants, plus et moins qu'hommes, qui étaient considérés
30 I. 4, 3| épée de commandement. Ces hommes sont maintenant à vous.
31 I. 4, 3| il fit un signe, et des hommes qui portaient un drapeau
32 I. 4, 3| tricolore sortirent du bois. Ces hommes montèrent jusqu'au marquis
33 I. 4, 3| lui ont amené dix mille hommes. On n'avait pas de munitions,
34 I. 4, 3| entendant peut-être le bruit des hommes, mais écoutant le chant
35 I. 4, 3| ce monceau était un tas d'hommes ; ces hommes étaient morts.~
36 I. 4, 3| était un tas d'hommes ; ces hommes étaient morts.~
37 I. 4, 3| ferme d'Herbe-en-Pail. Ces hommes avaient été suppliciés,
38 II. 1, 1| et chez Ramponneau, des hommes affublés de surplis et d'
39 II. 1, 2| Cimourdain était de ces hommes qui ont en eux une voix,
40 II. 1, 2| plutôt une complication d'hommes qu'une réunion. Là assistaient,
41 II. 1, 2| agents. Il y avait là des hommes dignes de Sparte et des
42 II. 1, 2| dignes de Sparte et des hommes dignes du bagne. La plupart
43 II. 1, 2| avait créé l'Evêché. Des hommes, et, nous venons de le dire,
44 II. 1, 2| nous venons de le dire, des hommes de toutes nations, avaient
45 II. 1, 2| Père Duchesne ; tous ces hommes étaient tenus en respect
46 II. 1, 2| surtout de pauvres et d'hommes violents, qui étaient bons,
47 II. 2, 1| peu près secrètement des hommes tellement puissants et tellement
48 II. 2, 1| Le 28 juin 1793, trois hommes étaient réunis autour d'
49 II. 2, 1| Le premier de ces trois hommes était pâle, jeune, grave,
50 II. 2, 1| argent. Les deux autres hommes étaient, l'un, une espèce
51 II. 2, 1| Le premier de ces hommes s'appelait Robespierre,
52 II. 2, 1| grondait entre ces trois hommes. Du dehors on entendait
53 II. 2, 2| brigands de trois cent mille hommes, et toute la Bretagne sera
54 II. 2, 2| maintenant plus de quatre cents hommes ; le vaillant régiment de
55 II. 2, 2| réduit à cent cinquante hommes ; le camp de Pamars est
56 II. 2, 2| signes de tête ; six mille hommes, sans cartes de civisme,
57 II. 2, 2| pas de lutte entre deux hommes qui servent le peuple ;
58 II. 2, 2| casse, Caïn saute parmi les hommes, et c'est Marat.~
59 II. 2, 2| Ainsi parlaient ces trois hommes formidables. Querelle de
60 II. 3, 1| apparu sur l'horizon des hommes.~
61 II. 3, 1| Duplay ; Rovère, un des rares hommes qui sont méchants pour la
62 II. 3, 1| tout ce qui flotte ; les hommes qui doutent, qui hésitent,
63 II. 3, 1| A ces hommes pleins de passions étaient
64 II. 3, 1| passions étaient mêlés les hommes pleins de songes. L'utopie
65 II. 3, 1| qui est dans ce que les hommes appellent l'impossible.
66 II. 3, 1| ces versants produit les hommes qui conviennent à son climat,
67 II. 3, 1| mêlée des visages, tous ces hommes d'où était sorti le brouhaha
68 II. 3, 1| exaspérées par les paroles des hommes. Ainsi une voix dans la
69 II. 3, 1| Tous ces hommes ! tas de fumées poussées
70 II. 3, 1| Imputer la révolution aux hommes, c'est imputer la marée
71 II. 3, 1| événements dépensent, les hommes payent. Les événements dictent,
72 II. 3, 1| événements dictent, les hommes signent. Le 14 juillet est
73 II. 3, 1| détail. Blâmer ou louer les hommes à cause du résultat, c'est
74 II. 3, 2| de la Vendée. Neuf cents hommes du Morbihan étaient partis
75 III. 1, 2| II. Les hommes~
76 III. 1, 2| ombre un fourmillement d'hommes.~
77 III. 1, 2| chiens dressés à chasser aux hommes ; sous ce piétinement effroyable
78 III. 1, 2| recommencer sous l'autre. Les hommes se terraient.~
79 III. 1, 3| III. Connivence des hommes et des forets~
80 III. 1, 3| aveugles abritait cinq ou six hommes. La difficulté était d'y
81 III. 1, 3| et il y avait six mille hommes avec Focard ; en Morbihan,
82 III. 1, 3| et il y avait huit mille hommes. Ces deux forêts, le Pertre
83 III. 1, 3| vivaient dans les huttes et les hommes dans les cryptes. Ils utilisaient
84 III. 1, 3| On apportait à manger aux hommes enfouis. Il y en eut qui,
85 III. 1, 3| Les hommes dans ces caves de bêtes
86 III. 1, 3| levée des trois cent mille hommes avait fait sonner le tocsin
87 III. 1, 3| peine de mort, tous les hommes valides à marcher. Ils réquisitionnaient
88 III. 1, 3| peut-être. Quelquefois les hommes trahirent, les femmes jamais.
89 III. 1, 3| moins de cinq cent mille hommes, femmes et enfants. Un demi-million
90 III. 1, 3| envoyait au Bocage trente mille hommes. Huit départements se coalisaient,
91 III. 2, 1| droit à la fatigue, les hommes non.~
92 III. 2, 1| mais cela se voit chez les hommes. Ce marquis de Lantenac
93 III. 2, 1| tout de suite huit mille hommes ; en une semaine trois cents
94 III. 2, 2| un peu plus de six mille hommes, ce qu'il avait de plus
95 III. 2, 2| certain. On était six mille hommes. On n'avait à craindre,
96 III. 2, 2| Gauvain et ses quinze cents hommes, et vers Dinan que Léchelle.
97 III. 2, 2| avait vingt-cinq mille hommes, mais il était à vingt lieues.
98 III. 2, 2| écraser ses vingt-cinq mille hommes aux landes de la Croix-Bataille,
99 III. 2, 3| devant lui dans l'ombre. Des hommes à plat ventre tiraient à
100 III. 2, 3| clarté le faisait visible aux hommes de la barricade. Il était
101 III. 2, 3| restait à lui que douze cents hommes maniables. Que deviendraient
102 III. 2, 3| chimérique ; douze cents hommes ne débusquent pas cinq mille
103 III. 2, 3| débusquent pas cinq mille hommes. Brusquer était impossible,
104 III. 2, 3| Douze hommes, dont un sergent, sortirent
105 III. 2, 3| Sergent, faites faire à vos hommes des liens de paille, et
106 III. 2, 3| sept tambours, dix-neuf hommes ; Gauvain était le vingtième.~
107 III. 2, 3| des deux côtés, ces vingt hommes, glissant comme des ombres,
108 III. 2, 3| Gauvain et ses dix-neuf hommes avaient devant eux les cinq
109 III. 2, 3| Deux cents hommes par la droite, deux cents
110 III. 2, 3| par la droite, deux cents hommes par la gauche, tout le reste
111 III. 2, 4| Gauvain se tourna vers les hommes du bataillon du Bonnet-Rouge,
112 III. 2, 5| épanchements entre ces deux hommes, et jugea qu'il fallait
113 III. 2, 5| avait en Cimourdain deux hommes, un homme tendre, et un
114 III. 2, 6| combustion, où tous les hommes n'avaient qu'une affaire,
115 III. 2, 7| de Fougères que de deux hommes dont l'un était l'opposé
116 III. 2, 7| étaient représentées par deux hommes ayant chacun son influence
117 III. 2, 7| civil ; lequel de ces deux hommes l'emporterait ? De ces deux
118 III. 2, 7| emporterait ? De ces deux hommes, l'un, le délégué, avait
119 III. 2, 7| profond, entre ces deux hommes. Ils étaient tous les deux
120 III. 2, 7| parts, c'est que ces deux hommes, si absolument opposés,
121 III. 2, 7| balafre au visage. Ces deux hommes incarnaient, l'un la mort,
122 III. 2, 7| temps le plus fraternel des hommes ; il pansait les blessés,
123 III. 2, 7| L'un de ces hommes était Gauvain, l'autre était
124 III. 2, 7| amitié était entre les deux hommes, mais la haine était entre
125 III. 2, 7| plus avec lui que quelques hommes. Le voilà acculé à la forêt
126 III. 2, 7| haine une femme vaut dix hommes. Pourquoi as-tu refusé d'
127 III. 2, 7| Argent. En sauvant ces deux hommes, tu as donné deux ennemis
128 III. 2, 7| calme, dit Gauvain, et les hommes que je vois sont violents.~
129 III. 2, 7| sont mal servies par les hommes incléments. Amnistie est
130 III. 2, 7| entendant parler ces deux hommes, on eût cru entendre le
131 III. 2, 9| Hommes qui m'écoutez, je suis Gouge-le-Bruant,
132 III. 2, 9| où passent ses paroles. Hommes qui nous assiégez, faites
133 III. 2, 9| nous, nous sommes dix-neuf hommes qui nous défendons.~
134 III. 2, 9| Hommes qui êtes au bas de cette
135 III. 2, 9| Quoi qu'il en fût, deux hommes, le marquis de Lantenac
136 III. 2, 9| Lantenac. Chacun de ces deux hommes était, pour le camp opposé,
137 III. 2, 9| Disons-le, ces deux hommes, le marquis et le prêtre,
138 III. 2, 9| quatre mille cinq cents hommes, tant garde nationale que
139 III. 2, 9| quatre mille cinq cents hommes qui étaient presque une
140 III. 2, 9| les édifices que pour les hommes. Ménager un château, c'était
141 III. 2, 9| Lantenac était de cette race d'hommes de guerre du dix-huitième
142 III. 2, 9| fit accompagner de trois hommes, comme lui capables de tout
143 III. 2, 9| tout et résolus à tout. Ces hommes étaient Hoisnard, dit Branche-d'
144 III. 2, 9| après quoi, ces quatre hommes sortirent du châtelet et
145 III. 2, 9| dans la forteresse dix-neuf hommes chargeant des tromblons,
146 III. 3, 1| c'est plus lourd, les hommes ; Georgette, gaie et calme,
147 III. 3, 1| De là la tristesse des hommes qui écoutent mêlée à la
148 III. 4, 1| l'air d'un linceul. Dix hommes à cheval marchaient en avant
149 III. 4, 1| dix autres en arrière. Ces hommes avaient des chapeaux à trois
150 III. 4, 1| chaînes, le silence de ces hommes, l'heure crépusculaire,
151 III. 4, 3| commentait les noms des hommes mis hors la loi.~
152 III. 4, 3| Couesnon, un pêle-mêle d'hommes invisibles. Les branches
153 III. 4, 3| branches cachaient tout. Ces hommes étaient des paysans, tous
154 III. 4, 3| paysans au dix-huitième. Ces hommes étaient armés, les uns de
155 III. 4, 3| Tout à coup les hommes embusqués retinrent leur
156 III. 4, 3| Combien d'hommes d'escorte ?~
157 III. 4, 3| Citoyen commandant, nous, les hommes du bataillon du Bonnet-Rouge,
158 III. 4, 3| Hommes qui êtes dans la tour, me
159 III. 4, 3| frères. Vous êtes de pauvres hommes égarés. Je suis votre ami.
160 III. 4, 3| inutile ? Pourquoi tuer tant d'hommes quand deux suffisent ?~
161 III. 4, 3| Deux hommes sont de trop, Lantenac pour
162 III. 4, 3| Hommes qui nous attaquez, nous
163 III. 4, 3| aveugle de la fumée. Les hommes mis hors de combat gisaient
164 III. 4, 3| était le sépulcre. Ce choc d'hommes s'exterminant dans les ténèbres,
165 III. 4, 3| sixième, et sur ces six hommes du bataillon parisien, quatre
166 III. 4, 3| escalier un grand tumulte d'hommes qui lâchent pied et qui
167 III. 4, 3| avait fait replier ses hommes et se concertait avec Cimourdain.~
168 III. 4, 3| immobile. Il était de ces hommes qui s'efforcent de ne rien
169 III. 5, 1| devinait pleine d'une foule d'hommes dont quelques silhouettes
170 III. 5, 1| arrivez donc, vous les hommes qui êtes là. Voilà des jours
171 III. 5, 1| possible qu'il y ait des hommes sur la terre et qu'on laisse
172 III. 5, 2| impossible ; quatre mille hommes ne pouvant secourir trois
173 III. 5, 2| vaincus, consternés, ces hommes considéraient l'horrible
174 III. 5, 3| cherchaient à comprendre. Où les hommes sont terrifiés, les enfants
175 III. 5, 3| incendiée et la terre ; vingt hommes accoururent, Radoub en tête,
176 III. 5, 3| pas qu'il faisait vers ces hommes dont les prunelles effarées
177 III. 6, 2| invisibles, le chef des hommes souterrains, le maître des
178 III. 6, 2| dans l'humanité, eux, les hommes de la délivrance et de l'
179 III. 6, 2| foule d'êtres innocents, hommes, femmes, enfants, repris
180 III. 6, 3| soleil se couchait. Des hommes étaient sur la charrette
181 III. 6, 3| salle sans marcher sur les hommes du poste, gisant à terre
182 III. 6, 3| Gauvain, quelques-uns de ces hommes assoupis se levèrent, entre
183 III. 7, 1| marquis éclaira ces deux hommes en plein visage.~
184 III. 7, 1| allez ! faites ! Soyez les hommes nouveaux. Devenez petits !~
185 III. 7, 3| Cimourdain. Quatre mille hommes contre un seul, il semble
186 III. 7, 3| pas une. Ces quatre mille hommes étaient une foule, et Cimourdain
187 III. 7, 3| dans ce cachot. Ces deux hommes causaient.~
188 III. 7, 3| Contre qui ? contre d'autres hommes. Moi, je ne veux pas de
189 III. 7, 3| nourrirait trois cent millions d'hommes, toute l'Europe. Utilisez
190 III. 7, 3| avait été construit par des hommes, tant c'était laid, mesquin
191 III. 7, 3| guillotine, et semblait dire aux hommes : Regardez ce que je fais
192 III. 7, 3| Les quatre mille hommes de la petite armée expéditionnaire
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