Partie. Livre, Chap.
1 I. 1, 0| La mère était muette d'effroi.~
2 I. 1, 0| La mère ne comprit pas. La vivandière
3 I. 1, 0| Ah ! dit la mère, dix-huit mois.~
4 I. 1, 0| La mère commençait à se rassurer.
5 I. 1, 0| Ah ! dit la mère, ils ont bien faim.~
6 I. 1, 0| La mère répondit : Georgette.~
7 I. 1, 0| Gros-Alain, dit la mère.~
8 I. 1, 0| Cherche-Midi, mon père et ma mère en étaient, je peux parler
9 I. 1, 0| Veux-tu bien ne pas manger ta mère comme ça ! Voyez-vous, madame,
10 I. 1, 0| mamzelle Bicorneau, comme ma mère. Je suis la cantinière,
11 I. 1, 0| munition et le tendit à la mère. La mère rompit le pain
12 I. 1, 0| le tendit à la mère. La mère rompit le pain en deux morceaux
13 I. 1, 0| C'est qu'elle est la mère, dit le sergent.~
14 I. 1, 0| deux mains au-dessus de la mère et des enfants.~
15 I. 1, 0| Et le sergent dit à la mère :~
16 I. 3, 1| As-tu ta mère ?~
17 I. 3, 1| baptême tue peut-être ta mère. Va, aide le démon. Ne t'
18 I. 4, 3| Mère et nourrice, murmura-t-il.~
19 I. 4, 3| Les enfants criaient : Mère ! La mère criait : Mes enfants !
20 I. 4, 3| enfants criaient : Mère ! La mère criait : Mes enfants ! On
21 I. 4, 3| Mes enfants ! On a tué la mère et on a emmené les enfants.
22 I. 4, 3| emmené les petits et tué la mère. Mais elle n'est pas morte,
23 II. 1, 1| Siège de Thionville. - La Mère de famille sauvée des flammes. -
24 II. 1, 3| souvent la nourrice est plus mère que la mère.~
25 II. 1, 3| nourrice est plus mère que la mère.~
26 II. 1, 3| son père était mort, sa mère était morte ; il n'avait
27 II. 1, 3| veiller sur lui qu'une grand'mère aveugle et un grand-oncle
28 II. 1, 3| grand-oncle absent. La grand'mère mourut ; le grand-oncle,
29 II. 2, 3| fusiller entre autres une mère de trois enfants. On ne
30 III. 1, 1| charrue d'abord, sa grand'mère ensuite, croyant à la sainte
31 III. 2, 6| pas aisé de parler à une mère de ses enfants perdus. Et
32 III. 2, 6| rien. Il savait qu'une mère avait été fusillée, que
33 III. 2, 6| été fusillée, que cette mère avait été trouvée à terre
34 III. 2, 6| après avoir fait fusiller la mère, avait emmené les enfants.
35 III. 2, 6| cessé de sourire, et la mère s'était mise à penser. Que
36 III. 2, 6| colère inconsciente de cette mère avait raison.~
37 III. 2, 6| Pourtant, avoir sauvé cette mère le consolait d'avoir sauvé
38 III. 2, 6| La mère aussi songeait. Ces deux
39 III. 2, 6| une idée fixe. Avoir été mère, et ne plus l'être ! avoir
40 III. 2, 6| raison à l'idée fixe d'une mère ? La maternité est sans
41 III. 2, 6| elle. Ce qui fait qu'une mère est sublime, c'est que c'
42 III. 2, 6| est divinement animal. La mère n'est plus femme, elle est
43 III. 2, 6| De là dans la mère quelque chose d'inférieur
44 III. 2, 6| supérieur au raisonnement. Une mère a un flair. L'immense volonté
45 III. 2, 6| d'aucun. Elle peut être mère, et voilà tout. Chaque jour
46 III. 2, 8| Cependant la mère cherchait ses petits.~
47 III. 2, 9| guillotiner à Laval mon père et ma mère et ma soeur Jacqueline,
48 III. 3, 1| n'eût pu le dire. Pas de mère. Ces sauvages paysans combattants,
49 III. 4, 1| Ce soir-là, la mère, qu'on a vue cheminant presque
50 III. 4, 1| La misérable mère errante entra de son côté
51 III. 4, 2| La mère avait regardé cette chose
52 III. 4, 2| femme. C'était la voix de la mère.~
53 III. 4, 3| ne me repose pas, dit la mère.~
54 III. 4, 3| pas une folle, je suis une mère. J'ai perdu mes enfants.
55 III. 4, 3| Mais la Tourgue ! cria la mère. Madame, pour l'amour de
56 III. 4, 3| y vais pourtant, dit la mère.~
57 III. 4, 3| comme devenue insensée, la mère éperdue jeta à la solitude
58 III. 4, 3| répliquait à la question de la mère et qu'elle disait : - Oui.~
59 III. 4, 3| La mère se dressa, ranimée ; il
60 III. 4, 3| son berceau et appelé la mère du fond des solitudes n'
61 III. 4, 3| n'avons pas tous la même mère, la patrie ? Eh bien, écoutez-moi.
62 III. 5, 1| poignante énigme à la misérable mère en détresse.~
63 III. 5, 1| tour vers laquelle cette mère avait marché de si loin.~
64 III. 5, 1| La mère reconnut ses enfants.~
65 III. 5, 1| gigantesque de l'âme ; cette mère, c'était la maternité ;
66 III. 5, 1| Cependant la mère se tordait les bras :~
67 III. 5, 1| voyez bien que je suis leur mère. Ce qui se passe dans ce
68 III. 5, 1| supplication terrible de la mère, des voix s'élevaient sur
69 III. 5, 1| Et la mère redoublait ses appels désespérés :~
70 III. 5, 3| Ah ! cria la mère, ils se réveillent !~
71 III. 5, 3| La mère les appela.~
72 III. 5, 3| La mère répéta :~
73 III. 5, 3| hier ; René-Jean vit sa mère, trouva cela tout simple,
74 III. 5, 3| Et la mère hurla :~
75 III. 5, 3| Et il chercha des yeux sa mère.~
76 III. 5, 3| La mère échevelée, déchirée, saignante,
77 III. 5, 3| Mes enfants ! dit la mère. - C'est juste, répondit
78 III. 5, 3| conduite, bon Dieu ! La mère embrassait à genoux les
79 III. 5, 3| La mère était au pied de l'échelle,
80 III. 6, 1| près des enfants et de la mère, presque aussi maternel
81 III. 6, 2| son peuple, et qui, étant mère, est reine ; de là l'absurdité
82 III. 6, 2| à lui-même. Le cri de la mère avait réveillé en lui ce
83 III. 7, 3| à regarder Gauvain ; une mère regardant son nourrisson
84 III. 7, 3| qui l'engendre, puis à la mère qui l'enfante, puis au maître
85 III. 7, 3| puis à la patrie qui est la mère suprême, puis à l'humanité
86 III. 7, 3| Chacun de ces degrés, père, mère, maître, cité, patrie, humanité,
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