Partie. Livre, Chap.
1 I. 1, 0| père était infirme et ne pouvait travailler à cause qu'il
2 I. 2, 3| maîtresse du navire. Elle pouvait en faire ce qu'elle voulait.
3 I. 2, 3| l'entrepont, tout ce qui pouvait amortir et entraver la course
4 I. 2, 3| Il pouvait lui-même être broyé par
5 I. 2, 3| homme avait vaincu, mais on pouvait dire que le canon avait
6 I. 2, 3| entre-pont, maintenant qu'on le pouvait regarder, était effroyable
7 I. 2, 3| nuit devant soi. Cette nuit pouvait même durer encore assez
8 I. 2, 3| continuité des détonations, on pouvait comprendre que la corvette
9 I. 4, 1| découvrait tout le pays, et l'on pouvait s'orienter.~
10 I. 4, 3| Ce ne pouvait être lui. On n'avait pu
11 I. 4, 3| Pourtant, après tout, ce tocsin pouvait s'expliquer de bien des
12 I. 4, 3| petit caractère, et qu'on ne pouvait lire à cause du peu de jour
13 I. 4, 3| dans la tanière, car on ne pouvait s'y tenir droit, mais dehors
14 I. 4, 3| était vieux et lent ; il ne pouvait aller loin ; comme il l'
15 I. 4, 3| avait pu crier, mais ne pouvait parler ; les émotions profondes
16 II. 1, 2| révolution. Un prêtre ne pouvait se donner à la prodigieuse
17 II. 1, 3| les amours. Tout ce qui pouvait aimer dans Cimourdain s'
18 II. 2, 2| ronger les ongles. Il ne pouvait, lui, ni rire, ni sourire.
19 II. 3, 1| La salle de la Convention pouvait contenir deux mille personnes,
20 III. 1, 1| se demande si cet aveugle pouvait accepter cette clarté.~
21 III. 1, 3| de propos était grave. On pouvait se trouver entre les jambes
22 III. 1, 3| impossible à la Vendée. Elle pouvait tout, excepté cette enjambée.
23 III. 2, 1| bras libres et dessous on pouvait entrevoir une ceinture tricolore
24 III. 2, 3| barricade fît une sortie, tout pouvait être perdu.~
25 III. 2, 3| halle était ouverte, et l'on pouvait entrer sous les piliers
26 III. 2, 6| elle était forte, elle pouvait presque marcher seule ;
27 III. 2, 6| de questions, mais il n'y pouvait répondre. Les gens du pays
28 III. 2, 7| Cette sourde guerre ne pouvait pas ne point éclater. Un
29 III. 2, 7| défendre ; il mordrait, s'il pouvait. Mais n'est pas lion qui
30 III. 2, 8| chassait. Quand elle ne pouvait entrer dans les maisons,
31 III. 2, 9| l'obscurité. Un faux pas pouvait du patient d'en haut faire
32 III. 2, 9| lugubre. De la plate-forme on pouvait foudroyer le pont.~
33 III. 2, 9| fois fermée, cette porte pouvait défier le bélier, et presque
34 III. 2, 9| débarquer. Ce débarquement pouvait redonner la victoire à la
35 III. 2, 9| parlementaires, on suppléait comme on pouvait aux communications que le
36 III. 2, 9| grâce à la brèche, on y pouvait vivre.~
37 III. 2, 9| dans la pierre, et l'on ne pouvait ni entrer ni sortir par
38 III. 4, 2| temps-là et dans ce pays-là, on pouvait presque reconnaître l'opinion
39 III. 4, 3| chaque minute écoulée pouvait être leur perte ; qui a
40 III. 4, 3| derrière chaque buisson on pouvait rencontrer quelqu'un ; sur
41 III. 4, 3| aussi loin que le regard pouvait s'étendre, on ne voyait
42 III. 4, 3| gîte ; évidemment il ne pouvait échapper ; et Cimourdain
43 III. 4, 3| et la mâchoire brisée. Il pouvait encore marcher. Il se traîna
44 III. 4, 3| demi arraché, et un homme pouvait passer.~
45 III. 4, 3| Un homme pouvait passer, mais un homme pouvait-il
46 III. 4, 3| certain, c'est que l'ennemi ne pouvait échapper. Ceux qui n'étaient
47 III. 4, 3| Avec cette certitude, on pouvait se donner un peu le temps
48 III. 4, 3| On ne pouvait le lui refuser. D'ailleurs
49 III. 4, 3| bougeait plus. L'ouverture ne pouvait plus se clore.~
50 III. 4, 3| mots sur la pierre qui ne pouvait plus tourner et qui laissait
51 III. 4, 3| que le verre de sa montre pouvait se briser contre cette clef ;
52 III. 5, 1| plus d'une lieue. Elle qui pouvait à peine faire un pas, elle
53 III. 5, 1| semblait presque qu'elle y pouvait toucher avec la main. La
54 III. 5, 1| On regardait, et l'on n'y pouvait rien.~
55 III. 5, 2| perdre lui-même ? On ne pouvait rien dire. On n'avait devant
56 III. 5, 3| Aucune force humaine n'y pouvait rien. Encore un moment et
57 III. 6, 2| lui était posée ; il ne pouvait prendre la fuite devant
58 III. 6, 2| Ce qui se passait ne pouvait être éludé ; le fait était
59 III. 6, 2| fait ; il en était, il ne pouvait s'en retirer ; et, bien
60 III. 6, 2| Et l'on pouvait dire : Non, la guerre civile
61 III. 6, 2| pour elle le gouffre. Elle pouvait s'y adosser, et, géante,
62 III. 6, 2| cet ennemi public ; il ne pouvait plus combattre, il ne pouvait
63 III. 6, 2| pouvait plus combattre, il ne pouvait plus lutter, il ne pouvait
64 III. 6, 2| pouvait plus lutter, il ne pouvait plus nuire ; dans cette
65 III. 6, 3| autre côté du ravin, ne pouvait voir que ce qui était tout
66 III. 7, 3| comme juge martial, seul, il pouvait le défaire comme délégué
67 III. 7, 3| comme délégué civil. Seul il pouvait faire grâce. Il avait pleins
68 III. 7, 3| pouvoirs ; d'un signe il pouvait mettre Gauvain en liberté ;
69 III. 7, 3| On ne pouvait qu'attendre.~
70 III. 7, 3| la tour, autant qu'on en pouvait juger dans l'obscurité,
71 III. 7, 3| se demandait à quoi cela pouvait servir. Puis on sentait
72 III. 7, 3| ravin. De l'une à l'autre on pouvait se parler.~
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