Partie. Livre, Chap.
1 I. 2, 3| que la guerre enfonce les portes, quelquefois il faut qu'
2 I. 4, 3| Ils ont ouvert toutes les portes.~
3 II. 1, 1| tables dressées devant les portes, les femmes assises sur
4 II. 1, 1| Les Allemands étaient aux portes ; le bruit courait que le
5 II. 1, 1| muscadins ", ameutés aux portes des mairies, raillaient
6 II. 1, 1| décade. On faisait queue aux portes des marchands ; une de ces
7 II. 2, 2| bonnes femmes, sur le pas des portes, joignent les mains et disent :
8 II. 2, 2| ferment devant vous toutes les portes, excepté celle du tombeau.~
9 II. 2, 3| plutôt que d'ouvrir les portes de Verdun aux Prussiens.~
10 II. 3, 1| s'ouvraient deux sombres portes carrées. On entrait et on
11 II. 3, 2| Laval qui avait ouvert ses portes aux Vendéens fugitifs, elle
12 III. 2, 2| rivière. La ville, sans portes ni murailles, ouverte, dominée
13 III. 2, 9| trous qui avaient été des portes, par où l'on entrevoyait
14 III. 2, 9| cette tour il y avait des portes secrètes faites, comme les
15 III. 2, 9| secrètes faites, comme les portes des tombeaux des rois de
16 III. 2, 9| avec l'ogive. Quand ces portes étaient closes, il était
17 III. 2, 9| d'un abord malaisé ; les portes étaient de biais et n'avaient
18 III. 2, 9| alcôves, on contrebuta les portes avec des solives enfoncées
19 III. 4, 1| nuit ; pourtant quelques portes étaient déjà entre-bâillées
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