Partie. Livre, Chap.

1    III.      1,     3|               parce qu'on a dit à M. Pitt que cela était décent ".
2    III.      1,     3|      civilisation, l'espérance de M. Pitt ; telle fut cette guerre,
3    III.      2,     1| Basse-Normandie, d'ouvrir la porte à Pitt, et de donner un coup d'
4    III.      2,     2|             littoral, et le livrer à Pitt. C'est pourquoi, voyant
5    III.      2,     9|              à la révolte royaliste. Pitt était d'ailleurs un malfaiteur
6    III.      2,     9|        panoplie il y a le poignard ; Pitt poignardait notre pays et
7    III.      2,     9|          lettre de Prigent, agent de Pitt en Vendée, où on lisait
8    III.      4,     3|       veut-on qu'on vienne à bout de Pitt et Cobourg avec des farces
9    III.      6,     2|               un homme allait dire à Pitt, à Craig, à Cornwallis,