Chap.
1 14| chevaux andalous. Les deux étrangers sont introduits au milieu
2 15| espagnols ; ils aiment mieux les étrangers, dont ils se croient plus
3 17| voyons bien que vous êtes des étrangers ; nous ne sommes pas accoutumés
4 18| vieillard reçut les deux étrangers sur un sopha matelassé de
5 18| le droit de retenir des étrangers ; c'est une tyrannie qui
6 21| on y reçoit très bien les étrangers quand ils ont beaucoup d'
7 22| accommodants, qui guettent les étrangers à leur passage, leur content
8 22| prit bientôt congé des deux étrangers, après les avoir tendrement
9 22| Voilà donc, dit-il, ces deux étrangers suspects ? " Il les fait
10 22| cachot. On arrête tous les étrangers, mais laissez-moi faire ;
11 22| pourquoi arrête-t-on tous les étrangers ? " dit Candide. L'abbé
12 24| qui reçoit assez bien les étrangers. On prétend que c'est un
13 26| et Martin firent avec six étrangers, et qui ils étaient~
14 26| mettre à table avec les étrangers qui logeaient dans la même
15 26| ces aventures, et avec six étrangers qui étaient venus passer
16 26| boire à l'un de ces six étrangers, s'approcha de l'oreille
17 26| domestiques ayant disparu, les six étrangers, Candide et Martin demeurèrent
18 30| mots, il fit entrer les étrangers dans sa maison : ses deux
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