Centesimus annus
Chap., N. 1 1, 5 | charge apostolique » , c'est-à-dire de la mission qu'il a reçue
2 1, 6 | protéger la propriété privée, c'est-à-dire pour affirmer le droit de
3 2, 18 | logique qui y conduit, c'est-à-dire l'idée que la lutte pour
4 4, 31 | homme au don de Dieu, c'est-à-dire sans le travail. Grâce à
5 4, 32 | plus l'homme lui-même, c'est-à-dire sa capacité de connaissance
6 4, 36 | devoir de la charité, c'est-à-dire du devoir de donner de son «
7 4, 36 | la décision d'investir, c'est-à-dire d'offrir à un peuple l'occasion
8 4, 41 | production et de propriété, c'est-à-dire qu'il lui attribue un fondement
Dives in misericordia
Chap., Paragraphe 9 1, 1 | manière théocentrique, c'est-à-dire s'orienter en Jésus-Christ
10 1, 2 | visible dans sa miséricorde, c'est-à-dire qu'est mis en relief l'attribut
11 2, 3 | considérations à ce sujet, c'est-à-dire avant d'établir la signification
12 5, 8 | radicale de la miséricorde, c'est-à-dire de l'amour qui s'oppose
13 5, 8 | radicale de la miséricorde, c'est-à-dire de l'amour du Pèreplus fort
14 5, 9 | révélation de la miséricorde, c'est-à-dire de la fidélité absolue de
15 6, 11 | sa dimension intégrale, c'est-à-dire dans son existence corporelle
16 6, 11 | est essentiel à l'homme, c'est-à-dire ce qui est intimement lié
17 7, 13 | unique la miséricorde, c'est-à-dire l'amour qui est plus fort
18 7, 13 | conversion et la pénitence, c'est-à-dire l'obstination continuelle
19 7, 13 | découverte de sa miséricorde, c'est-à-dire de cet amour patient et
20 7, 14 | qui nous ont offensés», c'est-à-dire à ceux qui sont coupables
21 7, 14 | en gardant sa source, c'est-à-dire le mystère de la miséricorde
22 8, 15 | crucifié et ressuscité, c'est-à-dire dans le mystère pascal.
23 8, 15 | effet de révéler Dieu, c'est-à-dire le Père qui nous permet
Dominum et vivificantem
Chap., N. 24 1, 3 | Cénacle, à son départ, c'est-à-dire à sa passion et à sa mort
25 1, 7 | viennent ensuite: «Lui (c'est-à-dire l'Esprit) me glorifiera,
26 1, 12 | l'être même du cosmos, c'est-à-dire le don de l'existence, mais
27 1, 12 | Dieu dans la création, c'est-à-dire le commencement du don que
28 1, 15 | Messie» veut dire «Christ», c'est-à-dire «Oint», et, dans l'histoire
29 1, 19 | Israël comme le Messie, c'est-à-dire «l'Oint» de l'Esprit Saint.
30 1, 21 | ici «de l'intérieur», c'est-à-dire du plus profond de ce qu'
31 1, 23 | par l'œuvre du Fils, c'est-à-dire par le mystère pascal, est
32 1, 25 | commencé par la «venue», c'est-à-dire par la descente de l'Esprit
33 2, 28 | permanente à la «justice», c'est-à-dire au salut définitif en Dieu,
34 2, 28 | un sens, au «jugement», c'est-à-dire à la damnation, qui a frappé
35 2, 33 | comme «désobéissance», c'est-à-dire comme opposition de la volonté
36 2, 36 | paroles de l'incitation, c'est-à-dire de la tentation telle qu'
37 2, 36 | transgresser cette interdiction, c'est-à-dire à franchir cette «limite»: «
38 2, 37 | celui qui «est pécheur (c'est-à-dire demeure dans le péché) dès
39 2, 37 | appeler l'«anti-Verbe», c'est-à-dire l'«anti-vérité». Ainsi se
40 2, 37 | manifester le péché», c'est-à-dire cette motivation de la désobéissance
41 2, 42 | lumière des cœurs»161, c'est-à-dire des consciences, l'Esprit
42 2, 42 | manifeste le péché», c'est-à-dire fait connaître à l'homme
43 2, 42 | conduit au cœur de l'homme, c'est-à-dire au sanctuaire des consciences
44 2, 46 | à la «non-pénitence», c'est-à-dire au refus radical de se convertir.
45 2, 47 | offense commise contre Dieu, c'est-à-dire le véritable sens du péché»187.~
46 3, 50 | création et du salut, c'est-à-dire la grâce suprême - «la grâce
47 3, 50 | union hypostatique», c'est-à-dire de l'union de la nature
48 3, 52 | des fils de Dieu»217, c'est-à-dire de ceux que Dieu a «d'avance
49 3, 55 | monde par rapport à Lui, c'est-à-dire de sa «visibilité» et de
50 3, 55 | vivre dans la vérité, c'est-à-dire selon les exigences de la
51 3, 57 | rédemption de notre corps»244, c'est-à-dire de tout notre être humain
52 3, 58 | jaillit la vie nouvelle, c'est-à-dire la vie de l'homme en Dieu,
53 3, 58 | cet homme intérieur, c'est-à-dire «spirituel», mûrit et devient
54 3, 63 | quelque sorte le sacrement, c'est-à-dire à la fois le signe et le
55 3, 64 | quelque sorte le sacrement, c'est-à-dire à la fois le signe et le
56 3, 64 | Eglise est «le sacrement, c'est-à-dire le signe et l'instrument»
57 3, 66 | frères (cf. Rm 8, 29), c'est-à-dire parmi les croyants, à la
Ecclesia de Eucharistia
Chap., N. 58 INT, 2 | fin du Triduum pascal, c'est-à-dire de la période qui va du
59 1, 13 | son propre don paternel, c'est-à-dire avec le don de la vie nouvelle
60 2, 24 | quelque sorte le sacrement, c'est-à-dire le signe et l'instrument
61 3, 27 | Église est apostolique, c'est-à-dire fondée sur les Apôtres,
62 3, 29 | du Christ. In persona: c'est-à-dire dans l'identification spécifique,
Evangelium vitae
Chap., N. 63 1, 8 | logique » du Mauvais, c'est-à-dire de celui qui « était homicide
64 1, 9 | y avait eu fratricide, c'est-à-dire le plus grand des crimes,
65 1, 23 | et langage de l'amour, c'est-à-dire du don de soi et de l'accueil
66 2, 29 | dès le commencement », c'est-à-dire depuis la création elle-même,
67 2, 33 | esprit » (Lc 23, 46), c'est-à-dire ma vie. Grande, en vérité,
68 2, 42 | égard du milieu de vie, c'est-à-dire de la création que Dieu
69 2, 48 | commandements du Seigneur, c'est-à-dire à « la loi de la vie » (
70 2, 50 | pardonner les péchés, c'est-à-dire à libérer l'homme de sa
71 3, 52 | parle de la vie éternelle, c'est-à-dire de la participation à la
72 3, 52 | présente comme « évangile », c'est-à-dire comme bonne et joyeuse nouvelle.
73 3, 53 | société. Il est le « goël », c'est-à-dire le défenseur de l'innocent (
74 3, 58 | qui commence à vivre, c'est-à-dire l'être qui est, dans l'absolu,
75 3, 62 | tout avortement direct, c'est-à-dire tout acte qui tend directement
76 3, 62 | excommunication latæ sententiæ », c'est-à-dire automatique. L'excommunication
77 3, 62 | que l'avortement direct, c'est-à-dire voulu comme fin ou comme
78 3, 64 | fait toujours plus forte, c'est-à-dire la tentation de se rendre
79 3, 65 | acharnement thérapeutique », c'est-à-dire à certaines interventions
80 3, 65 | situations concrètes; c'est-à-dire qu'il faut déterminer si
81 3, 73 | loi plus restrictive, c'est-à-dire destinée à restreindre le
82 3, 75 | préceptes moraux négatifs, c'est-à-dire ceux qui déclarent moralement
83 Conc, 103 | enfantement » (Ap 12, 2), c'est-à-dire dans la tension constante
84 Conc, 105 | nouvelle Jérusalem », c'est-à-dire dans le monde nouveau vers
Fides et ratio
Chap., N. 85 4, 38 | éducatrice de l'univers, c'est-à-dire épris de la connaissance
86 4, 47 | par ce qu'il fabrique, c'est-à-dire par le résultat du travail
87 4, 47 | objet d'"aliénation", c'est-à-dire purement et simplement enlevés
88 5, 50 | profit de la recta ratio, c'est-à-dire de la raison qui réfléchit
89 5, 60 | figure de l'homme à venir, c'est-à-dire du Christ Seigneur. Nouvel
90 6, 75 | une démarche autonome, c'est-à-dire qui procède selon ses lois
91 7, 82 | savoir authentique et vrai, c'est-à-dire qui se limiterait aux aspects
92 7, 82 | des affirmations vraies, c'est-à-dire propres à exprimer la réalité
93 7, 83 | authentiquement métaphysique, c'est-à-dire apte à transcender les données
94 7, 98 | sa réalité originelle, c'est-à-dire comme un acte de l'intelligence
Laborem exercens
Chap., Paragraphe 95 1, 1 | travail de ses mains , c'est-à-dire non seulement du pain quotidien
96 2, 4 | activité «transitive» _ c'est-à-dire que, prenant sa source dans
97 2, 6 | il est une personne, c'est-à-dire un sujet, un sujet capable
98 2, 6 | sujet conscient et libre, c'est-à-dire un sujet qui décide de lui-même.~
99 2, 6 | sujet même du travail, c'est-à-dire de la personne, de l'homme
100 2, 7 | possesseur du capital, c'est-à-dire de l'ensemble des instruments
101 2, 7 | dignité de son travail, c'est-à-dire comme sujet et auteur, et
102 2, 8 | celui qui en est le sujet, c'est-à-dire de l'homme en tant que personne
103 2, 9 | il est un bien «digne», c'est-à-dire qu'il correspond à la dignité
104 2, 9 | exploiter le travail humain, c'est-à-dire le travailleur. Tout ceci
105 2, 10 | subjective. Cette dimension, c'est-à-dire la réalité concrète de l'
106 2, 10 | soumission de la terre, c'est-à-dire le travail sous l'aspect
107 3, 12 | technique qui leur est liée (c'est-à-dire la capacité de mettre en
108 3, 12 | instruments modernes, c'est-à-dire des moyens de production,
109 3, 12 | capacité de travail _ c'est-à-dire la possibilité de participer
110 3, 13 | travail qui peut être juste, c'est-à-dire conforme à l'essence même
111 3, 13 | développant la technique, c'est-à-dire en réalisant un ensemble
112 3, 13 | richesses matérielles, c'est-à-dire les moyens, mais en perdant
113 3, 13 | perdant de vue la fin, c'est-à-dire l'homme à qui ces moyens
114 3, 14 | la société est assurée, c'est-à-dire si chacun, du fait de son
115 3, 15 | aucune forme l'antinomie _ c'est-à-dire la séparation et l'opposition
116 4, 16 | terme, est une obligation, c'est-à-dire un devoir, il est aussi
117 4, 16 | a dit, une obligation, c'est-à-dire un devoir de l'homme, et
118 4, 17 | importation et d'exportation, c'est-à-dire dans l'échange réciproque
119 4, 17 | pleine auto-suffisance, c'est-à-dire d'autarcie, pour quelque
120 4, 18 | employeur indirect», c'est-à-dire en relation avec l'ensemble
121 4, 18 | domaine est le chômage, c'est-à-dire le manque d'emplois pour
122 4, 18 | en faveur des chômeurs, c'est-à-dire le devoir d'assurer les
123 4, 18 | ordre moral en ce domaine, c'est-à-dire du principe de l'usage commun
124 4, 18 | meilleur fonctionnement, c'est-à-dire davantage d'efficacité réalisatrice.~
125 4, 19 | sur la base du salaire, c'est-à-dire par la juste rémunération
126 4, 19 | l'ordre éthico-social, c'est-à-dire au principe de l'usage commun
127 4, 19 | le travail, le salaire, c'est-à-dire la rémunération du travail,
128 4, 19 | appelle le salaire familial, c'est-à-dire un salaire unique donné
129 4, 19 | aux besoins effectifs, c'est-à-dire au nombre de personnes à
130 4, 20 | le droit d'association, c'est-à-dire le droit de s'associer,
131 4, 20 | hommes du même métier, c'est-à-dire les regroupaient en fonction
132 4, 20 | puisse «être» davantage, c'est-à-dire qu'il puisse réaliser plus
133 4, 20 | procédé de la «grève», c'est-à-dire de l'arrêt du travail conçu
134 4, 22 | revient à la communauté, c'est-à-dire aux autorités publiques,
135 5, 26 | valeurs du travail humain, c'est-à-dire dans une telle spiritualité
Redemptor hominis
Chap., Paragraphe 136 1, 3 | Concile, «le sacrement, c'est-à-dire à la fois le signe et le
137 1, 4 | dynamisme apostolique, c'est-à-dire missionnaire, de l'Eglise,
138 2, 7 | quelque sorte le sacrement, c'est-à-dire le signe et le moyen de
139 2, 7 | croix parle, elle aussi, c'est-à-dire la profondeur insondable
140 2, 11 | totale de l'humanité, c'est-à-dire du sens plénier de la vie
141 2, 12 | Celui qui m'a envoyé» , c'est-à-dire du Père), tout en agissant
142 3, 14 | homme, dont le «destin», c'est-à-dire le choix, l'appel, la naissance
143 3, 15 | par ce qu'il fabrique, c'est-à-dire par le résultat du travail
144 3, 15 | objet d'«aliénation», c'est-à-dire purement et simplement enlevés
145 3, 15 | véritablement meilleur, c'est-à-dire plus mûr spirituellement,
146 3, 16 | royauté» de l'homme, c'est-à-dire sur sa vocation à participer
147 3, 16 | la liberté des autres, c'est-à-dire de ceux qui souffrent de
148 3, 17 | part du droit naturel, c'est-à-dire d'un point de vue «purement
149 4, 18 | Eglise est «sacrement, c'est-à-dire à la fois le signe et le
150 4, 19 | catéchèse «familiale», c'est-à-dire la catéchèse faite par les
151 4, 20 | mystère de la Rédemption, c'est-à-dire dans l'oeuvre de salut accomplie
152 4, 20 | son propre don paternel, c'est-à-dire avec le don de la vie nouvelle
153 4, 20 | le sacerdoce royal» , c'est-à-dire que nous participons à cette
154 4, 21 | mission royale du Christ, c'est-à-dire le fait de redécouvrir en
155 4, 21 | fidélité à la vocation, c'est-à-dire la disponibilité persévérante
156 4, 21 | leur propre vocation, c'est-à-dire à ce «service royal» dont
157 4, 21 | parvenir à cette «royauté», c'est-à-dire réaliser en chacun de nous
158 4, 22 | depuis le commencement, c'est-à-dire depuis le moment de l'Annonciation,
Redemptoris Mater
Chap., N. 159 Intro, 3 | la plénitude du temps», c'est-à-dire l'avènement salvifique de
160 1, 8 | spirituelles» s'accomplit, c'est-à-dire qu'elle devient une réalité:
161 1, 10 | moment de sa conception c'est-à-dire de son existence, elle appartient
162 1, 10 | dans l'ordre de la grâce, c'est-à-dire de la participation à la
163 1, 12 | mariologique essentiel c'est-à-dire la vérité sur Marie dont
164 1, 17 | commencement de l'Evangile, c'est-à-dire de la bonne nouvelle, de
165 1, 20 | Marie dès le commencement, c'est-à-dire dès le moment de la conception
166 1, 21 | et non selon la chair, c'est-à-dire la sollicitude de Marie
167 1, 21 | se place «au milieu», c'est-à-dire qu'elle agit en médiatrice
168 1, 21 | messianique de son Fils, c'est-à-dire sa puissance salvifique
169 1, 23 | à son moment suprême, c'est-à-dire quand s'accomplit le sacrifice
170 1, 24 | Christ pour être sa Mère, c'est-à-dire la Sainte Mère de Dieu,
171 2, 26 | Jésus» (cf. Ac 1, 13-14), c'est-à-dire du Christ crucifié et ressuscité.
172 3, 39 | dans l'économie du salut, c'est-à-dire l'Incarnation du Verbe au
173 3, 41 | la plénitude du temps», c'est-à-dire jusqu'à «la récapitulation
174 3, 42 | surtout sous cet aspect, c'est-à-dire comme modèle ou plutôt comme «
175 3, 43 | du Royaume des cieux», c'est-à-dire de la virginité consacrée
176 3, 44 | dans cette coopération, c'est-à-dire dans la médiation maternelle
177 3, 45 | de sa vie intérieure, c'est-à-dire dans son «moi» humain et
178 3, 47 | est Mère de l'Eglise, «c'est-à-dire Mère de tout le peuple de
Redemptoris missio
Chap., N. 179 1, 5 | proclamer l'Evangile, c'est-à-dire la plénitude de la vérité
180 1, 8 | ils sont des personnes, c'est-à-dire doués de raison et de volonté
181 2, 14 | signes du salut spirituel, c`est-à-dire de la libération du péché.
182 2, 16 | événement Jésus Christ (c'est-à-dire le «kérygme» des Apôtres).
183 3, 23 | ce que Luc montre bien, c'est-à-dire la conversion à l'amour
184 3, 24 | invitent à «se convertir», c'est-à-dire à accueillir Jésus dans
185 4, 36 | confiance qui vient de la foi, c'est-à-dire de la certitude que nous
186 5, 45 | chrétienne, les «martyrs», c'est-à-dire les témoins, sont nombreux
187 5, 46 | laconversion chrétienne, c'est-à-dire à l'adhésion pleine et sincère
188 5, 54 | la vie communautaire, c'est-à-dire mûrir au sein de la communauté,
189 5, 60 | activité missionnaire, c'est-à-dire de l'amour qui est et reste
190 7, 81 | célébration eucharistique, c'est-à-dire comme offrande à Dieu, et
191 8, 89 | de Dieu dans le monde, c'est-à-dire de l'amour sans aucune exclusion
192 8, 91 | justice et de paix, charité, c'est-à-dire précisément les Béatitudes,
Slavorum Apostoli
Chap., N. 193 2, 4 | la charge d'archonte, c'est-à-dire de préfet de l'une des provinces
194 4, 12 | de formation byzantine, c'est-à-dire des hommes appartenant totalement
195 4, 14 | ils faisaient partie, c'est-à-dire l'Eglise de Constantinople
196 5, 18 | partir du respect mutuel - c'est-à-dire de la charité fraternelle -
197 7, 23 | Slovaquie et la Pannonie, c'est-à-dire une partie de la Hongrie
Sollicitudo rei socialis
Chap., N. 198 1, 1 | à la question sociale, c'est-à-dire à ce qui a pour fin un développement
199 2, 8 | orientation surtout pratique, c'est-à-dire ordonnée à la conduite morale.~
200 2, 9(26)| il doit être intégral, c'est-à-dire promouvoir tout homme et
201 2, 10 | commun de toute l'humanité, c'est-à-dire par la préoccupation du «
202 3, 14 | l'Eglise, «sacrement, c'est-à-dire à la fois le signe et le
203 3, 15 | l'esprit d'initiative, c'est-à-dire la personnalité créative
204 3, 15 | privé de sa personnalité, c'est-à-dire de la «souveraineté» qui
205 3, 22 | partie Nord du monde, c'est-à-dire l'Orient et l'Occident,
206 4, 28 | enrichissement de son «être», c'est-à-dire à la réalisation de la vocation
207 4, 29 | envisagé dans sa totalité, c'est-à-dire selon un paramètre intérieur
208 4, 31 | communique «à son Corps, c'est-à-dire l'Eglise» (ibid., 1, 18;
209 4, 31 | fondamentale de «sacrement», c'est-à-dire «signe et moyen de l'union
210 4, 31 | histoire et du travail, c'est-à-dire de la valeur permanente
211 5, 38 | travailler pour le bien commun, c'est-à-dire pour le bien de tous et
212 6, 42 | hypothèque sociale»79, c'est-à-dire que l'on y discerne, comme
213 Concl, 46 | pratique de la solidarité, c'est-à-dire de l'amour et du service
Ut unum sint
Chap., N. 214 1, 6 | dans la mort du Seigneur, c'est-à-dire dans l'acte même par lequel
215 2, 55 | demeuraient dans l'unité, c'est-à-dire « le souci attentif de conserver
216 3, 84 | communion des saints, c'est-à-dire de ceux qui, au terme d'
Veritatis splendor
Chap., N. 217 1, 10 | provient de moi (Ps 138, 6), c'est-à-dire que, dans mes œuvres, ta
218 1, 11 | accomplir » la Loi, c'est-à-dire à reconnaître le Seigneur
219 1, 12 | par les « dix paroles », c'est-à-dire les commandements du Sinaï,
220 1, 17 | désir de la perfection, c'est-à-dire de réaliser ce qu'ils signifient
221 2, 28 | encore sur l'agir moral, c'est-à-dire l'agir qui plaît à Dieu (
222 2, 29 | réflexion sur la « moralité », c'est-à-dire le caractère bon ou mauvais
223 2, 32 | sa réalité originelle, c'est-à-dire comme un acte de l'intelligence
224 2, 36 | précis « dans le monde », c'est-à-dire envers soi-même, envers
225 2, 36 | purement « humaine », c'est-à-dire qu'elles seraient l'expression
226 2, 37 | véritablement « objectives », c'est-à-dire appropriées à la situation
227 2, 41 | appelées à s'interpénétrer, c'est-à-dire qu'il s'agit de l'obéissance
228 2, 42 | face imprimée en nous ", c'est-à-dire que la lumière de notre
229 2, 43 | par l'homme lui-même, c'est-à-dire par son action raisonnable
230 2, 45 | propre de l'Esprit Saint, c'est-à-dire la foi opérant par la charité (
231 2, 46 | qui est « construit », c'est-à-dire la « culture », en tant
232 2, 50 | totalité unifiée », c'est-à-dire « une âme qui s'exprime
233 2, 52 | être la réponse juste, c'est-à-dire conforme à la dignité de
234 2, 54 | cœur » de la personne, c'est-à-dire dans sa conscience morale : «
235 2, 57 | son infidélité à la Loi, c'est-à-dire de sa droiture foncière
236 2, 58 | morale, dans l'existence, c'est-à-dire le lieu, l'espace sacré
237 2, 62 | ignorance invincible, c'est-à-dire d'une ignorance dont le
238 2, 67 | préceptes moraux négatifs, c'est-à-dire ceux qui interdisent certains
239 2, 69 | personne tout entière, c'est-à-dire un acte d'option fondamentale.
240 2, 75 | spécificité morale des actes, c'est-à-dire de leur bonté ou de leur
241 2, 78 | désordre de la volonté, c'est-à-dire un mal moral » . « Souvent —
242 2, 78 | humain dépend de son objet, c'est-à-dire de la possibilité ou non
243 2, 80 | toujours et en eux-mêmes, c'est-à-dire en raison de leur objet
244 2, 80 | un bien (cf. Rm 3, 8), c'est-à-dire de prendre comme objet d'
245 2, 82 | semper et pro semper, c'est-à-dire sans aucune exception, non
246 3, 86 | liberté d'une créature, c'est-à-dire un don, qu'il faut accueillir
247 3, 87 | accomplit dans l'amour, c'est-à-dire dans le don de soi. Lui
248 3, 88 | a vécu (cf. Ga 2, 20), c'est-à-dire dans le plus grand amour
249 3, 90 | la dignité personnelle, c'est-à-dire l'inviolabilité de l'homme
250 3, 96 | la défense catégorique, c'est-à-dire sans édulcoration et sans
251 3, 98 | parler « culturelles », c'est-à-dire liées à certaines conceptions
252 3, 105 | les capacités humaines, c'est-à-dire les capacités des seules
253 3, 106 | nouvelle évangélisation », c'est-à-dire à l'annonce de l'Evangile
254 3, 112 | situation originelle, c'est-à-dire qu'elle est blessée par
255 3, 114 | docteurs authentiques, c'est-à-dire pourvus de l'autorité du
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