Partie
1 I | soudain, par un trou qu'on ne voyait point, un long rayon de
2 I | elle regardait au-dehors, voyait dans la nuit lumineuse passer
3 I | beaucoup au premier, sauf qu'on voyait sortir des maisons quatre
4 I | était si claire qu'on y voyait comme en plein jour ; et
5 I | fille pour elle. Et elle les voyait courant sur l'herbe entre
6 III| coin de sa bouche. Et on ne voyait jamais le matelot rallumer
7 III| dans le bonheur. Elle ne voyait plus rien, ne savait plus
8 V | si transparent qu'on en voyait parfois le fond. ~Et la
9 VII| les neiges arrivèrent. On voyait de loin les gros nuages
10 VII| long de son corps. Elle les voyait venir du pied du lit pour
11 VII| paralysaient ; mais elle ne voyait personne. ~Elle n'avait
12 IX | magnifique entouré de murs. On voyait, sur une hauteur, les ruines
13 IX | droit devant eux ; Jeanne voyait là-bas les deux silhouettes
14 IX | le coeur de son amie. ~On voyait par la fenêtre les voitures
15 X | Et la grande maison, qui voyait ainsi de temps en temps
16 X | d'une fille ; et elle la voyait jouant avec Paul sous le
17 X | son village, la mer qu'il voyait des fenêtres du presbytère,
18 X | grand-messes des fêtes quand on voyait des jeunesses rester à leurs
19 X | nature, attendri dès qu'il voyait deux animaux s'unir, à genoux
20 XI | femmes de journée. On les voyait pendant des heures entières
21 XII| mer que chaque matin elle voyait de sa fenêtre des Peuples,
22 XII| charrette lente, ou bien on voyait venir de loin deux paysans,
23 XII| leur adresse. " ~Jeanne voyait des lueurs, des grands jets
24 XII| porte, regardait au-dedans, voyait tous ces gens attablés et
25 XII| tendit l'enfant qu'on ne voyait point dans ses linges. ~
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