Partie
1 II | poudreux où l'herbe était morte, elle recommençait sans
2 III| L'onde opaque semblait morte ; et le soleil épuisé d'
3 IV | avait repêchée à moitié morte ; et ses parents, levant
4 IX | passionnée pour des songes et morte aux besoins charnels, s'
5 IX | envahi la chambre, voilant la morte de ténèbres. La veuve Dentu
6 IX | hébétement : " Elle est morte ", et toute l'horreur de
7 IX | Mme Adélaïde, était morte ? Elle ne remuerait plus,
8 IX | Jeannette. " Elle était morte ! ~On allait la clouer dans
9 IX | cette couche, l'air de cette morte. ~Les gazons coupés, les
10 IX | rapprochement entre cette morte et cette mécanique qui ne
11 IX | vieilles lettres chères à la morte. Il lui sembla qu'elle allait
12 IX | tout haut, à lire pour la morte, comme pour la distraire,
13 IX | osé rester auprès de la morte, et elle se remit à pleurer,
14 IX | petite mère n'était pas morte, par hasard, si elle n'était
15 X | maniait incessamment la morte. D'instant en instant, un
16 X | leurs baisers ? Elle serait morte d'humiliation plutôt que
17 X | parti ; petite mère était morte ; Jeanne maintenant n'avait
18 X | entendent guère ; ma mère est morte ; et... et... " Elle prononça
19 X | route par où allait revenir morte, ou mourante, ou peut-être
20 X | hurlant presque : " Est-elle morte ? " Et le serviteur balbutia : "
21 XII| heure, elle demeura comme morte ; puis elle rouvrit les
22 XII| petit morceau d'une branche morte tomba sur sa robe, elle
23 XII| répondit : " Eh bien, elle est morte, c'te nuit. Ils sont mariés,
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