Partie

 1 IX     |      ricanant toujours, vous êtes bien sot de vous mettre
 2 IX     |      de besson, puisque vous êtes si savant pour le retrouver. ~--
 3 XVI    | offense-t-il ? Et si vous en êtes choqués, pourquoi vous détournez-vous
 4 XVIII  |      vous autres riches vous êtes difficiles. Il vous faut
 5 XXI    |  coeur de Landry, et si vous êtes fière à ce point de ne vouloir
 6 XXIV   |     bon. C'est vous qui vous êtes jouée de moi. Vous me détestez,
 7 XXXIII |      tout autre, ce que vous êtes et ce que vous valez. C'
 8 XXXIII |    rappelé, et que vous vous êtes si bien refaite à la ville
 9 XXXVI  |   vrai que j'aime Dieu, vous êtes, après moi, la seule personne
10 XXXVI  |      a changé parce que vous êtes riche. Ce n'est point la
11 XXXVI  |      avait menti et que vous êtes une personne sage et honnête,
12 XXXVIII|     c'est pour cela que vous êtes égoïste et ingrat. ~-- Si
13 XXXVIII|     cela je connais que vous êtes à moitié fou, et que vous
14 XXXVIII|    moitié fou, et que vous n'êtes point bon. Eh bien ! je
15 XXXVIII|   vas vous répondre que vous êtes un méchant coeur et un enfant
16 XXXVIII|     entendez guère, car vous êtes son ennemi et celui de votre
17 XXXVIII|       De cette manière, vous êtes le maître à tous ici. Mais,
18 XXXVIII|    un superstitieux que vous êtes, en croyant qu'il y a dans
19 XXXIX  |    vous soigner quand vous n'êtes pas malade. ~-- Vous avez
20 XXXIX  |    vous. ~-- Eh bien, vous n'êtes pas impotent, et vous connaissez
21 XXXIX  |  refuser, Fadette ; car vous êtes grande remégeuse, et vous