Livre, Chapitre

  1         I,       III|         Charles le Téméraire par sa mère Agnès de Bourgogne. Or le
  2         I,       III|            dans cette même année sa mère la duchesse de Bourbonnais
  3         I,        IV|             que Marie de Bourgogne, mère de cette Marguerite que
  4        II,       VII|            Mon père est oiseau.~ Ma mère est oiselle.~ Je passe l'
  5        II,       VII|        passe l'eau sans bateau.~ Ma mère est oiselle.~ Mon père est
  6        II,       VII|          par les bourguignons et ma mère éventrée par les picards,
  7       III,        II|         ancienne, la moindre, et la mère des deux autres, resserrée
  8        IV,        II|             y entra, son père et sa mère étaient morts de la veille.
  9        IV,        II|            jeune frère sans père ni mère, ce petit enfant, qui lui
 10        IV,        II|            frère, il lui devint une mère.~ ~ Le petit Jehan avait
 11        IV,        II|          petit Jehan avait perdu sa mère, qu'il tétait encore. Claude
 12        IV,         V|  Saints-Innocents où son père et sa mère avaient été enterrés, il
 13         V,        II|        temple de Salomon.~ ~ L'idée mère, le verbe, n'était pas seulement
 14         V,        II|     architecture phénicienne, cette mère opulente de l'architecture
 15         V,        II|       histoire. C'est la révolution mère. C'est le mode d'expression
 16        VI,       III|        moment, au grand récri de sa mère. Il est vrai qu'il regardait
 17        VI,       III|      considérer tendrement. Mais la mère eût  se charger de la
 18        VI,       III|             qui avaient tué père et mère ! Des paysans ! pour qui
 19        VI,       III|            une bonne grosse fraîche mère de trente-six ans, avec
 20        VI,       III|            n'avait donc plus que sa mère, soeur de M. Mathieu Pradon,
 21        VI,       III|           elle était de famille. La mère était une bonne femme, par
 22        VI,       III|           Chantefleurie. Elle et sa mère gagnaient durement leur
 23        VI,       III|         enfant depuis longtemps. Sa mère, bonne femme qui n'avait
 24        VI,       III|             que fermer les yeux, sa mère était morte. Paquette n'
 25        VI,       III|            Vieille fille fait jeune mère. La galanterie reprit, on
 26        VI,       III| certainement pas eu de pareils ! Sa mère les lui avait cousus et
 27        VI,       III|             brune, à seize ans ! Sa mère en devenait de plus en plus
 28        VI,       III|              à la grande joie de la mère. Elles firent fête surtout
 29        VI,       III|           bégayait déjà, riait à sa mère comme une petite folle,
 30        VI,       III|     égyptiennes, et pleura. Mais la mère la baisa plus fort et s'
 31        VI,       III|           entra pourtant, la pauvre mère, et courut au lit... - L'
 32        VI,       III|          pleurait. - Ah ! la pauvre mère ! - Le soir, elle rentra
 33        VI,       III|        espèces de cris d'enfant. La mère rit aux éclats, monta l'
 34        VI,       III|     Gervaise.~ ~ -- Disparu avec la mère, répondit Mahiette.~ ~ --
 35        VI,       III|            brusquement l'objet : -- Mère, dit-il, comme si quelque
 36        VI,       III|          cette question timide : -- Mère, à présent, puis-je manger
 37        VI,       III|          considérant la malheureuse mère, se mirent à pleurer.~ ~
 38        VI,       III|            ouverture en criant : -- Mère, voyons donc que je voie !~ ~
 39        VI,         V|          fait de la galette ?~ ~ -- Mère, dit l'enfant, pendant que
 40        VI,         V|             avez tout mangé ?~ ~ -- Mère, c'est le chien. Je lui
 41        VI,         V|             enfant terrible, dit la mère souriant et grondant à la
 42       VII,         I|             fille, comme une pauvre mère qu'elle était, ne s'apercevait
 43       VII,         I|          beaucoup plus clair que sa mère aux manières froides et
 44       VII,         I|            ceci : -- Pourquoi votre mère porte-t-elle toujours une
 45       VII,         I|            Gibard ?~ ~ -- Madame ma mère, dit doucement Fleur-de-Lys,
 46       VII,         I|           de parler surannées de sa mère. En effet, il commençait
 47       VII,         I|          monde était accouru, et la mère, et les jeunes filles, et
 48       VII,         I|          fille ! ma fille ! cria la mère effrayée. Va-t'en, bohémienne
 49       VII,        II|        Jure-moi par le ventre de ta mère, répéta l'archidiacre avec
 50       VII,       VII|             les verrues de ma grand'mère, Jehan, c'est déraisonner
 51       VII,       VII|      étranglé avec les tripes de ta mère ! s'écria Phoebus, et il
 52       VII,      VIII|          ai-je besoin de père et de mère à présent ?~ ~ En parlant
 53       VII,      VIII|          monsieur le capitaine ! Ma mère ! ma pauvre mère ! ma mère !
 54       VII,      VIII|     capitaine ! Ma mère ! ma pauvre mère ! ma mère ! où es-tu ? à
 55       VII,      VIII|          mère ! ma pauvre mère ! ma mère ! où es-tu ? à mon secours !
 56       VII,      VIII|         amulette ! que m'importe ma mère ! c'est toi qui es ma mère,
 57       VII,      VIII|          mère ! c'est toi qui es ma mère, puisque je t'aime ! Phoebus,
 58      VIII,        IV|            et l'eût choisie pour sa mère, et eût voulu naître d'elle
 59      VIII,         V|                              V~ ~LA MÈRE~ Je ne crois pas qu'il y
 60      VIII,         V|       éveillent dans le coeur d'une mère à la vue du petit soulier
 61      VIII,         V|          marcher, que c'est pour la mère comme si elle voyait son
 62      VIII,         V|   laborieusement un tabouret, et la mère tremble qu'il n'approche
 63      VIII,         V|       soulier montre tout cela à la mère et lui fait fondre le coeur
 64      VIII,         V|        éternellement le coeur de la mère. C'est toujours la même
 65      VIII,         V|             notre ventre, et qu'une mère qui a perdu son enfant ne
 66      VIII,         V|    Pouvez-vous condamner une pauvre mère à ce supplice de quinze
 67      VIII,         V|          premier jour. Car pour une mère qui a perdu son enfant,
 68      VIII,         V|           ou son oreille, la pauvre mère se précipitait dans l'angle
 69      VIII,         V|          que ma fille aurait, si sa mère ne m'avait pas mangé ma
 70      VIII,        VI|            Elle était seule avec sa mère.~ ~ Fleur-de-Lys avait toujours
 71      VIII,        VI|             mon Dieu Jésus ! dit la mère, il y a tant de sorciers
 72      VIII,        VI|       moment.~ ~ Cependant la bonne mère, charmée de voir les fiancés
 73      VIII,        VI|             elle, et ne vit plus sa mère.~ ~ -- Mon Dieu ! dit-elle
 74      VIII,        VI|        laissez-moi, Phoebus ! si ma mère rentrait, elle verrait votre
 75      VIII,        VI|           trésor, comme eût fait la mère de cette enfant ; son oeil
 76         X,       III|             Bonsoir, mon père et ma mère !~ Les derniers couvrent
 77         X,       III|             j'ai mangé mon bien. Ma mère voulait me faire officier,
 78         X,       III|   conseiller aux enquêtes, ma grand'mère protonotaire du roi, ma
 79         X,       III|         malédiction au visage, à ma mère qui s'est mise, la vieille
 80         X,         V|           1469. Au nom de la sainte mère de Dieu, sire, écoutez-moi !
 81        XI,         I|            c'est que son père et sa mère étaient des gens fantasques
 82        XI,         I|             que tu meures. Quand ta mère l'égyptienne viendra te
 83        XI,         I|         réclamer, je lui dirai : La mère, regarde à ce gibet ! -
 84        XI,         I|             pareil retrouveras.~ Ta mère te tendra les bras.~ ~ En
 85        XI,         I|         fille ! ma fille !~ ~ -- Ma mère ! répondit l'égyptienne.~ ~
 86        XI,         I|            pluie de nuit. La pauvre mère vidait par flots sur cette
 87        XI,         I|             douceur infinie : -- Ma mère !~ ~ -- Vois-tu, ma petite
 88        XI,         I|            ai ma fille !~ ~ -- Ô ma mère ! dit la jeune fille trouvant
 89        XI,         I|             Il te fera retrouver ta mère. Tu portes ta mère à ton
 90        XI,         I|     retrouver ta mère. Tu portes ta mère à ton cou. - Elle l'avait
 91        XI,         I|        Sauvez-moi ! sauvez-moi ! ma mère ! les voilà qui viennent !
 92        XI,         I|            oeil fixe.~ ~ -- Oui, ma mère, reprit la jeune fille éperdue,
 93        XI,         I|          mes yeux à moi qui suis la mère ! Oh non ! ces choses-là
 94        XI,         I|            autour de la cellule. La mère se leva bien vite et s'alla
 95        XI,         I|            tu l'avais.~ ~ La pauvre mère prit l'air le plus indifférent
 96        XI,         I|            au coeur de la misérable mère. Elle ne perdit pourtant
 97        XI,         I|         chacune des angoisses de sa mère avait retenti en elle. Elle
 98        XI,         I|            se leva, et avant que sa mère eût pu l'en empêcher, elle
 99        XI,         I|             ongles dans le cou. Une mère tigresse n'y regarde pas
100        XI,         I|            la lucarne. L'oeil de la mère fit baisser le sien. Il
101        XI,         I|            examina les ongles de la mère, et n'osa pas.~ ~ -- Dépêche !
102        XI,         I|            Du fond de son antre, la mère, toujours en arrêt, regardait.
103        XI,         I|             de la lucarne. Quand la mère entendit les pics et les
104        XI,         I| démolisseurs semblait s'avancer, la mère se reculait machinalement,
105        XI,         I|            le dernier rempart de la mère. Elle se jeta dessus, elle
106        XI,         I|           des leviers de fer.~ ~ La mère, voyant l'entrée faite,
107        XI,         I|          toujours impassible.~ ~ La mère regarda les soldats d'une
108        XI,         I|        Placés entre le prévôt et la mère, tous deux menaçants, les
109        XI,         I|            Oh ! si vous avez eu une mère, monseigneur ! vous êtes
110        XI,         I|          passent, dont l'une est la mère et l'autre la fille, on
111        XI,         I|       entrèrent dans la logette. La mère ne fit aucune résistance,
112        XI,         I|            la mort la ranima. -- Ma mère ! cria-t-elle avec un inexprimable
113        XI,         I| inexprimable accent de détresse, ma mère ! ils viennent ! défendez-moi ! --
114        XI,         I|            te défends ! répondit la mère d'une voix éteinte, et,
115        XI,         I|       Toutes deux ainsi à terre, la mère sur la fille, faisaient
116        XI,         I|            Il essaya de détacher la mère, qui avait pour ainsi dire
117        XI,         I|        fille hors de la loge, et la mère après elle. La mère aussi
118        XI,         I|           et la mère après elle. La mère aussi tenait ses yeux fermés.~ ~
119        XI,         I|           non ! je ne veux pas ! La mère, dont la tête était enfouie
120        XI,         I|          monter.~ ~ En ce moment la mère, accroupie sur le pavé,
121        XI,         I|             d'entre les dents de la mère. Elle gardait un profond
122        XI,        II|        sombre et plus pensif qu'une mère assise entre un berceau
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