Livre, Chapitre

 1         I,         I|          de 1830, de nous mêler en pensée à ces parisiens du quinzième
 2         I,         I|     essaierons de retrouver par la pensée l'impression qu'il eût éprouvée
 3        II,        II|    reconstruire aisément dans leur pensée l'ensemble d'édifices auquel
 4        II,        VI|     classiques, le compara dans sa pensée au trépied vivant de Vulcain.~ ~
 5        II,        VI|         fil de sa mémoire et de sa pensée était rompu ; et doutant
 6        II,       VII|          curiosité amoureuse votre pensée et votre regard s'attachaient
 7        II,       VII|             vous n'avez eu d'autre pensée en m'épousant que de me
 8        II,       VII|                    Et quelle autre pensée veux-tu que j'aie eue ?~ ~
 9        II,       VII| visiblement préoccupée d'une autre pensée à laquelle elle souriait
10        II,       VII|        trouble par moments sous sa pensée, comme un miroir sous une
11       III,        II|        harmonieux à l'oeil et à la pensée. Mais ce splendide moment
12       III,        II|        reconstruisez-le dans votre pensée, regardez le jour à travers
13        IV,        II|            vie très au sérieux. La pensée de son petit frère devint
14        IV,        II|        difformité, cet abandon, la pensée de son jeune frère, la chimère
15        IV,       III|  considérable avant d'arriver à sa pensée. Son cerveau était un milieu
16        IV,       III|       mille écarts où divaguait sa pensée, tantôt folle, tantôt idiote.~ ~
17        IV,         V|           soupirs ? Quelle secrète pensée faisait sourire sa bouche
18         V,         I|     archidiacre, si c'est là votre pensée, vous auriez aussi bien
19         V,         I|            rêve, Hermès, c'est une pensée. L'or, c'est le soleil,
20         V,        II|    chercher quelle pouvait être la pensée qui se dérobait sous ces
21         V,        II|                À notre sens, cette pensée avait deux faces. C'était
22         V,        II|         faces. C'était d'abord une pensée de prêtre. C'était l'effroi
23         V,        II|          du philosophe qui voit la pensée humaine, volatilisée par
24         V,        II|         église.~ ~ Mais sous cette pensée, la première et la plus
25         V,        II|         était pressentiment que la pensée humaine en changeant de
26         V,        II|         alors se développa avec la pensée humaine ; elle devint géante
27         V,        II|          choisissaient révélait la pensée qu'ils représentaient. Selon
28         V,        II|       religieux, mais encore toute pensée humaine a sa page dans ce
29         V,        II|           s'oblitère sous la libre pensée, où l'homme se dérobe au
30         V,        II|           l'unité papale. Toute la pensée d'alors est écrite en effet
31         V,        II|            à cette époque, pour la pensée écrite en pierre, un privilège
32         V,        II|         église d'opposition.~ ~ La pensée alors n'était libre que
33         V,        II|    imprudente pour s'y risquer. La pensée portail d'église eût assisté
34         V,        II|          assisté au supplice de la pensée livre. Aussi n'ayant que
35         V,        II|           apparu dans le monde une pensée un peu compliquée qui ne
36         V,        II|         pourquoi ? C'est que toute pensée, soit religieuse, soit philosophique,
37         V,        II|          siècle tout change.~ ~ La pensée humaine découvre un moyen
38         V,        II|    renouvelle totalement, c'est la pensée humaine qui dépouille une
39         V,        II|            la forme imprimerie, la pensée est plus impérissable que
40         V,        II|          lui, ailée et vivante, la pensée du monde englouti.~ ~ Et
41         V,        II|      attirail, quand on compare la pensée obligée pour se traduire
42         V,        II|           quand on la compare à la pensée qui se fait livre, et à
43         V,        II|            la sève s'en va, que la pensée des temps et des peuples
44         V,        II|        même temps que les arts, la pensée s'émancipe de tous côtés.
45         V,        II|           autres arts parce que la pensée humaine l'abandonne, elle
46         V,        II|           capital de forces que la pensée humaine dépensait en édifices,
47         V,        II|            depuis trois siècles la pensée humaine ? lequel la traduit ?
48         V,        II|     Comment s'étonner que toute la pensée humaine s'écoule par cette
49         V,        II|       cherche à recueillir dans sa pensée une image totale de l'ensemble
50         V,        II|          sur cette métropole de la pensée universelle. À sa base,
51        VI,        II|       alors tout édifice était une pensée.~ ~ Comme il n'y avait pas
52        VI,       III|           n'avoir ni mouvement, ni pensée, ni haleine. Sous ce mince
53        VI,        IV|           ce rapprochement dans sa pensée. Gringoire et sa philosophie
54       VII,         I|        Toute sa mine exprimait une pensée de gêne et d'ennui que nos
55       VII,        II|         dans un regard et dans une pensée. Tout Paris était sous ses
56       VII,        IV|            habilla tristement. Une pensée lui était venue tout en
57       VII,        IV|         Damnation ! toujours cette pensée !~ ~ Et il ferma le livre
58       VII,        IV|      prêtre, d'une seule misérable pensée pour rendre un homme faible
59       VII,      VIII|         fatal disposait-il dans sa pensée la Esmeralda, Phoebus, Jacques
60      VIII,         I|           il avait eu vaguement la pensée, au moment où l'homme noir
61      VIII,         I|          rien n'arrivait plus à sa pensée.~ ~ Il fallut, pour la réveiller,
62      VIII,        IV|        répandu confusément dans sa pensée. Elle ne sentait plus, elle
63      VIII,        IV|      renoncé, peut-être ma hideuse pensée se serait-elle desséchée
64      VIII,        IV|        procès. Mais toute mauvaise pensée est inexorable et veut devenir
65      VIII,        IV|            un gril ardent, sur une pensée d'amour, de jalousie et
66      VIII,         V|            pour elle l'univers. Sa pensée y était enfermée, et n'en
67      VIII,        VI|         pauvre créature !~ ~ Cette pensée remplissait de douleur le
68      VIII,        VI|       semblait perdre sa vue et sa pensée dans les obscures entrailles
69      VIII,        VI|           que tu le crois ?~ ~ Une pensée monstrueuse venait de lui
70        IX,         I|              Alors du capitaine sa pensée passa au peuple, et il lui
71        IX,         I|        frêle et si gracieux. Cette pensée lui fit jaillir la sueur
72        IX,         I|        seule idée saine, une seule pensée debout. Sa raison y gisait,
73        IX,         I|          restait d'attention et de pensée, plus il les voyait croître,
74        IX,        II|          foyer.~ ~ Au moment où la pensée de son isolement lui apparaissait
75        IX,        IV|            la lucarne.~ ~ Quand la pensée de Phoebus lui en laissait
76        IX,         V|            mais celui-ci ! - Cette pensée le bouleversait.~ ~ Ses
77         X,         I|          Gringoire. Quand on a une pensée, on la retrouve en tout.~ ~ --
78         X,         I|            à battre des mains à sa pensée en criant : -- Admirable !
79         X,        IV|            sauver l'égyptienne. La pensée lui était venue de monter
80         X,         V|            comme pour rattraper sa pensée à demi échappée, appuya
81         X,       VII|             Il n'avait plus qu'une pensée maintenant, c'était de s'
82        XI,         I|            bohémienne, sa première pensée fut qu'elle avait surpris
83        XI,         I|             La fornication est une pensée fort libertine. L'adultère
84        XI,         I|            pour arriver jusqu'à sa pensée : -- Ce que tu m'as fait ?
85        XI,        II|        douleur.~ ~ Au moment où sa pensée se fixait ainsi sur le prêtre,