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Louise-Victorine Ackermann
L'amour et la mort

IntraText - Concordances

(Hapax Legomena)
    Poésie, Verse
1 III,16| pourrez emporter dans l'abîme ~Votre éblouissement. ~ 2 II,6 | Toi-même, quand tes bois abritent leur délire, ~Quand tu couvres 3 III,8 | disparaître : ~Son voeu s'est accompli. ~ 4 III,18| d'amour soit encor votre adieu ! ~Oui, faites voir combien 5 II,9 | et tout voir, ~Que tant d'adieux navrants et tant de funérailles ~ 6 III,13| votre flamme, ~Dans les âges lointains. ~ 7 III,11| l'Humanité future ~Qui s'agite en vos seins. ~ 8 II,2 | voix et le bruit de son aile ~Jusque dans nos transports. ~ 9 II,11 | jour, sur la terre, ~Va s'aimer dans ton sein. ~ ~ 10 I,5 | sein de l'immense Nature, ~Aimez donc, et mourez ! ~ ~ 11 III,5 | ivresse : ~"Nous aussi nous aimons !" ~ 12 III,10| semble, mortels, que vous allez étreindre ~L'Infini dans 13 I,4 | Amants, autour de vous une voix 14 II,10 | leurs cris sont superflus. ~Amèrement en vain l'on pleure sur 15 II,4 | passent entraînés, ces couples amoureux, ~Et ne s'arrêtent pas pour 16 III,13| vos espoirs brisés, de vos amours éteints, ~Perpétuant vos 17 II,5 | espoir est leur joie et leur appui divin ; ~Ils ne trébuchent 18 III,5 | croyez que l'amour dont l'âpre feu vous presse ~A réservé 19 III,11| dans vos flancs comme d'ardents essaims, ~Ces transports, 20 II,8 | ces voeux infinis, cette ardeur insensée ~Pour un être d' 21 III,6 | bois, les champs de ses ardeurs ; ~La Nature sourit, mais 22 I,3 | Qu'un élan d'espérance arrache à votre coeur, ~Vain défi 23 II,4 | couples amoureux, ~Et ne s'arrêtent pas pour jeter avec crainte ~ 24 III,6 | Heureux, vous aspirez la grande âme invisible ~ 25 II,3 | Pâlir au firmament les astres radieux, ~Ce mot qui joint 26 | aura 27 II,6 | Nature, toi leur mère, aurais-tu ce sourire ~S'ils mouraient 28 III,16| Du moins vous aurez vu luire un éclair sublime ; ~ 29 | aussi 30 II,7 | est Elle ! " ~Et la perdre aussitôt, ~ 31 | autres 32 | Aux 33 | avant 34 III,15| Aveuglés par l'éclat de sa lumière 35 | avez 36 III,7 | sans trêve, encor. ~Mère avide, elle a pris l'éternité 37 II,1 | désir, ~Sous le feu d'un baiser quand notre pauvre argile ~ 38 | bien 39 III,10| pressant sur ce coeur qui va bientôt s'éteindre ~Un autre objet 40 | bon 41 III,6 | insensible : ~Que lui font vos bonheurs ? ~ 42 III,18| Sur le bord de la tombe, et sous ce 43 III,2 | maternelle ~Et vos destins bornés. ~ 44 III,13| la trame ~De vos espoirs brisés, de vos amours éteints, ~ 45 III,5 | rayons ; ~La fleur que vous brisez soupire avec ivresse : ~" 46 II,2 | entendons sa voix et le bruit de son aile ~Jusque dans 47 III,2 | pour cette étincelle ~Qui brûle une minute en vos coeurs 48 II,10 | vain l'on pleure sur leur cendre ; ~Tu ne les rendras plus ! " ~ 49 | cet 50 III,14| le flambeau de l'amour. ~Chacun rapidement prend la torche 51 III,14| Tous les êtres, formant une chaîne éternelle, ~Se passent, 52 III,6 | remplit tout, les bois, les champs de ses ardeurs ; ~La Nature 53 II,8 | jamais ! Cette seule pensée ~Change en spectre à nos yeux l' 54 II,1 | beauté fragile ~Quand un charme invincible emporte le désir, ~ 55 II,5 | tombe ~Leur pied heurte en chemin. ~ 56 II,7 | mortelle ~Trouver l'âme qu'on cherche et qui pour nous éclôt, ~ 57 III,1 | Eternité de l'homme, illusion ! chimère ! ~Mensonge de l'amour et 58 III,18| adieu ! ~Oui, faites voir combien l'homme est grand lorsqu' 59 | comme 60 III,8 | va naître ; ~Le reste est confondu dans un suprême oubli. ~ 61 III,17| souffrir, ~Si son oeil éternel considère, impassible, ~Le naître 62 III,17| Un être sans pitié qui contemplât souffrir, ~Si son oeil éternel 63 | contre 64 II,2 | émeut quand frissonne le corps ; ~Nous entendons sa voix 65 III,14| éternelle, ~Se passent, en courant, le flambeau de l'amour. ~ 66 II,6 | abritent leur délire, ~Quand tu couvres de fleurs et d'ombre leurs 67 II,4 | arrêtent pas pour jeter avec crainte ~Un regard autour d'eux. ~ 68 III,3 | Pouvoir fatal qui détruit en créant ? ~Quittez un tel espoir ; 69 I,4 | vous une voix inflexible ~Crie à tout ce qui naît : "Aime 70 II,10 | dises : " Garde-les, leurs cris sont superflus. ~Amèrement 71 III,5 | Vous croyez que l'amour dont l'âpre 72 III,11| ces désirs sans mesure ~Déchaînés dans vos flancs comme d' 73 I,3 | arrache à votre coeur, ~Vain défi qu'au néant vous jetez, 74 II,6 | quand tes bois abritent leur délire, ~Quand tu couvres de fleurs 75 III,11| Ces délires sacrés, ces désirs sans 76 II,5 | Ils demeurent sereins quand tout s'écroule 77 | dès 78 II,10 | obscure où tu nous fais descendre ~Tu dises : " Garde-les, 79 III,11| Ces délires sacrés, ces désirs sans mesure ~Déchaînés dans 80 II,11 | séparer, ce n'est point ton dessein. ~Tout ce qui s'est aimé, 81 III,2 | fange maternelle ~Et vos destins bornés. ~ 82 III,3 | Seuls au Pouvoir fatal qui détruit en créant ? ~Quittez un 83 II,3 | qui joint les coeurs et devient, dès la vie, ~Leur lien 84 II,10 | nous fais descendre ~Tu dises : " Garde-les, leurs cris 85 III,8 | vous avez aimé, vous pouvez disparaître : ~Son voeu s'est accompli. ~ 86 III,12| douleur ; ~Les vents vont disperser cette noble poussière ~Qui 87 III,12| Elle se dissoudra, cette argile légère ~Qu' 88 III,4 | Vous dites à la Nuit qui passe dans 89 II,5 | leur joie et leur appui divin ; ~Ils ne trébuchent point 90 III,9 | Beauté lorsque des mains divines ~Vous jettent éperdus ; ~ 91 II,9 | entrailles, ~Grand Dieu qui dois d'en haut tout entendre 92 III,12| un instant la joie et la douleur ; ~Les vents vont disperser 93 III,16| emporter dans l'abîme ~Votre éblouissement. ~ 94 III,15| votre main mourante ~Elle échappe déjà. ~ 95 I,4 | ciel insensible ; ~Vous n'échapperez pas. ~ 96 III,3 | Vous échapperiez donc, ô rêveurs téméraires ~ 97 III,15| Aveuglés par l'éclat de sa lumière errante, ~ 98 II,7 | cherche et qui pour nous éclôt, ~Le temps de l'entrevoir, 99 II,7 | temps de l'entrevoir, de s'écrier : " C'est Elle ! " ~Et la 100 II,5 | demeurent sereins quand tout s'écroule et tombe ; ~Leur espoir 101 | Eh 102 I,3 | pourquoi cette promesse ~Qu'un élan d'espérance arrache à votre 103 II,2 | immortelle ; ~C'est elle qui s'émeut quand frissonne le corps ; ~ 104 II,9 | funérailles ~Ne puissent t'émouvoir, ~ 105 II,1 | Quand un charme invincible emporte le désir, ~Sous le feu d' 106 III,16| En tombant vous pourrez emporter dans l'abîme ~Votre éblouissement. ~ 107 III,12| cette argile légère ~Qu'ont émue un instant la joie et la 108 III,7 | marâtre immortelle, ~C'est d'enfanter toujours, sans fin, sans 109 I,5 | même amour dont vous vous enivrez ~Et perdus dans le sein 110 I,1 | les bras l'un de l'autre enlacés un moment, ~Tous, avant 111 I,2 | vieillissent ~Avec étonnement entendent prononcer, ~Et qu'osent 112 II,2 | frissonne le corps ; ~Nous entendons sa voix et le bruit de son 113 II,9 | qui dois d'en haut tout entendre et tout voir, ~Que tant 114 II,6 | sourire ~S'ils mouraient tout entiers ? ~ 115 II,9 | serais-tu donc à ce point sans entrailles, ~Grand Dieu qui dois d' 116 II,4 | éternelle étreinte ~Ils passent entraînés, ces couples amoureux, ~ 117 II,7 | nous éclôt, ~Le temps de l'entrevoir, de s'écrier : " C'est Elle ! " ~ 118 II,3 | donc, ce mot qui fait d'envie ~Pâlir au firmament les 119 III,9 | mains divines ~Vous jettent éperdus ; ~ 120 III,1 | point eu d'hier, ce fantôme éphémère, ~Il lui faut un demain ! ~ 121 I,1 | Regardez-les passer, ces couples éphémères ! ~Dans les bras l'un de 122 III,15| par l'éclat de sa lumière errante, ~Vous jurez, dans la nuit 123 I,3 | cette promesse ~Qu'un élan d'espérance arrache à votre coeur, ~ 124 III,13| renoueront la trame ~De vos espoirs brisés, de vos amours éteints, ~ 125 III,11| vos flancs comme d'ardents essaims, ~Ces transports, c'est 126 III,10| ce coeur qui va bientôt s'éteindre ~Un autre objet souffrant, 127 III,13| espoirs brisés, de vos amours éteints, ~Perpétuant vos pleurs, 128 III,17| contemplât souffrir, ~Si son oeil éternel considère, impassible, ~ 129 III,1 | Eternité de l'homme, illusion ! chimère ! ~ 130 III,7 | Mère avide, elle a pris l'éternité pour elle, ~Et vous laisse 131 III,2 | éclair de vie et pour cette étincelle ~Qui brûle une minute en 132 III,4 | répond rien, mais demain ses étoiles ~Luiront sur vos tombeaux. ~ 133 I,2 | cieux qui vieillissent ~Avec étonnement entendent prononcer, ~Et 134 III,2 | une minute en vos coeurs étonnés, ~Vous oubliez soudain la 135 III,10| mortels, que vous allez étreindre ~L'Infini dans vos bras ; ~ 136 II,4 | ravissement d'une éternelle étreinte ~Ils passent entraînés, 137 III,14| Tous les êtres, formant une chaîne éternelle, ~ 138 | eu 139 | eux 140 III,4 | J'aime, et j'espère voir expirer tes flambeaux. " ~La Nuit 141 III,3 | les limons sont frères ~En face du néant. ~ 142 II,10 | tombe obscure où tu nous fais descendre ~Tu dises : " 143 | fait 144 | faites 145 III,2 | Vous oubliez soudain la fange maternelle ~Et vos destins 146 III,1 | n'a point eu d'hier, ce fantôme éphémère, ~Il lui faut un 147 III,3 | téméraires ~Seuls au Pouvoir fatal qui détruit en créant ? ~ 148 | fin 149 II,3 | qui fait d'envie ~Pâlir au firmament les astres radieux, ~Ce 150 III,14| passent, en courant, le flambeau de l'amour. ~Chacun rapidement 151 III,4 | espère voir expirer tes flambeaux. " ~La Nuit ne répond rien, 152 III,11| mesure ~Déchaînés dans vos flancs comme d'ardents essaims, ~ 153 III,5 | flamme et ses rayons ; ~La fleur que vous brisez soupire 154 II,6 | délire, ~Quand tu couvres de fleurs et d'ombre leurs sentiers, ~ 155 III,9 | vos poitrines, ~Sur des flots de bonheur vous tenant suspendus, ~ 156 III,17| Et quand il régnerait au fond du ciel paisible ~Un être 157 III,14| Tous les êtres, formant une chaîne éternelle, ~Se 158 III,10| Un autre objet souffrant, forme vaine ici-bas, ~Il vous 159 I,5 | trouble et sans murmure, ~Forts de ce même amour dont vous 160 II,1 | pas dit, vers la beauté fragile ~Quand un charme invincible 161 II,1 | quand notre pauvre argile ~A frémi de plaisir. ~ 162 III,3 | espoir ; tous les limons sont frères ~En face du néant. ~ 163 II,2 | est elle qui s'émeut quand frissonne le corps ; ~Nous entendons 164 II,9 | adieux navrants et tant de funérailles ~Ne puissent t'émouvoir, ~ 165 | fut 166 II,11 | Tout ce qui s'est aimé, fût-ce un jour, sur la terre, ~ 167 III,11| transports, c'est déjà l'Humanité future ~Qui s'agite en vos seins. ~ 168 II,10 | descendre ~Tu dises : " Garde-les, leurs cris sont superflus. ~ 169 I,2 | pâlissent ~Et qui vont se glacer. ~ 170 III,6 | Heureux, vous aspirez la grande âme invisible ~Qui remplit 171 I,2 | Toujours ! Un mot hardi que les cieux qui vieillissent ~ 172 II,9 | Grand Dieu qui dois d'en haut tout entendre et tout voir, ~ 173 III,6 | Heureux, vous aspirez la grande 174 II,5 | contre une tombe ~Leur pied heurte en chemin. ~ 175 III,1 | humain ! ~Il n'a point eu d'hier, ce fantôme éphémère, ~Il 176 III,1 | l'amour et de l'orgueil humain ! ~Il n'a point eu d'hier, 177 III,11| transports, c'est déjà l'Humanité future ~Qui s'agite en vos 178 | I 179 II | II~ 180 III | III~ 181 III,1 | Eternité de l'homme, illusion ! chimère ! ~Mensonge de 182 II,8 | en spectre à nos yeux l'image de l'amour. ~Quoi ! ces 183 I,5 | perdus dans le sein de l'immense Nature, ~Aimez donc, et 184 III,17| oeil éternel considère, impassible, ~Le naître et le mourir, ~ 185 I,4 | ici-bas ! " ~La mort est implacable et le ciel insensible ; ~ 186 III,10| vous allez étreindre ~L'Infini dans vos bras ; ~ 187 II,8 | amour. ~Quoi ! ces voeux infinis, cette ardeur insensée ~ 188 I,4 | autour de vous une voix inflexible ~Crie à tout ce qui naît : " 189 II,8 | voeux infinis, cette ardeur insensée ~Pour un être d'un jour ! ~ 190 II,1 | fragile ~Quand un charme invincible emporte le désir, ~Sous 191 III,6 | vous aspirez la grande âme invisible ~Qui remplit tout, les bois, 192 III,12| noble poussière ~Qui fut jadis un coeur. ~ 193 II,4 | Et ne s'arrêtent pas pour jeter avec crainte ~Un regard 194 I,3 | Vain défi qu'au néant vous jetez, dans l'ivresse ~D'un instant 195 III,9 | des mains divines ~Vous jettent éperdus ; ~ 196 II,3 | astres radieux, ~Ce mot qui joint les coeurs et devient, dès 197 III,15| sa lumière errante, ~Vous jurez, dans la nuit où le sort 198 II,2 | et le bruit de son aile ~Jusque dans nos transports. ~ 199 III,7 | éternité pour elle, ~Et vous laisse la mort. ~ 200 II,7 | Sous le voile léger de la beauté mortelle ~Trouver 201 III,12| dissoudra, cette argile légère ~Qu'ont émue un instant 202 I,2 | Et qu'osent répéter des lèvres qui pâlissent ~Et qui vont 203 II,3 | devient, dès la vie, ~Leur lien pour les cieux. ~ 204 III,3 | un tel espoir ; tous les limons sont frères ~En face du 205 III,13| votre flamme, ~Dans les âges lointains. ~ 206 | lorsqu 207 III,16| Du moins vous aurez vu luire un éclair sublime ; ~Il 208 III,4 | mais demain ses étoiles ~Luiront sur vos tombeaux. ~ 209 III,15| Aveuglés par l'éclat de sa lumière errante, ~Vous jurez, dans 210 III,15| tenir toujours : à votre main mourante ~Elle échappe déjà. ~ 211 III,9 | de la Beauté lorsque des mains divines ~Vous jettent éperdus ; ~ 212 III,7 | Elle n'a qu'un désir, la marâtre immortelle, ~C'est d'enfanter 213 III,2 | oubliez soudain la fange maternelle ~Et vos destins bornés. ~ 214 I,1 | moment, ~Tous, avant de mêler à jamais leurs poussières, ~ 215 III,1 | homme, illusion ! chimère ! ~Mensonge de l'amour et de l'orgueil 216 III,11| sacrés, ces désirs sans mesure ~Déchaînés dans vos flancs 217 I,4 | tout ce qui naît : "Aime et meurs ici-bas ! " ~La mort est 218 III,2 | étincelle ~Qui brûle une minute en vos coeurs étonnés, ~ 219 | moins 220 II,7 | voile léger de la beauté mortelle ~Trouver l'âme qu'on cherche 221 III,10| ici-bas, ~Il vous semble, mortels, que vous allez étreindre ~ 222 II,6 | aurais-tu ce sourire ~S'ils mouraient tout entiers ? ~ 223 III,15| toujours : à votre main mourante ~Elle échappe déjà. ~ 224 I,5 | Nature, ~Aimez donc, et mourez ! ~ ~ 225 III,17| impassible, ~Le naître et le mourir, ~ 226 III,18| sous ce regard même, ~Qu'un mouvement d'amour soit encor votre 227 I,5 | faut, sans trouble et sans murmure, ~Forts de ce même amour 228 I,4 | inflexible ~Crie à tout ce qui naît : "Aime et meurs ici-bas ! " ~ 229 III,13| Mais d'autres coeurs naîtront qui renoueront la trame ~ 230 II,9 | voir, ~Que tant d'adieux navrants et tant de funérailles ~ 231 III,12| vents vont disperser cette noble poussière ~Qui fut jadis 232 III,3 | Vous échapperiez donc, ô rêveurs téméraires ~Seuls 233 III,10| bientôt s'éteindre ~Un autre objet souffrant, forme vaine ici-bas, ~ 234 II,10 | Qu'à cette tombe obscure où tu nous fais descendre ~ 235 III,17| contemplât souffrir, ~Si son oeil éternel considère, impassible, ~ 236 II,6 | tu couvres de fleurs et d'ombre leurs sentiers, ~Nature, 237 | ont 238 III,1 | Mensonge de l'amour et de l'orgueil humain ! ~Il n'a point eu 239 I,2 | entendent prononcer, ~Et qu'osent répéter des lèvres qui pâlissent ~ 240 III,8 | confondu dans un suprême oubli. ~Vous, vous avez aimé, 241 III,2 | vos coeurs étonnés, ~Vous oubliez soudain la fange maternelle ~ 242 | Oui 243 III,17| régnerait au fond du ciel paisible ~Un être sans pitié qui 244 II,3 | ce mot qui fait d'envie ~Pâlir au firmament les astres 245 I,2 | osent répéter des lèvres qui pâlissent ~Et qui vont se glacer. ~ 246 | par 247 III,18| grand lorsqu'il aime, ~Et pardonnez à Dieu ! ~ 248 II,2 | Notre serment sacré part d'une âme immortelle ; ~ 249 III,4 | Vous dites à la Nuit qui passe dans ses voiles : ~" J'aime, 250 I,1 | Regardez-les passer, ces couples éphémères ! ~ 251 II,1 | d'un baiser quand notre pauvre argile ~A frémi de plaisir. ~ 252 II,8 | perdre à jamais ! Cette seule pensée ~Change en spectre à nos 253 I,5 | dont vous vous enivrez ~Et perdus dans le sein de l'immense 254 II,11 | Dieu qu'on dit bon, tu permets qu'on espère ; ~Unir pour 255 III,13| de vos amours éteints, ~Perpétuant vos pleurs, vos rêves, votre 256 | peu 257 II,5 | lorsque contre une tombe ~Leur pied heurte en chemin. ~ 258 III,9 | vous tenant suspendus, ~Aux pieds de la Beauté lorsque des 259 III,17| ciel paisible ~Un être sans pitié qui contemplât souffrir, ~ 260 II,1 | pauvre argile ~A frémi de plaisir. ~ 261 II,10 | Amèrement en vain l'on pleure sur leur cendre ; ~Tu ne 262 III,13| éteints, ~Perpétuant vos pleurs, vos rêves, votre flamme, ~ 263 III,15| la nuit où le sort vous plongea, ~De la tenir toujours : 264 | plus 265 III,9 | souffle d'amour traverse vos poitrines, ~Sur des flots de bonheur 266 | pourquoi 267 III,16| moment ; ~En tombant vous pourrez emporter dans l'abîme ~Votre 268 III,12| vont disperser cette noble poussière ~Qui fut jadis un coeur. ~ 269 I,1 | de mêler à jamais leurs poussières, ~Font le même serment : ~ 270 III,8 | Vous, vous avez aimé, vous pouvez disparaître : ~Son voeu 271 | Pouvoir 272 III,14| amour. ~Chacun rapidement prend la torche immortelle ~Et 273 III,10| Quand, pressant sur ce coeur qui va bientôt 274 III,5 | amour dont l'âpre feu vous presse ~A réservé pour vous sa 275 III,8 | Toute sa prévoyance est pour ce qui va naître ; ~ 276 III,7 | encor. ~Mère avide, elle a pris l'éternité pour elle, ~Et 277 I,3 | vivez si peu, pourquoi cette promesse ~Qu'un élan d'espérance 278 I,2 | Avec étonnement entendent prononcer, ~Et qu'osent répéter des 279 I,5 | Eh bien ! puisqu'il le faut, sans trouble 280 II,9 | tant de funérailles ~Ne puissent t'émouvoir, ~ 281 III,3 | qui détruit en créant ? ~Quittez un tel espoir ; tous les 282 | Quoi 283 II,3 | au firmament les astres radieux, ~Ce mot qui joint les coeurs 284 III,14| flambeau de l'amour. ~Chacun rapidement prend la torche immortelle ~ 285 II,4 | Dans le ravissement d'une éternelle étreinte ~ 286 III,5 | pour vous sa flamme et ses rayons ; ~La fleur que vous brisez 287 I,1 | Regardez-les passer, ces couples éphémères ! ~ 288 III,17| Et quand il régnerait au fond du ciel paisible ~ 289 III,6 | grande âme invisible ~Qui remplit tout, les bois, les champs 290 III,14| torche immortelle ~Et la rend à son tour. ~ 291 II,10 | leur cendre ; ~Tu ne les rendras plus ! " ~ 292 III,13| autres coeurs naîtront qui renoueront la trame ~De vos espoirs 293 I,2 | prononcer, ~Et qu'osent répéter des lèvres qui pâlissent ~ 294 II,3 | Nous le répétons donc, ce mot qui fait d' 295 III,4 | flambeaux. " ~La Nuit ne répond rien, mais demain ses étoiles ~ 296 III,5 | âpre feu vous presse ~A réservé pour vous sa flamme et ses 297 III,8 | pour ce qui va naître ; ~Le reste est confondu dans un suprême 298 III,13| Perpétuant vos pleurs, vos rêves, votre flamme, ~Dans les 299 III,3 | Vous échapperiez donc, ô rêveurs téméraires ~Seuls au Pouvoir 300 | rien 301 II,2 | Notre serment sacré part d'une âme immortelle ; ~ 302 III,11| Ces délires sacrés, ces désirs sans mesure ~ 303 III,11| future ~Qui s'agite en vos seins. ~ 304 III,10| vaine ici-bas, ~Il vous semble, mortels, que vous allez 305 II,6 | fleurs et d'ombre leurs sentiers, ~Nature, toi leur mère, 306 II,11 | qu'on espère ; ~Unir pour séparer, ce n'est point ton dessein. ~ 307 II,9 | Et toi, serais-tu donc à ce point sans entrailles, ~ 308 II,5 | Ils demeurent sereins quand tout s'écroule et 309 II,8 | perdre à jamais ! Cette seule pensée ~Change en spectre 310 III,3 | donc, ô rêveurs téméraires ~Seuls au Pouvoir fatal qui détruit 311 III,16| éclair sublime ; ~Il aura sillonné votre vie un moment ; ~En 312 | soit 313 III,15| jurez, dans la nuit où le sort vous plongea, ~De la tenir 314 III,2 | coeurs étonnés, ~Vous oubliez soudain la fange maternelle ~Et 315 III,9 | Quand un souffle d'amour traverse vos poitrines, ~ 316 III,10| éteindre ~Un autre objet souffrant, forme vaine ici-bas, ~Il 317 III,17| sans pitié qui contemplât souffrir, ~Si son oeil éternel considère, 318 III,5 | La fleur que vous brisez soupire avec ivresse : ~"Nous aussi 319 II,6 | leur mère, aurais-tu ce sourire ~S'ils mouraient tout entiers ? ~ 320 III,6 | ses ardeurs ; ~La Nature sourit, mais elle est insensible : ~ 321 II,8 | seule pensée ~Change en spectre à nos yeux l'image de l' 322 III,16| aurez vu luire un éclair sublime ; ~Il aura sillonné votre 323 II,10 | Garde-les, leurs cris sont superflus. ~Amèrement en vain l'on 324 III,8 | reste est confondu dans un suprême oubli. ~Vous, vous avez 325 III,9 | flots de bonheur vous tenant suspendus, ~Aux pieds de la Beauté 326 | t 327 III,3 | en créant ? ~Quittez un tel espoir ; tous les limons 328 III,3 | échapperiez donc, ô rêveurs téméraires ~Seuls au Pouvoir fatal 329 | temps 330 III,9 | des flots de bonheur vous tenant suspendus, ~Aux pieds de 331 III,15| sort vous plongea, ~De la tenir toujours : à votre main 332 II,11 | fût-ce un jour, sur la terre, ~Va s'aimer dans ton sein. ~ ~ 333 II,6 | Toi-même, quand tes bois abritent 334 III,16| votre vie un moment ; ~En tombant vous pourrez emporter dans 335 III,4 | étoiles ~Luiront sur vos tombeaux. ~ 336 III,14| Chacun rapidement prend la torche immortelle ~Et la rend à 337 | tour 338 | Toute 339 III,13| naîtront qui renoueront la trame ~De vos espoirs brisés, 340 III,9 | Quand un souffle d'amour traverse vos poitrines, ~Sur des 341 II,5 | leur appui divin ; ~Ils ne trébuchent point lorsque contre une 342 III,7 | toujours, sans fin, sans trêve, encor. ~Mère avide, elle 343 I,5 | puisqu'il le faut, sans trouble et sans murmure, ~Forts 344 II,7 | léger de la beauté mortelle ~Trouver l'âme qu'on cherche et qui 345 II,11 | permets qu'on espère ; ~Unir pour séparer, ce n'est point 346 III,10| autre objet souffrant, forme vaine ici-bas, ~Il vous semble, 347 III,12| joie et la douleur ; ~Les vents vont disperser cette noble 348 | vers 349 I,2 | hardi que les cieux qui vieillissent ~Avec étonnement entendent 350 I,3 | Vous qui vivez si peu, pourquoi cette promesse ~ 351 III,8 | pouvez disparaître : ~Son voeu s'est accompli. ~ 352 II,8 | de l'amour. ~Quoi ! ces voeux infinis, cette ardeur insensée ~ 353 II,7 | Sous le voile léger de la beauté mortelle ~ 354 III,4 | Nuit qui passe dans ses voiles : ~" J'aime, et j'espère 355 | vu 356 | yeux


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