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Théodore de Banville Les Cariatides IntraText - Concordances (Hapax Legomena) |
Poésie, Partie
1 | 14 2 38 | votre belle chaussure !~mai 1832. ~ ~ 3 6,7 | souvenir !~de mai à juillet 1839. ~ ~ 4 Ava | Banville. ~Paris, 14 mars 1877. ~p-s. lors de la plus récente 5 28 | comme un amant sculpté !~1er mars 1842. ~ ~ 6 | 26 7 4 | chacun refera ! La nature~a-t-elle plus que toi d' harmonie 8 4 | qu' à ton destin le ciel abandonna,~toi qui nous fait pleurer, 9 11,5 | Dante en exil, et Tasse~abandonné par sa raison,~collant sa 10 5 | répondit-elle, il vous faut faire abbé.~à ce mot-là, Prosper fit 11 4 | chercher son miel,~boit, abeille, les fleurs, et, poëte, 12 11,1 | pourtant comme les deux Abel,~car on a comme eux deux 13 7 | dans ses chastes nuits s' abîmant à songer,~son coeur de roi 14 29 | monts, des cimes~et des abîmes ;~roi, pour gravir jusqu' 15 19 | sur le coteau~les joyeux aboiements de mon chien Calisto !~septembre 16 5 | vu,~de fantaisie étrange abondamment pourvu,~joyeux, gai, chérissant 17 40 | pour Titania la perle noire abonde,~où près d' Hérodiade avec 18 4 | créations pures,~fleuve où s' abreuveront les cent races futures !~ 19 33,3 | cherchent l' ombrage et les abris charmants ;~dans le soleil 20 5 | étendus sur la mousse, abrités, seuls au monde,~ils l' 21 5 | coeur. Pourtant rien n' est absent, rien n' est~changé~dans 22 23 | flots de miel on déguise l' absinthe,~et l' orgie aux pieds nus 23 29 | Mais toi, maître aux voeux absolus,~tu poursuis une amante 24 4 | tour à tour,~au milieu des abus toujours prêts à nous mordre,~ 25 5 | vers de ce conte moral,~j' abuse sans pudeur du mot suave : 26 5 | préjudice, infortuné songeur !~Abuser des récits que pare un voyageur ?~ 27 5 | est pour lui que j' en abuserai.~Car lorsque j' eus quinze 28 2 | faire un nid dans notre acanthe en fleur :~vous n' y casserez 29 11,3 | un vieil air,~le monde l' accabla de sa rigueur avare,~et 30 4 | sa faible main~ces atlas accablés d' un univers humain.~Puis 31 25 | aux yeux bleus, et dont l' accent vainqueur~la met si près 32 39,6 | tout souci nous délivre,~j' accepte de bon coeur l' arrêt~qui 33 5 | je reviens entier, sans accident,~du char jaune-serin des 34 7 | dociles troupeaux, que le mien accompagne,~déchirent au hasard, dans 35 5 | politesse ; enfin un jeune homme accompli.~Prosper lui répliqua : 36 20 | troublent le monde~pour accomplir un de leurs voeux. -~la 37 4 | pourpré. Les temps sont accomplis.~ô déesse, âme, esprit, 38 16 | baiser, dans un céleste accord,~ ~son chaste sein, lorsque 39 2 | leur sein~la lyre qui s' accorde au chant des hommes-cygnes ?~ 40 11,6 | rame,~et que notre Thalie accouche tous les soirs~d' un nouveau 41 11,4 | avec tes bras nerveux t' accouder chaste et nue ?~Jetons les 42 5 | superbe faim, a crié d' accourir,~et jure que le soir on 43 33,5 | lasse de sommeiller,~Phyllis accourt vers le chant qui l' attire~ 44 27 | étincelantes,~voyageurs accourus du ciel et de l' enfer,~ 45 4 | alors l' ombre prochaine~accourut. Ni ton arbre, ô chaon ! 46 5 | pieds nus, dans l' ombre accoutumée,~Prosper s' environnait 47 5 | météore~un lampion fumeux accroupi sur un if.~Des seins fermes 48 27 | dédaigneusement sous ses pieds accroupie,~nature, comme nous tu vivais, 49 5 | sont le turc et sa pipe accroupis sur leur porte.~Mais il 50 4 | trilogie énorme avec le temps accrue,~pour dégager de toi la 51 11,5 | calices triomphants,~Sophocle, accusé de folie~et maltraité par 52 4 | bacchantes sauvages,~s' acharnant sur leur proie ainsi que 53 4 | Molière !~Ce dilemme subtil, acharné comme un lierre,~cette franche 54 11,5 | sombres haillons ;~sur eux acharnée en sa rage,~et voulant les 55 5 | et les pauvres honteux achètent des landaus.~L' espérance 56 7 | donne-moi des trésors pour acheter ma reine !~Le jour à tes 57 32 | Colombine ?~Pourquoi nous achetons avec un vrai transport~tant 58 11,2 | son blasphème,~son rêve s' achevait,~et que la jeune fille était, 59 11,1 | rejeté mes grandeurs,~j' achèverai tout seul ma course solitaire,~ 60 8,12| noyant leur âme vierge à ces âcres parfums ;~mais bientôt une 61 11,6 | dissertent sur les nègres,~que l' actrice en haillons étale tous ses 62 5 | festonna ses rideaux d' actrices et de rats,~et devint très 63 1 | A ma mere~adame Èlisabeth Zélie De Banville ~ 64 8,1 | beauté fatale.~Et comme j' admirais en moi ces traits si beaux,~ 65 5 | ministre,~dont Paris en silence admirait la hauteur~superbe. Aux 66 5 | verte ! Au bassin~comme nous admirions en leur calme dessin~les 67 37 | chrysolithes,~les bruns Adonis et les Hippolytes~montrent 68 4 | Cordélia, la fille du roi Lear,~adorant, fille tendre, ainsi qu' 69 4 | la gloire suprême,~fier, adoré, superbe, et la muse elle-même,~ 70 5 | sans conteste~un visage adorné d' un éclat non pareil,~ 71 4 | tenir sans faute à leur adresse.~Dans des chars blonds, 72 5 | intéressait ?~Disons ce qu' il advint de Prosper. Qui le sait ?~ 73 5 | sur lui,~comme un autre Aenéas, racontait son ennui :~- 74 5 | est après tout qu' une affaire de forme,~car un époux marquis 75 4 | une céleste ardeur,~s' affaissa sous le poids de sa propre 76 5 | muse féconde !~à ce monstre affamé qu' on nomme le public,~ 77 8,8 | longtemps, artistes de la vie,~affamés d' idéal, vous aviez tous 78 33,20| ange aux airs de fille,~affriolé par sa noire mantille,~Fanchette 79 5 | les avons vus autrefois affronter~la nuit fraîche, sous une 80 11,5 | les poussait dans la ville~affublés de sombres haillons ;~sur 81 5 | ailleurs, tout ce qui vient d' Afrique me déplaît,~sauf ces brunes 82 10 | à cheval sur mille nues,~agaçaient de regards fins~leurs comètes 83 5 | la vierge une Isabelle agaçant Mezetin,~l' astronome savant 84 33,6 | souple casaquin~en vain l' agace avec son oeil coquin ;~et 85 21 | manteau vermeil,~elle laisse agacer par les traits du soleil~ ./. 86 11,1 | dernier chanteur à qui l' Aganippide~montrait sa chair de neige 87 11,3 | que je les dise ?~Le plus âgé des deux c' était César. 88 5 | le bon Paul De Kock~pour agencer tout seul le plan de quelque 89 5 | nuit protectrice,~je m' agenouillerais aux pieds de ma lectrice,~ 90 27 | et l' épée autour d' elle agitant ses éclairs,~et les soldats 91 7 | ormeaux,~et la jeune Dryade agite ses rameaux.~ ~Damète~commençons 92 4 | glauque, et, trois fois agité~de caresser dans l' ombre 93 10 | assis près de leurs amantes,~agitent des miroirs bleus~au-dessus 94 7 | on délaissait pour elle Aglaé De Phalère,~et ses rameurs 95 8,7 | sombre alcôve~le cadre s' agrandit dans une lueur fauve.~Et 96 11,1 | il fit en sorte,~avec son agrément, de finir un sonnet.~Puis 97 30 | effaroucherait.~Cueille la fleur agreste au bord du précipice.~Regarde 98 11,1 | un de ces nains au regard aguerri~dont l' orgueil est coulé 99 11,3 | saintement.~Deux lutteurs aguerris, formidables athlètes~jetés 100 8,7 | Bohême.~Aux uns le doux aï, roulant dans ses glaçons~ 101 5 | esprit,~et que, la rime aidant, la vénus Callipyge,~a mis 102 Ava | le seul pour lequel je n' aie pas à demander l' indulgence, 103 4 | tendre lys comme le jeune aiglon,~en secouant au loin ses 104 8,10| hôtesse du flot amer,~ta gorge aiguë étincelle~dans un rayon 105 5 | qu' enfin Polichinelle aille aux griffes du diable,~et 106 8,1 | en est ainsi, si vous m' aimez, leur~dis-je,~si vous pouvez 107 40 | jours suspendus notre lyre ;~aimons-nous ; oublions que nous avons 108 5 | Or, elle avait un frère aîné, qu' on rappela~d' exil 109 32 | champs,~dont nos âmes sont aises ?~Pourquoi sous les beaux 110 8,10| ruisselle ;~tu gardes sous ton aisselle~tous les parfums de la mer.~ 111 4 | Méandre ;~Atride et les Ajax au carnage excités ;~la 112 5 | qu' à ses mille revers~il ajoute celui de se tromper en vers,~ 113 6,6 | replonger dans leurs extases~les Aladins expatriés,~et des cercles 114 8,4 | tourbillons palpitants, inquiets, alarmés,~choeurs aux voiles d' azur 115 11,6 | Amaryllis~au jeune sein d' albâtre,~voir les nymphes emplir 116 23 | la melancholia du maître Albert Dürer,~cet ange dont le 117 5 | idolâtre.~Pas de livres, d' albums, ni de sculpture en plâtre,~ 118 4 | poëtes lyriques :~Tyrtée, Alcée en pleurs dont les vers 119 4 | bavards d' un oeil sec,~Alceste soucieux, Céladon misanthrope,~ 120 7 | coupe de hêtre où l' art d' Alcimédon~sut courber sur les bords, 121 5 | comme un homme enivré d' alcool.~Il semble qu' on va suivre 122 11,6 | leurs corbeilles de lys~pour Alexis le pâtre ;~dans les gazons 123 5 | que vaille,~il ira loin. Alfred aime toujours Jenny ?~Hélas ! 124 3 | polychrome~le colisée et l' alhambra !~J' aurais dû ranimer ces 125 | Alice 126 38 | étais Raphaël ou Dante Alighieri~je mettrais des clartés 127 11,1 | est pour l' âme un fécond aliment,~et l' âme est un foyer 128 8,7 | pendant ce temps je flottais, alité,~entre la rêverie et la 129 8,12| deux noms effrayants, j' allai pour~baiser aussi les seins 130 11,2 | nations, et, comme une Cybèle,~allaite l' univers !~Je saluais 131 18 | mon époux qui s' en est allé~pour combattre les infidèles.~ 132 5 | votre bras dans les longues allées,~oh ! Comme tous les deux, 133 11,1 | audaces,~et ma parole d' or allégerait vos pas.~Je pourrais ramener 134 39,7 | et les jeux.~ ./. Donc, allégez ma souffrance profonde.~ 135 5 | pelouses d' Avermes,~dont l' Allier, fleuve d' or, arrose les 136 5 | qu' au mois de mai vous alliez tous les jours,~une fleur 137 8,9 | terre ;~celle de Titien, allongeant sur son lit~son corps d' 138 4 | pour démasquer Tartuffe, un allongeur de robe,~qui cache à tout 139 6,6 | quel souffle en votre âme~alluma cette mer de flamme,~ô jeune 140 33,4 | soirs~parmi cette ombre allumaient leur fournaise,~et j' entendis 141 11,1 | bonne lieue,~rentra, puis, allumant sa cigarette bleue,~la maîtresse 142 4 | respire,~si Dieu n' eût allumé l' autre flambeau : Shakspere !~ 143 33,24| pendant un jour entier ;~j' allumerai des feux et des bougies,~ 144 23 | herbe,~avec mille désirs allumés dans ces yeux~qui reflètent 145 27 | frissonnante aux sauvages allures~qui brise dans les bois 146 32 | carquois~en chasseurs d' alouettes,~nous diraient des chansons, 147 4 | rayonne dans la nuit sur des alpes de flots !~Mille autres 148 11,6 | nos martyres,~mieux qu' Alphesiboeus en dansant au festin~imiter 149 32 | près de l' éloge, ô mon alter ego !~Rampe la diatribe,~ 150 11,6 | filles d' Apollo~en strophes alternées ;~pleurer Daphnis ravi par 151 7 | muse se plaît à ces chants alternés.~Vos dociles troupeaux, 152 29 | baignent de lumière~ta face altière.~Cependant tu souris au 153 30 | Escalade la roche aux nobles altitudes.~Respire, et libre enfin 154 23 | sinistrement dans ses doigts amaigris,~et son front inspiré, dans 155 11,3 | vénitienne, horrible et charmant amalgame~de feux voluptueux dans 156 32 | fléchi~pour les yeux en amande,~sais-tu qu' hier matin 157 5 | de reine et des yeux en amandes.~Ce qu' il me faut, à moi, 158 5 | ou le givre odorant des amandiers fleuris ?~Prosper le blond 159 39,4 | Poème IV: triolet, à Amarante ~je mourrai de mon désespoir~ 160 2 | pour si peu.~Même le lourd amas des pierres solennelles~ 161 8,12| au festin monstrueux s' amassa follement,~et je les vis 162 5 | larges épaules,~des jambes d' amazone et des bras sans défaut,~ 163 5 | Que faire ?~Encore, à l' ambigu-comique, ce serait~facile, on trouverait 164 11,4 | calculs étroits de notre ambition,~qui, blasés sans avoir 165 3 | qu' un regard du soleil ambra,~et des temps révolus éveillant 166 8,11| courtisane aux blonds cheveux ambrés~les étreignait, vaincus, 167 5 | ouvert au seul prix d' un amen.~Une chose, à mon sens, 168 4 | verdure tendre~Cythérée amenait son enfant pour l' entendre.~ 169 29 | me vois~rire aux peines amères,~que le souffle attendri 170 33,3 | s' idéalise~avec la rose Aminthe rivalise.~Philis, églé, 171 23 | marbres anciens par Dypoene amollis,~dans une bouche folle aux 172 20 | sommeille~au poids de l' or s' amoncela. -~rose, une rose est moins 173 5 | colosse romain,~ce vaste amphithéâtre aux moulures massives,~à 174 32 | serions leurs amants et leurs amphitryons,~et pour nos équipages,~ 175 8,7 | vaste, immense, confus,~une ample colonnade aux innombrables 176 33,24| sur ce divan couvert d' amples fourrures,~comme un guerrier 177 5 | les gens du commun ne les amusaient guères,~s' ils désiraient 178 33,11| brille et tout ce qui l' amuse,~éparpillait les rubis dans 179 11,6 | nouveau mélodrame ;~que les analyseurs sur leurs gros feuilletons~ 180 4 | bien rugi,~lion !~Le père Anchise arrive avec le galion~pour 181 5 | rose écarlate.~Le pater Anchises, qui commence à souffrir~ 182 3 | avec soin les histoires anciennes,~à chaque monument redemander 183 5 | Lorsque aux bords aimés l' ancre à la forte dent~mordra, 184 5 | ordinaire.~Petits pieds andalous, braise rougeâtre aux yeux,~ 185 5 | aux pieds fins, bijoux d' Andalousie,~vierges à l' oeil fendu 186 4 | Orphée, anxieux et l' âme anéantie,~sur son front portant l' 187 40 | divans, profonds à nous anéantir !~Nous nous préserverons 188 34 | A Madame Caroline Angebert~chanter, mais dans le soir 189 18 | Amour angelique~l' ange aimé qu' ici-bas 190 4 | rêvent les Agnès comme les Angéliques.~Puis, comment laissent-ils 191 5 | pelotonné comme une chatte anglaise ;~le visage suave et rose, 192 34 | victorieux~triompher des angoisses vaines ;~et ces êtres mystérieux~ 193 32 | auraient plus que des fleurs d' angsoka~et de larges tulipes.~On 194 5 | scribe fécond, sur le pâté d' anguille,~sur le chant que murmure 195 4 | d' arbres,~des cailloux anguleux plus brillants que des marbres,~ 196 4 | sommeillent des voix,~et joyeux, anima de son archet d' ivoire~ 197 5 | trouvé surnaturel~de voir ces animaux jouer la tragédie.~C' est 198 6,2 | Quel espoir inconnu m' anime ? Quel zéphyr~a jeté dans 199 Ava | seizième à ma dix-huitième année, c' est-à-dire à cet âge 200 5 | Puis-je écrire les noms d' Annette et de Clara,~cette autre 201 11,3 | fin matois qu' on nommait Annibal,~par instants lui fit croire 202 23 | et des cheveux en saules,~annoncer nos deux noms, et que je 203 20 | tremblants. -~ses bras comme des anses d' urne~s' arrondissent 204 3 | splendeur enchaîne~l' époque antérieure à l' époque prochaine,~illumine 205 11,4 | yeux sur nous, vieillards anticipés,~coeurs souillés au berceau, 206 4 | fille tendre, ainsi qu' une Antigone,~son père en cheveux blancs, 207 5 | parler net, ce fut un être d' antithèse~au corps pelotonné comme 208 5 | ailleurs cela serait imité d' antony.~Puis, Judith n' était pas 209 4 | froide Orithye.~Pour Orphée, anxieux et l' âme anéantie,~sur 210 4 | cet enivrement, les muses aonides~quittèrent sans regret les 211 5 | un lépreux de la cité d' Aoste.~De plus, quand il revint, 212 4 | et dont le vol hésite.~Il apaisa le flot bouillonnant du 213 8,8 | longs tourments en fussent apaisés.~Bourreaux charmants et 214 7 | de marbre et la nymphe d' Apelle :~à toi donc, ô Daphnis ! 215 23 | silencieux~par la fenêtre ouverte apercevait les cieux.~Le mur était 216 4 | leurs terribles jeux,~l' aperçurent un jour du haut d' un mont 217 7 | consulaire !~ ~Daphnis~quand j' aperçus Phyllis, elle cueillait 218 5 | dix coups avec beaucoup d' aplomb,~l' ancien hôtel Saincy 219 11,6 | quelques chants aux filles d' Apollo~en strophes alternées ;~ 220 29 | chercher des mondes,~l' apôtre qui parfois peut comme un 221 11,2 | la faim, les plus dignes apôtres~de la société !~Si bien 222 29 | poésie, ô céleste faveur !~Appartient à sa mère.~L' artiste, le 223 4 | trinité solennelle à nos yeux apparue,~triste aspect du foyer, 224 3 | mourait notre art paralytique,~apparurent, guidés par l' instinct 225 33,19| âne.~Partons, avec nos appâts d' oiseleurs !~Cherchons 226 5 | de femme.~ô vous que j' appelais mon âme, vous, madame,~que 227 7 | promesse ;~pour moi, j' appellerai la nymphe au bras nerveux,~ 228 11,1 | héros était~ce que nous appelons un homme de génie.~Il vivait 229 5 | que l' exercice allume~l' appétit, et qu' aux nerfs il est 230 4 | eux la sagesse vivante,~applaudissaient déjà ses grotesques portraits,~ 231 34 | nous déshonore~et le vil applaudissement ;~brûler, mais conserver 232 8,9 | de très belles servantes~apportaient les plats d' or avec leurs 233 5 | En voltigeant, la brise apportait dans sa voix~la chanson 234 3 | hyperbole,~et, comme un pèlerin, apportant mon obole~à tout ce qui 235 4 | au sein de l' arbre vert~apporte des serments pleins d' une 236 33,13| qu' on opprime !~Dieux ! Apporter le malheur en naissant !~ 237 5 | Puis, c' est là qu' on apprend le sourire qui mord~et l' 238 10 | feras des chants~que nous apprendrons aux roses,~pour les dire 239 10 | lui disent : rossignol,~apprends ta chanson touchante ;~car 240 40 | romain préside à nos repas !~Apprenons à nous deux comme il est 241 5 | Judith elle-même est bientôt apprêté,~puis dans les flacons d' 242 4 | Quels secrets épiés~t' apprirent ces mortels qui rampaient 243 5 | classes,~rêveur et fou, j' appris chez lui mon cher métier.~ 244 4 | savent tous des façons bien apprises !~Comme ils mènent à bout 245 4 | Catulle, et ses chansons apprivoisaient des loups.~Au tiède renouveau, 246 25 | Orient !~Mais quand je m' approchai, je vis sa tête ceinte~d' 247 23 | bientôt je vis luire, en m' approchant plus près,~dans ce divin 248 4 | pleurs, de tous évitant les approches,~dans les antres glacés 249 8,4 | jamais rien entendre,~la tête appuyée à mon sein.~ ./. De légères 250 5 | tout étourdi,~il alla s' appuyer contre un mur. Sa mémoire~ 251 3 | vitraux de feu, le trèfle arabe,~le cirque, l' église et 252 4 | marbres de leurs conques,~des arabesques d' or se brodent sur les 253 24 | blancs que des étoiles,~Arachné lentement tisse de fines 254 4 | écorce de noix~et de fils d' araignée en guise de harnois,~on 255 5 | dona sol aux tailles d' arbrisseau~dont les cheveux pleureurs 256 40 | neige sur tes joues,~et l' arc-en-ciel dans ton regard.~Il faudrait 257 11,3 | polichinelle au bout d' un fil d' archal.~Plus tard il pend sa vie 258 6,3 | ou le vieux pont d' une arche~au profil dur ;~si j' étais 259 27 | retrouverons !~Les guerriers, les archers, les rois, les forgerons,~ 260 8,7 | grinçaient les oripeaux de mille architectures.~ ./. Sous de vastes forêts 261 2 | fouilla sur leurs fronts l' architrave et les~frises~n' en chassera 262 4 | les feux d' une céleste ardeur,~s' affaissa sous le poids 263 21 | rivages,~vont cacher leurs ardeurs dans les antres sauvages.~ 264 7 | tombeaux, son fleuve, ses arènes,~et ses reines d' amour 265 40 | cette glace aux brillantes arêtes,~cette neige éternelle utile 266 9 | tordant mes bras divins, comme Aréthuse,~je meure, en exhalant une 267 4 | royaume,~lui le rouge d' argan, lui le fard du fantôme,~ 268 4 | onde calmée où ce rayon s' argente~couvre son dos uni d' une 269 4 | bercé jadis de ses voix argentines :~dans un jardin antique 270 4 | Hercule.~Je le vois sur l' Argo ; déjà courbant leurs fronts,~ 271 8,9 | vénus Barbata, puis vénus Argynnis,~qui tient dans une main 272 4 | sa robe écarlate,~Tasse, Arioste enfant qui nous berce et 273 5 | tâcherai surtout, sans être aristocrate,~de choisir mes amis comme 274 5 | transportons la scène,~en dépit d' Aristote, au pays d' outre-Seine.~ 275 27 | son front jaillit, déesse armée,~comme jaillit l' éclair 276 8,4 | entrechoquent,~comme des bataillons armés !~Tandis que nous aurons 277 6,4 | de soie,~à vous mon luxe armorial~et ma lumière qui flamboie~ 278 4 | en leur soleil d' or l' Armorique ou l' Irlande~ont des brouillards 279 27 | du sang coulant sur les armures,~et l' épée autour d' elle 280 5 | Son nez grec, ses sourcils arqués, ses dents d' opale,~tout 281 4 | toutes ces détresses,~elle arrachait son voile et ses cheveux 282 5 | durs naufrages~ne sauraient arracher du coeur ! Car, si profond~ 283 11,4 | et ne pouvoir trouver l' arrangement d' un vers !~Me suis-je 284 4 | dénoûment du drame~viendra tout arranger avec ses vieux flambeaux.~ 285 39,6 | accepte de bon coeur l' arrêt~qui m' ordonne de ne plus 286 5 | altéré de carnage~qu' il arrêta Prosper, et, contre tout 287 10 | sylphes blonds dans son vol~arrêtent l' oiseau qui chante,~et 288 29 | et vivant,~tu ne peux t' arrêter avant~d' avoir sur sa lèvre 289 5 | feuillets épars, et revenir~en arrière, c' est vivre une autre 290 5 | de pierre.~Et lorsque j' arrivais aussi, par un hasard~si 291 4 | par son amour~Orphée, en arrivant presque aux portes du jour~ 292 5 | près d' un vieux parent arrivé du Congo,~faire des calembours 293 4 | Des gens à tête d' âne arrivent, quoi qu' on die,~devant 294 33,11| la poésie,~en le voyant arriver, s' en alla.~ 295 4 | songer à fuir leurs souffles arrogants~restant pour l' écouter 296 20 | comme des anses d' urne~s' arrondissent polis et blancs.~Elles ont 297 5 | chastes pleurs sur sa bouche arrosée ;~tout semblait un joyau 298 4 | pantomime et cultivent les arts.~Des gens à tête d' âne 299 35 | que la terre, hélas ! Cet asile et ce havre~de plaines et 300 5 | jour de jeûne,~son regard aspirait ardemment le sang jeune.~ 301 4 | toute création à laquelle on aspire,~tout rêve, toute chose, 302 5 | dans le bain,~de l' avoir aspirée à long regard de faune,~ 303 2 | le bienfaiteur et le pâle assassin.~Et derrière Aphrodite, 304 11,3 | Sténio la lyre.~C' était un assemblage étrange, et que je veux~ 305 18 | délire~un soir longuement s' assemblaient,~en des baisers qui ressemblaient~ 306 18 | amants qu' un doux rêve assemble,~ont souvent passé plus 307 11,1 | vénus de chair qu' il avait asservie~il trouva sa parure et son 308 4 | large voix,~mendiant, t' asseyant à la table des rois,~et 309 6,6 | Et le doute railleur m' assiège~lorsque, pris dans un divin 310 11,4 | fous, ivres, éperdus, nous assiégeons les portes~des panthéons 311 5 | part~de l' idée. On pouvait assiéger le rempart.~L' enfant sourit 312 7 | neuf soeurs dont la lyre~assoupit l' Olmius dans un vague 313 4 | lève bleu. Sur ses bras assouplis~flotte un voile pourpré. 314 11,3 | Puisque j' ai pour toujours assuré sa mémoire~et qu' il sait 315 5 | Isabelle agaçant Mezetin,~l' astronome savant un fou dans les étoiles,~ 316 5 | autant que, grâce à ces astuces,~il trouva des vertus et 317 3 | Memphis et les marbres d' Athènes~qu' un regard du soleil 318 8,10| Heureux, ô sage nourrice,~l' athlète aux muscles ardents~qui 319 11,3 | lutteurs aguerris, formidables athlètes~jetés dans le champ clos 320 2 | que le choeur des jeunes atlantides,~alors qu' ils vous verront 321 26 | choir le monde aux deux bras atlastiques,~ ./. ou bien à soulever 322 5 | seulement forment tous ses atours,~l' une de moire blanche 323 4 | argent aux rives du Méandre ;~Atride et les Ajax au carnage excités ;~ 324 8,9 | Molière~avec sa théorie atroce et singulière.~Le don Juan 325 4 | braver le dur cyclope et ses atrocités,~suivre des yeux Pallas, 326 11,5 | belles mains d' ivoire~elle attachait le noir laurier.~ 327 3 | rhythmes polis où mon destin m' attache~je devrais servir mieux 328 10 | après les branches ouvertes~attachent avec un fil~de petites feuilles 329 26 | entablement,~ces granits attachés impérissablement ;~si ce 330 33,19| au bois riant où Puck s' attarde,~voir Fleur Des Pois et 331 11,5 | Chénier, dont le trait rapide~atteignait sa victime au flanc,~versant 332 5 | que nulle volupté n' en atteigne le fond ?~Pourquoi, noyé 333 8,4 | la plaie originaire,~pour atteindre dans l' ombre un but imaginaire~ 334 4 | sanglots.~éros, qui nous atteins avec des flèches sûres,~ 335 4 | vers~mais la grande pensée atteint avec son aile~une aire énorme 336 40 | préserverons de toute rude atteinte~sous des voiles épais de 337 5 | que la joie et ses rudes atteintes~en râles convulsifs tordront 338 11,3 | qui me tue,~et le repos m' attend dans la tombe : mourons !~ 339 5 | toutes les fois qu' on ne l' attendait pas.~Pour les fleurs sans 340 4 | et ce que tu chantais en attendant le More :~la pauvre âme 341 8,6 | votre joie !~Mais vous ne m' attendiez pas,~et je guiderai ses 342 11,3 | Et quand César voulait attendre sur sa route~le coursier 343 29 | peines amères,~que le souffle attendri qui passe dans nos voix~ 344 8,12| revivre.~Enfin, glacé d' attente et chaud de leurs baisers,~ 345 4 | herbe fleurie,~les oiseaux attentifs portent au fond du nid~la 346 3 | sous un rude talon,~dire Attila suivi de sa farouche horde,~ 347 11,6 | feuilletons~jettent leur sel attique,~et, tout en disséquant, 348 8,7 | fabuleux aux recherches attiques~s' illuminait de neige et 349 4 | te pleurèrent, Orphée ! Attirée à ta voix~si souvent, la 350 4 | emprisonna la chair~du bel Attis, et prit l' enfant qui lui 351 8,9 | la femme pâle,~avec une attitude insoucieuse et mâle.~Dans 352 11,1 | gloire, une femme~dont l' attrait merveilleux le prit et le 353 6,3 | ô charmeresse~pleine d' attraits,~élise, à vous, sans cesse~ 354 40 | voici que l' hiver sombre attriste la campagne,~rentrons fouler 355 5 | sans~un souvenir, et vit s' attrouper les passants,~il se trouva 356 11,2 | disais : je t' adore !~à l' aubépine en fleurs ;~au feuillage : 357 11,3 | le monde est une grande auberge~où l' hospitalité sans défiance 358 4 | porter leurs pas,~ne sont d' aucune époque et ne demeurent pas.~ 359 5 | qui me rassasie,~n' exclut aucunement ces détails parfumés~qui 360 11,1 | fardeau se courbent vos audaces,~et ma parole d' or allégerait 361 8,12| inclinant sa tige.~Et l' ivresse augmenta. Par degrés, éperdus~tous 362 5 | dans cet ennui, dont s' augmente la dose,~on adore pourtant 363 | aura 364 5 | je te disais tout, quand aurais-je fini ?~Ce serait trop. D' 365 5 | des chants du paradis.~N' aurais-tu pas pensé comme je pensais, 366 25 | L'aureole~c' était la fin d' un bal ; 367 4 | sages ont vu que c' était l' auréole~au front du jeune enfant 368 18 | leurs journées~à revoir d' auréoles ceints~les bonnes vierges 369 17 | Malgré l' hiver et les autans,~ ~ressuscitent, vainqueurs 370 11,1 | ainsi fait, on vit bien autrement~que ne vit le prochain sur 371 5 | et toutes les beautés auxquelles nous croyons~tombent au 372 4 | mains le saisissent ?~Qu' avais-tu fait aux dieux ? à quoi 373 11,1 | Henri vers le bonheur s' avança les mains pleines,~il courut 374 8,11| terribles jeux.~Et lorsqu' ils avançaient encor, la femme blonde~les 375 4 | rose comme un enfant,~s' avance avec un air superbe et triomphant,~ 376 Ava | Avant-propos~De tous les livres que j' 377 4 | amour, la fourbe ou l' avarice,~ils sont hommes aussi, 378 39,3 | peine.~ ./. Par ce récit, l' aventure est certaine,~je changerais 379 5 | Bourbon, aux pelouses d' Avermes,~dont l' Allier, fleuve 380 33,21| Poème XXI: aveu ~tes folles dents sont cruelles, 381 31 | grappes mutilées~qu' une aveugle machine a sans pitié foulées !~ 382 7 | Damète~quelle nymphe, aveuglée en son amour fatal,~ouvrira 383 11,4 | la postérité !~C' est un aveuglement risible en vérité !~Quand 384 11,3 | fouillant dans la nature avec avidité.~Mêlant tout, leurs douleurs 385 4 | Téphys, Idas de leurs gais avirons~frappent les flots ; mais 386 11,3 | rêvaient tous deux, sans s' avouer leur rêve,~Sténio de douleur, 387 4 | ardente à se répandre~de l' Axius d' argent aux rives du Méandre ;~ 388 33,2 | insectes vers la nue~ou le babil des oiseaux querelleurs.~ 389 23 | tache éternelle au front de Babylone !~février 1841. ~ ~ 390 6,6 | le plus diaphane~se fait bacchante et courtisane~et grince 391 5 | retenait à ses côtés. Savant~bachelier, délaissant les codes pour 392 32 | est, excepté l' argent,~un bagage inutile ?~Pourquoi rampe 393 11,5 | Cervantes, pauvre esclave,~au bagne exhalant ses sanglots,~et 394 5 | sein d' une atmosphère~de bagues en cheveux, de petits billets 395 33,22| pauvre petit bandit :~mais bah ! Mettons que je n' avais 396 5 | mourantes de Wateau,~sur le bahut sculpté la grande Vénus 397 4 | dans tout ce soleil on est baigné de brises.~Les héros vont 398 29 | seras roi,~et leurs yeux baignent de lumière~ta face altière.~ 399 27 | reines de l' azur aux fronts baignés d' aurore !~Viens, nous 400 32 | amour s' endort,~la satiété bâille ?~Pourquoi tout ce qui brille 401 35 | ici-bas des mains impérieuses~bâillonnent tous nos chants,~et qu' 402 33,19| gratter le crâne,~Titania baisant la tête d' âne.~Partons, 403 30 | plus rudes.~Va devant toi, baisé par l' air des solitudes,~ 404 38 | flétrissure,~les grâces baiseraient votre belle chaussure !~ 405 5 | enfant sourit tout bas, baissa sur les étoiles~de ses pudiques 406 2 | leurs prunelles,~elles ne baissent pas les regards pour si 407 4 | a subi ses regards sans baisser la paupière,~et qui tenait 408 35 | sur son front a lui,~nous baisserons la tête, et comme dans un 409 5 | lisait sous vos regards baissés~tous les impurs désirs dont 410 23 | qui pèse à la fois dans sa balance d' or~le prince et la fourmi, 411 4 | en tes longs désespoirs,~balayant la poussière avec ses cheveux 412 10 | tendresse parfaite.~De son lit à baldaquin,~le soleil sur son beau 413 4 | feu ni lieu,~a chanté sa ballade en riant comme un dieu,~ 414 4 | honneur outragé crève comme un ballon ?~Quand roucoulerez-vous, 415 3 | leur épaule,~car Gautier et Balzac sont encore la Gaule~de 416 10 | et sous leurs fronts de bambins~roulaient de gros yeux moroses.~ 417 4 | un flot rose en jonque de bambous,~tandis que recueillis, 418 5 | la nuit nous fait un noir bandeau,~nous voyons grimacer quelque 419 5 | est un rare prodige.~Des bandeaux moyen âge avec des yeux 420 33,22| ai chassé, pauvre petit bandit :~mais bah ! Mettons que 421 11,1 | singeait pas l' Othello de banlieue,~il ne tua personne. Hélas ! 422 2 | coeurs sont brisés,~tous les bannis dont l' âme est pleine de 423 8,4 | dont la cohorte arrive~au banquet somptueux qui caresse leur 424 8,9 | une iliade ;~puis vénus Barbata, puis vénus Argynnis,~qui 425 4 | brisé naître la poésie ;~Barbier rugit ; Moreau célèbre sa 426 5 | étoiles,~ce divin coloriste un barbouilleur de toiles ;~nos souvenirs 427 11,3 | fantaisie,~laissant courir sa barque aux effluves de l' eau,~ 428 4 | un jour comparaître à sa barre~les courtisans musqués de 429 11,5 | morne et lasse~aux noirs barreaux de sa prison.~Pareil au 430 11,4 | mesurons sans crainte~ce bas-relief géant dont nous prenons 431 11,1 | enfin, cette autre Isis des bas-reliefs d' égine~avait la lèvre 432 8,9 | regard doux et prompt,~vénus Basiléia, le diadème au front ;~Cypris, 433 5 | endorment les quais ;~j' aime ta basilique en fleur, ta cathédrale,~ ~ 434 4 | essuyait ses pleurs de sa basquine rose,~et voulait soutenir 435 34 | ne lui parler qu' à voix basse~dans le silence et dans 436 11,4 | du glaive et du champ de bataille !~Nains au front dédaigneux 437 5 | ils cherchent au sein des batailles rangées.~Quant aux paupières, 438 3 | art et de poésie,~dont le bataillon espacé~par des poëmes d' 439 8,4 | entrechoquent,~comme des bataillons armés !~Tandis que nous 440 11,4 | avoir produit un pastiche bâtard,~d' avoir éparpillé quelques 441 3 | et beau,~j' aurais voulu bâtir sur l' arène mouvante~un 442 11,4 | les portes~des panthéons bâtis pour la postérité !~C' est 443 39,5 | vous retiendra dans ses bâtons carrés,~et sauvera votre 444 7 | songer,~son coeur de roi battait sous l' habit du berger !~ 445 33,8 | ayant l' aube éternelle,~battent des mains au vieux drame 446 5 | mais hérita.~C' est un baume aux chagrins les plus cuisants. 447 4 | Et toi, qui regardais les bavards d' un oeil sec,~Alceste 448 4 | au cou livide et qu' une bave arrose,~furtif, avait rampé 449 5 | fleurs de lys, et brave comme~Bayard, au temps jadis fort bien 450 4 | enfuyant~vers le gouffre béant et d' où sortaient des râles,~ 451 5 | les regards de la foule béante,~elle ne put faiblir, la 452 5 | les rêves s' en vont à la béatitude,~quand le coeur comprimé 453 5 | Trissotin, j' aime mieux Beauvallet.~D' ailleurs, tout ce qui 454 3 | louange expire,~et Raphaël et Beethoven !~Montrer comment Rubens, 455 5 | diable est-il entré dans le beffroi ?~Dis-moi l' événement du 456 25 | front endormi~que des mots bégayés font rougir à demi !~Puis 457 4 | mainte~laisse derrière soi Bélise et Philaminte !~Hélas ! 458 11,1 | Chimère est debout : marche, Bellérophon !~Quel est donc mon sujet ? 459 4 | Hector guidé par Mars et par Bellone, Hector~dont les chevaux 460 5 | amantes jalouses,~ou chez les beloutchis, ou chez les hottentots,~ 461 10 | endormie et nue,~fredonner un bengali~dans son âme d' ingénue.~ 462 29 | ineffable du bien,~ma mère, sois bénie.~Et, puisque celle enfin 463 33,17| floraison divine du lilas,~je te bénis, pour si peu que tu dures !~ 464 1 | chimères~dans nos premiers berceaux d' enfants.~Donc reçois, 465 1 | les sourires triomphants~bercent nos premières chimères~dans 466 7 | écoute pas~le chant d' une bergère ou le bruit de ses pas.~ 467 4 | habit de satin font de la bergerie,~sont en grand désespoir, 468 5 | où, quenouille en main, Berthe filait,~des brochets monstrueux 469 5 | vieux tilleuls du cours Bérulle,~j' ai gardé la folie et 470 4 | les serpents vils de la bêtise humaine,~on croit voir sur 471 5 | se fût laissé faire une bévue exquise.~Je te le donne 472 23 | souriait tristement une bible entr' ouverte~sur une tranche 473 18 | vierges et les saints~dans les bibles enluminées.~L' amour dit 474 5 | et les in-folios dans la bibliothèque.~Dire ce qu' éprouva notre 475 30 | des solitudes,~comme une biche en pleurs qu' on effaroucherait.~ 476 2 | donna l' ivresse,~éros le bienfaiteur et le pâle assassin.~Et 477 11,1 | cette étrange trame,~sur le bitume gris, près du diorama,~lorsque 478 11,3 | son existence avait été bizarre,~car il était né bon dans 479 4 | qui chantent au soleil, bizarrement coiffées.~Les Ariels ont 480 33,23| coussins ornés de fleurs bizarres~un doux rayon fait briller 481 11,6 | bouge affreux des orateurs blafards~dissertent sur les nègres,~ 482 6,6 | espoir, me caresse et me blâme ;~je ne sais quel souffle 483 4 | candeur~éclate et de la nuit blanchit les sombres voiles,~il voit 484 11,4 | de notre ambition,~qui, blasés sans avoir connu la passion,~ 485 4 | argentée,~des cieux pleins de blasons qui paradent au loin,~et 486 8,9 | trouva chez notre Henri Blaze~l' amour qui sauve après 487 33,15| magiques traits~des fronts blêmis et des lèvres décloses~et 488 39,5 | Heureusement le cadre d' or qui blesse~vous retiendra dans ses 489 11,5 | vu mon père Aristophane~blessé par des mots odieux,~et 490 11,2 | antique~dont les flancs sont blessés,~et qui chantait jadis un 491 40 | j' ai peur de son baiser bleuâtre~pour la peau blanche de 492 11,1 | puis, allumant sa cigarette bleue,~la maîtresse qu' on a sans 493 5 | foyer rouge ou des collines bleues,~vous dire les échos de 494 4 | roseaux,~ ./. et l' épaule bleuie à l' étreinte des eaux.~ 495 4 | Olmius, avec un doux fracas,~bleuit d' un long baiser leurs 496 32 | trames,~déchireraient en bloc nos vers et nos romans~et 497 8,7 | parthénon.~C' étaient des blocs géants, des degrés, des~ 498 5 | deux Talmas à la fois, Bocage et Frédérick !~Et, comme 499 21 | entouré d' un essaim, le boeuf ensanglanté~marche les pieds 500 3 | folle muse est une enfant bohème~qui se consolera d' avoir 501 5 | les deux qu' une troupe~de bohèmes en sait là-dessus plus qu' 502 35 | de nos vingt ans ;~sages bohémiens aux colères frivoles,~aimant