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Théodore de Banville Les Cariatides IntraText - Concordances (Hapax Legomena) |
Poésie, Partie
503 3 | gracieuses ou viles,~que boira le gouffre sans fond,~ce 504 6,3 | voix des cors,~qui fait bondir la plaine~à ses accords,~ 505 27 | qui sous l' ardente lame~bondissent dans l' azur, étaient des 506 11,1 | un soir, oh rien ! Tout bonnement~que son rhythme et sa vie 507 11,1 | rafraîchir, rajusta son bonnet,~et la complimenta si bien, 508 5 | ardemment le Bourgogne au Bordeaux.~Puis, n' étant pas de ceux 509 33,19| et sur son lit de fleurs~Bottom, avec Monsieur Grain De 510 33,21| gibier ; chasseresse ou bouchère~comme on voudra, ta guenille 511 11,5 | Corneille marchant dans la boue~avec ses souliers rapiécés,~ 512 11,6 | du critique ;~que dans un bouge affreux des orateurs blafards~ 513 5 | nous le laisserons sans le bouger de place,~tel est notre 514 5 | les morts, et, dans les bouges,~éléonore, Esther, Léontine 515 33,24| allumerai des feux et des bougies,~et je lirai les strophes 516 11,4 | vaines louanges~qui fait bouillir le sang vers le coeur refoulé.~ 517 5 | poëte,~mais de riches désirs bouillonnaient dans sa tête,~et ses sens 518 4 | hésite.~Il apaisa le flot bouillonnant du Cocyte,~et même il vit 519 33,6 | Arlequin,~suit en songeant le boulevard du temple.~Une fillette 520 5 | je t' aime !~J' aime tes boulevards, verdoyant diadème,~ton 521 4 | frapper, dans les sillons bourbeux~arrachant follement les 522 32 | du berceau la tombe,~le bourbier près du flot de cristal, 523 5 | Janin.~Et d' ailleurs, à Bourbon, aux pelouses d' Avermes,~ 524 5 | et préfère ardemment le Bourgogne au Bordeaux.~Puis, n' étant 525 32 | Cléopâtre, ange, femme et bourreau,~un gueuleton insigne,~et, 526 4 | fleurs de pierreries,~où des bouvreuils jaseurs, pour payer leur 527 5 | Petits pieds andalous, braise rougeâtre aux yeux,~corps 528 8,8 | toujours comme le vent qui brame ;~cependant, effleurant 529 33,12| Phoebos, après l' avoir branché,~Heine toujours portait 530 37 | demi-dieux.~ ./. Hérode brandit son glaive odieux ;~dans 531 4 | larges reins,~cherchant leurs Brascassats ou leurs Claudes~Lorrains !~ 532 27 | cuirasse guerrière.~Alors, bravant l' orage effroyable et ses 533 4 | buis aux teintes vives~qui bravent tous les deux le souffle 534 29 | elle,~tend sa mamelle.~Tu braves l' oubli meurtrier,~car 535 2 | sanglant et le lâche oiseleur.~Bravez même l' orage avec son âpre 536 8,7 | comme dans une cuve,~le breuvage divin que dore le Vésuve.~ 537 35 | à sa vie, à l' aurore si brève~qui sur son front a lui,~ 538 32 | les femmes.~Au lieu de nos brigands dont le flâneur risqua~de 539 11,1 | nerveux que le vulgaire brigue.~La Chimère est debout : 540 4 | ardente aurore.~Le mot fatal brilla, l' autel fut consacré,~ 541 8,7 | milieu de la salle,~une table brillait, splendide et colossale.~ 542 11,5 | belle pourpre de son sang.~Brillant de la splendeur première,~ 543 40 | me fait cette glace aux brillantes arêtes,~cette neige éternelle 544 27 | la volupté.~Près de nous brilleront le sceptre que décore~une 545 19 | mon vieux Moulins bâti de briques roses,~les cours tout embaumés 546 4 | dont les chevaux ardents brisent des harnois d' or,~et derrière 547 8,4 | des temps rien ne pourra briser !~Oh ! Viens ! Mes bras 548 4 | indiens en un rouge collier ;~Brizeux nous a rendu les fiers accents 549 4 | riches étoffes,~des robes de brocart, de saphirs et d' oiseaux,~ 550 5 | main, Berthe filait,~des brochets monstrueux et des cochons 551 4 | des arabesques d' or se brodent sur les cieux ;~les arbres 552 32 | de la cithare et du haut brodequin~le trépas se combine,~et 553 37 | dans les oripeaux de la broderie,~Cléopâtre brille en jupe 554 5 | souvenir vainqueur,~vous broie incessamment de ses griffes 555 11,2 | ils ont appesanti l' épais brouillard du doute~sur ce que nous 556 4 | Armorique ou l' Irlande~ont des brouillards pensifs couchés sur une 557 11,5 | cithare,~comme le chevreau broute un lys ;~j' ai vu mon père 558 6,6 | que ma plume~et ce coeur broyé, qui s' allume,~comme le 559 6,3 | douceur,~qui ne sait que bruire~à tous les bruits,~faire 560 26 | Oh ! Si le feu divin qui brûla les Sodomes,~fait palpiter 561 39,2 | Près des seins pour qui je brûlai~je me glisserais dans la 562 5 | des invisibles flammes~ils brûlaient leurs passés et retrempaient 563 4 | poëtesses,~et glacée et brûlante, au bruit amer des flots~ 564 4 | sûres,~de quels feux tu brûlas et de quelles blessures~ 565 4 | et baissant la paupière,~brûlent un encens pur dans leurs 566 32 | nos vers et nos romans~et brûleraient nos drames.~J' oubliais 567 29 | amour~caresse encor de sa brûlure~ta chevelure ;~ta lèvre, 568 8,8 | toujours son front pur, dans la brume caché,~s' était enfui devant 569 5 | Afrique me déplaît,~sauf ces brunes fellahs dont la mamelle 570 4 | Le bon sens joyeux et brutal de Molière !~Ce dilemme 571 6,4 | voiles,~à nous l' éclat bruyant du jour,~à nous les nuits 572 5 | Souvent il s' en alla dans les bruyères sombres,~la nuit, s' asseoir 573 4 | fleur~sourit,~mais que le bûcheron frappe de sa cognée ;~ce 574 11,1 | est-à-dire ce monstre oublié par Buffon~dans la liste des ours, 575 4 | puis le myrte léger, le buis aux teintes vives~qui bravent 576 10 | nous punira~de l' école buissonnière.~Pour ce mai qu' on nous 577 11,1 | du papier devant un vieux bureau.~Une telle existence est 578 5 | folles soirées,~où nous buvions l' espoir dans les coupes 579 11,3 | stériles et leurs fêtes,~ils se cachaient ainsi, l' un sous l' autre 580 4 | précipité du ciel,~et ne cachais-tu pas, dans ton idolâtrie,~ 581 8,4 | importent maintenant à notre âme cachée~ces flots tumultueux qui 582 11,1 | une fort belle gorge,~un cachemire noir souple comme un collier,~ 583 21 | sable des rivages,~vont cacher leurs ardeurs dans les antres 584 5 | autre hémisphère.~Pas de cachette, hélas ! Que résoudre ? 585 8,2 | longue danse~entoure en cadence~l' éternel repas.~La danseuse 586 5 | sorti vivant de son passé caduc,~avoir fouillé son coeur 587 5 | rencontraient devant le café Foy,~ou bien s' ils étaient 588 10 | chanson nouvelle.~Puis le cahier d' une main,~de l' autre 589 4 | grandes voûtes d' arbres,~des cailloux anguleux plus brillants 590 32 | malheur et l' envie,~le calcul soucieux de quelque noir 591 11,4 | haussons notre taille~sur les calculs étroits de notre ambition,~ 592 5 | arrivé du Congo,~faire des calembours contre Victor Hugo.~Mais 593 11,3 | dépaysé dont la folle guitare~câlinait le passant pour lui dire 594 5 | qu' on flatte et qu' on câline,~la muse les berçait sur 595 19 | aboiements de mon chien Calisto !~septembre 1841. ~ ~ 596 29 | mères ?~Petits, leurs mains calmaient nos plus vives douleurs,~ 597 4 | couleurs,~et que l' onde calmée où ce rayon s' argente~couvre 598 5 | vierge de ses langes,~notre calvaire touche aux demeures des 599 5 | cachent son beau cou, mais un camellia~s' embaume à ses cheveux, 600 33,22| poudre d' escampette,~lève le camp sans tambour ni trompette,~ 601 4 | son habit de velours ;~ses canons précieux sont du plus grand 602 5 | toréador,~un suisse vert-lézard caparaçonné d' or,~qui, jaloux de servir 603 29 | étoile~nue et sans voile.~Captive dans la tour d' airain,~ 604 4 | divines~la terre qui tenait captives leurs racines ;~et, sans 605 33,14| flot d' amours chasseurs en caravane~sourit aux lys de sa chair 606 8,9 | Corrège, en sa grâce première,~caressait les seins nus dans la chaude 607 36 | le ruisseau qui pleure~et caressé par l' air vermeil.~Et tandis 608 5 | où de pâles serpents se caressent dans l' ombre,~pour bien 609 4 | comme un sylphe ailé~qui caresserait l' âme. Et rien n' eût égalé~ 610 6,4 | aile,~folle enfant qui me caressez,~pourquoi donc êtes-vous 611 26 | Les imprecations d'une cariatide~puisse le dieu vivant dessécher 612 34 | A Madame Caroline Angebert~chanter, mais dans 613 25 | paraître jaune un marbre de Carrare,~et deux bras qui prouvaient, 614 5 | une lettre d' ami ;~un carré de papier qui vient de tant 615 39,5 | retiendra dans ses bâtons carrés,~et sauvera votre antique 616 5 | leur vie, en faisant peu de cas.~Elle jeta la lampe avec 617 32 | nous les habillerions~en casaques de pages.~Alors elles iraient, 618 2 | acanthe en fleur :~vous n' y casserez pas votre aile, tièdes brises.~ ./. 619 5 | que mon héros emplit son catalogue.~Puis-je suivre ses pas 620 5 | ta basilique en fleur, ta cathédrale,~ ~où sur les sombres tours, 621 4 | Properce et Tibulle et ce doux~Catulle, et ses chansons apprivoisaient 622 3 | Meyerbeer, titan ravi sur un Caucase~dans l' ouragan mélodieux !~ 623 4 | c' est un vieil ami qui cause de Tacite,~qui lit à coeur 624 5 | bon far-niente avec nos causeries,~nos divagations dans les 625 5 | bien lourds ;~charmante caution pour répondre du reste.~ 626 4 | sous de riants habits de cavaliers,~égrenant sur leurs pas 627 20 | est plus droite~que les cèdres du mont Liban !~Le hamac 628 25 | approchai, je vis sa tête ceinte~d' un tel rayonnement de 629 18 | journées~à revoir d' auréoles ceints~les bonnes vierges et les 630 21 | lointain les nymphes sans~ceintures~avec leurs grands cheveux 631 4 | oeil sec,~Alceste soucieux, Céladon misanthrope,~qui vers ton 632 4 | de petits coffrets.~Des Céladons rimeurs, amants d' une égérie,~ 633 23 | aux Agnès tout comme aux Célimènes :~toute prédiction est un 634 25 | femmes étaient belles !~Celles-ci laissant voir, sous leurs 635 4 | rendu les fiers accents du celte ;~sous ses longs cheveux 636 5 | germains coulés dans les moules celtiques,~bacchantes de Toscane à 637 Ava | livres que j' ai écrits, celui-ci est le seul pour lequel 638 4 | avenir de carnage et de cendre~passa comme un flambeau 639 6,6 | le coeur brûlant sous les cendres~vous redit en fadaises tendres~ 640 11,6 | un pont très lourd trois cents~provinciaux~tout altérés 641 31 | ces mille blessures ?~Les ceps luxuriants et le raisin 642 33,10| Phlégéton,~sont enfermés dans un cercle de cuivre.~ ./. 643 6,6 | Aladins expatriés,~et des cercles de blonds Clitandres~dont 644 5 | toujours alors, jusqu' au cercueil.~Car, sinon la fortune assise 645 5 | moyen âge avec des yeux cernés~font de sombres profils 646 39,3 | ce récit, l' aventure est certaine,~je changerais en amour 647 Ava | venue, et même remplacé certaines pièces entièrement démodées 648 11,5 | des comédiens ;~j' ai vu Cervantes, pauvre esclave,~au bagne 649 7 | sept monts, la ville des Césars,~avec ses palais d' or, 650 4 | terre a semé des poëtes,~ceux-ci remplis d' amour, et ceux-là 651 5 | L' espérance se fait un chagrin près d' éclore,~l' amour 652 5 | hérita.~C' est un baume aux chagrins les plus cuisants. En~somme~ 653 33,21| mieux qu' un docteur en chaire.~égorge-moi d' ailleurs, 654 33,15| sur sa bouche ;~quand sa chaleur dédaigneuse et farouche~ 655 40 | faudrait n' avoir pas de bonnes chambres closes,~pour chercher en 656 7 | qui, rappelant le poëte champêtre,~ne verse qu' un lait pur 657 5 | consulat de Monsieur De Champflour.~Faut-il continuer ? Je 658 8,12| Par degrés, éperdus~tous chancelaient. à voir tous leurs corps 659 5 | vie~et jette l' avenir aux chances du destin.~Pauvres petits 660 25 | corolles de lys !~Mais tout changea bientôt et je n' en vis 661 4 | son dos uni d' une moire changeante.~Alors, le regard trouble 662 4 | la perdant la terre était changée.~On entendit gémir la cime 663 4 | savait chaque jour par quel changement prompt~une ride nouvelle 664 27 | puissent te convaincre et changer ton dessein,~car seule gouvernant 665 39,3 | aventure est certaine,~je changerais en amour votre haine,~votre 666 4 | ton soupir~et ce que tu chantais en attendant le More :~la 667 4 | autre sur le passé,~tu chantas à grands flots ces créations 668 4 | cette voix qui féconde,~chantèrent au soleil, harmonieux Memnons.~ 669 27 | tu reviendras, muse, nous chanterons.~Va voir les durs combats, 670 29 | clair manteau~veille la chanteuse érato,~qui tourmente la 671 4 | sortir des gonds,~au lieu de chantonner ces paroles magiques~dont 672 29 | toujours enfant~que nous chantons comme elle.~Tout poëte, 673 4 | accourut. Ni ton arbre, ô chaon ! Ni le chêne~touffu ne 674 4 | monte autrefois, redevenait chaos.~Puis, après bien longtemps, 675 32 | étonner Sumatra~par nos chapeaux de feutre ?~Pourquoi de 676 3 | vers de Marion Delorme~aux chapitres de Lélia !~Pas à pas dans 677 33,15| amoureuse, et par jeu~met un charbon rougissant sur sa bouche ;~ 678 37 | de loups.~Pierrot s' est chargé de la dame-jeanne.~Puis 679 13 | virginité ;~Madeleine, la charité.~Parfumés comme des calices,~ 680 11,1 | merveilleux le prit et le charma,~comme s' il eût pu voir 681 11,2 | Un fantôme trompeur~me charmait ; la misère est là, tout 682 33,8 | espoir, trésor,~troupeau charmé, fillettes, petits hommes,~ 683 4 | les deux splendeurs qui charment l' univers,~la force et 684 4 | étincelles d' esprit qui charmèrent les cours,~oh ! Qui nous 685 4 | féeriques,~les dompteurs, les charmeurs, les poëtes lyriques :~Tyrtée, 686 5 | le soir, caché sous des charmilles,~j' ai surpris le secret 687 8,6 | il voie~le grand délire charnel,~et son palais qui flamboie~ 688 5 | antique~est d' un bronze charnu qui perce une tunique.~Aussi, 689 4 | d' herbe, et l' homme sa charrue.~Et comme aux champs, hélas ! 690 33,22| Tire tes grègues !~Je t' ai chassé, pauvre petit bandit :~mais 691 2 | architrave et les~frises~n' en chassera jamais le zéphyre et l' 692 5 | étreintes lascives,~des chastetés d' enfant et des larmes 693 11,1 | vous laissez là pour le chat favori.~Et vous faites fort 694 3 | l' église et la tour,~le château fort tout plein de rumeurs 695 5 | vieux-Sèvres,~peut-être pour ses chats, peut-être pour ses lèvres.~ 696 5 | corps pelotonné comme une chatte anglaise ;~le visage suave 697 5 | ils éclairaient de leurs chaudes prunelles,~le parfum des 698 35 | Paul qui sentait jadis de chauds baisers de flamme~sur son 699 7 | épouse chérie,~reine dans ma chaumière, et nymphe en ma prairie,~ 700 5 | petits pieds que je vois, chaussés d' un clair velours,~mollement 701 11,5 | Eschyle au coeur sans fiel,~chauve, et dans sa vieillesse amère~ 702 4 | ses voiles, montra nu~le chef-d' oeuvre sacré de son corps inconnu.~ 703 4 | la lumière baigne,~elle chercha des yeux le mortel assez 704 25 | fut qu' un écolier !~Je cherchai donc en moi quelle rouerie 705 5 | or,~pensives Lélias qui cherchaient leur Trenmor,~Elvires aux 706 11,2 | dans la fange immonde,~il cherchait sur ses pas~la gloire, cette 707 8,8 | idéal, vous aviez tous cherché~l' amante au coeur divin, 708 4 | effroyable ou rieur,~des chercheurs, attirés par l' homme intérieur,~ 709 33,19| nos appâts d' oiseleurs !~Cherchons les doux sommeils ensorceleurs ;~ 710 19 | les champs, les bois, les chères~tombes,~le ciel de mon enfance 711 38 | clartés sur votre front chéri,~et des enfants riants, 712 7 | sera bientôt mon épouse chérie,~reine dans ma chaumière, 713 5 | La digne soeur et lui se chérissaient, et pour~se réunir encor 714 11,3 | se trouva seul~comme un chevalier mort dans son rude linceul.~ 715 27 | furent alors les immenses chevets~où tu dormais la nuit dans 716 11,6 | fatiguent l' aquilon~de strophes chevillées,~que sans nulle vergogne 717 11,6 | bergers de Virgile !~Voir les chevreaux lascifs errer près d' un 718 33,5 | courant pour rassembler ses chèvres,~voici le vieux Damon avec 719 36 | je vois passer les doux chevreuils.~Voici la caverne des fées~ 720 5 | cigarette.~Car pareil au bon roi chiffonnant sa fleurette,~il roulait 721 4 | Kiou-Siou, Kounashir, et la Chine~qui sur sa porcelaine a 722 23 | épanouis au mur,~et des vases chinois pleins de pays d' azur.~ 723 32 | ces vases bleus~pleins de chinoiseries ?~Pourquoi près de l' éloge, 724 26 | et les Sions~que laissa choir le monde aux deux bras atlastiques,~ ./. 725 4 | plainte au fier Ovide~qui, choisissant l' amour, eut la meilleure 726 4 | apparaît tel que nos voeux le choisissent,~et qui s' évanouit quand 727 11,3 | qui le tenait en laisse,~choya de préférence un horrible 728 37 | tout flamboyants sous les chrysolithes,~les bruns Adonis et les 729 6,6 | comme la houle,~et dont le chuchotement roule~à travers les détours 730 35 | travers les draps noirs et les~cierges,~ ~vers les palais du ciel !~ 731 11,4 | lutte ! Enfants~qui, le cigare en main, nous rêvons triomphants,~ 732 6,6 | avec un réseau de longs cils ?~ô vous que la lumière 733 6,4 | Mozarts, mes Orphées,~mes Cimarosas, mes Rubens !~Eh bien ! 734 | cinquante 735 5 | à ses cheveux, et, comme Cinthia,~cette calme romaine, hélas ! 736 3 | panthéon, des dalles jusqu' aux cintres~graver des noms sacrés de 737 4 | vengeresse,~dormir près de Circé la brune enchanteresse,~ 738 5 | huit jours. Et puis les circonstances~viennent souvent forcer 739 11,3 | changeant de souvenir,~y sentait circuler une nouvelle sève~et comme 740 7 | sept roseaux divers sous la cire enfermés ?~ ./. Damète~parce 741 8,7 | et colossale.~Chaque plat ciselé contenait un trésor~détaillé 742 2 | filles de Paros, le sage ciseleur~qui sur ces médaillons a 743 4 | ouvert dans Virgile qu' il cite,~et dont les souvenirs, 744 4 | le coeur extasié par vos cithares d' or ?~Mais ce qui le ravit 745 11,4 | cheval fouetté par le vent du clairon !~Devant nous ont passé 746 5 | les noms d' Annette et de Clara,~cette autre Dolorès ? Rira 747 5 | secouer la poussière des classes,~rêveur et fou, j' appris 748 4 | leurs Brascassats ou leurs Claudes~Lorrains !~Chacun marche 749 5 | confirmèrent tout bas les clauses de l' hymen~que la main 750 4 | chacun a la clé,~est un clavier superbe ; et rien n' eût 751 5 | décembre,~car il tournait la clef de la petite chambre~où 752 33 | dizains à la manière de Clément Marot ~ 753 7 | marbre blanc des mains de Cléomène,~mieux vaut la chaste enfant 754 8,7 | rayonner à flots.~Chaque climat lointain, de l' Irlande 755 5 | que les iris et les belles climènes~jusques au madrigral se 756 5 | qui vient à l' opéra~des clochers inconnus de sa verte campagne.~ 757 9 | Clymene~l' aurore enveloppait dans 758 5 | on viendrait au pays de Cocagne,~si bien que ni le chant, 759 5 | brochets monstrueux et des cochons de lait.~Or, fussé-je au 760 4 | le flot bouillonnant du Cocyte,~et même il vit au fond 761 5 | bachelier, délaissant les codes pour les odes,~je pouvais 762 4 | diamants dans de petits coffrets.~Des Céladons rimeurs, amants 763 4 | le bûcheron frappe de sa cognée ;~ce fut de son amour, de 764 4 | chantent au soleil, bizarrement coiffées.~Les Ariels ont tous deux 765 8,9 | vénus Praxis, et vénus Coliade,~guerrière dont la danse 766 3 | un temple polychrome~le colisée et l' alhambra !~J' aurais 767 11,5 | abandonné par sa raison,~collant sa face morne et lasse~aux 768 11,3 | épagneul.~Si bien qu' en un collège hostile à sa paresse,~par 769 33,22| ai menti comme tous mes collègues !~Pour faire voir ma bravoure 770 40 | le feu caressant pare de collerettes~où brille un rouge diamant !~ 771 11,3 | bonheur s' étaient pris au collet,~pour s' être rencontrés 772 4 | mille bijoux, plumages et colliers.~Parfois sous de riants 773 4 | ombragé !~" au haut de la colline, une plaine déserte~et sans 774 8,7 | immense, confus,~une ample colonnade aux innombrables fûts.~Dans 775 5 | mais, vois, ma lèvre se colore,~et j' en aurai bientôt. 776 33,16| tenant ses mains qu' amour coloria.~Dans les langueurs d' une 777 32 | tulipes en or, les champs coloriés,~les caprices des vases,~ 778 5 | dans les étoiles,~ce divin coloriste un barbouilleur de toiles ;~ 779 4 | fût réveillée,~un homme colossal, une lyre à la main,~se 780 16 | poëte nouveau,~toi qui jadis combattais pour Horace,~rhythme de 781 8,9 | de tes enfants, Hellas, combattant devant Troie ;~et Rachel, 782 11 | C. qui meurent c. qui combattent~ 783 18 | qui s' en est allé~pour combattre les infidèles.~Quand nous 784 32 | haut brodequin~le trépas se combine,~et pourquoi c' est toujours 785 6,6 | avide,~et qui cherche à combler le vide~d' un abîme vaste 786 10 | agaçaient de regards fins~leurs comètes toutes nues.~Sur son trône, 787 5 | revient, je continue un récit commencé.~Donc, Prosper apparaît. 788 10 | et vite chacun se met~à commencer son ouvrage.~Penchés sur 789 7 | agite ses rameaux.~ ~Damète~commençons par chanter les neuf soeurs 790 5 | et du verbe ;~je voulais commenter l' impérissable loi,~pauvre 791 33,8 | au vieux drame inouï~du commissaire et de polichinelle.~ ./. 792 5 | vulgaires,~car les gens du commun ne les amusaient guères,~ 793 5 | l' éden deviennent fort communes,~et tous les tours d' alcôve 794 5 | ce n' est pas assez~de la communion des regards embrassés.~Souvent 795 4 | ce roi héros qui fut le compagnon d' Hercule.~Je le vois sur 796 33,12| floraison !~Mais le satyre à la comparaison~ne peut gagner, s' il entreprend 797 4 | Et s' il faisait un jour comparaître à sa barre~les courtisans 798 3 | largement compensée,~et comparant de loin ces oeuvres de pensée~ 799 11,2 | de rimes,~avec leur froid compas !~Lorsque nous demandions 800 4 | sut. Tu vins, et d' un ton compassé,~un pied sur l' avenir, 801 28 | débordement de vie avec art compensé,~vous qui depuis mille ans 802 3 | Montrer l' antiquité largement compensée,~et comparant de loin ces 803 11,3 | Mais lorsque Sténio fut complet, que la gloire~l' eut porté 804 4 | et de parfums de rose,~il complétait son âme, oubliant, oublié,~ 805 5 | jeune homme avait deux noirs complices~de son naissant amour, oui, 806 11,1 | rajusta son bonnet,~et la complimenta si bien, qu' il fit en sorte,~ 807 5 | sourire qui mord~et l' art si compliqué de mentir sans remord.~Ne 808 Ava | entièrement démodées par d' autres composées à la même époque, car dans 809 11,2 | chants~sublimes~qu' ils ne comprenaient pas,~ils les examinaient, 810 4 | aux doux baisers de mère,~comprenant les deux mots que lui disait 811 11,1 | laver l' autel.~Puis, on ne comprend pas qu' une hymne aussi 812 5 | dormirons. -ô femme !~Tu ne comprends donc pas que pour moi tout 813 5 | béatitude,~quand le coeur comprimé doute, et sous le surcroît~ 814 11,1 | personne. Hélas ! à pas comptés~il sortit sans courroux, 815 4 | tigresse, et désappointe~le concetti final, au moyen d' une pointe.~ 816 5 | à quelque volupté.~Belle conclusion et digne de l' exorde :~ 817 33,19| bourgeois le destin nous condamne ?~Allons revoir, dans le 818 26 | en haillons, ces maisons condamnées,~dont le gouffre est si 819 11,1 | fait prophète~et qui vous conduisait dans cet ardent chemin,~ 820 7 | cette voix des dieux~qui conduisit jadis nos héros glorieux,~ 821 5 | allée ombreuse :~Judith lui confia qu' elle était malheureuse,~ 822 5 | un sombre plongeur qui se confie aux lames,~il s' engouffra 823 5 | puis leurs lèvres folles~confirmèrent tout bas les clauses de 824 18 | enluminées.~L' amour dit son confiteor~sans écouter l' heure qui 825 5 | certes, cela doit être un conflit importun,~et l' on voudrait 826 11,3 | parfum pénétrant,~ils avaient confondu leurs deux âmes jumelles,~ 827 9 | en exhalant une plainte confuse.~Mais, hélas ! L' écho seul 828 5 | un vieux parent arrivé du Congo,~faire des calembours contre 829 5 | ses ombres,~et dont ils connaissaient l' extase jusqu' au fond !~ 830 11,1 | course solitaire,~et nul ne connaîtra mes sourdes profondeurs.~ 831 5 | Et disséquer la foi :~connaître la liqueur en en brisant 832 11,4 | plus venir sur ma table connue~avec tes bras nerveux t' 833 4 | diamants aux marbres de leurs conques,~des arabesques d' or se 834 4 | fatal brilla, l' autel fut consacré,~le monde de l' idée étincela 835 7 | neuf soeurs de permesse,~consacre-leur tes chants et crois à leur 836 11,3 | par la nuit et l' enfer conseillées,~souillent de leur venin 837 11,2 | nous aime, vois-tu !~Il conserve à ta vie ardemment dépensée~ 838 5 | montent librement la pleine consonnance~du bruit harmonieux que 839 29 | solennel~pour lequel il conspire,~est brûlé d' un amour céleste 840 33,2 | mort,~et sur le sol, par un constant effort,~les ouragans ont 841 27 | ceinture d' arbres.~Les constellations étaient des yeux vivants,~ 842 5 | portant sur un plat d' or constellé de rubis~la tête de saint 843 5 | sombres profils d' archanges consternés ;~mais cette lèvre rouge 844 7 | rameurs portaient la pourpre consulaire !~ ~Daphnis~quand j' aperçus 845 5 | pompeux séjour~né sous le consulat de Monsieur De Champflour.~ 846 7 | pour ce souffle brûlant qui consume les villes.~J' ai vu Rome 847 4 | première,~grands astres consumés par leur propre lumière,~ 848 10 | astre vit de ses rentes,~contemplait avec effroi~le lac aux eaux 849 4 | remplis d' éclairs, et non content~de fouler sous ses pas un 850 10 | sera puni,~la vierge sera contente ;~car nous avons tout fourni,~ 851 5 | sur l' honneur, je m' en contenterais.~Enfin, comment cessa ce 852 8,2 | jamais de nue,~d' amour contenue,~de foi méconnue~ou de front 853 5 | les yeux, je verrais sans conteste~un visage adorné d' un éclat 854 4 | de la grande nature,~le conteur de la guerre effrayante, 855 4 | Tous ces rois, tous ces conteurs épiques,~nés pour chanter 856 5 | don Juan ! D' avoir mal continué ta liste,~ce Pindare vaincu 857 5 | Monsieur De Champflour.~Faut-il continuer ? Je n' en ai guère envie.~ 858 5 | du rhume.~Prosper prouve contra que l' exercice allume~l' 859 5 | vieillesse. Prosper fut contraint de partir~pour recueillir 860 5 | embrassée encor. Voyez quelle contrainte !~Les choses allaient donc 861 27 | ô déesse,~ne puissent te convaincre et changer ton dessein,~ 862 5 | l' impassible regard du convié de pierre.~Deux hommes sur 863 27 | et les chemins des aigles~conviennent, ô déesse, à ta virginité.~ 864 8,7 | étaient rien encore auprès des conviés.~Car ils étaient plus grands 865 8,9 | plus belles fêtes.~Tous ces convives fous avaient la joie au 866 4 | sur les passants du jour copiés traits pour traits.~Car 867 4 | vocalisent, perchés sur un coquelicot !~C' est comme notre amour 868 4 | envolent troublés,~de gais coquelicots qui dansent dans les blés,~ 869 33,6 | vain l' agace avec son oeil coquin ;~et cependant mystérieuse 870 9 | sang pur a pourpré ma lèvre coralline,~le ciel rit dans mes yeux, 871 4 | avec l' insecte immonde,~le corbeau velouté, les boeufs aux 872 23 | couronnaient à l' envi leur corbeille aux primeurs.~Donc, je me 873 5 | divans de perse avec des cordelettes~et de lourds oreillers, 874 4 | Rosalinde,~Paroles, Pandarus, Corin, Sylvio ! L' Inde~où l' 875 11,1 | son front païen eût mis Corinthe en désarroi ;~ses cheveux 876 Ava | altéré par ces indispensables corrections, car il ne dépendait pas 877 8,9 | embellit ;~et celle dont Corrège, en sa grâce première,~caressait 878 18 | une lyre,~on entendit au corridor~les pas de l' époux en personne. -~ 879 Ava | jadis. Cependant, j' ai corrigé des fautes trop évidentes, 880 Ava | enfantines, et je les ai corrigées. Mais à présent, je crois 881 11,4 | nous perdra tous, ce qui corrode l' âme,~ce qui dans nos 882 4 | main le magique rameau,~corrompt la grande dame et l' enfant 883 27 | buissons de Sicile et de Corse~avec vos cheveux blonds 884 5 | jeunes nuées~il met des corsets d' or comme aux prostituées,~ 885 7 | elle avait sur le Tibre un cortège de rois,~on délaissait pour 886 4 | toutes ses cités,~depuis Cos, où les rocs semblent de 887 4 | folie !~Ces types surhumains costumés par Thalie~ont une passion 888 21 | et superbe.~Dénouant son cothurne et son manteau vermeil,~ 889 8,1 | tuniques romaines~sur des cothurnes de rubis.~L' une, aux cheveux 890 11,6 | de choses,~les fruits du cotonnier qu' un lord anglais paiera~ 891 4 | Les tigres à ses pieds se couchaient pleins d' ivresse,~et les 892 21 | Venus couchee~l' été brille ; Phoebus 893 33,14| panneau de la chambre à coucher,~je me rappelle encore une 894 5 | réveillé repu sur tant de couches,~que ces femmes me sont 895 4 | gravement, hautes de cent coudées !~Que de drames en germe 896 27 | mûres,~le rouge flot du sang coulant sur les armures,~et l' épée 897 1 | une promesse,~ce livre où coulent de mes vers~tous les espoirs 898 32 | le lacryma-christi,~qui coulerait aux plaines.~Et comme elles 899 5 | gothiques,~types germains coulés dans les moules celtiques,~ 900 33,6 | un regard de son oeil en coulisse~à son ami Jean Gaspard Deburau.~ 901 4 | ô Chénier ! Sur ta tête coupée ;~Pindare que d' en haut 902 4 | Cythérée !~Odyssée ! Iliade ! ô couple ardent et fort !~Vaste dualité, 903 32 | Camille, aux bras nus, qui courait sur les blés~sans courber 904 5 | fleuve morne et sourd, et ses courants flanqués~de vieux murs de 905 27 | roux,~en pliant les rameaux courbait des chevelures,~et dans 906 2 | plierait comme un roseau,~ne courbera jamais leurs têtes fraternelles.~ 907 4 | folles épigrammes,~elles courent les champs, enamourent les 908 23 | dont les jeunes rimeurs~couronnaient à l' envi leur corbeille 909 33,24| dizains.~Muse au beau front couronné de raisins,~ô Thalia, narguons 910 2 | myrte et les lauriers qui couronnent leurs têtes.~J' ai lavé 911 6,4 | mes vendanges mûres~et mes couronnes de rayons !~L' art nous 912 4 | chante dans le bruit des coursiers et des chars~et qui s' envole 913 4 | comparaître à sa barre~les courtisans musqués de sa muse barbare,~ 914 32 | nageant comme un cygne ;~courtiser Messaline, infante aux sens 915 5 | de rats,~et devint très couru dans les deux opéras.~Frêles 916 5 | aux provinces.~Et puis une cousine au regard enragé~qui sortait 917 11,1 | langage. Au fait, il m' en coûtait.~L' huissier a bien le droit 918 29 | louveteau,~fuyant sous le sombre couteau,~la tragédie aux yeux de 919 11,3 | page et le revers~ont pu coûter souvent de farouche délire~ 920 11,5 | vénérables~souillés de ses impurs crachats !~Mais enfin la compagne 921 11,3 | de deux mères,~mais ils craignaient de même et la honte et le 922 39,7 | subir un destin rigoureux ;~craignez, Iris, que mon coeur ne 923 11,3 | champs,~et de l' oiseau craintif qui chante sur la branche,~ 924 6,6 | endormi ;~vous aviez la pudeur craintive~de la mourante sensitive~ 925 7 | vos chants, les naïades craintives~montrent leurs blonds cheveux 926 11,3 | frère aux dangers que j' ai craints ?~Je lui dois ma douleur, 927 40 | soleil en fête,~dans un grand cratère doré.~à nous les arbres 928 6,4 | pour les duchesses,~mes cratères aux flancs sculptés !~à 929 5 | pompeux, monté dans sa cravate,~droit comme un lys, couvert 930 33,22| faire voir ma bravoure à crédit,~je t' ai crié : va ! Fuis ! 931 5 | neveu,~il s' entoura d' un crêpe, et prit la malle-poste,~ 932 4 | longtemps le flot que le flot creuse,~et laissant retomber ses 933 4 | remplir encor sa tâche et creuser son sillon,~et, sans devancer 934 19 | et les chemins touffus, creusés comme des gorges,~qui mènent 935 4 | dont l' honneur outragé crève comme un ballon ?~Quand 936 5 | entendrai sous le vent crier leurs girouettes,~je verrai 937 6,6 | à mon amour funeste,~les crimes que vous expiez ?~Parlez-moi, 938 27 | grands chocs, les mêlées,~des crinières de pourpre au vent échevelées,~ 939 11,3 | Léonore et le saisir aux crins,~il se disait en lui, comme 940 26 | je me sentirais moins de crispations~à tenir sur mon dos les 941 4 | sombre haine invincible et crispée~se retrouve, ô Chénier ! 942 5 | déchiqueté~entre les doigts crochus de la réalité ?~Certes, 943 4 | talon de rose,~et mis ses crocs affreux dans cette jeune 944 11,3 | espère un lendemain.~Je croirai que le monde est une grande 945 4 | la nuit,~si belle qu' on croirait sur son front diaphane~voir 946 18 | infidèles.~Quand nous le croirons loin encor,~il sera là, 947 4 | faisant des bons mots s' y croisent au hasard.~Là, des ruisseaux 948 11,1 | du doigt la croyance qui croule~et qu' on mourra pourtant 949 4 | belle Desdemona,~toi qui ne croyais pas, pauvre ange aux blanches~ 950 5 | hais ; va-t' en ! -vous croyez ? Grand~merci !~-et mon 951 11,5 | folle, inassouvie,~mordait cruellement leur chair.~Les mettant 952 33,21| aveu ~tes folles dents sont cruelles, dit-on,~mais je te crois 953 5 | suave et rose, mais les yeux~cruels, et reflétant l' enfer plus 954 4 | front qui leur fut cher,~crurent qu' en la perdant la terre 955 27 | adore.~Viens ! Ceux qu' on a crus morts, nous les retrouverons !~ 956 4 | pour te pleurer ; le fleuve~crût de ses pleurs ; voilant 957 4 | pyramide ou leur obscure crypte,~dorment les Sésostris auprès 958 7 | j' aperçus Phyllis, elle cueillait ces fleurs~que la nuit, 959 5 | la fleur que j' aimais.~-cueille-la, dit Phoebé. -ne me parle 960 6,4 | feuillages verts~nous allons cueillir près des sources~des pâquerettes 961 35 | hommes méchants ;~quand nous cueillons la fleur ou l' amante profane~ 962 27 | sein.~Puis tu délaceras ta cuirasse guerrière.~Alors, bravant 963 5 | baume aux chagrins les plus cuisants. En~somme~il eût trouvé 964 33,14| de lune éblouissant,~la cuisse blanche et de rose fouettée.~ ./. 965 33,10| enfermés dans un cercle de cuivre.~ ./. 966 7 | Cypris, fille des flots, ton culte me lia~à ta plus belle enfant, 967 4 | lézards~savent la pantomime et cultivent les arts.~Des gens à tête 968 11,6 | beautés du jour, reines par Cupido,~n' ont pas même de gorge ;~ 969 8,7 | tourmenté comme dans une cuve,~le breuvage divin que dore 970 4 | des cités,~braver le dur cyclope et ses atrocités,~suivre 971 5 | style large et vaste,~palais cyclopéens que le temps seul dévaste,~ 972 9 | amère ; et les soeurs de Cycnus~pleuraient des larmes d' 973 33,3 | est aujourd' hui fête chez Cydalise.~Enchantant l' air de son 974 8,9 | plus froids que le flot du Cydnus,~buvaient tous les don Juans 975 12 | épaule des flots vint de Cypre à Cythère,~et que ses pieds 976 7 | dans la verte campagne,~les cytises fleuris et les saules amers ;~ 977 11,3 | prend un livre et que l' on daigne lire~une riche pensée écrite 978 10 | d' enfants~n' ayant pas daigné descendre,~les laissait, 979 33,21| chère.~à manier les ciseaux, Dalila,~tu fus experte, et le sang 980 37 | Pierrot s' est chargé de la dame-jeanne.~Puis après eux tous, d' 981 4 | son réduit !~Il s' appelle Damis, Horace ou bien Valère ;~ 982 33,5 | chèvres,~voici le vieux Damon avec son fils,~Néère ayant 983 5 | sculpture en plâtre,~mais une Danaë peinte par Titien,~inestimable 984 5 | princesses russes,~qu' il serait dangereux de nommer pour raison~d' 985 5 | punch vigilant~qui fait danser au mur un farfadet sanglant,~ 986 5 | soulèverait le coeur aux danseuses de corde !~Puis, c' est 987 32 | son gré l' épaule d' un dauphin~pour voitures publiques !~ 988 3 | jusqu' aux étoiles ;~nommer David, sculptant ses dieux,~Rossini, 989 33,9 | roses, comme la foudre,~les débardeurs, farouches escadrons~de 990 11,4 | vierge. Mon corps débile~se débat sous le feu d' une fièvre 991 8,1 | instant vous sèvre,~je me débattais dans la nuit~comme sous 992 4 | Trissotins~viendront-ils débiter leurs supplices latins~aux 993 3 | Moïse, Homère à la voix débordante~qui contenait en lui Tasse, 994 6,6 | ardentes,~aux chevelures débordantes~pour essuyer vos blanches 995 4 | Cerveau lumineux, coeur où déborde l' amour,~il doit, leur 996 28 | grand poëme de pierre,~débordement de vie avec art compensé,~ 997 4 | lève-toi !~Et comme les débris de cette antique égypte,~ 998 33,6 | coulisse~à son ami Jean Gaspard Deburau.~ 999 8,9 | deux songeant encore à leur décaméron ;~ ./. et celui qui trouva 1000 3 | gui décore,~arbre qui te déchevelais~sur le front des aïeux et 1001 5 | où vient ce désir d' être déchiqueté~entre les doigts crochus 1002 4 | l' écouter de plus près~déchiraient follement en leurs fureurs 1003 31 | lorsque le dur pressoir~a déchiré leur chair du matin jusqu' 1004 7 | que le mien accompagne,~déchirent au hasard, dans la verte 1005 32 | de merveilleuses trames,~déchireraient en bloc nos vers et nos 1006 4 | essaim, les ménades hurlantes~déchirèrent son corps avec leurs mains