Partie
1 TextUniq| tout homme blanc comme mon maître, et en me voyant seul de
2 TextUniq| mis à pleurer sans que mon maître m'eût battu. La traversée
3 TextUniq| c'est le pinceau de mon maître Reynolds qu'il faut, c'est
4 TextUniq| philantropiques opinions de son maître. Ce digne intendant, ayant
5 TextUniq| personne, par la puissance d'un maître sur son domestique, l'abominable
6 TextUniq| son souvenir. Mon nouveau maître était alors un homme voisin
7 TextUniq| gracieux coloris de mon maître, si coquettement faux, ne
8 TextUniq| comme la signature de mon maître. A cela vous pourriez, si
9 TextUniq| mets bourbonnien dont mon maître était glouton, M. Cerusier
10 TextUniq| Camoens mendiait pour son maître. Si je n'ai pas suivi un
11 TextUniq| ne couchai pas chez mon maître. Le second jour je fus plus
12 TextUniq| je ne trouvai plus mon maître seul. Six bougies brûlaient
13 TextUniq| le temps de l'Houdon. Mon maître dessinait en extase, comme
14 TextUniq| valu cette aventure à mon maître. Quelques demi-mots qu'on
15 TextUniq| cette sublime aumône à mon maître privé d'étudier le nu par
16 TextUniq| devenues si visibles, que mon maître en fut frappé et lui défendit
17 TextUniq| ma couleur.~- Mon nouveau maître ayant été appelé à Paris
18 TextUniq| monsieur, et vous avez été maître d'école à Munster en Allemagne.
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