Partie, Chapitre
1 1, III | gouvernement de ce nom, et sa mère, Marfa Strogoff, y demeurait
2 1, III | Michel Strogoff était pour sa mère, la vieille Marfa, qui n’
3 1, III | les consacrer à sa vieille mère,—fût-il séparé d’elle par
4 1, III | Quels parents?~—Ma vieille mère.~Le czar suspendit un instant
5 1, III | chemin, sire.~—Si tu vois ta mère, tu risques d’être reconnu.
6 1, III | faut pas que tu voies ta mère!»~Michel Strogoff eut une
7 1, IV | appui d’un père ou d’une mère, la protection d’un frère,
8 1, VIII| me nomme Nadia Fédor. Ma mère est morte à Riga, il y a
9 1, IX | allais-tu faire à Omsk?~—Voir ma mère, qui m’attendait!~—Et moi,
10 1, IX | dernières paroles de ma mère! C’est te dire, frère, que
11 1, XII | y allons rejoindre notre mère. Qui sait même si nous arriverons
12 1, XII | sa soeur?~—Non, sa grand’mère! répliqua Alcide Jolivet,
13 1, XIII| envahie par les Tartares, la mère de Michel Strogoff, qui
14 1, XIII| reçu aucune nouvelle de ta mère depuis le début de l’invasion?
15 1, XIII| La dernière lettre que ma mère m’a écrite date déjà de
16 1, XIII| Peut-être, ajouta-t-elle, ta mère a-t-elle pu quitter Omsk?~—
17 1, XIII| Nadia, j’espère que ma mère aura quitté Omsk!~—Et quand
18 1, XIII| retour.~—Cependant, si ta mère est à Omsk, tu prendras
19 1, XIII| pour quelles raisons, si ta mère est à Omsk, peux-tu refuser
20 1, XIII| celui qui lie le fils à la mère!»~Nadia se tut, et, de ce
21 1, XIV | CHAPITRE XIV~MÈRE ET FILS.~Omsk est la capitale
22 1, XIV | arrêter.~«Dieu protège ma mère et Nadia! murmura-t-il.
23 1, XIV | cette ville, sa vieille mère aurait seule pu l’appeler
24 1, XIV | son oreille:~«Mon fils!~Sa mère, la vieille Marfa, était
25 1, XIV | sérieux qu’il y avait pour sa mère et pour lui dans cette regrettable
26 1, XIV | pas.~«Michel! s’écria sa mère.~—Qui êtes-vous, ma brave
27 1, XIV | tu ne reconnais plus ta mère?~—Vous vous trompez!...
28 1, XIV | pouvoir serrer librement sa mère dans ses bras!... mais s’
29 1, XIV | contractaient le visage vénéré de sa mère, il retira ses mains pour
30 1, XIV | cria encore la vieille mère.~—Je ne me nomme pas Michel!
31 1, XIV | Il ne vit pas sa vieille mère, qui était retombée presque
32 1, XIV | en elle ses sentiments de mère, elle n’eut plus qu’une
33 1, XIV | fils avait d’abord renié sa mère, et si sa mère le reniait
34 1, XIV | renié sa mère, et si sa mère le reniait à son tour, ce
35 1, XV | avait mis en présence de sa mère avait trahi son incognito.
36 1, XV | fois. L’image de sa vieille mère, celle de sa jeune et intrépide
37 1, XVI | sa fille sans doute, la mère de ces petits, agenouillée
38 1, XVI | Sibérienne, qui est évidemment sa mère!» dit le deh-baschi.~A cette
39 1, XVI | Et, suprême douleur! sa mère était entre les mains des
40 1, XVI | maintenant de torturer sa mère!~La conversation continua
41 1, XVI | peut-être du salut de sa mère. Il ne pouvait hésiter et
42 2, I | joignait le souvenir de sa mère, celui de Nadia, l’une retenue
43 2, II | la connaître, rendre à la mère les soins qu’elle-même avait
44 2, II | prisonnière comme elle, fût la mère de son compagnon, qui n’
45 2, II | veillé sur toi comme une mère?~—Oui, oui! dit Nadia. Frère,
46 2, II | dit Nadia. Frère, soeur, mère, il a été tout pour moi!~—
47 2, II | Strogoff, frémissante.~—Mère! mère! s’écria Nadia, ne
48 2, II | Strogoff, frémissante.~—Mère! mère! s’écria Nadia, ne le condamnez
49 2, II | protecteur, il avait une mère! Est-ce qu’il ne t’aurait
50 2, II | aurait jamais parlé de sa mère?~—De sa mère? dit Nadia.
51 2, II | parlé de sa mère?~—De sa mère? dit Nadia. Il m’a parlé
52 2, II | Nadia. Il m’a parlé de sa mère comme je lui ai parlé de
53 2, II | souvent, toujours! Cette mère, il l’adorait!~—Nadia, Nadia!
54 2, II | en passant à Omsk, cette mère que tu dis qu’il aimait?~—
55 2, II | peut-être, à sa vieille mère! Tout ce que tu ne sais
56 2, II | je ne puis te le rendre!~—Mère, je ne vous demande rien,»
57 2, III | dont elle avait fait sa mère, et elle remerciait Dieu
58 2, III | convoi la présence de sa mère et de Nadia, pas plus que
59 2, III | Nadia, il avait reconnu sa mère!...~Michel Strogoff, à cette
60 2, III | coupée par l’émotion. Il vit, mère! c’est lui!~—C’est mon fils,
61 2, III | un homme de ressentir. Sa mère et Nadia étaient là. Ces
62 2, III | chercher à rejoindre sa mère, mais il comprit qu’il devait
63 2, III | ailleurs, de ne pas voir sa mère... il ne la verrait pas,
64 2, III | conséquence fâcheuse, ni pour sa mère, ni pour lui. Mais il ne
65 2, III | retourna; mais le geste de la mère, retenant Nadia, ne lui
66 2, III | pas vu, mais j’ai vu sa mère se trahir par un mouvement
67 2, III | connais pas, moi, mais sa mère le connaît! Ivan, il faudra
68 2, III | il faudra faire parler sa mère!~—Demain, elle parlera!»
69 2, III | Marfa Strogoff était la mère de Michel Strogoff, capitaine
70 2, III | possible que, lorsque la mère et le fils seraient en présence
71 2, III | tour, il passa devant sa mère, Nadia ferma les yeux pour
72 2, III | vaincu par le fils et la mère!~Sangarre, placée près de
73 2, III | atteint, ici, devant sa mère qui allait être frappée,
74 2, III | Et de laisser périr sa mère sous le knout!~—Croyez-vous
75 2, IV | un peloton de soldats. Sa mère et Nadia étaient là aussi.~
76 2, IV | émir.~D’ailleurs, ni la mère ni le fils n’avaient pu
77 2, IV | Strogoff pensait que si sa mère était là, si Ivan Ogareff
78 2, IV | en aide au fils et à la mère. Elle ne savait qu’imaginer,
79 2, V | pied de la terrasse.~Sa mère, vaincue enfin par tant
80 2, V | irrévocablement manquée, sur sa mère, sur Nadia, qu’il ne reverrait
81 2, V | dresser devant lui.~«Ma mère! s’écria-t-il. Oui! oui!
82 2, V | existait à ses yeux que sa mère, qu’il dévorait alors du
83 2, V | seul, a quelques pas de sa mère, inanimée, peut-être morte.~
84 2, V | tâtonnant, vers l’endroit où sa mère était tombée. Il la trouva
85 2, VI | vit se traîner jusqu’à sa mère, se courber sur elle, la
86 2, IX | ne me parles jamais de ma mère, Nadia?»~Sa mère! Nadia
87 2, IX | jamais de ma mère, Nadia?»~Sa mère! Nadia ne l’eût pas voulu.
88 2, IX | avais juré de ne pas voir ma mère!~—Mais tu n’as pas cherché
89 2, IX | empêcher un fils de secourir sa mère!~—J’ai manqué à mon serment,
90 2, XI | enfin permis de penser à sa mère, à Nadia, à lui-même! Il
91 2, XI | dernières paroles de sa mère, et rien ne les séparerait
92 2, XV | un fils peut regarder sa mère, quand c’est pour la dernière
93 2, XV | il la risqua.~Seule, sa mère connaissait la vérité, et
94 2, XV | autre regret que celui de ta mère?~—Non, répondit Nadia, aucun
95 2, XV | aller voir leur vieille mère.~Le jeune courrier avait
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