Partie, Chapitre
1 1, IV | première vue. Michel Strogoff, étant lui-même «d’une nature énergique,
2 1, IV | les suifs et les châles—s’étant endormi et menaçant sa voisine
3 1, V | pouvait-il l’intéresser?~L’heure étant déjà fort avancée, il songea
4 1, V | plus qu’à partir. Mais, n’étant point homme à se lever après
5 1, V | de ces allées, le soleil étant fort au-dessus de l’horizon,
6 1, V | indigènes de classe inférieure étant fort démonstratifs, et les
7 1, VII | l’expulsion, après tout, étant encore préférable à l’emprisonnement
8 1, VII | heures du matin, la lune étant nouvelle, il fit à peu près
9 1, IX | mais, les circonstances étant données, ce service était
10 1, IX | étaient petits, mais ardents, étant de race sibérienne.~Voici
11 1, IX | autres voyageurs qui, n’étant ni Russes ni Sibériens,
12 1, X | le cheval de brancard, n’étant plus tiraillé sur ses flancs,
13 1, XII | européennes de la Russie, et, étant encore assez éloignées,
14 1, XVI | couvert des mélèzes, et, s’y étant enfoncé d’une quarantaine
15 1, XVI | Obi.~Les chevaux usbecks étant déharnachés, il allait donc
16 1, XVII| tartares...»~Cette lecture étant faite à haute voix, Michel
17 2, III | Son confrère et lui, s’étant arrêtés au camp de Zabédiero,
18 2, IV | plomb aurifère. Le pays étant riche, la ville l’est aussi,
19 2, IV | ne les avait pas aperçus, étant à demi voilée par ses cheveux,
20 2, VI | je transmets. Mon devoir étant de les oublier, le plus
21 2, VIII| le retint. Le cheval, n’étant pas guidé, se précipita
22 2, X | misérablement que les moujiks, n’étant pas plus qu’eux, en vérité,
23 2, X | et la route d’Irkoutsk étant fermée, il lui avait fallu
24 2, X | apparaissaient en grand nombre. Nadia étant réveillée, il l’interrogeait
25 2, X | ordre de l’émir.~Donc, s’étant procuré des chevaux, ils
26 2, XI | toute la contrée. La lune, étant nouvelle, ne devait pas
27 2, XV | Europe, et, Wassili Fédor s’étant fixé à Saint-Pétersbourg,
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