Partie, Chapitre
1 1, V | fortement sur son épaule.~«Qu’est-ce que tu fais la? lui demanda
2 1, V | répondit Michel Strogoff.~—Est-ce que tu aurais l’intention
3 1, VII | que je pourrai entendre.~—Est-ce dit?~—C’est dit.~—Votre
4 1, VIII| se dit Michel Strogoff. Est-ce qu’elle m’aurait reconnu
5 1, IX | rapidement et plus sûrement, n’est-ce pas?~—Oui, plus rapidement
6 1, X | orage dans la montagne, n’est-ce pas?~—Non, et fasse Dieu
7 1, XI | guide, plus de chevaux! N’est-ce pas absolument et superlativement
8 1, XIV | le demandes! Mon enfant, est-ce que tu ne reconnais plus
9 2, II | demanda Harry Blount, qu’est-ce que nous allons faire de
10 2, II | humiliation, ce Nicolas Korpanoff, est-ce que tu l’as méprisé?~—Je
11 2, II | Très-grand.~—Et très-beau, n’est-ce pas? Allons, parle, ma fille.~—
12 2, II | protecteur, il avait une mère! Est-ce qu’il ne t’aurait jamais
13 2, V | Jolivet a son compagnon, est-ce que vous tenez à voir la
14 2, VI | déserte, répondit Nadia.~—Est-ce que tu n’entends pas quelque
15 2, VI | faible, ces mignonnes-là!—Est-ce que vous venez de loin?~—
16 2, VI | demanda Michel Strogoff, est-ce que tu ne m’as jamais vu
17 2, VII | maisons, répondit Nadia.~—Est-ce donc une ville endormie?
18 2, VII | entrèrent dans la cabane.~«Qu’est-ce que cela? demanda Michel
19 2, VIII| a cette entrevue! Oui, n’est-ce pas?»~Puis, se frappant
20 2, IX | te conduire à Irkoutsk, n’est-ce pas toi, Nadia, qui m’y
21 2, IX | y conduit maintenant? N’est-ce pas par tes yeux que je
22 2, IX | tes yeux que je vois, n’est-ce pas ta main qui me guide?
23 2, XIV | Nadia. Dieu secourable, est-ce possible!»~Ivan Ogareff
24 2, XV | entre Londres et Péking.—Est-ce que vous n’avez pas envie
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