Partie, Chapitre
1 1, 1 | un était Anglais, l’autre Français, tous deux grands et maigres,—
2 1, 1 | caractérisait, en disant que si le Français était «tout yeux», l’Anglais
3 1, 1 | inaperçu de tout autre. Ce Français possédait donc au plus haut
4 1, 1 | du Daily-Telegraph, et le Français, un correspondant du....
5 1, 1 | Madeleine». Au fond, ce Français, sous son apparence légère,
6 1, 1 | blâmer.~Le correspondant français se nommait Alcide Jolivet.
7 1, VII| disant, le correspondant français salua familièrement le correspondant
8 1, VII| au dîner de ce jour, le Français, toujours ouvert et même
9 1, XI | bonjour, monsieur! s’écria le Français. Enchanté de vous voir dans
10 1, XI | ramènerons ici le tarentass.»~Le Français et l’Anglais, descendant
11 1, XI | observation du correspondant français tira de son mutisme.~—Je
12 1, XII| demi-heure après, le diligent Français avait trouvé, facilement
13 2, I | un peu médecin?~—Tous les Français sont un peu médecins!»~Et
14 2, I | généreux!~—Sans doute, mais les Français....?~—Eh bien, les Français
15 2, I | Français....?~—Eh bien, les Français sont bons, ils sont même
16 2, I | rachète, c’est qu’ils sont Français! Ne parlons plus de cela,
17 2, I | correspondants anglais et français une fois reconnue, rien
18 2, II | correspondants de journaux anglais et français, répondit laconiquement
19 2, VI | jour où un Anglais et un Français se disputaient, roubles
20 2, X | compagnons de route, Michel.~—Ce Français et cet Anglais que nous
21 2, X | Nadia, dit-il, dès que ce Français et cet Anglais seront embarqués,
22 2, XI | du Daily-Telegraph, et le Français à ceux de sa cousine Madeleine.
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