Partie, Chapitre
1 1, XV | CHAPITRE XV~LES MARAIS DE LA BARABA.~Il était heureux que Michel
2 1, XV | contrée marécageuse de la Baraba.~La, sur un espace de trois
3 1, XV | Ces vastes marais de la Baraba, compris du nord au sud
4 1, XV | sur la croûte durcie de la Baraba. Les chasseurs fréquentent
5 1, XV | obligés de traverser la Baraba, pendant l’été, ont le soin
6 1, XV | que cette contrée de la Baraba, si malsaine pendant les
7 1, XV | à Kamsk, au centre de la Baraba.~Michel Strogoff dut donc
8 1, XV | arrière, sur la route de la Baraba, et il s’élançait de nouveau
9 1, XV | occupe le centre même de la Baraba. Là, grâce aux assainissements
10 1, XV | que les indigènes de la Baraba cherchent un refuge, lorsque
11 1, XV | en sûreté au centre de la Baraba, ou, du moins, ils pensaient
12 1, XV | difficile traversée de la Baraba, pour fuir à travers le
13 1, XV | retrouva la marécageuse Baraba, qu’aucune dérivation n’
14 1, XV | cette partie, le sol de la Baraba fut de plus en plus détestable.~
15 1, XV | Dans ce bourg perdu de la Baraba, les nouvelles de la guerre
16 1, XV | lendemain, avoir quitté la Baraba. Il retrouverait alors une
17 1, XV | à leur situation dans la Baraba, où les colonnes tartares
18 1, XV | dernières dépressions de la Baraba, et le sol dur et sec du
19 1, XVI | prolongent au delà de la Baraba. Les champs, foulés du pied
20 1, XVI | autre route que celle de la Baraba.~—Qui sait s’il a quitté
21 1, XVII| le climat malsain de la Baraba. Kolyvan, d’après les nouvelles
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