Partie, Chapitre
1 1, III | hommes d’élite. Ce qui se sentait particulièrement dans sa
2 1, VI | allait sans s’arrêter, il ne sentait pas la fatigue, il obéissait
3 1, IX | continuait à être beau, mais on sentait que l’atmosphère, devenue
4 1, XII | généreux et discret. Elle se sentait en sûreté près de lui, sous
5 1, XII | et héroïque compagne. Il sentait que c’était là un de ces
6 1, XIII| son compagnon, mais elle sentait qu’il avait besoin d’être
7 1, XV | Lorsque Michel Strogoff sentait que son cheval, rompu de
8 1, XV | guerre,—Michel Strogoff sentait en lui comme un désir farouche
9 1, XVI | contre un autre à Kolyvan. Il sentait bien qu’avant peu le pauvre
10 1, XVI | Sous cette eau trouble, on sentait une fondrière vaseuse, sur
11 1, XVI | armes tartares, mais il sentait bien que son cheval faiblissait,
12 2, I | danger d’être reconnu, il sentait, par une sorte d’instinct,
13 2, IV | savait qu’imaginer, mais elle sentait vaguement qu’elle devait
14 2, VI | de lui manquer, mais il sentait bien que Nadia, traînée
15 2, VIII| route. Oui, courait! On sentait bien que Nicolas ne songeait
16 2, IX | Cependant, Michel Strogoff le sentait.~«Tu es à bout de forces,
17 2, IX | lorsque Michel Strogoff sentait que c’était lui qui traînait
18 2, XI | avait été si près du but. Il sentait qu’il allait l’atteindre!...~
19 2, XII | physionomie sévère et triste. On sentait que toute sa vie se résumait
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