Partie, Chapitre
1 1, VI | attente, alla prévenir un employé supérieur.~Michel Strogoff
2 1, XVII| télégraphiques.~C’était un employé, calme, flegmatique, indifférent
3 1, XVII| demanda-t-il.~—Rien, répondit l’employé en souriant.~—Ce sont les
4 1, XVII| allait répondre à cet étrange employé qu’il n’avait aucune dépêche
5 1, XVII| guichet de l’impassible employé.~Dans ces deux hommes, Michel
6 1, XVII| dix kopeks par mot,» dit l’employé en prenant la dépêche.~Harry
7 1, XVII| stupéfaction.~«Bien,» dit l’employé.~Et, avec le plus grand
8 1, XVII| qu’il passa ensuite à l’employé, et que celui-ci lut de
9 1, XVII| Il voulut même obliger l’employé à recevoir sa dépêche, de
10 1, XVII| répondit tranquillement l’employé, en montrant Harry Blount,
11 1, XVII| interpella encore une fois l’employé, qui, toujours impassible,
12 1, XVII| observation. Aussi, lorsque l’employé eut fini de télégraphier
13 1, XVII| remit sa dépêche, que l’employé lut à haute voix:~«Madeleine
14 1, XVII| quand l’impassible employé lui dit avec son calme inaltérable:~«
15 2, I | blessures, et il est le plus employé maintenant. Les médecins
16 2, VI | J’y demeurais. J’étais l’employé chargé des transmissions.~—
17 2, VII | l’emploi.»~En effet, cet employé modèle, après avoir tenu,
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