Partie,  Chapitre

 1        1,  II  |         six roubles et dix-neuf kopeks par chaque mot lancé à son
 2        1,  II  |     mongole, et de là, à trente kopeks par mot, la poste transporte
 3        1,  V   |      partout où il y a quelques kopeks à gagner.~Cependant, le
 4        1,  V   |          en échange de quelques kopeks charitablement offerts par
 5        1,  VIII|         courir la poste à vingt kopeks par verste et par cheval.
 6        1,  IX  |         non, des corbeaux à six kopeks par verste!~—Non! des aigles,
 7        1,  IX  |      aigles, entends-tu, à neuf kopeks par verste, le pourboire
 8        1,  IX  |      chevaux qu’à deux ou trois kopeks par verste. L’«aigle», c’
 9        1,  XI  |    suivre!».~Et tirant quelques kopeks de sa poche:~«Tiens, l’ami,
10        1,  XII |  monnaie d’argent qui vaut, l00 kopeks, soit 3 fr. 92.]~Il va sans
11        1,  XII | promesse d’un certain nombre de kopeks rendait seule explicable.~
12        1,  XVII|       lorsqu’il paye. C’est dix kopeks par mot.—Quand vous voudrez,
13        1,  XVII|        d’impatience.~«C’est dix kopeks par mot,» dit l’employé
14        1,  XVII|        c’est son droit... à dix kopeks par mot.»~Et il télégraphia
15        2,  IX  |        ne vaut pas plus de deux kopeks et demi la livre.~Mais,