Partie, Chapitre
1 0, II| en Islande.~—Vraiment! m’écriai-je de mon mieux, et, sans doute,
2 0, IV| vaste fauteuil.~«Lisons», m’écriai-je, après avoir refait dans
3 0, IV| pour pénétrer! ...~«Ah! m’écriai-je en bondissant: mais non!
4 0, 1 | de la porte?~—Mais non, m’écriai-je, la clef du document!»~Le
5 0, 1 | feras ma malle.~—Hein! m’écriai-je.~—Et la tienne!» répondit
6 0, 2 | Mais c’est impossible! m’écriai-je en haussant les épaules
7 0, 2 | ingénieuse hypothèse! m’écriai-je un peu malgré moi.~—Et qu’
8 0, 3 | surface.~«C’est absurde! m’écriai-je; cela n’a pas le sens commun!
9 0, 3 | Ce que j’ai, Graüben!» m’écriai-je.~En deux secondes et en
10 0, 3 | nuit t’a calmé.~—Calmé!» m’écriai-je.~Je me précipitai vêts mon
11 0, 3 | douces lèvres.~«Graüben! m’écriai-je.~—Va, mon cher Axel, va,
12 0, 4 | Je ne pourrai jamais! m’écriai-je.~—Serais-tu poltron, par
13 0, 5 | Comment, le plus difficile? m’écriai-je:~—Sans doute, nous n’avons
14 0, 8 | montrant un bateau.~—Oui, m’écriai-je, il y a un bac.~—Il fallait
15 0, 10| volcan!~—Par exemple! m’écriai-je.~—Retiens bien ceci, reprit
16 0, 12| dit-il.~—Le Groënland? m’écriai-je.~—Oui; nous n’en sommes
17 0, 14| terre.~«C’est magnifique! m’écriai-je involontairement. Quel spectacle,
18 0, 15| Silures.~ «C’est évident, m’écriai-je, les sédiments des eaux
19 0, 16| Une mine de charbon! m’écriai-je.~—Une mine sans mineurs,
20 0, 17| ranimer.~—Merci! merci!» m’écriai-je.~Si peu que ma soif fut
21 0, 17| miens.~«Il faut revenir, m’écriai-je, et reprendre le chemin
22 0, 17| fit-il.~—Le maître, m’écriai-je! insensé! non, il n’est
23 0, 18| Hans nous abandonne! m’écriai-je. Hans! Hans!»~Ces mots,
24 0, 19| De l’eau! de l’eau! m’écriai-je on battant des mains, en
25 0, 19| torrent.~—Un torrent? m’écriai-je.~—Il n’y a pas à en douter.
26 0, 19| roche elle-même.~«Sauvés! m’écriai-je, sauvés!~—Oui, répétait
27 0, 19| De l’eau à cent degrés! m’écriai-je.~—Eh bien, elle refroidira,»
28 0, 19| ruisseau salutaire.~—Bien!» m’écriai-je.~Et le nom de «Hans-bach»
29 0, 19| qui est bien imaginé! m’écriai-je, et avec ce ruisseau pour
30 0, 20| descendre.~«Partons!» m’écriai-je en éveillant par mes accents
31 0, 20| frottant les mains.~—Ainsi, m’écriai-je, l’Océan s’étend au-dessus
32 0, 21| atteinte.~—Seize lieues! m’écriai-je.~—Sans doute.~—Mais c’est
33 0, 23| compagnons?~«Oh! mon oncle!» m’écriai-je avec l’accent du désespoir.~
34 0, 24| ranimèrent.~«Adieu, mon oncle, m’écriai-je; je pars. Nos voix ne pourront
35 0, 25| dernier mot.~—Sortons donc! m’écriai-je en me levant brusquement.~—-
36 0, 26| qu’émerveillé.~«La mer! m’écriai-je.~—Oui, répondit mon oncle,
37 0, 26| le sol.~—Des ossements! m’écriai-je. Oui, des ossements d’animaux
38 0, 27| phénomène,~—Comment, la marée! m’écriai-je.~—Sans doute.~—L’influence
39 0, 27| le flot qui commence, m’écriai-je.~—Oui, Axel, et d’après
40 0, 27| solide radeau.~—Un radeau! m’écriai-je; un radeau est aussi impossible
41 0, 27| marine entière.~«Mon oncle, m’écriai-je, quel est ce bois?~—C’est
42 0, 28| C’est un esturgeon! m’écriai-je à mon tour, un esturgeon
43 0, 32| imagine!~—Comment cela? m’écriai-je.~—Une idée à moi, mon garçon!
44 0, 35| avant, en avant!~—Non! m’écriai-je, non! Nous sommes sans armes!
45 0, 35| fallait fuir.~«Venez, venez! m’écriai-je, en entraînant mon oncle,
46 0, 35| Mais je vois, moi! m’écriai-je, en m’élançant vers un objet
47 0, 35| n’est pas venue seule! m’écriai-je; elle n’a pas été se tordre
48 0, 36| En avant, en avant!» m’écriai-je.~Je m’élançais déjà vers
49 0, 36| lieues à franchir!~—Bah! m’écriai-je, ce n’est vraiment pas la
50 0, 36| énorme.~«Maudit roc!» m’écriai-je avec colère, en me voyant
51 0, 36| Mais alors Saknussemm? m’écriai-je.~—Oui, fit mon oncle, a-t-il
52 0, 36| trop dur pour le pic, m’écriai-je.~—Alors la pioche!~—C’est
53 0, 38| Que voulez-vous dire? m’écriai-je.~—Oui, nous montons! nous
54 0, 38| désespérez-vous donc pas? m’écriai-je avec irritation.~—Non! répliqua
55 0, 38| Eh bien! dévorons!» m’écriai-je.~Mon oncle prit le morceau
56 0, 38| un foyer incandescent? m’écriai-je, à un moment où la chaleur
57 0, 38| L’eau est brûlante!» m’écriai-je.~Le professeur, cette fois,
58 0, 39| Mon oncle, mon oncle! m’écriai-je, nous sommes perdus!~—Quelle
59 0, 39| ce sourire?~«Comment! m’écriai-je, nous sommes pris dans une
60 0, 39| Voyez! voyez, mon oncle! m’écriai-je.~—Eh bien! ce sont des flammes
61 0, 39| éruption s’arrêterait? m’écriai-je.~—Ah! fît mon oncle les
62 0, 40| Nous sommes en Asie, m’écriai-je, sur les côtes de l’Inde,
63 0, 40| touffes d’oliviers.~«Ah! m’écriai-je, un habitant de cette heureuse
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