Partie,  Chapitre

 1        0,  4 |   maison de fous, dit un de nos compagnons de voyage.~—Bon, pensai-je,
 2        0,  10|         nous attendait avec ses compagnons chargés des vivres, des
 3        0,  11|         arrière pendant que mes compagnons continuaient leur ascension,
 4        0,  12|         trouvât soutenu par ses compagnons. Cette solidarité était
 5        0,  12|  incompréhensibles. Hans et ses compagnons, assis sur des morceaux
 6        0,  15|    était de ne point perdre mes compagnons de vue. Je frémissais à
 7        0,  16|      Après leur repas, mes deux compagnons s’étendirent sur leurs couvertures
 8        0,  16|       marchions, et seul de mes compagnons j’oubliais la longueur de
 9        0,  17|       se passait entre ses deux compagnons; nos gestes indiquaient
10        0,  18|     rouvris, j’aperçus mes deux compagnons immobiles et roulés dans
11        0,  22|       suis sûr de retrouver mes compagnons. Il n’y a pas deux routes!
12        0,  22|     forcément les traces de mes compagnons.»~Ce raisonnement me ranima,
13        0,  23|         si quelque appel de mes compagnons ne parviendrait pas à mon
14        0,  23|     pente, s’en allait avec mes compagnons vers des profondeurs inconnues!~
15        0,  23|       retour et me réunir à mes compagnons?~«Oh! mon oncle!» m’écriai-je
16        0,  24|     pouvait arriver jusqu’à mes compagnons.~«Car ce sont eux, répétai-je.
17        0,  24|         temps à perdre. Que mes compagnons se fussent éloignés de quelques
18        0,  24|     peut-être où la voix de mes compagnons pouvait me parvenir.~Cet
19        0,  31|        Il me semble que, si mes compagnons me touchaient en ce moment,
20        0,  37|         je devais rejoindre mes compagnons sur le radeau qui n’avait
21        0,  38| éprouver une faim violente. Mes compagnons souffraient aussi, et pas
22        0,  40|       mais il fallut suivre mes compagnons.~Le talus du volcan offrait