Chapitre
1 XVII | Ah ! si c’était un navire américain, on sauterait peut-être,
2 XXI | plus sûrement le continent américain, où il mangerait tranquillement
3 XXI | eau. C’était le paquebot américain, qui sortait à l’heure réglementaire.~«
4 XXI | espérer que le paquebot américain, l’apercevant, modifierait
5 XXIII | domestique à bord d’un paquebot américain, et quelle confiance inspirerait-il,
6 XXIII | Batulcar, sorte de Barnum américain, directeur d’une troupe
7 XXIII | le pied sur le paquebot américain, suivis de Passepartout,
8 XXV | prirent pied sur le continent américain, — si toutefois on peut
9 XXV | rafraîchir. Cela parut « très américain » à Passepartout.~Le restaurant
10 XXVI | Tuilla, longe le désert américain, les monts de Cédar et Humboldt,
11 XXVII | dut fuir dans le Far West américain. »~Dix auditeurs étaient
12 XXVIII| colonel Stamp W. Proctor, cet Américain qui s’était si grossièrement
13 XXVIII| face à face avec ce maudit Américain, que Dieu confonde ! Or,
14 XXVIII| est inutile ! répondit l’Américain interpellé en haussant les
15 XXVIII| Français peut être aussi américain qu’eux !~— En voiture !
16 XXIX | les faire surgir du sol américain.~A huit heures du matin,
17 XXIX | était prêt à se jeter sur l’Américain, qui regardait son adversaire
18 XXIX | vous voudrez, répondit l’Américain, et à l’arme qu’il vous
19 XXIX | Fogg quitta le wagon, et l’Américain le suivit sur la passerelle.~«
20 XXIX | vous y resterez ! ajouta l’Américain avec une insolence sans
21 XXIX | Là se trouvait un poste américain ; mais ce poste passé, entre
22 XXXI | après, Phileas Fogg et cet Américain, nommé Mudge, entraient
23 XXXIII| Andrew Speedy. On n’est pas Américain sans que la vue de soixante
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