10-malad | maneg-yveto
gras = Texte principal
Chapitre gris = Texte de commentaire
1 | 10
2 | 15
3 TextUniq| leur débit aux environs. En 1789, on fabriquait depuis longtemps
4 TextUniq| bonnets de coton» et, en 1806, Leclerc dans sa Statistique
5 TextUniq| commerciale, devait tomber, en 1812, à 391.000 francs. Mais
6 TextUniq| filage fut faite seulement en 1835, par M. Lebaillif, aux filatures
7 TextUniq| ou des peintres de 1820 à 1840, ayant représenté en cet
8 TextUniq| il fut même un temps, en 1860, où 70 à 80 bonnetiers employaient
9 TextUniq| coton filé sur place. En 1865, il y avait déjà cinq filatures
10 TextUniq| et industriel, publié en 1918, constate que l’industrie
11 | 20
12 | 30
13 TextUniq| écrivait Galleron, il y avait 3000 métiers à faire des « bonnets
14 TextUniq| indépendance. On fabriquait alors 2.380.000 bonnets par an, sans
15 TextUniq| devait tomber, en 1812, à 391.000 francs. Mais de nombreuses
16 | 40
17 TextUniq| bonnetiers employaient jusqu’à 2.500.000 kilos de coton par année
18 TextUniq| Statistique sur Falaise estimait à 660.000 francs par an, la fabrication
19 | 70
20 TextUniq| bonnets écrus. Alors plus de 1.700 personnes, femmes et enfants,
21 TextUniq| qualifié de « coiffure abominable. »~ Aussi bien en ce temps,
22 TextUniq| des bandeaux noirs et des accroches-coeur séduisants. Mlle Amélie
23 TextUniq| faveur que les Normandes l’accueillirent aussi avec plaisir, bien
24 TextUniq| bouteilles~Me dit : « Poète, achève ta chanson,~Où tous ici
25 TextUniq| aux domestiques du premier acte des Cloches de Corneville,
26 TextUniq| intervenues, le métier trop actif aurait été mis en pièces.
27 TextUniq| ouragans, c’est une coiffure adhérente qu’on peut doubler, serrant
28 TextUniq| la nouvelle machine et l’adoptèrent. Bientôt aussi, on arriva
29 TextUniq| dans toute la Normandie, adoptèrent-ils cette mode universelle du
30 TextUniq| curieux et bizarre, c’est l’adoption pendant longtemps d’une
31 TextUniq| son livre sur le Calvados agricole et industriel, publié en
32 TextUniq| célèbre même dans les comices agricoles et notre concitoyen Lefebvre-Duruflé,
33 TextUniq| Amour !~Mais quoi ?... l’Aï qui saute des bouteilles~
34 TextUniq| Il faut que les femmes aient bien peu d’amour-propre
35 TextUniq| port des belles coiffes aux ailes de dentelles, les bonnets
36 TextUniq| symbole de vie joyeuse et aimable, le caprice et la fantaisie
37 TextUniq| la fantaisie de quelques aimables compères. Cependant le «
38 TextUniq| badigeonnaient en plein air, aimaient cette coiffure solide ;
39 TextUniq| dormir, c’est le bonnet que j’aime~Souple et moelleux, la mèche
40 TextUniq| simple, peu coûteuse, d’un ajustement sans apprêt, fort rapide.
41 TextUniq| gravées de l’Encyclopédie de d’Alembert et Diderot, pour voir que
42 TextUniq| filé à la main sur place, allait se substituer la filature
43 TextUniq| mouvement rectiligne et alternatif du métier carré en mouvement
44 TextUniq| accroches-coeur séduisants. Mlle Amélie Bosquet – qui était femme
45 TextUniq| encore les ateliers de MM. Ameline, Baloud frères, dont nous
46 TextUniq| toujours, perfectionna et améliora sans cesse toute cette technique
47 TextUniq| porteux du pays de Caux, qui amenaient aux Halles de Rouen, les
48 | ami
49 TextUniq| coton (bis) ~ Buvons, amis, à la santé des belles,~
50 TextUniq| femmes aient bien peu d’amour-propre pour conserver cette mode
51 TextUniq| parce que de temps très ancien, le « bonnet de coton »,
52 TextUniq| les laitières sur leurs ânes, les attrayantes villageoises
53 TextUniq| de drap plates, de genre anglais. Mais il est encore des
54 TextUniq| mécanique. Lorsqu’arrivèrent d’Angleterre les précieuses machines
55 TextUniq| contraire, une gaîté remuante et animée aux réunions campagnardes. »~
56 TextUniq| 500.000 kilos de coton par année pour des bonnets de toutes
57 TextUniq| et qui dura plus de vingt années. Instruits par l’expérience,
58 TextUniq| Traine-feuille ou au Val d’Ante où la blanchisserie Lefez
59 TextUniq| Normandie deux partis : l’un « antibonnet de coton » et l’autre «
60 TextUniq| bonnet de coton » on s’aperçoit qu’il en a toujours existé,
61 TextUniq| quelques métiers particuliers appartenant à de petits façonniers jaloux
62 TextUniq| dans cette toile, qui a appartenu jadis au duc d’Aumale, un
63 TextUniq| hydrauliques. La première application de la vapeur au filage fut
64 TextUniq| coûteuse, d’un ajustement sans apprêt, fort rapide. Et puis le «
65 TextUniq| bonneterie de Falaise fut approvisionnée en tout temps, comme nous
66 | Après
67 TextUniq| dessins, les croquis, les aquarelles de Bonington ou des peintres
68 TextUniq| solide ; les déménageurs qui arborent encore un court bonnet de
69 TextUniq| réunis sous les grands arbres d’un parc ou étendus sur
70 TextUniq| et l’excellent Glossaire archéologique de Gay en représente un
71 TextUniq| ruban de couleurs comme Argan, dans le Malade Imaginaire.
72 TextUniq| Pénélope, dit-on,~Comme une armure avait de son Ulysse~Le bonnet
73 TextUniq| le plus l’étranger qui s’arrête dans cette ville. Il voit
74 TextUniq| adoptèrent. Bientôt aussi, on arriva à transformer le mouvement
75 TextUniq| purement mécanique. Lorsqu’arrivèrent d’Angleterre les précieuses
76 TextUniq| volumes sur Falaise et son arrondissement, n’a pas craint d’écrire :~ «
77 TextUniq| Que de peintres, que d’artistes sont ainsi représentés dans
78 | assez
79 TextUniq| perruque poudrée de cérémonie attend sur un « pied » où elle
80 TextUniq| métiers divers et variés, attentifs à leur besogne, portent
81 TextUniq| laitières sur leurs ânes, les attrayantes villageoises qui se rendaient
82 TextUniq| était devenu le symbole et l’attribut de toute une bourgeoisie
83 TextUniq| étaient au nombre de 80. M. Auguste Nicolas dans son livre sur
84 TextUniq| appartenu jadis au duc d’Aumale, un symbole de vie joyeuse
85 TextUniq| représentés dans leurs intérieurs, auprès de leur chevalet, dans leur
86 | autour
87 TextUniq| bien revivre ces modes d’autrefois. Jugez-en par les dessins,
88 TextUniq| côté,~Cette méthode a l’avantage extrême~D’unir la grâce
89 TextUniq| tardèrent pas à reconnaître les avantages de la nouvelle machine et
90 TextUniq| elles ont toutes des figures avenantes et fraîches. »~ ~*~**~ ~
91 | avoir
92 TextUniq| aux gloires paternelles~N’ayons de fers que les fers de
93 TextUniq| échafaudages volants, lorsqu’ils badigeonnaient en plein air, aimaient cette
94 TextUniq| tennis ou découvrant des bandeaux noirs et des accroches-coeur
95 TextUniq| recouvert d’une coiffe à barbes plates assez mal plissées,
96 TextUniq| nous avons déjà parlé, Vve Barthélemy, Crespin, Dubois, Louis
97 | bas
98 TextUniq| se coiffer du « béret » basque, usaient du bonnet de laine.
99 TextUniq| boulangers ; les peintres en bâtiment, qui sur leurs échafaudages
100 TextUniq| bonnets cauchois, les gracieux bavolets, les calipettes, et les
101 TextUniq| et les jolies bonnettes bayeusaines du dimanche. A un moment
102 | beaucoup
103 TextUniq| étaient taillés en forme de béguins tricotés et noués sous le
104 TextUniq| avant de se coiffer du « béret » basque, usaient du bonnet
105 TextUniq| lendemain de l’invention de Bertholet, se trouvaient non loin
106 TextUniq| pays, trois blanchisseries bertholiennes, comme on disait alors,
107 TextUniq| variés, attentifs à leur besogne, portent le « bonnet de
108 TextUniq| matière, dont ils avaient besoin. Le reste était fourni par
109 TextUniq| maquignons, les marchands de bestiaux bas-normands, puis de nos
110 TextUniq| Mais ce qui est curieux et bizarre, c’est l’adoption pendant
111 TextUniq| par un bonnet de laine, la bizette, que fabriquaient les Bonnetiers-Aumussiers,
112 TextUniq| de toutes sortes : bonnet blanc, bonnet écru, bonnet jaspé,
113 TextUniq| première vue, cette coiffure blanche ne parût pas très seyante.
114 TextUniq| bonnet de coton», dont la blancheur ressort sur le bronze de
115 TextUniq| coûtaient 80 centimes à blanchir. Tous les « bonnets de coton »
116 TextUniq| où la blanchisserie Lefez blanchissait 20.000 douzaines de bonnets
117 TextUniq| Traine-feuille ou au Val d’Ante où la blanchisserie Lefez blanchissait 20.000
118 TextUniq| filatures du pays, trois blanchisseries bertholiennes, comme on
119 TextUniq| charmante. Tous ces bonnets blancs qui ne s’envolaient pas
120 TextUniq| les « bonnets de coton » bleus et les bonnets écrus. Alors
121 TextUniq| croquis, les aquarelles de Bonington ou des peintres de 1820
122 TextUniq| Béranger, sur l’air du Dieu des bonnes gens ! Voici ces strophes
123 TextUniq| les journées d’ouvrier bonnetier les plus fortes étaient
124 TextUniq| bizette, que fabriquaient les Bonnetiers-Aumussiers, qui avait la forme pointue
125 TextUniq| calipettes, et les jolies bonnettes bayeusaines du dimanche.
126 TextUniq| souvent individuelle. Les bons bourgeois qui en usent la
127 TextUniq| séduisants. Mlle Amélie Bosquet – qui était femme et avait
128 TextUniq| Sait-on aussi que Louis Bouilhet, l’ami de Flaubert qui excellait
129 TextUniq| les geindres ou aides des boulangers ; les peintres en bâtiment,
130 TextUniq| c’est alors une coiffure bourgeoise, une coiffure de nuit, une
131 TextUniq| l’attribut de toute une bourgeoisie endormie et pacifique. On
132 TextUniq| l’Aï qui saute des bouteilles~Me dit : « Poète, achève
133 | bras
134 TextUniq| travaillant aux champs, bravant les intempéries, les vents,
135 TextUniq| consommation normande, puis par la Bretagne et dans le midi de la France ;
136 TextUniq| blancheur ressort sur le bronze de leur teint. Comment hommes
137 TextUniq| Guibray où retentissait le bruit des métiers. Si la police
138 TextUniq| vont jusqu’à en porter de bruns ou d’écrus. Il est impossible
139 TextUniq| de coton (bis) ~ Buvons, amis, à la santé des belles,~
140 TextUniq| foires de Guibray et de Caen.~ Le grand constructeur
141 TextUniq| les gracieux bavolets, les calipettes, et les jolies bonnettes
142 TextUniq| Nicolas dans son livre sur le Calvados agricole et industriel,
143 TextUniq| remuante et animée aux réunions campagnardes. »~ C’était aussi l’avis
144 TextUniq| est encore des coins de campagne du Bocage, où les femmes
145 TextUniq| Gars à la lanterne » fut la capitale du « bonnet de coton ».
146 TextUniq| vie joyeuse et aimable, le caprice et la fantaisie de quelques
147 TextUniq| représenté une Jeune servante de Carentan portant crânement le «bonnet
148 TextUniq| bonnets sur la terre :~Bonnets carrés sont au Temple des lois.~
149 TextUniq| las d’avoir parcouru vingt carrières sous le règne de Louis-Philippe,
150 TextUniq| universelle du pacifique « cascamèche » ? Mais parce que de temps
151 TextUniq| peu, remplacé par la haute casquette de soie que portaient les
152 TextUniq| puis de nos jours par les casquettes de drap plates, de genre
153 TextUniq| bonnet qu’aurait choisi Caton,~C’est à coup sur, n’en
154 TextUniq| de dentelles, les bonnets cauchois, les gracieux bavolets,
155 TextUniq| Il en résulta une crise causée par la concurrence et qui
156 TextUniq| anciens porteux du pays de Caux, qui amenaient aux Halles
157 | Cela
158 TextUniq| que la perruque poudrée de cérémonie attend sur un « pied » où
159 TextUniq| chaîne. A cette époque, un certain Jouve avait imaginé de fabriquer
160 TextUniq| imaginé de fabriquer pour certains bonnetiers, un métier plus
161 TextUniq| perfectionna et améliora sans cesse toute cette technique de
162 TextUniq| à raison d’une pièce par chaîne. A cette époque, un certain
163 TextUniq| l’homme travaillant aux champs, bravant les intempéries,
164 TextUniq| les genres de tricots, de chandails, de jerseys, de sweaters,
165 TextUniq| dit : « Poète, achève ta chanson,~Où tous ici mettront sur
166 TextUniq| entière. Quand Béranger le chanta, il était devenu le symbole
167 TextUniq| parodies et aux pastiches, a chanté Le Bonnet de coton, sur
168 TextUniq| coton était recouvert par un chapeau de feutre. Jugez-en, par
169 TextUniq| saint Louis « avait vestu un chapel de coton sur sa tête ».
170 TextUniq| sur sa tête ». Mais ces chapels ou bonnets de coton, au
171 TextUniq| que recouvrait ensuite un chaperon de feutre. On trouve mille
172 TextUniq| femme et avait bien voix au chapitre – n’était pas du tout de
173 TextUniq| Jean-le-Bon et sous son fils Charles V. Un moment il fut remplacé
174 TextUniq| ce bonnet d’une rusticité charmante. Tous ces bonnets blancs
175 TextUniq| velours ou de soie, étaient charmantes. A l’occasion de ce comice,
176 TextUniq| fabriquait surtout les « chemises de coton tricot », rayées
177 TextUniq| coton, sur le mode bourgeois cher à Béranger, sur l’air du
178 TextUniq| intérieurs, auprès de leur chevalet, dans leur intimité, tandis
179 TextUniq| tantôt sale et retenant des cheveux mal peignés qui s’échappent
180 TextUniq| Mais le bonnet qu’aurait choisi Caton,~C’est à coup sur,
181 TextUniq| peu connues :~~Il est un choix de bonnets sur la terre :~
182 | chose
183 TextUniq| Joinville dit cependant dans sa chronique que saint Louis « avait
184 TextUniq| sans exception, dit notre chroniqueur, coiffées du «bonnet de
185 TextUniq| métier carré en mouvement circulaire.~ Mais le grand inventeur
186 TextUniq| Falaise avant d’être la cité de Guillaume-le-Conquérant
187 TextUniq| tout semblable aux modèles classiques d’aujourd’hui.~ Ce ne sont
188 TextUniq| portèrent… même à l’église. Le clergé s’éleva contre cette négligence
189 TextUniq| domestiques du premier acte des Cloches de Corneville, qui font
190 TextUniq| bonnet est propice~Et sur son coeur, Pénélope, dit-on,~Comme
191 TextUniq| tantôt recouvert d’une coiffe à barbes plates assez mal
192 TextUniq| où toutes les têtes ont coiffé le même bonnet. Quelques
193 TextUniq| dit notre chroniqueur, coiffées du «bonnet de coton», paré
194 TextUniq| fidèles aux anciens us, coiffent encore le «bonnet de coton»,
195 TextUniq| compagnie de joyeux viveurs, coiffés tous du « casque à mèche »,
196 TextUniq| Mais il est encore des coins de campagne du Bocage, où
197 TextUniq| charmantes. A l’occasion de ce comice, il y eut même un concours
198 TextUniq| le célèbre même dans les comices agricoles et notre concitoyen
199 TextUniq| répondaient cependant à toutes les commandes faites. A cette époque,
200 TextUniq| Sancerre.~ A quelle époque commença donc la grande vogue du
201 | Comment
202 TextUniq| qui, par suite de la crise commerciale, devait tomber, en 1812,
203 TextUniq| artisans et devint une coiffure commode et facile, tenant bien à
204 TextUniq| extrême~D’unir la grâce à la commodité.~A l’amour vrai le bonnet
205 TextUniq| coton, où s’ébat toute une compagnie de joyeux viveurs, coiffés
206 TextUniq| fantaisie de quelques aimables compères. Cependant le «bonnet de
207 TextUniq| n’a point encore disparu complètement… Il fut un temps où les
208 TextUniq| comices agricoles et notre concitoyen Lefebvre-Duruflé, qui a
209 TextUniq| comice, il y eut même un concours de «bonnets de coton», où
210 TextUniq| une crise causée par la concurrence et qui dura plus de vingt
211 TextUniq| était fourni par Rouen et Condé-sur-Noireau. Vers 1820, écrivait Galleron,
212 TextUniq| large sur lequel on pouvait confectionner des « bonnets de coton »
213 TextUniq| répandit un moment sur les confins de la Picardie, notamment
214 TextUniq| coton était rare et peu connu. Joinville dit cependant
215 TextUniq| Voici ces strophes très peu connues :~~Il est un choix de bonnets
216 TextUniq| étaient employés par la consommation normande, puis par la Bretagne
217 TextUniq| industriel, publié en 1918, constate que l’industrie de Falaise
218 TextUniq| Guibray et de Caen.~ Le grand constructeur de métiers était M. Jérôme
219 TextUniq| la bonneterie, qui ne se contenta pas de fabriquer le bonnet
220 TextUniq| pères, dont nous venons de conter l’histoire.~ ~
221 TextUniq| la verdure, donnaient, au contraire, une gaîté remuante et animée
222 TextUniq| bonnet de coton» que la coquetterie féminine trouvait moyen
223 TextUniq| premier acte des Cloches de Corneville, qui font très bien revivre
224 TextUniq| était perpétué dans quelques corporations, qui en usèrent longtemps :
225 TextUniq| les nombreux artisans des corps de métier. Il n’y a qu’à
226 TextUniq| précieux et fin dessinateur des Costumes normands, qui, dans son
227 TextUniq| de Rouen, les tissus, les cotonnades, les rouenneries, les siamoises
228 TextUniq| tricotés et noués sous le cou, que recouvrait ensuite
229 TextUniq| encore un court bonnet de couleur, rayé de bleu ou de rouge,
230 TextUniq| parent d’un noeud de ruban de couleurs comme Argan, dans le Malade
231 | coup
232 TextUniq| le « casque à mèche » qui couronnait jadis le Roy d’Yvetot et
233 TextUniq| au front d’un père~Et la couronne est le bonnet des rois,~
234 TextUniq| déménageurs qui arborent encore un court bonnet de couleur, rayé
235 TextUniq| fils, au raccommodage et au cousage. Les « bonnets de coton »
236 TextUniq| douzaines de bonnets par an, qui coûtaient 80 centimes à blanchir.
237 TextUniq| une coiffure simple, peu coûteuse, d’un ajustement sans apprêt,
238 TextUniq| bonnets de coton » n’ayant de couture que d’un seul côté. Ce fut
239 TextUniq| doubler, serrant bien la tête, couvrant les oreilles et les préservant
240 TextUniq| arrondissement, n’a pas craint d’écrire :~ « La coiffure
241 TextUniq| servante de Carentan portant crânement le «bonnet de coton » :~ «
242 TextUniq| On le voit alors par le crayon d’Henri Monnier, coiffer
243 TextUniq| métiers nouveaux, le grand créateur et propagateur du « bonnet
244 TextUniq| déjà parlé, Vve Barthélemy, Crespin, Dubois, Louis Duclos, Maurice
245 TextUniq| Jugez-en par les dessins, les croquis, les aquarelles de Bonington
246 TextUniq| marmitons, les aides de cuisine, qui portent le bonnet de
247 TextUniq| bonnetiers bas-normands, M. David, au Foulcq, près de Pont-l’
248 TextUniq| Falaise et qui trouvaient leur débit aux environs. En 1789, on
249 TextUniq| midi de la France ; il s’en débitait alors beaucoup aux foires
250 TextUniq| bonnet de coton » a bien décliné et Falaise a dû remplacer
251 TextUniq| comme un polo de tennis ou découvrant des bandeaux noirs et des
252 TextUniq| contre la froidure. Un seul défaut : elle ne préservait pas
253 TextUniq| chose d’effronté, qui en dégoûte involontairement. Il y a
254 TextUniq| familiers indépendants. En dehors des filatures du pays, trois
255 TextUniq| elle est posée ! Il est un délicieux tableau de Lancret, qu’on
256 TextUniq| cette coiffure solide ; les déménageurs qui arborent encore un court
257 TextUniq| belles coiffes aux ailes de dentelles, les bonnets cauchois, les
258 | dès
259 TextUniq| Lanté, le précieux et fin dessinateur des Costumes normands, qui,
260 TextUniq| autrefois. Jugez-en par les dessins, les croquis, les aquarelles
261 TextUniq| Les paysans normands devaient à leur tour, vers le milieu
262 TextUniq| de la crise commerciale, devait tomber, en 1812, à 391.000
263 | devant
264 TextUniq| Béranger le chanta, il était devenu le symbole et l’attribut
265 TextUniq| enfants, étaient employées au dévidage des fils, au raccommodage
266 TextUniq| bientôt parmi les artisans et devint une coiffure commode et
267 TextUniq| Encyclopédie de d’Alembert et Diderot, pour voir que tout un peuple
268 TextUniq| à Béranger, sur l’air du Dieu des bonnes gens ! Voici
269 TextUniq| leur tête de façons très différentes. C’est par eux qu’il s’était
270 TextUniq| peignés qui s’échappent de différents côtés, tantôt recouvert
271 TextUniq| par toute une région, sa diffusion générale en un seul pays
272 TextUniq| bonnettes bayeusaines du dimanche. A un moment donné, le «
273 | dire
274 TextUniq| bertholiennes, comme on disait alors, au lendemain de l’
275 TextUniq| sur son coeur, Pénélope, dit-on,~Comme une armure avait
276 TextUniq| occupé à mille métiers divers et variés, attentifs à leur
277 TextUniq| figurent dans la louée aux domestiques du premier acte des Cloches
278 | donc
279 TextUniq| au milieu de la verdure, donnaient, au contraire, une gaîté
280 TextUniq| bis) ~ Pour bien dormir, c’est le bonnet que j’aime~
281 TextUniq| coiffure adhérente qu’on peut doubler, serrant bien la tête, couvrant
282 TextUniq| C’est à coup sur, n’en doutons pas, mon ma[ître]~Le bonnet
283 TextUniq| Lefez blanchissait 20.000 douzaines de bonnets par an, qui coûtaient
284 TextUniq| jours par les casquettes de drap plates, de genre anglais.
285 TextUniq| incliné à droite, ou à gauche, dressant sa mèche en avant, ou la
286 TextUniq| bonnets de coton, au lieu de dresser leur pointe en l’air, étaient
287 TextUniq| de le porter, incliné à droite, ou à gauche, dressant sa
288 TextUniq| bien décliné et Falaise a dû remplacer par d’autres
289 TextUniq| Vve Barthélemy, Crespin, Dubois, Louis Duclos, Maurice Renaux.
290 TextUniq| qui a appartenu jadis au duc d’Aumale, un symbole de
291 TextUniq| Crespin, Dubois, Louis Duclos, Maurice Renaux. Nous en
292 TextUniq| Les Bonnets de coton, où s’ébat toute une compagnie de joyeux
293 TextUniq| bâtiment, qui sur leurs échafaudages volants, lorsqu’ils badigeonnaient
294 TextUniq| cheveux mal peignés qui s’échappent de différents côtés, tantôt
295 TextUniq| véritable petite émeute qui éclata en mai 1831 dans tous les
296 TextUniq| arrondissement, n’a pas craint d’écrire :~ « La coiffure des femmes
297 TextUniq| Condé-sur-Noireau. Vers 1820, écrivait Galleron, il y avait 3000
298 TextUniq| Jamais bonnet de coton, écrivait-elle, dans la Normandie illustrée,
299 TextUniq| sortes : bonnet blanc, bonnet écru, bonnet jaspé, bonnet de
300 TextUniq| féminin quelque chose d’effronté, qui en dégoûte involontairement.
301 TextUniq| le portèrent… même à l’église. Le clergé s’éleva contre
302 TextUniq| à l’église. Le clergé s’éleva contre cette négligence
303 TextUniq| aussi souvent Jeanneton elle-même.~ ~*~**~ ~A vraiment dire,
304 TextUniq| en 1859, à Cormeilles, un éloge spirituel du « bonnet de
305 TextUniq| signal d’une véritable petite émeute qui éclata en mai 1831 dans
306 TextUniq| moment donné sous le premier Empire, par exemple, le «bonnet
307 TextUniq| 1860, où 70 à 80 bonnetiers employaient jusqu’à 2.500.000 kilos
308 TextUniq| prix de la main-d’oeuvre employée : les journées d’ouvrier
309 TextUniq| femmes et enfants, étaient employées au dévidage des fils, au
310 TextUniq| fines et bien gravées de l’Encyclopédie de d’Alembert et Diderot,
311 TextUniq| de toute une bourgeoisie endormie et pacifique. On le voit
312 | enfin
313 TextUniq| laissant flotter en arrière enfoncé comme un polo de tennis
314 TextUniq| féminine trouvait moyen d’enjoliver, fut tellement à la mode,
315 | ensuite
316 TextUniq| coton » régna sur la France entière. Quand Béranger le chanta,
317 TextUniq| recouvrent souvent d’une enveloppe de toile qu’ils nouent et
318 TextUniq| dura pendant deux siècles environ, sous le roi Jean-le-Bon
319 TextUniq| trouvaient leur débit aux environs. En 1789, on fabriquait
320 TextUniq| bonnets blancs qui ne s’envolaient pas par-dessus les moulins,
321 TextUniq| impression désagréable que l’on éprouve à cette vue. »~ Tout le
322 TextUniq| ayant représenté en cet équipage, les rouliers, les charretiers,
323 TextUniq| question de savoir quelle fut l’ère géographique du « bonnet
324 TextUniq| le même bonnet. Quelques érudits ont même posé la question
325 TextUniq| Statistique sur Falaise estimait à 660.000 francs par an,
326 TextUniq| règne de Louis-Philippe, s’établit lui-même fabricant de «
327 TextUniq| existé, mais un peu à l’état d’exception, car le coton
328 | été
329 TextUniq| assez mal plissées, qui s’étendent des deux côtés de la figure.~
330 TextUniq| grands arbres d’un parc ou étendus sur l’herbe autour d’une
331 TextUniq| ce qui frappe le plus l’étranger qui s’arrête dans cette
332 | être
333 TextUniq| au Foulcq, près de Pont-l’Evêque, et les fabricants de Lisieux,
334 TextUniq| bonnet de coton » est évidemment dans cette toile, qui a
335 TextUniq| Bouilhet, l’ami de Flaubert qui excellait aux parodies et aux pastiches,
336 TextUniq| coton » existe encore et l’excellent Glossaire archéologique
337 TextUniq| à tout prendre, que des exceptions, variant un peu d’un siècle
338 TextUniq| intervention, on n’eut point d’excès à réprimer et les bonnetiers
339 TextUniq| aperçoit qu’il en a toujours existé, mais un peu à l’état d’
340 TextUniq| sous-vêtement. A Falaise existent encore les ateliers de MM.
341 TextUniq| années. Instruits par l’expérience, les industriels falaisiens
342 TextUniq| Cahaigne remporta alors à l’Exposition de Rouen de 1859, pour son
343 TextUniq| Cette méthode a l’avantage extrême~D’unir la grâce à la commodité.~
344 TextUniq| bonnets de coton », son extrémité ordinairement terminée en
345 TextUniq| Louis-Philippe, s’établit lui-même fabricant de « bonnets de coton ».~
346 TextUniq| de Pont-l’Evêque, et les fabricants de Lisieux, de Pont-d’Ouilly,
347 TextUniq| Ouilly, luttent avec la fabrique de Montrejeau, qui règne
348 TextUniq| bonnet de tricot, s’y est fabriqué. De tout temps, Falaise
349 TextUniq| une trentaine.~ Toutes ces fabriques étaient réparties à Falaise
350 TextUniq| une coiffure commode et facile, tenant bien à la tête pour
351 TextUniq| appartenant à de petits façonniers jaloux de conserver leur
352 TextUniq| placent sur leur tête de façons très différentes. C’est
353 TextUniq| bonnetiers ordinaires en faisaient une trentaine.~ Toutes ces
354 | faite
355 | faites
356 TextUniq| Jusqu’en 1831, le métier falaisien en usage était le métier
357 TextUniq| fut un temps où les usines falaisiennes étaient au nombre de 80.
358 TextUniq| alors surtout les ateliers familiers indépendants. En dehors
359 TextUniq| aimable, le caprice et la fantaisie de quelques aimables compères.
360 TextUniq| a écrit quelques jolies fantaisies littéraires, a prononcé
361 TextUniq| même et surtout dans le faubourg célèbre de Guibray, où se
362 | faut
363 TextUniq| coton» fut en une telle faveur que les Normandes l’accueillirent
364 TextUniq| donne d’ailleurs à un visage féminin quelque chose d’effronté,
365 TextUniq| coton» que la coquetterie féminine trouvait moyen d’enjoliver,
366 TextUniq| Amélie Bosquet – qui était femme et avait bien voix au chapitre –
367 TextUniq| joli visage et les jeunes fermières, les laitières sur leurs
368 TextUniq| paysannes du Bocage, restées fidèles aux anciens us, coiffent
369 TextUniq| étendent des deux côtés de la figure.~ Il faut que les femmes
370 TextUniq| les jeunes charretiers qui figurent dans la louée aux domestiques
371 TextUniq| qu’elles ont toutes des figures avenantes et fraîches. »~ ~*~**~ ~
372 TextUniq| application de la vapeur au filage fut faite seulement en 1835,
373 TextUniq| allait se substituer la filature purement mécanique. Lorsqu’
374 TextUniq| coton», où trois jeunes filles de Cormeilles remportèrent
375 TextUniq| à regarder les planches fines et bien gravées de l’Encyclopédie
376 TextUniq| Louis Bouilhet, l’ami de Flaubert qui excellait aux parodies
377 TextUniq| en avant, ou la laissant flotter en arrière enfoncé comme
378 TextUniq| débitait alors beaucoup aux foires de Guibray et de Caen.~
379 TextUniq| le métier carré français, fonctionnant très régulièrement, mais
380 TextUniq| ordinairement terminée en fond de sac, retombait sur un
381 TextUniq| Cloches de Corneville, qui font très bien revivre ces modes
382 | fort
383 TextUniq| ouvrier bonnetier les plus fortes étaient de 2 fr. et en moyenne
384 TextUniq| rois,~Bonnet pointu sied au fou comme au prêtre,~Mais le
385 TextUniq| bas-normands, M. David, au Foulcq, près de Pont-l’Evêque,
386 TextUniq| avaient besoin. Le reste était fourni par Rouen et Condé-sur-Noireau.
387 TextUniq| se remontèrent peu à peu, fournissant aux bonnetiers falaisiens,
388 TextUniq| des figures avenantes et fraîches. »~ ~*~**~ ~Il est vrai,
389 TextUniq| usage était le métier carré français, fonctionnant très régulièrement,
390 TextUniq| femmes du peuple est ce qui frappe le plus l’étranger qui s’
391 TextUniq| ateliers de MM. Ameline, Baloud frères, dont nous avons déjà parlé,
392 TextUniq| les préservant contre la froidure. Un seul défaut : elle ne
393 TextUniq| Le bonnet grec va bien au front d’un père~Et la couronne
394 TextUniq| négligence dans la tenue et fulmina contre le « bonnet de coton »,
395 TextUniq| donnaient, au contraire, une gaîté remuante et animée aux réunions
396 TextUniq| métiers. Si la police et la garde nationale n’étaient pas
397 TextUniq| Guillaume-le-Conquérant et du « Gars à la lanterne » fut la capitale
398 TextUniq| Normandie illustrée, n’a gâté joli visage et les jeunes
399 TextUniq| incliné à droite, ou à gauche, dressant sa mèche en avant,
400 TextUniq| Glossaire archéologique de Gay en représente un qui est
401 TextUniq| renversé en arrière ; les geindres ou aides des boulangers ;
402 TextUniq| fils, Léon Cahaigne et son gendre Baloud, dont la maison existe
403 TextUniq| une région, sa diffusion générale en un seul pays où toutes
404 TextUniq| siècle, l’intendant de la généralité parlait déjà des bonnets
405 TextUniq| casquettes de drap plates, de genre anglais. Mais il est encore
406 TextUniq| bonnet normand, mais tous les genres de tricots, de chandails,
407 TextUniq| l’air du Dieu des bonnes gens ! Voici ces strophes très
408 TextUniq| savoir quelle fut l’ère géographique du « bonnet de coton »,
409 TextUniq| jour,~A l’industrie, aux gloires paternelles~N’ayons de fers
410 TextUniq| existe encore et l’excellent Glossaire archéologique de Gay en
411 TextUniq| les bonnets cauchois, les gracieux bavolets, les calipettes,
412 TextUniq| mèche », réunis sous les grands arbres d’un parc ou étendus
413 TextUniq| les planches fines et bien gravées de l’Encyclopédie de d’Alembert
414 TextUniq| mode de coiffure dans les gravures de la Monarchie française
415 TextUniq| Temple des lois.~Le bonnet grec va bien au front d’un père~
416 TextUniq| avant d’être la cité de Guillaume-le-Conquérant et du « Gars à la lanterne »
417 TextUniq| ailleurs, que sur leur visage hâlé par le soleil et par le
418 TextUniq| Caux, qui amenaient aux Halles de Rouen, les tissus, les
419 TextUniq| peu à peu, remplacé par la haute casquette de soie que portaient
420 TextUniq| voit alors par le crayon d’Henri Monnier, coiffer Joseph
421 TextUniq| un parc ou étendus sur l’herbe autour d’une table somptueusement
422 TextUniq| coton», il modifia, toujours heureusement, le métier rond : il fut
423 TextUniq| nous venons de conter l’histoire.~ ~
424 TextUniq| bonnet de laine. Pour l’homme travaillant aux champs,
425 TextUniq| manèges et par des chutes hydrauliques. La première application
426 | ici
427 TextUniq| écrivait-elle, dans la Normandie illustrée, n’a gâté joli visage et
428 TextUniq| comme Argan, dans le Malade Imaginaire. Que de peintres, que d’
429 TextUniq| un certain Jouve avait imaginé de fabriquer pour certains
430 TextUniq| adopter le «bonnet de coton», imitant ainsi les matelots et les
431 TextUniq| bruns ou d’écrus. Il est impossible de rendre l’impression désagréable
432 TextUniq| est impossible de rendre l’impression désagréable que l’on éprouve
433 TextUniq| les manières de le porter, incliné à droite, ou à gauche, dressant
434 TextUniq| jaloux de conserver leur indépendance. On fabriquait alors 2.380.
435 TextUniq| surtout les ateliers familiers indépendants. En dehors des filatures
436 TextUniq| nuit, une coiffure souvent individuelle. Les bons bourgeois qui
437 TextUniq| le Calvados agricole et industriel, publié en 1918, constate
438 TextUniq| Instruits par l’expérience, les industriels falaisiens se résignèrent
439 TextUniq| dura plus de vingt années. Instruits par l’expérience, les industriels
440 TextUniq| aux champs, bravant les intempéries, les vents, les ouragans,
441 TextUniq| la fin du XVIIe siècle, l’intendant de la généralité parlait
442 TextUniq| coiffure de travail. Cela n’interdisait pas le port des belles coiffes
443 TextUniq| ainsi représentés dans leurs intérieurs, auprès de leur chevalet,
444 TextUniq| pièces. Grâce à cette prompte intervention, on n’eut point d’excès
445 TextUniq| nationale n’étaient pas intervenues, le métier trop actif aurait
446 TextUniq| leur chevalet, dans leur intimité, tandis que la perruque
447 TextUniq| alors, au lendemain de l’invention de Bertholet, se trouvaient
448 TextUniq| effronté, qui en dégoûte involontairement. Il y a des femmes qui vont
449 TextUniq| n’en doutons pas, mon ma[ître]~Le bonnet de coton (bis) ~
450 | j
451 TextUniq| appartenant à de petits façonniers jaloux de conserver leur indépendance.
452 | Jamais
453 TextUniq| blanc, bonnet écru, bonnet jaspé, bonnet de roulier ou de
454 TextUniq| siècles environ, sous le roi Jean-le-Bon et sous son fils Charles
455 TextUniq| la coiffure préférée de Jean-sans-Peur et c’est elle qu’il porte
456 TextUniq| Yvetot et aussi souvent Jeanneton elle-même.~ ~*~**~ ~A vraiment
457 TextUniq| tricots, de chandails, de jerseys, de sweaters, tout ce qu’
458 TextUniq| normands, a représenté une Jeune servante de Carentan portant
459 TextUniq| était rare et peu connu. Joinville dit cependant dans sa chronique
460 TextUniq| Normandie illustrée, n’a gâté joli visage et les jeunes fermières,
461 TextUniq| d’Henri Monnier, coiffer Joseph Prudhomme, et Jérôme Paturot,
462 TextUniq| main-d’oeuvre employée : les journées d’ouvrier bonnetier les
463 TextUniq| bas-normands, puis de nos jours par les casquettes de drap
464 TextUniq| cette époque, un certain Jouve avait imaginé de fabriquer
465 TextUniq| Aumale, un symbole de vie joyeuse et aimable, le caprice et
466 TextUniq| ébat toute une compagnie de joyeux viveurs, coiffés tous du «
467 TextUniq| employaient jusqu’à 2.500.000 kilos de coton par année pour
468 | là
469 TextUniq| Saint-Laurent et du Moulin-Elie. MM. Lagniel-Carrel ne tardèrent pas à suivre
470 TextUniq| sa mèche en avant, ou la laissant flotter en arrière enfoncé
471 TextUniq| les jeunes fermières, les laitières sur leurs ânes, les attrayantes
472 TextUniq| un délicieux tableau de Lancret, qu’on appelle Les Bonnets
473 TextUniq| Guillaume-le-Conquérant et du « Gars à la lanterne » fut la capitale du « bonnet
474 TextUniq| bonnetiers, un métier plus large sur lequel on pouvait confectionner
475 TextUniq| et Jérôme Paturot, qui las d’avoir parcouru vingt carrières
476 TextUniq| seulement en 1835, par M. Lebaillif, aux filatures de Saint-Laurent
477 TextUniq| bonnets de coton» et, en 1806, Leclerc dans sa Statistique sur
478 TextUniq| agricoles et notre concitoyen Lefebvre-Duruflé, qui a écrit quelques jolies
479 TextUniq| Ante où la blanchisserie Lefez blanchissait 20.000 douzaines
480 TextUniq| comme on disait alors, au lendemain de l’invention de Bertholet,
481 TextUniq| très régulièrement, mais lent et ne permettant la fabrication
482 TextUniq| médaille de vermeil. Son fils, Léon Cahaigne et son gendre Baloud,
483 TextUniq| un métier plus large sur lequel on pouvait confectionner
484 TextUniq| ou bonnets de coton, au lieu de dresser leur pointe en
485 TextUniq| Evêque, et les fabricants de Lisieux, de Pont-d’Ouilly, luttent
486 TextUniq| quelques jolies fantaisies littéraires, a prononcé en 1859, à Cormeilles,
487 TextUniq| Auguste Nicolas dans son livre sur le Calvados agricole
488 | loin
489 TextUniq| carrés sont au Temple des lois.~Le bonnet grec va bien
490 TextUniq| suivre cet exemple et dès lors la bonneterie de Falaise
491 TextUniq| charretiers qui figurent dans la louée aux domestiques du premier
492 TextUniq| carrières sous le règne de Louis-Philippe, s’établit lui-même fabricant
493 TextUniq| Louis-Philippe, s’établit lui-même fabricant de « bonnets de
494 TextUniq| Lisieux, de Pont-d’Ouilly, luttent avec la fabrique de Montrejeau,
495 | ma
496 TextUniq| avantages de la nouvelle machine et l’adoptèrent. Bientôt
497 TextUniq| petite émeute qui éclata en mai 1831 dans tous les ateliers
498 TextUniq| était le bas prix de la main-d’oeuvre employée : les journées
499 TextUniq| son gendre Baloud, dont la maison existe toujours, perfectionna
500 TextUniq| couleurs comme Argan, dans le Malade Imaginaire. Que de peintres,
|