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Gorge Dubosc
Le bonnet de coton en Normandie

IntraText - Concordances

(Hapax Legomena)


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501 TextUniq| machines à filer, mues par les manèges et par des chutes hydrauliques. 502 TextUniq| coton », avait su varier les manières de le porter, incliné à 503 TextUniq| de soie que portaient les maquignons, les marchands de bestiaux 504 TextUniq| portaient les maquignons, les marchands de bestiaux bas-normands, 505 TextUniq| villageoises qui se rendaient aux marchés, n’étaient que plus séduisantes 506 TextUniq| bonnet de roulier ou de marin. Louis Cahaigne remporta 507 TextUniq| rayées de bleu de la marine française, qui avaient remplacé 508 TextUniq| ainsi les matelots et les marins, qui avant de se coiffer 509 TextUniq| usèrent longtemps : les marmitons, les aides de cuisine, qui 510 TextUniq| coton», imitant ainsi les matelots et les marins, qui avant 511 TextUniq| plus grande partie de la matière, dont ils avaient besoin. 512 TextUniq| Crespin, Dubois, Louis Duclos, Maurice Renaux. Nous en passons 513 | Me 514 TextUniq| substituer la filature purement mécanique. Lorsqu’arrivèrent d’Angleterre 515 TextUniq| deux chutes, une grande médaille de vermeil. Son fils, Léon 516 TextUniq| Cahaigne, physionomie rude et méditative d’inventeur, au visage rasé 517 TextUniq| Nous en passons et des meilleurs ! Du reste, dans la même 518 TextUniq| la mèche de côté,~Cette méthode a l’avantage extrême~D’unir 519 TextUniq| ta chanson,~Où tous ici mettront sur leurs oreilles,~Le bonnet 520 TextUniq| il porte dans toutes les miniatures où il est représenté. Au 521 TextUniq| métier trop actif aurait été mis en pièces. Grâce à cette 522 TextUniq| accroches-coeur séduisants. Mlle Amélie Bosquet – qui était 523 TextUniq| qui est tout semblable aux modèles classiques d’aujourdhui.~ 524 TextUniq| font très bien revivre ces modes d’autrefois. Jugez-en par 525 TextUniq| du «bonnet de coton», il modifia, toujours heureusement, 526 TextUniq| bonnet que j’aime~Souple et moelleux, la mèche de côté,~Cette 527 | mon 528 TextUniq| dans les gravures de la Monarchie française de Monfaucon, 529 | monde 530 TextUniq| la Monarchie française de Monfaucon, car ce « bonnet de coton » 531 TextUniq| alors par le crayon d’Henri Monnier, coiffer Joseph Prudhomme, 532 TextUniq| luttent avec la fabrique de Montrejeau, qui règne sur tout le Midi. 533 TextUniq| filatures de Saint-Laurent et du Moulin-Elie. MM. Lagniel-Carrel ne tardèrent 534 TextUniq| envolaient pas par-dessus les moulins, au milieu de la verdure, 535 TextUniq| coquetterie féminine trouvait moyen d’enjoliver, fut tellement 536 TextUniq| usaient comme les artisans du moyen-âge et leur bonnet de coton 537 TextUniq| fortes étaient de 2 fr. et en moyenne de 1 fr. Les petits enfants, 538 TextUniq| adopter les machines à filer, mues par les manèges et par des 539 TextUniq| Mais bientôt, au coton nécessaire à la fabrication, filé à 540 TextUniq| clergé s’éleva contre cette négligence dans la tenue et fulmina 541 TextUniq| Falaise était réduite à neuf usines qui répondaient cependant 542 TextUniq| nombre de 80. M. Auguste Nicolas dans son livre sur le Calvados 543 TextUniq| ils nouent et parent d’un noeud de ruban de couleurs comme 544 TextUniq| découvrant des bandeaux noirs et des accroches-coeur séduisants. 545 TextUniq| 391.000 francs. Mais de nombreuses filatures, sans compter 546 TextUniq| bien à la tête pour les nombreux artisans des corps de métier. 547 | non 548 TextUniq| une telle faveur que les Normandes l’accueillirent aussi avec 549 TextUniq| confins de la Picardie, notamment dans le Sancerre.~ A quelle 550 TextUniq| enveloppe de toile qu’ils nouent et parent d’un noeud de 551 TextUniq| forme de béguins tricotés et noués sous le cou, que recouvrait 552 TextUniq| grand inventeur des métiers nouveaux, le grand créateur et propagateur 553 | nouvelle 554 TextUniq| bourgeoise, une coiffure de nuit, une coiffure souvent individuelle. 555 TextUniq| étaient charmantes. A l’occasion de ce comice, il y eut même 556 TextUniq| tout un peuple d’artisans, occupé à mille métiers divers et 557 TextUniq| le bas prix de la main-d’oeuvre employée : les journées 558 TextUniq| était pas du tout de la même opinion que le sévère Galleron :~ « 559 TextUniq| de coton », son extrémité ordinairement terminée en fond de sac, 560 TextUniq| tandis que les bonnetiers ordinaires en faisaient une trentaine.~ 561 TextUniq| dire, si on recherche les origines du « bonnet de coton » on 562 TextUniq| inventeur, au visage rasé et osseux, aux regards profonds. Ce 563 TextUniq| conserver cette mode qui leur ôte toute grâce. Une Vénus en « 564 TextUniq| fabricants de Lisieux, de Pont-d’Ouilly, luttent avec la fabrique 565 TextUniq| intempéries, les vents, les ouragans, c’est une coiffure adhérente 566 TextUniq| employée : les journées d’ouvrier bonnetier les plus fortes 567 TextUniq| qui ne s’envolaient pas par-dessus les moulins, au milieu de 568 TextUniq| sous les grands arbres d’un parc ou étendus sur l’herbe autour 569 TextUniq| Paturot, qui las d’avoir parcouru vingt carrières sous le 570 TextUniq| coiffées du «bonnet de coton», paré d’un ruban de velours ou 571 TextUniq| de toile qu’ils nouent et parent d’un noeud de ruban de couleurs 572 TextUniq| intendant de la généralité parlait déjà des bonnets qu’on fabriquait 573 TextUniq| frères, dont nous avons déjà parlé, Vve Barthélemy, Crespin, 574 TextUniq| laine » se répandit bientôt parmi les artisans et devint une 575 TextUniq| Flaubert qui excellait aux parodies et aux pastiches, a chanté 576 TextUniq| Tout le monde n’a pas partagé cet avis. La Normande, au 577 TextUniq| compter quelques métiers particuliers appartenant à de petits 578 TextUniq| falaisiens, la plus grande partie de la matière, dont ils 579 TextUniq| y eut en Normandie deux partis : l’un « antibonnet de coton » 580 TextUniq| cette coiffure blanche ne parût pas très seyante. C’était 581 TextUniq| Maurice Renaux. Nous en passons et des meilleurs ! Du reste, 582 TextUniq| excellait aux parodies et aux pastiches, a chanté Le Bonnet de coton, 583 TextUniq| l’industrie, aux gloires paternelles~N’ayons de fers que les 584 TextUniq| Joseph Prudhomme, et Jérôme Paturot, qui las d’avoir parcouru 585 TextUniq| et par le vent, bien des paysannes du Bocage, restées fidèles 586 TextUniq| retenant des cheveux mal peignés qui s’échappent de différents 587 TextUniq| de coton » aurait de la peine à se faire regarder. Cette 588 TextUniq| propice~Et sur son coeur, Pénélope, dit-on,~Comme une armure 589 TextUniq| bonnet de coton » de nos pères, dont nous venons de conter 590 TextUniq| maison existe toujours, perfectionna et améliora sans cesse toute 591 TextUniq| régulièrement, mais lent et ne permettant la fabrication du « bonnet 592 TextUniq| est par eux qu’il s’était perpétué dans quelques corporations, 593 TextUniq| intimité, tandis que la perruque poudrée de cérémonie attend 594 TextUniq| écrus. Alors plus de 1.700 personnes, femmes et enfants, étaient 595 TextUniq| le signal d’une véritable petite émeute qui éclata en mai 596 | peut 597 TextUniq| coton » fut Louis Cahaigne, physionomie rude et méditative d’inventeur, 598 TextUniq| coton » qu’à raison d’une pièce par chaîne. A cette époque, 599 TextUniq| actif aurait été mis en pièces. Grâce à cette prompte intervention, 600 TextUniq| cérémonie attend sur un « pied » où elle est posée ! Il 601 TextUniq| bonnet de coton », qu’ils placent sur leur tête de façons 602 TextUniq| accueillirent aussi avec plaisir, bien qu’à première vue, 603 TextUniq| n’y a qu’à regarder les planches fines et bien gravées de 604 TextUniq| lorsqu’ils badigeonnaient en plein air, aimaient cette coiffure 605 TextUniq| barbes plates assez mal plissées, qui s’étendent des deux 606 TextUniq| ne préservait pas de la pluie, mais les paysans en usaient 607 TextUniq| Galleron, qui a écrit plusieurs volumes sur Falaise et son 608 TextUniq| des bouteilles~Me dit : « Poète, achève ta chanson,~Où tous 609 TextUniq| au lieu de dresser leur pointe en l’air, étaient taillés 610 TextUniq| bonnet des rois,~Bonnet pointu sied au fou comme au prêtre,~ 611 TextUniq| Bonnetiers-Aumussiers, qui avait la forme pointue des « bonnets de coton », 612 TextUniq| bruit des métiers. Si la police et la garde nationale n’ 613 TextUniq| arrière enfoncé comme un polo de tennis ou découvrant 614 TextUniq| fabricants de Lisieux, de Pont-d’Ouilly, luttent avec la 615 TextUniq| David, au Foulcq, près de Pont-l’Evêque, et les fabricants 616 TextUniq| Cela n’interdisait pas le port des belles coiffes aux ailes 617 TextUniq| haute casquette de soie que portaient les maquignons, les marchands 618 TextUniq| Jeune servante de Carentan portant crânement le «bonnet de 619 TextUniq| Jean-sans-Peur et c’est elle qu’il porte dans toutes les miniatures 620 TextUniq| mode, que les femmes, le portèrentmême à l’église. Le clergé 621 TextUniq| charretiers, les anciens porteux du pays de Caux, qui amenaient 622 TextUniq| Quelques érudits ont même posé la question de savoir quelle 623 TextUniq| un « pied » où elle est posée ! Il est un délicieux tableau 624 TextUniq| tandis que la perruque poudrée de cérémonie attend sur 625 TextUniq| spécialité de jadis qui, pourtant, n’a point encore disparu 626 TextUniq| qui les préserve de la poussière.~ ~*~**~ ~Les paysans normands 627 TextUniq| plus large sur lequel on pouvait confectionner des « bonnets 628 TextUniq| arrivèrent d’Angleterre les précieuses machines à filer, les bonnetiers 629 TextUniq| aussi l’avis de Lanté, le précieux et fin dessinateur des Costumes 630 TextUniq| tête. C’était la coiffure préférée de Jean-sans-Peur et c’est 631 TextUniq| Ce ne sont là, à tout prendre, que des exceptions, variant 632 | près 633 TextUniq| Un seul défaut : elle ne préservait pas de la pluie, mais les 634 TextUniq| couvrant les oreilles et les préservant contre la froidure. Un seul 635 TextUniq| bleu ou de rouge, qui les préserve de la poussière.~ ~*~**~ ~ 636 | presque 637 TextUniq| pointu sied au fou comme au prêtre,~Mais le bonnet qu’aurait 638 TextUniq| car ce « bonnet de coton » primitif dura pendant deux siècles 639 TextUniq| de coton » et l’autre « probonnet de coton » ! Galleron, qui 640 TextUniq| rasé et osseux, aux regards profonds. Ce fut, en réalité, le 641 TextUniq| en pièces. Grâce à cette prompte intervention, on n’eut point 642 TextUniq| fantaisies littéraires, a prononcé en 1859, à Cormeilles, un 643 TextUniq| coton ». Après un voyage de propagande en Picardie, où on usait 644 TextUniq| nouveaux, le grand créateur et propagateur du « bonnet de coton » fut 645 TextUniq| amour vrai le bonnet est propice~Et sur son coeur, Pénélope, 646 TextUniq| Monnier, coiffer Joseph Prudhomme, et Jérôme Paturot, qui 647 TextUniq| agricole et industriel, publié en 1918, constate que l’ 648 TextUniq| se substituer la filature purement mécanique. Lorsqu’arrivèrent 649 TextUniq| le « bonnet de coton », qualifié de « coiffure abominable. »~ 650 TextUniq| les prix variant selon la qualité du coton ou le nombre des 651 | Quand 652 TextUniq| fabriqués à deux, trois, quatre ou cinq fils, les prix variant 653 | quel 654 | quelque 655 TextUniq| érudits ont même posé la question de savoir quelle fut l’ère 656 | quoi 657 TextUniq| fabrication, recevaient un salaire quotidien de 30 à 40 centimes. Ils 658 TextUniq| au dévidage des fils, au raccommodage et au cousage. Les « bonnets 659 TextUniq| bonnet de coton » qu’à raison d’une pièce par chaîne. 660 TextUniq| ajustement sans apprêt, fort rapide. Et puis le « bonnet de 661 TextUniq| exception, car le coton était rare et peu connu. Joinville 662 TextUniq| méditative d’inventeur, au visage rasé et osseux, aux regards profonds. 663 TextUniq| court bonnet de couleur, rayé de bleu ou de rouge, qui 664 TextUniq| chemises de coton tricot », rayées de bleu de la marine française, 665 TextUniq| regards profonds. Ce fut, en réalité, le père du « bonnet de 666 TextUniq| aussi à cette fabrication, recevaient un salaire quotidien de 667 TextUniq| A vraiment dire, si on recherche les origines du « bonnet 668 TextUniq| bonnetiers ne tardèrent pas à reconnaître les avantages de la nouvelle 669 TextUniq| et noués sous le cou, que recouvrait ensuite un chaperon de feutre. 670 TextUniq| bourgeois qui en usent la recouvrent souvent d’une enveloppe 671 TextUniq| transformer le mouvement rectiligne et alternatif du métier 672 TextUniq| normands, qui, dans son recueil de coiffes et de bonnets 673 TextUniq| industrie de Falaise était réduite à neuf usines qui répondaient 674 TextUniq| bonnetiers de Guibray se refusèrent à en faire usage. Il en 675 TextUniq| visage rasé et osseux, aux regards profonds. Ce fut, en réalité, 676 TextUniq| où le « bonnet de coton » régna sur la France entière. Quand 677 TextUniq| français, fonctionnant très régulièrement, mais lent et ne permettant 678 TextUniq| les filatures à bras se remontèrent peu à peu, fournissant aux 679 TextUniq| décliné et Falaise a dû remplacer par  d’autres tissus, sa 680 TextUniq| de marin. Louis Cahaigne remporta alors à l’Exposition de 681 TextUniq| jeunes filles de Cormeilles remportèrent le prix. Sait-on aussi que 682 TextUniq| au contraire, une gaîté remuante et animée aux réunions campagnardes. »~ 683 TextUniq| Dubois, Louis Duclos, Maurice Renaux. Nous en passons et des 684 TextUniq| attrayantes villageoises qui se rendaient aux marchés, n’étaient que 685 TextUniq| écrus. Il est impossible de rendre l’impression désagréable 686 TextUniq| portent le bonnet de coton, renversé en arrière ; les geindres 687 TextUniq| Toutes ces fabriques étaient réparties à Falaise même et surtout 688 TextUniq| réduite à neuf usines qui répondaient cependant à toutes les commandes 689 TextUniq| archéologique de Gay en représente un qui est tout semblable 690 TextUniq| que d’artistes sont ainsi représentés dans leurs intérieurs, auprès 691 TextUniq| on n’eut point d’excès à réprimer et les bonnetiers ne tardèrent 692 TextUniq| industriels falaisiens se résignèrent enfin à adopter les machines 693 TextUniq| coton», dont la blancheur ressort sur le bronze de leur teint. 694 TextUniq| des paysannes du Bocage, restées fidèles aux anciens us, 695 TextUniq| à en faire usage. Il en résulta une crise causée par la 696 TextUniq| les têtes ; tantôt sale et retenant des cheveux mal peignés 697 TextUniq| les ateliers de Guibrayretentissait le bruit des métiers. Si 698 TextUniq| terminée en fond de sac, retombait sur un des côtés ou sur 699 TextUniq| gaîté remuante et animée aux réunions campagnardes. »~ C’était 700 TextUniq| tous du « casque à mèche », réunis sous les grands arbres d’ 701 TextUniq| Corneville, qui font très bien revivre ces modes d’autrefois. Jugez-en 702 TextUniq| siècles environ, sous le roi Jean-le-Bon et sous son 703 TextUniq| couronne est le bonnet des rois,~Bonnet pointu sied au fou 704 TextUniq| heureusement, le métier rond : il fut même un temps, 705 TextUniq| tissus, les cotonnades, les rouenneries, les siamoises des tisserands 706 TextUniq| couleur, rayé de bleu ou de rouge, qui les préserve de la 707 TextUniq| bonnet jaspé, bonnet de roulier ou de marin. Louis Cahaigne 708 TextUniq| représenté en cet équipage, les rouliers, les charretiers, les anciens 709 TextUniq| qui couronnait jadis le Roy d’Yvetot et aussi souvent 710 TextUniq| Louis Cahaigne, physionomie rude et méditative d’inventeur, 711 TextUniq| se trouvaient non loin du ruisseau de Traine-feuille ou au 712 TextUniq| séduisantes sous ce bonnet d’une rusticité charmante. Tous ces bonnets 713 TextUniq| ordinairement terminée en fond de sac, retombait sur un des côtés 714 TextUniq| santé des belles,~Au sol sacré qui nous donne le jour,~ 715 TextUniq| cependant dans sa chronique que saint Louis « avait vestu un chapel 716 TextUniq| Lebaillif, aux filatures de Saint-Laurent et du Moulin-Elie. MM. Lagniel-Carrel 717 TextUniq| Cormeilles remportèrent le prix. Sait-on aussi que Louis Bouilhet, 718 TextUniq| fabrication, recevaient un salaire quotidien de 30 à 40 centimes. 719 TextUniq| toutes les têtes ; tantôt sale et retenant des cheveux 720 TextUniq| Picardie, notamment dans le Sancerre.~ A quelle époque commença 721 TextUniq| Buvons, amis, à la santé des belles,~Au sol sacré 722 TextUniq| Mais quoi ?... l’Aï qui saute des bouteilles~Me dit : « 723 | savoir 724 TextUniq| marchés, n’étaient que plus séduisantes sous ce bonnet d’une rusticité 725 TextUniq| noirs et des accroches-coeur séduisants. Mlle Amélie Bosquet – qui 726 | selon 727 TextUniq| représente un qui est tout semblable aux modèles classiques d’ 728 TextUniq| adhérente qu’on peut doubler, serrant bien la tête, couvrant les 729 TextUniq| a représenté une Jeune servante de Carentan portant crânement 730 TextUniq| une table somptueusement servie. Le « bonnet de coton » 731 | seulement 732 TextUniq| de la même opinion que le sévère Galleron :~ « Jamais bonnet 733 TextUniq| blanche ne parût pas très seyante. C’était pour elles toutefois 734 TextUniq| cotonnades, les rouenneries, les siamoises des tisserands à la main. 735 TextUniq| primitif dura pendant deux siècles environ, sous le roi Jean-le-Bon 736 TextUniq| des rois,~Bonnet pointu sied au fou comme au prêtre,~ 737 TextUniq| un seul côté. Ce fut le signal d’une véritable petite émeute 738 TextUniq| elles toutefois une coiffure simple, peu coûteuse, d’un ajustement 739 TextUniq| la santé des belles,~Au sol sacré qui nous donne le 740 TextUniq| leur visage hâlé par le soleil et par le vent, bien des 741 TextUniq| aimaient cette coiffure solide ; les déménageurs qui arborent 742 TextUniq| herbe autour d’une table somptueusement servie. Le « bonnet de coton » 743 TextUniq| pour des bonnets de toutes sortes : bonnet blanc, bonnet écru, 744 TextUniq| est le bonnet que j’aime~Souple et moelleux, la mèche de 745 TextUniq| on appelle aujourdhui le sous-vêtement. A Falaise existent encore 746 TextUniq| autres tissus, sa vieille spécialité de jadis qui, pourtant, 747 TextUniq| à Cormeilles, un éloge spirituel du « bonnet de coton ». 748 TextUniq| en 1806, Leclerc dans sa Statistique sur Falaise estimait à 660. 749 TextUniq| bonnes gens ! Voici ces strophes très peu connues :~~Il est 750 TextUniq| bonnet de coton », avait su varier les manières de le 751 TextUniq| main sur place, allait se substituer la filature purement mécanique. 752 TextUniq| fabrication des bonnets qui, par suite de la crise commerciale, 753 TextUniq| Lagniel-Carrel ne tardèrent pas à suivre cet exemple et dès lors 754 TextUniq| chandails, de jerseys, de sweaters, tout ce qu’on appelle aujourd’ 755 | ta 756 TextUniq| sur l’herbe autour d’une table somptueusement servie. Le « 757 TextUniq| posée ! Il est un délicieux tableau de Lancret, qu’on appelle 758 TextUniq| pointe en l’air, étaient taillés en forme de béguins tricotés 759 TextUniq| améliora sans cesse toute cette technique de la bonneterie, qui ne 760 TextUniq| ressort sur le bronze de leur teint. Comment hommes et femmes, 761 TextUniq| bonnet de coton» fut en une telle faveur que les Normandes 762 TextUniq| trouvait moyen d’enjoliver, fut tellement à la mode, que les femmes, 763 TextUniq| Bonnets carrés sont au Temple des lois.~Le bonnet grec 764 TextUniq| coiffure commode et facile, tenant bien à la tête pour les 765 TextUniq| enfoncé comme un polo de tennis ou découvrant des bandeaux 766 TextUniq| cette négligence dans la tenue et fulmina contre le « bonnet 767 TextUniq| extrémité ordinairement terminée en fond de sac, retombait 768 TextUniq| choix de bonnets sur la terre :~Bonnets carrés sont au 769 TextUniq| Texte~Pendant longtemps, le « 770 TextUniq| rouenneries, les siamoises des tisserands à la main. Tous ces artisans 771 TextUniq| crise commerciale, devait tomber, en 1812, à 391.000 francs. 772 | tour 773 TextUniq| métiers était M. Jérôme Toutain. Mais bientôt, au coton 774 TextUniq| seyante. C’était pour elles toutefois une coiffure simple, peu 775 TextUniq| non loin du ruisseau de Traine-feuille ou au Val d’Ante où la blanchisserie 776 TextUniq| Bientôt aussi, on arriva à transformer le mouvement rectiligne 777 TextUniq| était une coiffure de travail. Cela n’interdisait pas 778 TextUniq| bonnet de laine. Pour l’homme travaillant aux champs, bravant les 779 TextUniq| ordinaires en faisaient une trentaine.~ Toutes ces fabriques étaient 780 TextUniq| taillés en forme de béguins tricotés et noués sous le cou, que 781 TextUniq| mais tous les genres de tricots, de chandails, de jerseys, 782 TextUniq| Depuis ces temps de triomphe, « le bonnet de coton » 783 | trop 784 TextUniq| la coquetterie féminine trouvait moyen d’enjoliver, fut tellement 785 TextUniq| un chaperon de feutre. On trouve mille exemple de ce mode 786 TextUniq| une armure avait de son Ulysse~Le bonnet de coton (bis)        ~ 787 TextUniq| méthode a l’avantage extrême~D’unir la grâce à la commodité.~ 788 TextUniq| adoptèrent-ils cette mode universelle du pacifique « cascamèche » ? 789 TextUniq| restées fidèles aux anciens us, coiffent encore le «bonnet 790 TextUniq| propagande en Picardie, où on usait aussi du «bonnet de coton», 791 TextUniq| Les bons bourgeois qui en usent la recouvrent souvent d’ 792 TextUniq| quelques corporations, qui en usèrent longtemps : les marmitons, 793 | V 794 | va 795 TextUniq| de Traine-feuille ou au Val d’Ante où la blanchisserie 796 TextUniq| première application de la vapeur au filage fut faite seulement 797 TextUniq| bonnet de coton », avait su varier les manières de le porter, 798 TextUniq| mille métiers divers et variés, attentifs à leur besogne, 799 TextUniq| coton», paré d’un ruban de velours ou de soie, étaient charmantes. 800 TextUniq| de nos pères, dont nous venons de conter l’histoire.~ ~ 801 TextUniq| par le soleil et par le vent, bien des paysannes du Bocage, 802 TextUniq| bravant les intempéries, les vents, les ouragans, c’est une 803 TextUniq| leur ôte toute grâce. Une Vénus en « bonnet de coton » aurait 804 TextUniq| moulins, au milieu de la verdure, donnaient, au contraire, 805 TextUniq| Ce fut le signal d’une véritable petite émeute qui éclata 806 TextUniq| une grande médaille de vermeil. Son fils, Léon Cahaigne 807 TextUniq| que saint Louis « avait vestu un chapel de coton sur sa 808 TextUniq| d’Aumale, un symbole de vie joyeuse et aimable, le caprice 809 TextUniq| par  d’autres tissus, sa vieille spécialité de jadis qui, 810 TextUniq| leurs ânes, les attrayantes villageoises qui se rendaient aux marchés, 811 TextUniq| qui s’arrête dans cette ville. Il voit le bonnet de coton 812 TextUniq| une compagnie de joyeux viveurs, coiffés tous du « casque 813 TextUniq| du Dieu des bonnes gens ! Voici ces strophes très peu connues :~~ 814 TextUniq| était femme et avait bien voix au chapitre – n’était pas 815 TextUniq| qui sur leurs échafaudages volants, lorsqu’ils badigeonnaient 816 TextUniq| Galleron, qui a écrit plusieurs volumes sur Falaise et son arrondissement, 817 TextUniq| involontairement. Il y a des femmes qui vont jusqu’à en porter de bruns 818 TextUniq| bonnet de coton ». Après un voyage de propagande en Picardie, 819 TextUniq| Jeanneton elle-même.~ ~*~**~ ~A vraiment dire, si on recherche les 820 TextUniq| dont nous avons déjà parlé, Vve Barthélemy, Crespin, Dubois, 821 TextUniq| où il est représenté. Au XIIIe siècle, le « bonnet de coton » 822 TextUniq| tour, vers le milieu du XVIIIe siècle, adopter le «bonnet 823 TextUniq| couronnait jadis le Roy d’Yvetot et aussi souvent Jeanneton


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