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Gorge Dubosc
Les Cheveux "à la Jeanne d’Arc"

IntraText - Concordances

(Hapax Legomena)


11-peint | penda-yeux

    Chapitre
1 TextUniq| Corinthiens, paragraphe 11, ainsi formulée : « Toute 2 | 12 3 TextUniq| commencement du XVe siècle, vers 1420, on se mit, chez les hommes, 4 TextUniq| époque de Jeanne d’Arc, en 1427.~ Le chanoine avait voulu, 5 TextUniq| habitants de Riom, le 9 novembre 1429, qui fut découverte en 1844 6 TextUniq| du Champion des Dames, de 1440, d’un contemporain, Martin 7 TextUniq| sur bois de l’édition de 1487 des Vigiles du roi Charles 8 TextUniq| claris mulieribus, paru en 1497, « elle était très forte, 9 | 16 10 TextUniq| Léonard Bourdon, en septembre 1792, s’en emparèrent et le détruisirent 11 | 18 12 TextUniq| qui se perpétua jusqu’en 1830. Du reste, ce capuce qu’ 13 TextUniq| 1429, qui fut découverte en 1844 aux Archives municipales 14 TextUniq| revint de nos jours, vers 1880, sous le nom de « cheveux 15 TextUniq| disparu. Francis Perot, en 1889, écrivait au chanoine Th. 16 TextUniq| armavit. (Procès, T. I. 221).~ Sans prévoir dès à présent 17 TextUniq| anathème. » (Procès T. 1, p. 223) On retrouve encore ce grief 18 TextUniq| pileos. (Procès. T. I. p. 224) et en un autre article 19 TextUniq| Histoire du costume (p. 256), indique que vers le commencement 20 TextUniq| Revue historique. T. II, p. 328, année 1877), la chronique 21 TextUniq| muliebris. (Procès T. 1., p. 449). Dans la formule en français, 22 | 9 23 TextUniq| accorda la permission d’abandonner l’habit de femme : « Ayant 24 TextUniq| interdit par la loi divine, abominable à Dieu et aux hommes et 25 TextUniq| bien qu’avec « une grande abomination », lui accorda la permission 26 TextUniq| coupés et la barbe rasée, abrasis barbis et les pieds nus. »~ 27 TextUniq| Rouen portant les cheveux absolument tondus, tradition qui se 28 TextUniq| les champs, où elle avait accepté de revêtir l’habit de femme 29 TextUniq| tempes, en même temps qu’il accommodait le visage sur lequel aucun 30 TextUniq| une façon très simple d’accommoder sa chevelure. Chevauchant 31 TextUniq| grande abomination », lui accorda la permission d’abandonner 32 TextUniq| de l’Acte d’accusation. L’accusateur considère ce fait de porter 33 TextUniq| XII et XIII de l’Acte d’accusation. L’accusateur considère 34 TextUniq| Musée historique d’Orléans, acquise à Lucerne, et dans une peinture 35 TextUniq| article XII et XIII de l’Acte d’accusation. L’accusateur 36 TextUniq| rond, comme les portent actuellement les jeunes femmes et les 37 TextUniq| appartenu à Jeanne d’Arc. Il est admis, en effet, que d’après une 38 TextUniq| sébille, furent d’abord adoptés par les jeunes valets, les 39 TextUniq| A une lettre que Jeanne adressa aux habitants de Riom, le 40 TextUniq| Rien ne reste donc que l’affirmation du moine italien, soixante-dix 41 TextUniq| toute contestation. Elle affirme, en effet, que la Pucelle 42 TextUniq| Arc en Bourbonnais, l’a affirmé, mais M. de Mateyssie, bien 43 TextUniq| moyen âge, on insérait, pour affirmer l’authenticité du sceau, 44 TextUniq| compagnies disciplinaires d’Afrique, dont Albert Londes a raconté 45 TextUniq| après une coutume du moyen âge, on insérait, pour affirmer 46 TextUniq| pentacles magiques, pour les aider à supporter les douleurs 47 TextUniq| qualités physiques et morales, ajoutait : « yeux bleus, cheveux 48 TextUniq| calotte posée sur un crâne. » Ajoutons un détail. La Pucelle, quand 49 | Alice 50 TextUniq| des chevauchées qu’elle allait mener, Jeanne d’Arc, rien 51 TextUniq| courts, quelles causes l’ont amenée à adopter cette coiffure. 52 TextUniq| compagnes amusées, comme son amie Mangette.~ Aussi bien, cette 53 TextUniq| dessein, malo proposito sibi amputari fecit (Procès T. 1., p. 54 TextUniq| quelques-une de ses compagnes amusées, comme son amie Mangette.~ 55 TextUniq| ecclésiastiques, sous peine d’anathème. » (Procès T. 1, p. 223) 56 TextUniq| et sa soeur.~ ~        A Andely, par bonne estraîne~        57 TextUniq| générale dans les premières années du XVe siècle, et qu’on 58 TextUniq| séduisante, puisque dans une annonce publiée ici même, une jeune 59 | ans 60 TextUniq| hommes, à porter les cheveux aplatis sur le crâne et coupés en 61 TextUniq| lequel on basera toute l’apostasie de Jeanne d’Arc. Dans sa 62 TextUniq| Museum où le duc de Bedfort, apparaît les cheveux courts, le cou 63 TextUniq| sur le devant et laissant apparaître le visage dans une ouverture 64 TextUniq| de satin bleu, chapeau d’apparat, avec quatre rebras, brodés 65 TextUniq| représenté l’héroîne sous cette apparence disgracieuse. D’autre part, 66 TextUniq| partie ou fragment corporel appartenant à l’envoyeur : un brin de 67 TextUniq| possible que ce cheveu ait appartenu à Jeanne d’Arc. Il est admis, 68 TextUniq| voyage.~ Jeanne d’Arc n’apparut pas sur le lieu du supplice, 69 TextUniq| visage dans une ouverture appelée visagère. C’était une sorte 70 TextUniq| roi Colet de Vienne et l’archer Richard, elle devait avoir 71 TextUniq| fut découverte en 1844 aux Archives municipales de Riom par 72 TextUniq| chapel…, elle s’habilla et s’arma. » Rejecto et relicto omni 73 TextUniq| capucio deciso… se incluit et armavit. (Procès, T. I. 221).~ Sans 74 TextUniq| disait que les hommes d’armes devaient se tremper la tête 75 TextUniq| La Pucelle, quand elle arriva à Chinon, avait un «chapeau 76 TextUniq| dans la statue de Charles d’Artois, dans la crypte funéraire 77 TextUniq| chroniqueur italien, dont les assertions sont souvent douteuses ? 78 TextUniq| historique (T. IV. 1877), assure aussi que les cheveux de 79 TextUniq| estraîne~        De tout noble atour despoillées~        Et puis 80 TextUniq| cheveux courts comme une atteinte à « l’honnêteté du sexe 81 TextUniq| coupés droit sur le front, au-dessus des sourcils, en frange, 82 TextUniq| accommodait le visage sur lequel aucun poil de barbe n’était laissé ; 83 TextUniq| cheveux qu’elle portait auparavant, « coupés en rond, elle 84 TextUniq| insérait, pour affirmer l’authenticité du sceau, quelque partie 85 TextUniq| gouverneur de Vaucouleurs, a autorisé son départ, Jeanne d’Arc, 86 TextUniq| église d’Eu. Mais il en est autrement pour les femmes. C’est une 87 | autres 88 TextUniq| Charles VII, de Martial d’Auvergne, représente fort bien Jeanne, 89 TextUniq| les coiffures compliquées auxquelles se prêtaient les cheveux 90 | avant 91 | avons 92 | Ayant 93 TextUniq| de Saint-Hilaire où des bandes révolutionnaires, conduites 94 TextUniq| la barbe rasée, abrasis barbis et les pieds nus. »~ C’était 95 TextUniq| péché mortel, sur lequel on basera toute l’apostasie de Jeanne 96 TextUniq| British Museum où le duc de Bedfort, apparaît les cheveux courts, 97 TextUniq| chroniqueur Philippe de Bergame, dans son De claris mulieribus, 98 TextUniq| escorte, Jean de Metz et Bertrand de Poulengy et leurs servants 99 TextUniq| chapeau couvert de satin bleu, chapeau d’apparat, avec 100 TextUniq| morales, ajoutait : « yeux bleus, cheveux coupés ». Ces cheveux 101 | bonne 102 TextUniq| fournissant aux enfants « ces bons bonnets de laine, de couleur 103 TextUniq| poils hérissés et à petits bords.~ ~*~**~ ~Il est bien certain 104 TextUniq| aurait offert à Jacques Boucher, trésorier du duché d’Orléans. 105 TextUniq| notice sur Jeanne d’Arc en Bourbonnais, l’a affirmé, mais M. de 106 TextUniq| révolutionnaires, conduites par Léonard Bourdon, en septembre 1792, s’en 107 TextUniq| jouvenceaux, les damoiseaux de la bourgeoisie, et les pères furent ensuite 108 TextUniq| la célèbre Marguerite de Bourgogne et sa soeur.~ ~        A 109 TextUniq| forte, de petite taille, brevi statura, de figure paysanne, 110 TextUniq| appartenant à l’envoyeur : un brin de barbe, un cheveu. Aussi 111 TextUniq| comme dans la miniature du British Museum où le duc de Bedfort, 112 TextUniq| apparat, avec quatre rebras, brodés d’or avec des fleurs de 113 TextUniq| cheveux et parfois même on les brûlait. Pour les adultères, on 114 TextUniq| qu’elles ne puissent pas cacher dans leurs cheveux, des 115 TextUniq| dès à présent la vie des camps et des chevauchées qu’elle 116 TextUniq| coiffée du heaume, de la capeline de fer, elle portait souvent 117 TextUniq| chapeaux » etiam in capite capellos seu pileos. (Procès. T. 118 TextUniq| habitu muliebri, tonsis capillis in rotondum, ad modum mangonum…, 119 TextUniq| de cheveux noirs, nigro capillo. » Mais peut-on se fier 120 TextUniq| des chapeaux » etiam in capite capellos seu pileos. (Procès. 121 TextUniq| honnêteté du sexe féminin, capitos tonsos in rotundum, more 122 TextUniq| Texte~Par un de ses caprices, toujours ordonnés et suivis, 123 TextUniq| par-dessus, une sorte de capuchon ou gonelle rouge, déchiquetée, 124 TextUniq| seconde délibération sur ce cas, la Faculté de décret de 125 TextUniq| ordures, disait-il, et son cause de plusieurs maladies ». ~ ~*~**~ ~ 126 | cela 127 TextUniq| adultères, on a un exemple, la célèbre Marguerite de Bourgogne 128 | celui 129 TextUniq| Jeanne, à son retour de la cérémonie du cimetière Saint-Ouen, 130 TextUniq| bords.~ ~*~**~ ~Il est bien certain que, pour les hommes, la 131 | ceux 132 TextUniq| prescriptions du Concile de Chalcédoine et une parole de saint Paul 133 TextUniq| citer aussi la miniature du Champion des Dames, de 1440, d’un 134 TextUniq| de choeur et des petits chanteurs de la maîtrise de la cathédrale 135 TextUniq| des muguets, et pris un chapel…, elle s’habilla et s’arma. » 136 TextUniq| est dit qu’elle portait un chaperon court, capucio deciso. On 137 TextUniq| tête souvent dans l’eau chaude et avec un rasoir se faire 138 TextUniq| non voilée, deshonore son chef. C’est comme si elle était 139 TextUniq| accommoder sa chevelure. Chevauchant avec les hommes de son escorte, 140 TextUniq| la vie des camps et des chevauchées qu’elle allait mener, Jeanne 141 TextUniq| le nom de « cheveux à la chien ». Ces cheveux coupés en 142 TextUniq| comme celui des enfants de choeur et des petits chanteurs 143 | chose 144 TextUniq| p. 328, année 1877), la chronique de la Rochelle la mettra 145 TextUniq| peinture de son temps. A citer aussi la miniature du Champion 146 TextUniq| jeunes valets, les mangones cités par l’inquisiteur Jean Lemaître, 147 TextUniq| de Bergame, dans son De claris mulieribus, paru en 1497, « 148 TextUniq| Un des témoins du procès Clément de Fauquenberge, raconte 149 TextUniq| écrivait au chanoine Th. Cochard, qui a spécialement étudié 150 TextUniq| Honecourt, le messager du roi Colet de Vienne et l’archer Richard, 151 TextUniq| autres coiffures. En tenue de combat, coiffée du heaume, de la 152 TextUniq| 256), indique que vers le commencement du XVe siècle, vers 1420, 153 | comment 154 TextUniq| soit parce qu’elle est plus commode et plus pratique et exige 155 TextUniq| par quelques-une de ses compagnes amusées, comme son amie 156 TextUniq| Elle existe encore dans nos compagnies disciplinaires d’Afrique, 157 TextUniq| coiffure que nous avons comparée avec une figurine semblable, 158 TextUniq| préparations que les coiffures compliquées auxquelles se prêtaient 159 TextUniq| prescriptions de l’Eglise, concernant la tenue des femmes dans 160 TextUniq| suivre les prescriptions du Concile de Chalcédoine et une parole 161 TextUniq| instigateurs de sédition seront condamnés, les cheveux coupés et la 162 TextUniq| qui s’expliquait par les conditions toutes spéciales où elle 163 TextUniq| empruntés à la sentence qui la conduisit au bûcher.~ ~*~**~ ~Par 164 TextUniq| un des griefs qui l’ont conduite à la mort. Il est peut-être 165 TextUniq| bandes révolutionnaires, conduites par Léonard Bourdon, en 166 TextUniq| court, capucio deciso. On connaît aussi le petit chapeau couvert 167 TextUniq| mais M. de Mateyssie, bien connu à Rouen par ses travaux 168 TextUniq| en témoigne la gravure si connue Le Transport des Filles 169 TextUniq| en parchemin, qui étaient conservées, comme pièces de justice 170 TextUniq| accusation. L’accusateur considère ce fait de porter les cheveux 171 TextUniq| car la folie était souvent considérée comme une tare – on rasait 172 TextUniq| A tous ceux qui étaient considérés comme infâmes, aux adultères, 173 TextUniq| Université de Paris, dans sa consultation : « Jugez en vous-même, 174 TextUniq| chapeau de Jeanne d’Arc, a conté l’histoire de cette curieuse 175 TextUniq| des Dames, de 1440, d’un contemporain, Martin Le Franc, prévôt 176 TextUniq| désormais hors de toute contestation. Elle affirme, en effet, 177 TextUniq| rotundum, more hominum, contra honestatem sexus muliebris. ( 178 TextUniq| les misères.~ Jeanne d’Arc contrairement à la représentation qu’en 179 TextUniq| dit saint Paul. Est-il convenable qu’une femme prie Dieu sans 180 TextUniq| entraînés par les fils. Un cordelier qui prêchait souvent sur 181 TextUniq| dans la première Epitre aux Corinthiens, paragraphe 11, ainsi formulée : « 182 TextUniq| quelque partie ou fragment corporel appartenant à l’envoyeur : 183 TextUniq| habit de femme : « Ayant coupé ses cheveux en rond, à la 184 TextUniq| elle portait un chaperon court, capucio deciso. On connaît 185 TextUniq| sur la tête et une robe courte de gros gris noir», somme 186 TextUniq| en effet, que d’après une coutume du moyen âge, on insérait, 187 TextUniq| connaît aussi le petit chapeau couvert de satin bleu, chapeau d’ 188 TextUniq| vêtements - et on lui en fera un crime – possédait d’autres coiffures. 189 TextUniq| dans sa Pratique des causes criminelles, sur les sorcières, pour 190 TextUniq| Charles d’Artois, dans la crypte funéraire de l’église d’ 191 TextUniq| conté l’histoire de cette curieuse coiffure que nous avons 192 TextUniq| voile. » Ce texte est bien curieux, car c’est de lui que découle 193 TextUniq| pratiquait surtout, dit Damboudère, dans sa Pratique des causes 194 TextUniq| miniature du Champion des Dames, de 1440, d’un contemporain, 195 TextUniq| pages, les jouvenceaux, les damoiseaux de la bourgeoisie, et les 196 TextUniq| disgracieuse. D’autre part, Daniel Vierge et Willette l’ont 197 TextUniq| une peine infamante, la decalvatio, le « déchevelement ». A 198 TextUniq| porté un habit contre la décence et « les cheveux coupés 199 TextUniq| infamante, la decalvatio, le « déchevelement ». A tous ceux qui étaient 200 TextUniq| capuchon ou gonelle rouge, déchiquetée, fendue sur le devant et 201 TextUniq| curieux, car c’est de lui que découle toutes les prescriptions 202 TextUniq| 9 novembre 1429, qui fut découverte en 1844 aux Archives municipales 203 TextUniq| sur ce cas, la Faculté de décret de l’Université de Paris 204 TextUniq| un voile, quam sibi Deus dedit ad velamen, elle s’est fait 205 TextUniq| resté complètement nu et dégagé, et dans la statue de Charles 206 TextUniq| coupe en rond, en sébile, dégageant les oreilles et le cou resté 207 TextUniq| cour des librairies. En dehors de ce chapeau, Jeanne d’ 208 TextUniq| Jeanne d’Arc. Dans sa seconde délibération sur ce cas, la Faculté de 209 TextUniq| Vaucouleurs, a autorisé son départ, Jeanne d’Arc, qui a pris 210 TextUniq| le texte latin, abradi et deponi, voluit et permisit.~ Ce 211 | depuis 212 | dès 213 TextUniq| fondation du chanoine Gilles Deschamps, faite à l’époque de Jeanne 214 TextUniq| prophétise, la tête non voilée, deshonore son chef. C’est comme si 215 TextUniq| cheveux coupés courts sont désignés par ces mots : « d’avoir 216 TextUniq| de la Rochelle la mettra désormais hors de toute contestation. 217 TextUniq| De tout noble atour despoillées~        Et puis résées et 218 TextUniq| fait couper dans un mauvais dessein, malo proposito sibi amputari 219 TextUniq| un crâne. » Ajoutons un détail. La Pucelle, quand elle 220 TextUniq| 1792, s’en emparèrent et le détruisirent par le feu.~ Vignaud-Romagnesi, 221 TextUniq| comme un voile, quam sibi Deus dedit ad velamen, elle s’ 222 TextUniq| rasée (Nombres V. 18 et Deutéronome, XXI, 12). Car si une femme 223 | deux 224 TextUniq| disait que les hommes d’armes devaient se tremper la tête souvent 225 TextUniq| de l’Université de Paris dira : « Item que ladite femme 226 | dire 227 TextUniq| les variations de la mode, disait que les hommes d’armes devaient 228 TextUniq| Ils engendrent ordures, disait-il, et son cause de plusieurs 229 TextUniq| encore dans nos compagnies disciplinaires d’Afrique, dont Albert Londes 230 TextUniq| cheveu noir, sur lequel on discutait, est-il disparu. Francis 231 TextUniq| héroîne sous cette apparence disgracieuse. D’autre part, Daniel Vierge 232 TextUniq| lequel on discutait, est-il disparu. Francis Perot, en 1889, 233 TextUniq| de calotte. Le barbier, dit-il, rasait l’occiput et les 234 TextUniq| féminin, interdit par la loi divine, abominable à Dieu et aux 235 TextUniq| p. 147), la marque d’un doigt et le reste d’un cheveu 236 TextUniq| cachet, avec les traces des doigts qui ont pressé la cire. » 237 | doit 238 TextUniq| la chevelure que Dieu lui donna comme un voile, quam sibi 239 TextUniq| taillés en rond, on leur a donné un nom qui les féminise 240 TextUniq| que la chevelure lui a été donnée comme voile ? »~ ~*~**~ ~  241 TextUniq| la représentation qu’en donnent tous les peintres et les 242 TextUniq| longs, flottants sur le dos, ou des cheveux nattés, 243 TextUniq| les aider à supporter les douleurs de la torture. Du reste, 244 TextUniq| assertions sont souvent douteuses ? Le greffier de la Rochelle, 245 | droit 246 TextUniq| du British Museum où le duc de Bedfort, apparaît les 247 TextUniq| Jacques Boucher, trésorier du duché d’Orléans. On sait que d’ 248 TextUniq| page. C’est pourquoi elle dut faire couper ses cheveux 249 TextUniq| tremper la tête souvent dans l’eau chaude et avec un rasoir 250 TextUniq| interdit par les sanctions ecclésiastiques, sous peine d’anathème. » ( 251 TextUniq| faire doute jusqu’à présent, écrit Quicherat dans sa Relation 252 TextUniq| Fauquenberge, raconte qu’étaient écrits sur la mître de Jeanne d’ 253 TextUniq| Francis Perot, en 1889, écrivait au chanoine Th. Cochard, 254 TextUniq| des gravures sur bois de l’édition de 1487 des Vigiles du roi 255 TextUniq| Reims (16 mars 1430) portait également un cachet de cire rouge, 256 TextUniq| la crypte funéraire de l’église d’Eu. Mais il en est autrement 257 TextUniq| être voilée ? La nature, elle-même, ne nous enseigne-t-elle 258 | elles 259 TextUniq| en septembre 1792, s’en emparèrent et le détruisirent par le 260 TextUniq| le temps de sa première enfance, passée aux champs, où, 261 | Enfin 262 TextUniq| tête que nuisement ». « Ils engendrent ordures, disait-il, et son 263 TextUniq| nature, elle-même, ne nous enseigne-t-elle pas que c’est une honte 264 | ensuite 265 TextUniq| cimetière Saint-Ouen, avait été entraînée jusqu’à la Tour vers les 266 TextUniq| les pères furent ensuite entraînés par les fils. Un cordelier 267 TextUniq| corporel appartenant à l’envoyeur : un brin de barbe, un cheveu. 268 TextUniq| saint Paul dans la première Epitre aux Corinthiens, paragraphe 269 TextUniq| Gilles Deschamps, faite à l’époque de Jeanne d’Arc, en 1427.~ 270 TextUniq| laine, de couleur vermeille, eschiver aux froidures du temps d’ 271 TextUniq| Chevauchant avec les hommes de son escorte, Jean de Metz et Bertrand 272 TextUniq| sens par un chroniqueur espagnol, Lucas de Tuy, évêque de 273 TextUniq| ronds », dit le texte, c’est-à-dire coupés suivant cette mode 274 TextUniq| A Andely, par bonne estraîne~        De tout noble atour 275 TextUniq| tondue et rasée, dans l’état où elle avait été laissée 276 TextUniq| bonnets ou des chapeaux » etiam in capite capellos seu pileos. ( 277 TextUniq| Cochard, qui a spécialement étudié les Reliquiæ de Jeanne d’ 278 | Eu 279 | eut 280 | eux 281 TextUniq| espagnol, Lucas de Tuy, évêque de cette ville. « Les instigateurs 282 | exemple 283 TextUniq| trouve de très nombreux exemples, comme dans la miniature 284 TextUniq| commode et plus pratique et exige moins de soins et de préparations 285 TextUniq| de joie par Jeaurat. Elle existe encore dans nos compagnies 286 TextUniq| tondues, comme un opprobre, a existé jusqu’à la fin de la Révolution 287 TextUniq| de Jeanne d’Arc pouvant exister : « Le sceau de la lettre 288 TextUniq| Jeanne d’Arc, port qui s’expliquait par les conditions toutes 289 TextUniq| Guillorée qui furent prêchées en face de la Cathédrale ou de Saint-Ouen, 290 TextUniq| figure paysanne, rusticana facie et de cheveux noirs, nigro 291 TextUniq| Chinon, devait adopter une façon très simple d’accommoder 292 TextUniq| délibération sur ce cas, la Faculté de décret de l’Université 293 | faisait 294 TextUniq| ici même, une jeune fille faisant valoir ses qualités physiques 295 | faite 296 TextUniq| est vivement dit, mais il faudrait un peu savoir comment et 297 TextUniq| témoins du procès Clément de Fauquenberge, raconte qu’étaient écrits 298 TextUniq| pour les femmes. C’est une faute très grave, un véritable 299 TextUniq| proposito sibi amputari fecit (Procès T. 1., p. 147). 300 TextUniq| leur a donné un nom qui les féminise un peu : ce sont les « cheveux 301 TextUniq| gonelle rouge, déchiquetée, fendue sur le devant et laissant 302 TextUniq| heaume, de la capeline de fer, elle portait souvent par-dessus, 303 TextUniq| vêtements - et on lui en fera un crime – possédait d’autres 304 TextUniq| et le détruisirent par le feu.~ Vignaud-Romagnesi, dans 305 TextUniq| représentée avec un chapeau de feutre, une sorte de chapeau haut 306 TextUniq| capillo. » Mais peut-on se fier à ce chroniqueur italien, 307 TextUniq| taille, brevi statura, de figure paysanne, rusticana facie 308 TextUniq| voir Jeanne d’Arc ainsi figurée, avec cette gonelle dans 309 TextUniq| avons comparée avec une figurine semblable, sculptée en forme 310 TextUniq| publiée ici même, une jeune fille faisant valoir ses qualités 311 TextUniq| champs, où, comme toutes les fillettes de ce temps, Jeanne d’Arc 312 | fils 313 | fin 314 | fit 315 TextUniq| rebras, brodés d’or avec des fleurs de lys d’or suspendues, 316 TextUniq| portait des cheveux longs, flottants sur le dos, ou des cheveux 317 TextUniq| aux fous même – car la folie était souvent considérée 318 TextUniq| portent encore, était une fondation du chanoine Gilles Deschamps, 319 TextUniq| les cheveux « car ils ne font à la tête que nuisement ». « 320 TextUniq| Corinthiens, paragraphe 11, ainsi formulée : « Toute femme qui prie 321 | fort 322 TextUniq| 1497, « elle était très forte, de petite taille, brevi 323 TextUniq| chanoine avait voulu, en fournissant aux enfants « ces bons bonnets 324 TextUniq| adultères, aux proxénètes, aux fous même – car la folie était 325 TextUniq| qui sont toutefois bien fragiles. A une lettre que Jeanne 326 TextUniq| contemporain, Martin Le Franc, prévôt de la Cathédrale 327 TextUniq| 449). Dans la formule en français, ces cheveux coupés courts 328 TextUniq| au-dessus des sourcils, en frange, mode qui revint de nos 329 TextUniq| vermeille, eschiver aux froidures du temps d’hiver ». On peut 330 TextUniq| étaient coupés droit sur le front, au-dessus des sourcils, 331 TextUniq| d’Artois, dans la crypte funéraire de l’église d’Eu. Mais il 332 TextUniq| possesseur de cette lettre, a gardé le silence sur cette question 333 TextUniq| des cheveux courts était générale dans les premières années 334 TextUniq| costume d’homme, nue tête, un genou en terre, les cheveux courts, 335 TextUniq| une fondation du chanoine Gilles Deschamps, faite à l’époque 336 TextUniq| longs, mais que c’est une gloire pour la femme d’en porter, 337 TextUniq| Quand Robert de Baudricourt, gouverneur de Vaucouleurs, a autorisé 338 TextUniq| Baudricourt, bien qu’avec « une grande abomination », lui accorda 339 TextUniq| femmes. C’est une faute très grave, un véritable péché mortel, 340 TextUniq| quelques notes, on voit quelles graves réflexions suggèrent le 341 TextUniq| ainsi qu’en témoigne la gravure si connue Le Transport des 342 TextUniq| cheveux courts. Une des gravures sur bois de l’édition de 343 TextUniq| sont souvent douteuses ? Le greffier de la Rochelle, dans la 344 TextUniq| 223) On retrouve encore ce grief des cheveux courts, soulevé 345 TextUniq| une robe courte de gros gris noir», somme toute une sorte 346 | gros 347 TextUniq| prétoires, portaient en grosses lettres, l’inscription, 348 TextUniq| nattés, pendant toute sa vie guerrière, Jeanne a porté les cheveux 349 TextUniq| Alice la Rousse, Jeanne la Guillorée qui furent prêchées en face 350 TextUniq| cheveux rougnez en rond en guise de homme, contre toute honnesteté 351 TextUniq| pris un chapel…, elle s’habilla et s’arma. » Rejecto et 352 TextUniq| Rejecto et relicto omni habitu muliebri, tonsis capillis 353 TextUniq| feutre, une sorte de chapeau haut de forme, aux poils hérissés 354 TextUniq| tenue de combat, coiffée du heaume, de la capeline de fer, 355 TextUniq| Jeanne d’Arc ces mots : hérétique, relapse, apostate, idolâtre, 356 TextUniq| haut de forme, aux poils hérissés et à petits bords.~ ~*~**~ ~ 357 TextUniq| des cheveux courts par l’héroïne a été une des causes principales 358 TextUniq| Sepet, ait représenté l’héroîne sous cette apparence disgracieuse. 359 TextUniq| que Quicherat qualifie de hideuse, qui fit de la chevelure 360 TextUniq| aux froidures du temps d’hiver ». On peut voir Jeanne d’ 361 TextUniq| tonsos in rotundum, more hominum, contra honestatem sexus 362 TextUniq| et leurs servants Jean de Honecourt, le messager du roi Colet 363 TextUniq| rotundum, more hominum, contra honestatem sexus muliebris. (Procès 364 TextUniq| guise de homme, contre toute honnesteté du sexe de femme. » Et, 365 TextUniq| enseigne-t-elle pas que c’est une honte pour l’homme de porter les 366 TextUniq| les cheveux. Or, s’il est honteux pour une femme d’avoir les 367 TextUniq| Rochelle la mettra désormais hors de toute contestation. Elle 368 | ici 369 TextUniq| hérétique, relapse, apostate, idolâtre, mots empruntés à la sentence 370 TextUniq| Arc (Revue historique. T. II, p. 328, année 1877), la 371 TextUniq| Albert Maignan, qui dans une illustration de l’ouvrage de Marius Sepet, 372 TextUniq| ordonnés et suivis, la mode a imposé, depuis quelque temps, aux 373 TextUniq| mangonum…, capucio deciso… se incluit et armavit. (Procès, T. 374 TextUniq| rappelant l’objet de l’inculpation, le nom et les prénoms. 375 TextUniq| Histoire du costume (p. 256), indique que vers le commencement 376 TextUniq| Quicherat dans sa Relation inédite sur Jeanne d’Arc (Revue 377 TextUniq| C’était même une peine infamante, la decalvatio, le « déchevelement ». 378 TextUniq| étaient considérés comme infâmes, aux adultères, aux proxénètes, 379 TextUniq| les mangones cités par l’inquisiteur Jean Lemaître, puis par 380 TextUniq| portaient en grosses lettres, l’inscription, rappelant l’objet de l’ 381 TextUniq| coutume du moyen âge, on insérait, pour affirmer l’authenticité 382 TextUniq| évêque de cette ville. « Les instigateurs de sédition seront condamnés, 383 TextUniq| Université de Paris dira : « Item que ladite femme est apostate, 384 TextUniq| la Revue historique (T. IV. 1877), assure aussi que 385 TextUniq| Jeanne d’Arc aurait offert à Jacques Boucher, trésorier du duché 386 TextUniq| Transport des Filles de joie par Jeaurat. Elle existe encore dans 387 TextUniq| Transport des Filles de joie par Jeaurat. Elle existe 388 TextUniq| mode qui revint de nos jours, vers 1880, sous le nom 389 TextUniq| puis par les pages, les jouvenceaux, les damoiseaux de la bourgeoisie, 390 TextUniq| dans sa consultation : « Jugez en vous-même, dit saint 391 TextUniq| courts, soulevé contre Jeanne jusque dans la prétendue formule 392 TextUniq| conservées, comme pièces de justice dans les prétoires, portaient 393 TextUniq| Paris dira : « Item que ladite femme est apostate, parce 394 TextUniq| enfants « ces bons bonnets de laine, de couleur vermeille, eschiver 395 TextUniq| fendue sur le devant et laissant apparaître le visage dans 396 TextUniq| aucun poil de barbe n’était laissé ; d’autre part, les cheveux 397 TextUniq| l’état où elle avait été laissée après l’abjuration du cimetière 398 TextUniq| pas de doute sur le texte latin, abradi et deponi, voluit 399 TextUniq| prévôt de la Cathédrale de Lausanne, où Jeanne est représentée 400 TextUniq| révolutionnaires, conduites par Léonard Bourdon, en septembre 1792, 401 TextUniq| prétoires, portaient en grosses lettres, l’inscription, rappelant 402 | leur 403 TextUniq| ouvrant sur la cour des librairies. En dehors de ce chapeau, 404 TextUniq| Arc n’apparut pas sur le lieu du supplice, devant le bûcher 405 TextUniq| Rochelle, dans la Relation du Livre noir de la Rochelle, publiée 406 TextUniq| féminin, interdit par la loi divine, abominable à Dieu 407 TextUniq| disciplinaires d’Afrique, dont Albert Londes a raconté toutes les misères.~ 408 TextUniq| un chroniqueur espagnol, Lucas de Tuy, évêque de cette 409 TextUniq| historique d’Orléans, acquise à Lucerne, et dans une peinture de 410 TextUniq| d’or avec des fleurs de lys d’or suspendues, que Jeanne 411 TextUniq| leurs cheveux, des pentacles magiques, pour les aider à supporter 412 TextUniq| qu’un seul peintre Albert Maignan, qui dans une illustration 413 TextUniq| cheveux courts, et tenant en main un chapeau . Il est, du 414 TextUniq| des petits chanteurs de la maîtrise de la cathédrale de Rouen 415 TextUniq| et son cause de plusieurs maladies ». ~ ~*~**~ ~Toujours est-il 416 TextUniq| dans un mauvais dessein, malo proposito sibi amputari 417 TextUniq| amusées, comme son amie Mangette.~ Aussi bien, cette coupe 418 TextUniq| par les jeunes valets, les mangones cités par l’inquisiteur 419 TextUniq| capillis in rotondum, ad modum mangonum…, capucio deciso… se incluit 420 TextUniq| a un exemple, la célèbre Marguerite de Bourgogne et sa soeur.~ ~        421 TextUniq| illustration de l’ouvrage de Marius Sepet, ait représenté l’ 422 TextUniq| Procès, T. V., p. 147), la marque d’un doigt et le reste d’ 423 TextUniq| aux habitants de Reims (16 mars 1430) portait également 424 TextUniq| Vigiles du roi Charles VII, de Martial d’Auvergne, représente fort 425 TextUniq| 1440, d’un contemporain, Martin Le Franc, prévôt de la Cathédrale 426 TextUniq| causes principales de son martyre et un des griefs qui l’ont 427 TextUniq| on aurait deux preuves matérielles, qui sont toutefois bien 428 TextUniq| l’a affirmé, mais M. de Mateyssie, bien connu à Rouen par 429 TextUniq| est fait couper dans un mauvais dessein, malo proposito 430 TextUniq| semblable, sculptée en forme de médaillon, sur la porte en bois de 431 TextUniq| chevauchées qu’elle allait mener, Jeanne d’Arc, rien que 432 TextUniq| Il est, du reste, fait mention de ces chapeaux de Jeanne 433 TextUniq| servants Jean de Honecourt, le messager du roi Colet de Vienne et 434 TextUniq| chronique de la Rochelle la mettra désormais hors de toute 435 TextUniq| de son escorte, Jean de Metz et Bertrand de Poulengy 436 TextUniq| noir, qui paraît avoir été mis originairement dans la cire. 437 TextUniq| Londes a raconté toutes les misères.~ Jeanne d’Arc contrairement 438 TextUniq| siècle, vers 1420, on se mit, chez les hommes, à porter 439 TextUniq| Willette l’ont représentée mitrée, coiffée de la mître en 440 TextUniq| supplice de Jeanne d’Arc. Ces mîtres en parchemin, qui étaient 441 TextUniq| les Oratoriens, puis chez Mme de Saint-Hilaire où des 442 TextUniq| capillis in rotondum, ad modum mangonum…, capucio deciso… 443 TextUniq| donc que l’affirmation du moine italien, soixante-dix ans 444 TextUniq| cheveux courts. Elle se montra la tête complètement tondue 445 TextUniq| ses qualités physiques et morales, ajoutait : « yeux bleus, 446 TextUniq| capitos tonsos in rotundum, more hominum, contra honestatem 447 TextUniq| grave, un véritable péché mortel, sur lequel on basera toute 448 TextUniq| voluit et permisit.~ Ce mot abradi veut dire « raser 449 TextUniq| que d’après une coutume du moyen âge, on insérait, pour affirmer 450 TextUniq| cheveux en rond, à la mode des muguets, et pris un chapel…, elle 451 TextUniq| Rejecto et relicto omni habitu muliebri, tonsis capillis in rotondum, 452 TextUniq| contra honestatem sexus muliebris. (Procès T. 1., p. 449). 453 TextUniq| Bergame, dans son De claris mulieribus, paru en 1497, « elle était 454 TextUniq| découverte en 1844 aux Archives municipales de Riom par le président 455 TextUniq| gonelle dans la Tapisserie du Musée historique d’Orléans, acquise 456 TextUniq| la miniature du British Museum où le duc de Bedfort, apparaît 457 TextUniq| sur le dos, ou des cheveux nattés, pendant toute sa vie guerrière, 458 TextUniq| Dieu sans être voilée ? La nature, elle-même, ne nous enseigne-t-elle 459 TextUniq| facie et de cheveux noirs, nigro capillo. » Mais peut-on 460 TextUniq| estraîne~        De tout noble atour despoillées~        461 TextUniq| comme si elle était rasée (Nombres V. 18 et Deutéronome, XXI, 462 TextUniq| qu’on en trouve de très nombreux exemples, comme dans la 463 | non 464 TextUniq| Francis Pérot, dans sa notice sur Jeanne d’Arc en Bourbonnais, 465 | nouvelle 466 TextUniq| habitants de Riom, le 9 novembre 1429, qui fut découverte 467 TextUniq| Jeanne, en costume d’homme, nue tête, un genou en terre, 468 TextUniq| ils ne font à la tête que nuisement ». « Ils engendrent ordures, 469 TextUniq| abrasis barbis et les pieds nus. »~ C’était même une peine 470 TextUniq| inscription, rappelant l’objet de l’inculpation, le nom 471 TextUniq| barbier, dit-il, rasait l’occiput et les tempes, en même temps 472 TextUniq| que Jeanne d’Arc aurait offert à Jacques Boucher, trésorier 473 TextUniq| arma. » Rejecto et relicto omni habitu muliebri, tonsis 474 TextUniq| têtes tondues, comme un opprobre, a existé jusqu’à la fin 475 TextUniq| il fut conservé chez les Oratoriens, puis chez Mme de Saint-Hilaire 476 TextUniq| de ses caprices, toujours ordonnés et suivis, la mode a imposé, 477 TextUniq| nuisement ». « Ils engendrent ordures, disait-il, et son cause 478 TextUniq| en sébile, dégageant les oreilles et le cou resté complètement 479 TextUniq| qui paraît avoir été mis originairement dans la cire. Il est possible 480 TextUniq| que d’après une tradition orléanaise, il fut conservé chez les 481 TextUniq| apparaître le visage dans une ouverture appelée visagère. C’était 482 TextUniq| dans une illustration de l’ouvrage de Marius Sepet, ait représenté 483 TextUniq| la cathédrale de Rouen, s’ouvrant sur la cour des librairies. 484 TextUniq| être prise pour un jeune page. C’est pourquoi elle dut 485 TextUniq| Jean Lemaître, puis par les pages, les jouvenceaux, les damoiseaux 486 TextUniq| coiffée de la mître en papier si souvent employé à Rouen, 487 TextUniq| fer, elle portait souvent par-dessus, une sorte de capuchon ou 488 TextUniq| Epitre aux Corinthiens, paragraphe 11, ainsi formulée : « Toute 489 TextUniq| reste d’un cheveu noir, qui paraît avoir été mis originairement 490 TextUniq| Jeanne d’Arc. Ces mîtres en parchemin, qui étaient conservées, 491 TextUniq| on rasait les cheveux et parfois même on les brûlait. Pour 492 TextUniq| Concile de Chalcédoine et une parole de saint Paul dans la première 493 TextUniq| authenticité du sceau, quelque partie ou fragment corporel appartenant 494 TextUniq| son De claris mulieribus, paru en 1497, « elle était très 495 TextUniq| de sa première enfance, passée aux champs, où, comme toutes 496 TextUniq| brevi statura, de figure paysanne, rusticana facie et de cheveux 497 TextUniq| très grave, un véritable péché mortel, sur lequel on basera 498 TextUniq| est peut-être qu’un seul peintre Albert Maignan, qui dans 499 TextUniq| représentation qu’en donnent tous les peintres et les sculpteurs, fut donc 500 TextUniq| acquise à Lucerne, et dans une peinture de son temps. A citer aussi


11-peint | penda-yeux

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