000-pauqu | pauvr-xviii
gras = Texte principal
Chapitre gris = Texte de commentaire
1 TextUniq| fermières, valant jusqu’à 1.000 ou 1.500 francs, selon les
2 TextUniq| en Basse-Normandie vers 1655 par Colbert, furent, en
3 TextUniq| Pêcheux, eut l’idée, en 1826, de parcourir la campagne
4 TextUniq| Liebart dans son livre paru en 1906, sur le Costume normand.
5 TextUniq| du Millénaire normand, en 1911, un tableau de Lemonnier,
6 | 4
7 TextUniq| valant jusqu’à 1.000 ou 1.500 francs, selon les dentelles
8 TextUniq| triomphal des femmes de Caux, a-t-il dit, qui annonce si dignement
9 TextUniq| feuilles, des fleurs, des abeilles. Sur ce carton étaient attachés
10 TextUniq| En Caux, la corne d’abondance~ Arbore son outrecuidance~
11 TextUniq| en ces climats humides, abritaient ces immenses coiffures.
12 TextUniq| Chauvet sont à peu près d’accord, pour dire que la bonnetière
13 TextUniq| la Coiffe normande a été adoptée en pays normand, bien antérieurement,
14 TextUniq| Normandie ancestrale, n’adoptèrent pas les coiffures révolutionnaires.
15 TextUniq| Manche fussent toujours affublées du grand parapluie normand,
16 TextUniq| fougueux prédicateurs du Moyen Age, entre autres Pierre de
17 TextUniq| souvenir du hennin du moyen âge, qui, lui-même, d’après
18 TextUniq| montés. Comment retrouver l’agencement presque traditionnel et
19 TextUniq| Et, ainsi à travers les âges, le Bonnet du pays de Caux
20 TextUniq| Amable Testu, qui fut une des agréables poétesses du romantisme,
21 TextUniq| parfois au point de couchure, agrémentées parfois aussi de cabochons,
22 TextUniq| l’Orne. A Paris, Durand aîné, rue de la Paix, n° 4 bis
23 TextUniq| disposition en hauteur, qui ajoutait encore à la stature de la
24 TextUniq| lithographies coloriées, dans un album paru chez Aubert.~ C’est
25 TextUniq| garde d’oublier cette belle allure des Normandes, grandies
26 | Alors
27 TextUniq| Les Andelys, Saint-Valery, Alvimare, Pont-l’Evêque, Menneval,
28 TextUniq| Bonnet du pays de Caux. Mme Amable Testu, qui fut une des agréables
29 TextUniq| originale, avec sa passe ample, en forme de coeur, et les
30 TextUniq| Saint-Amand, qui orne son amusant volume sur l’Estuaire de
31 TextUniq| Chauvet, dans sa Normandie ancestrale, n’adoptèrent pas les coiffures
32 TextUniq| de plusieurs parties de l’ancienne province de Normandie paraissait
33 TextUniq| ne pas chanter le los des anciennes coiffes normandes, si élégantes,
34 TextUniq| Foucarmont, Conches, Bayeux, Les Andelys, Saint-Valery, Alvimare,
35 TextUniq| étoffe rouge, à baleines et anneau de cuivre, à bec de corne,
36 TextUniq| il y a une vingtaine d’années – une vieille brave femme
37 TextUniq| de Caux, a-t-il dit, qui annonce si dignement les filles
38 TextUniq| tous les glorieux bonnets d’antan.~~ En Caux, la corne
39 TextUniq| emboitaient la tête. Sur le bord antérieur de ces fonds de coiffe,
40 TextUniq| adoptée en pays normand, bien antérieurement, et il y avait à l’Exposition
41 TextUniq| Syrie et de la Phénicie antique ? Et, ainsi à travers les
42 TextUniq| cependant de plus près, on s’aperçoit qu’elles ne sont que les
43 TextUniq| Angleterre, s’évase vers Caen, s’aplatit à Villedieu. A Saint-Malo,
44 TextUniq| un modèle ancien où elle apparaît, sur la tête d’une Caennaise,
45 TextUniq| un tableau de Lemonnier, appartenant, croyons-nous, au comte
46 TextUniq| comme un mouchoir, et qu’on appelait une thérèse. Aujourd’hui,
47 TextUniq| ces bonnets splendides, arboraient jusqu’à neuf aunes de dentelles !~
48 TextUniq| corne d’abondance~ Arbore son outrecuidance~
49 TextUniq| Cauchoises étaient fières d’arborer sur la nuque, dans l’échancrure
50 TextUniq| quelques costumes de Pont-de-l’Arche. C’est Théodore Liebart
51 TextUniq| fils de cuivre, toute une armature qui soutenait intérieurement
52 TextUniq| de la curiosité, petites armoires sculptées, qui n’existèrent
53 TextUniq| granvillais consistait dans l’arrangement des barbes. Sur le bonnet
54 TextUniq| Bavière, moins hauts et arrogants que les Cornes merveilleuses
55 TextUniq| habitude de se draper avec un art très féminin.~ ~*~**~ ~Bien
56 TextUniq| ses toiles de foires ou d’assemblées normandes. Lanté ne l’a
57 TextUniq| est sur ce frontal qu’on assujettissait la cornette de drap d’or
58 TextUniq| de mères en filles. Les ateliers de dentellières créés en
59 TextUniq| et les barbes étroites attachées sur le devant, descendant
60 TextUniq| abeilles. Sur ce carton étaient attachés des fils de cuivre, toute
61 TextUniq| large pli tombant jusqu’au-dessous de l’oreille. Cette coiffure,
62 TextUniq| parties et formaient ainsi, au-dessus des barbes, une seconde
63 TextUniq| dans un album paru chez Aubert.~ C’est Hyacinthe Langlois
64 TextUniq| arboraient jusqu’à neuf aunes de dentelles !~ Les dentelles
65 TextUniq| l’exagération. Quelques auteurs et dessinateurs s’en sont
66 TextUniq| Exposition de coiffes normandes authentiques, à Rouen, on fut très heureux
67 | autour
68 | avaient
69 TextUniq| du XIXe siècle. A notre avis, la Coiffe normande a été
70 | avons
71 TextUniq| partout. Du Pays de Caux à l’Avranchin, du Roumois au Cotentin,
72 | ayant
73 TextUniq| croyons-nous, au comte de Bagneux, qui représentait vers la
74 TextUniq| normand, en étoffe rouge, à baleines et anneau de cuivre, à bec
75 TextUniq| Deauville, dans quelques bals normands, ou quelques réunions
76 TextUniq| sorte de serre-tête, une bande de toile étroite, parfois
77 TextUniq| et haubannés, comme leurs barques. N’oublions pas non plus
78 TextUniq| complications d’un bonnet bas-normand.~ Il est à remarquer que
79 TextUniq| pouvait user dans cette ville battue par tous les vents de l’
80 TextUniq| les hennins d’Isabeau de Bavière, moins hauts et arrogants
81 TextUniq| complètement disparu, était le Bavolet. C’était une pièce de mousseline,
82 TextUniq| Reste encore la Coiffe bayeusaine, la bonnette encore si répandue
83 TextUniq| baleines et anneau de cuivre, à bec de corne, qui, en ces climats
84 TextUniq| Normand, par Emile de la Bedollière. C’est Edouard Vasse, dans
85 TextUniq| eux-mêmes - notamment Hippolyte Bellangé et Pauquet, dans la monographie
86 TextUniq| Limpiville, offrant le pain bénit. Là, coiffant une jeune
87 TextUniq| si répandue dans tout le Bessin, coiffure basse qui rappelait
88 TextUniq| aîné, rue de la Paix, n° 4 bis et à Caen.~ Nombreux y sont
89 TextUniq| seconde paire de larges ailes blanches dont le contour, ainsi que
90 TextUniq| généralement d’un papier bleu glacé, qui emboitaient la
91 TextUniq| heures, sur les cheveux blonds ou bruns des Normandes d’
92 TextUniq| porte une mître ;~ Au Bois d’Enbourg prévaut ce titre~
93 TextUniq| pureté, apparaissent encore à Bolbec et à Saint-Valery, mais
94 | bon
95 TextUniq| accord, pour dire que la bonnetière n’a point existé en Basse-Normandie.
96 TextUniq| étaient conservées dans les bonnetières si recherchées aujourd’hui
97 TextUniq| la Coiffe bayeusaine, la bonnette encore si répandue dans
98 TextUniq| emboitaient la tête. Sur le bord antérieur de ces fonds de
99 TextUniq| descendaient jusqu’à la ceinture, bordées de dentelles de Valenciennes
100 TextUniq| rappelait jadis les coiffes boulonnaises, aujourd’hui rapetissées
101 TextUniq| solidement à toutes les bourrasques, parce qu’ils étaient solidement
102 TextUniq| oublions pas, à l’autre bout de la Normandie, les coiffes
103 TextUniq| ruban de soie dont les deux bouts pendaient sur la nuque.~ ~*~**~ ~
104 | bras
105 TextUniq| vingtaine d’années – une vieille brave femme qui de ses pauvres
106 TextUniq| pays, comme les coiffes bretonnes, mais d’une autre somptuosité
107 TextUniq| coiffes de Granville, Bretteville-l’Orgueilleuse, Cherbourg,
108 TextUniq| était aussi retenu par des brides de velours noir, fort seyantes,
109 TextUniq| qu’ils étaient solidement bridés et haubannés, comme leurs
110 TextUniq| cabochons, de paillettes brillantes, ont souvent été conservées.
111 TextUniq| des coiffes cauchoises, brodées parfois au point de couchure,
112 TextUniq| sur les cheveux blonds ou bruns des Normandes d’aujourd’
113 TextUniq| agrémentées parfois aussi de cabochons, de paillettes brillantes,
114 TextUniq| apparaît, sur la tête d’une Caennaise, beaucoup plus haute qu’
115 TextUniq| la simple cornette, la calipette du Roumois, ou le pierrot.
116 TextUniq| la Seine-Inférieure, du Calvados, de la Manche et de l’Orne.
117 TextUniq| en 1826, de parcourir la campagne normande et de dessiner
118 TextUniq| régnait encore dans les campagnes, n’apparaissait pas dans
119 TextUniq| Un rite grec de Canéphore~ Sur le faîte blanc
120 TextUniq| modifié souvent par le caprice et parfois les écarts d’
121 TextUniq| élégante.~ Le véritable point caractéristique de la toilette normande,
122 TextUniq| cornets de drap d’or, les carcasses des coiffes cauchoises,
123 TextUniq| Fauville, dans les musées de Caudebec-en-Caux ou de Fécamp, dans les petites
124 TextUniq| descendaient jusqu’à la ceinture, bordées de dentelles de
125 | cela
126 TextUniq| recouverts par les barbes. Celles-ci se composaient d’une longue
127 | Cent
128 TextUniq| dessins coloriés représentant certains costumes. C’est encore le
129 TextUniq| tant qu’elle a vécu aux champs.~ Michelet, qui a souvent
130 TextUniq| qui, en vers improvisés, a chanté tous les glorieux bonnets
131 TextUniq| Normands, comment ne pas chanter le los des anciennes coiffes
132 TextUniq| or, comme les épingles de chapeau, traversant la chevelure
133 | chaque
134 TextUniq| vendaient leurs cheveux à des charlatans, qui coupaient leur chevelure
135 TextUniq| encore le lyrique poète Charles-Théophile Féret, qui, en vers improvisés,
136 TextUniq| coiffure était vraiment charmant et gracieux. Le capot était
137 TextUniq| restaient flottantes. Alors, on chiffonnait l’ensemble sur le front
138 TextUniq| à la passe très haute, chiffonnée avec deux longues barbes,
139 | chose
140 TextUniq| Après avoir consacré une chronique à décrire l’ancien Bonnet
141 TextUniq| sur eux-mêmes, comme un cimier d’une ampleur demesurée.
142 | cinq
143 TextUniq| d’Argentan.~ ~*~**~ ~Que citer encore ? Les grandes coiffes
144 TextUniq| toujours été difficile de les classer et même parfois de les décrire.
145 TextUniq| entre autres Pierre de Clémangis, maudissaient comme les «
146 TextUniq| Haute-Normandie. Le peintre Léon Le Clerc et le docteur Stephen Chauvet
147 TextUniq| bec de corne, qui, en ces climats humides, abritaient ces
148 TextUniq| passe ample, en forme de coeur, et les barbes étroites
149 TextUniq| offrant le pain bénit. Là, coiffant une jeune fille de Saint-Clair,
150 TextUniq| une Granvillaise, ainsi coiffée, apparaissait dans sa grande
151 TextUniq| Rolleville, il fut obligé d’en coiffer une jeune fille, parente
152 TextUniq| descendant jusque sur le col ; la Coiffe d’Alençon, toute
153 TextUniq| Basse-Normandie vers 1655 par Colbert, furent, en effet, très
154 TextUniq| rapporte Lanté, contre quelques colifichets.~ En temps de deuil, on
155 TextUniq| des barbes. Sur le bonnet collant à la tête, on couchait les
156 TextUniq| petites vitrines de certaines collectionneuses. Mais il est plus difficile
157 TextUniq| satin blanc, surmonté d’un collet, d’où se rabattait le capuchon
158 TextUniq| un petit bonnet en étoffe colorée, pointu comme une tiare,
159 TextUniq| sur l’Estuaire de dessins coloriés représentant certains costumes.
160 TextUniq| qui poursuivant un travail commencé par Pêcheux, eut l’idée,
161 TextUniq| dit qu’elles dataient du commencement du XIXe siècle. A notre
162 TextUniq| le traditionalisme de nos compatriotes triomphèrent de la mode.~
163 TextUniq| les plis, les plissés, les complications d’un bonnet bas-normand.~
164 TextUniq| les barbes. Celles-ci se composaient d’une longue pièce, également
165 TextUniq| simples et exclusivement composées de lingerie, voici le Bonnet
166 TextUniq| Normandes ? On peut s’en rendre compte par un dessin Les préparatifs
167 TextUniq| appartenant, croyons-nous, au comte de Bagneux, qui représentait
168 TextUniq| Preuseville, Foucarmont, Conches, Bayeux, Les Andelys, Saint-Valery,
169 TextUniq| jeune femme, prieure d’une confrérie de Limpiville, offrant le
170 TextUniq| inspiré des hauts bonnets coniques des femmes de la Syrie et
171 TextUniq| avec plaisir, sans trop connaître toutefois leurs origines,
172 TextUniq| normandes, c’est le recueil bien connu de Lanté. Lanté était un
173 TextUniq| dignement les filles du Conquérant de l’Angleterre, s’évase
174 TextUniq| Texte~Après avoir consacré une chronique à décrire
175 TextUniq| originalité du Bonnet granvillais consistait dans l’arrangement des barbes.
176 TextUniq| la vie ordinaire, on se contentait de coiffure plus modeste,
177 TextUniq| larges ailes blanches dont le contour, ainsi que nous l’avons
178 TextUniq| Bonnets cauchois étaient, contrairement à ce que dit Mme Amélie
179 | contre
180 TextUniq| Lisieux était le modèle coquet et hardi, des coiffes de
181 TextUniq| un très grand soin. Les cornets de drap d’or, les carcasses
182 TextUniq| partie tournant, sur les côtés. Sur ces hautes passes,
183 TextUniq| décrire l’ancien Bonnet de coton, coiffure ordinaire des
184 TextUniq| bonnet collant à la tête, on couchait les deux barbes l’une sur
185 TextUniq| brodées parfois au point de couchure, agrémentées parfois aussi
186 TextUniq| cheveux à des charlatans, qui coupaient leur chevelure en plein
187 TextUniq| aux ailes relevées, assez courtes de façon à ne pas être froissées
188 TextUniq| se rattachent les barbes, cousues à l’entour, qui étaient
189 TextUniq| de laiton sur la tête des Coutançaises qui la portaient. C’était
190 TextUniq| nos jours Les Usages et coutumes de Dieudonné Dergny, toute
191 TextUniq| relevés avec soin, sont couverts d’une petite toque en drap
192 TextUniq| était une coiffure basse, on couvrait sa passe d’une pièce d’étoffe
193 TextUniq| paraissait chez l’éditeur Crapelet, en 1827, avec ce sous-titre :
194 TextUniq| ateliers de dentellières créés en Basse-Normandie vers
195 TextUniq| parfois d’un grand voile de crêpe de soie, ou si le bonnet
196 TextUniq| Lemonnier, appartenant, croyons-nous, au comte de Bagneux, qui
197 TextUniq| froissées par la lanière de cuir passant sur le front et
198 TextUniq| hui dans le monde de la curiosité, petites armoires sculptées,
199 TextUniq| On a souvent dit qu’elles dataient du commencement du XIXe
200 TextUniq| grandes fêtes, comme celles de Deauville, dans quelques bals normands,
201 TextUniq| d’une autre somptuosité décorative ? Elles n’apparaissent plus
202 TextUniq| poétesses du romantisme, le décrivait ainsi : « Les cheveux relevés
203 | Déjà
204 TextUniq| un cimier d’une ampleur demesurée. A Coutances même, Lanté
205 TextUniq| filles. Les ateliers de dentellières créés en Basse-Normandie
206 TextUniq| Cent cinq costumes des départements de la Seine-Inférieure,
207 TextUniq| gigantesque papillon au vol déployé.~ Ne vous étonnez pas, après
208 TextUniq| et coutumes de Dieudonné Dergny, toute une suite de coiffes
209 TextUniq| Saint-Valery, mais dans cette dernière ville, les pêcheuses portaient
210 TextUniq| Levavasseur, qui exposait dernièrement à Rouen, reproduit si souvent
211 TextUniq| mousseline, dont les barbes descendaient jusqu’à la ceinture, bordées
212 TextUniq| attachées sur le devant, descendant jusque sur le col ; la Coiffe
213 TextUniq| en rendre compte par un dessin Les préparatifs de la fête
214 TextUniq| représentée, mais Lalaisse l’a dessinée d’après un modèle ancien
215 TextUniq| toute une suite de coiffes dessinées naïvement par Winkler :
216 TextUniq| volume sur l’Estuaire de dessins coloriés représentant certains
217 TextUniq| passe renversée d’où se détachent deux étages de mousseline,
218 TextUniq| pouvait examiner les moindres détails, reproduits avec un très
219 TextUniq| Manche, dont les fonds se développaient, s’élargissaient avec toute
220 TextUniq| Lanté était un paysagiste, devenu un dessinateur de modes
221 TextUniq| maudissaient comme les « cornes du diable », les bonnets normands,
222 TextUniq| de Val-de-la-Haye et de Dieppedalle, aujourd’hui complètement
223 TextUniq| Les Usages et coutumes de Dieudonné Dergny, toute une suite
224 TextUniq| autrefois plusieurs types très différents sur la route de Bayeux à
225 TextUniq| a-t-il dit, qui annonce si dignement les filles du Conquérant
226 | dire
227 TextUniq| aujourd’hui complètement disparu, était le Bavolet. C’était
228 TextUniq| c’était toujours la même disposition en hauteur, qui ajoutait
229 TextUniq| sur la nuque.~ ~*~**~ ~Si diverses, si originales, si variées
230 TextUniq| histoire, et surtout leur diversité et leur fantaisie élégante.~
231 TextUniq| Villedieu. A Saint-Malo, il se divise et figure au vent, tantôt
232 | dix
233 TextUniq| encore.~ Mais le seul recueil documentaire, précis, qui nous renseigne
234 TextUniq| femme qui de ses pauvres doigts gris que fait trembler le
235 TextUniq| de Saint-Cyr, dit Lanté – doublé de flanelle ou de satin
236 TextUniq| également en mousseline, doublée dans le sens de sa largeur.
237 TextUniq| tête par la raideur de la doublure. Le capot suppléait au parapluie,
238 TextUniq| leurs coiffes et, dit le Dr Stephen Chauvet, dans sa
239 TextUniq| portaient, l’habitude de se draper avec un art très féminin.~ ~*~**~ ~
240 TextUniq| front et des droits légers dressaient là deux petites cornes séduisantes.~
241 TextUniq| ensemble sur le front et des droits légers dressaient là deux
242 TextUniq| Manche et de l’Orne. A Paris, Durand aîné, rue de la Paix, n°
243 TextUniq| normandes, qui faisaient l’ébahissement des Parisiens, quand ils
244 TextUniq| bonnets ruchés ou piqués des écailllères et des « midinettes » du
245 TextUniq| le caprice et parfois les écarts d’un goût qui tombe dans
246 TextUniq| arborer sur la nuque, dans l’échancrure de leurs hauts bonnets,
247 TextUniq| la mode.~ Comment un tel édifice de dentelles, de toile et
248 TextUniq| Normandie paraissait chez l’éditeur Crapelet, en 1827, avec
249 TextUniq| de la Bedollière. C’est Edouard Vasse, dans une très belle
250 TextUniq| composaient d’une longue pièce, également en mousseline, doublée dans
251 TextUniq| femme d’un trésorier de l’église d’Yvetot, qui avait perdu
252 TextUniq| fonds se développaient, s’élargissaient avec toute l’exagération
253 TextUniq| diversité et leur fantaisie élégante.~ Le véritable point caractéristique
254 TextUniq| anciennes coiffes normandes, si élégantes, si originales, si variées,
255 TextUniq| un papier bleu glacé, qui emboitaient la tête. Sur le bord antérieur
256 TextUniq| capot dont le capuchon l’emboîtait, l’effet de cette frêle
257 TextUniq| monographie du Normand, par Emile de la Bedollière. C’est
258 TextUniq| mître ;~ Au Bois d’Enbourg prévaut ce titre~
259 TextUniq| rabattaient sur les oreilles, en encadrant le visage de la femme d’
260 TextUniq| normande tenant un petit enfant dans ses bras, qui portait
261 TextUniq| normands, ou quelques réunions enfantines, on les revoit avec plaisir,
262 TextUniq| Alors, on chiffonnait l’ensemble sur le front et des droits
263 TextUniq| très féminin.~ ~*~**~ ~Bien entendu, toutes ces hautes coiffures
264 TextUniq| les barbes, cousues à l’entour, qui étaient très tuyautées
265 | entre
266 TextUniq| oreille. Cette coiffure, par entre-croisement, avait beaucoup de grâce
267 TextUniq| les extrémités pour les entre-croiser, l’une sur l’autre, après
268 TextUniq| Rouen et des villages des environs, surtout de celles de Val-de-la-Haye
269 TextUniq| venons de décrire, se sont envolées. Aussi, les fête-t-on, quand
270 TextUniq| retenir leurs cannes sur l’épaule, ces belles cannes de cuivre,
271 TextUniq| chaque côté jusque sur les épaules ; la Coiffe d’Isigny, très
272 TextUniq| gracieux. Le capot était une espèce de manteau de drap noir –
273 TextUniq| vents de l’Océan. Toujours est-il qu’il avait donné aux Granvillaises
274 TextUniq| trouvé chez un marchand d’estampes du Havre, un type du Bonnet
275 TextUniq| son amusant volume sur l’Estuaire de dessins coloriés représentant
276 TextUniq| renversée d’où se détachent deux étages de mousseline, en plissés «
277 TextUniq| au vol déployé.~ Ne vous étonnez pas, après cela, que les
278 TextUniq| Montfort-sur-Risle, Isigny, Etrépagny, Preuseville, Foucarmont,
279 TextUniq| de coeur, et les barbes étroites attachées sur le devant,
280 | eu
281 | eut
282 TextUniq| Conquérant de l’Angleterre, s’évase vers Caen, s’aplatit à Villedieu.
283 TextUniq| parfois de les décrire. En les examinant cependant de plus près,
284 TextUniq| apparat, dont on pouvait examiner les moindres détails, reproduits
285 TextUniq| normandes assez simples et exclusivement composées de lingerie, voici
286 TextUniq| Lanté en a donné plusieurs exemples – se trouvait un noeud de
287 TextUniq| la bonnetière n’a point existé en Basse-Normandie. Toutes
288 TextUniq| armoires sculptées, qui n’existèrent cependant, que dans la Haute-Normandie.
289 TextUniq| peintre Levavasseur, qui exposait dernièrement à Rouen, reproduit
290 TextUniq| toute l’exagération et l’extravagance féminine et dont les barbes
291 TextUniq| puis on en relevait les extrémités pour les entre-croiser,
292 TextUniq| cannes de cuivre, qu’on fabriquait à Villedieu-les-Poëles.~
293 TextUniq| coiffures normandes, qui faisaient l’ébahissement des Parisiens,
294 TextUniq| Canéphore~ Sur le faîte blanc lie encore~
295 TextUniq| surtout leur diversité et leur fantaisie élégante.~ Le véritable
296 TextUniq| mille coiffes qui sont des fantaisies plus ou moins originales
297 TextUniq| coiffes normandes de jadis, si fantaisistes parfois qu’il a toujours
298 TextUniq| tiare de Salammbô !... Moins fastueux que les hennins d’Isabeau
299 TextUniq| intéressant musée Voisin, de Fauville, dans les musées de Caudebec-en-Caux
300 TextUniq| chignon des grands jours, le faux chignon, que les Cauchoises
301 TextUniq| de Caudebec-en-Caux ou de Fécamp, dans les petites vitrines
302 TextUniq| draper avec un art très féminin.~ ~*~**~ ~Bien entendu,
303 TextUniq| exagération et l’extravagance féminine et dont les barbes ressemblaient
304 TextUniq| poète Charles-Théophile Féret, qui, en vers improvisés,
305 TextUniq| rencontraient à Paris quelque riche fermière normande, étaient des coiffures
306 TextUniq| noces ou de fêtes des riches fermières, valant jusqu’à 1.000 ou
307 TextUniq| parfois sur le front, par des ferronnières. Les simples coiffes normandes
308 TextUniq| sont envolées. Aussi, les fête-t-on, quand elles apparaissent
309 TextUniq| ornements de cuivre, des feuilles, des fleurs, des abeilles.
310 TextUniq| que les Cauchoises étaient fières d’arborer sur la nuque,
311 TextUniq| Saint-Malo, il se divise et figure au vent, tantôt les ailes
312 TextUniq| dit, était maintenu par un fil de laiton sur la tête des
313 | fils
314 | fin
315 TextUniq| Son ouvrage, gravé très finement par Gastine. Costumes de
316 TextUniq| parfois ruchée sur le devant, fixée fortement par derrière.
317 TextUniq| normandes qui n’étaient pas fixées sur les cornettes de drap
318 TextUniq| Saint-Cyr, dit Lanté – doublé de flanelle ou de satin blanc, surmonté
319 TextUniq| bonnet, avec la passe un peu flottante à laquelle se rattachent
320 TextUniq| parfois en deux parties et formaient ainsi, au-dessus des barbes,
321 TextUniq| la coiffure dont la passe formait comme un sabot relevé, les
322 TextUniq| sur l’autre, après avoir formé un très large pli tombant
323 TextUniq| Orgueilleuse, Cherbourg, Neuville, Formerie, Montfort-sur-Risle, Isigny,
324 TextUniq| ruchée sur le devant, fixée fortement par derrière. C’est sur
325 TextUniq| témoignaient par là, de leurs fortunes. Jusqu’en 1827, les jeunes
326 TextUniq| Etrépagny, Preuseville, Foucarmont, Conches, Bayeux, Les Andelys,
327 TextUniq| Cornes merveilleuses que les fougueux prédicateurs du Moyen Age,
328 TextUniq| et les paroisses, de ces fouillis de dentelles et de barbes
329 TextUniq| sont les dessinateurs des Français peints par eux-mêmes - notamment
330 | France
331 | francs
332 TextUniq| plus dans toute leur grâce frèle et légère, mais cependant,
333 TextUniq| emboîtait, l’effet de cette frêle et jolie coiffure était
334 TextUniq| courtes de façon à ne pas être froissées par la lanière de cuir passant
335 TextUniq| par derrière. C’est sur ce frontal qu’on assujettissait la
336 TextUniq| les paysannes de la Manche fussent toujours affublées du grand
337 TextUniq| parcouru la Normandie, n’a eu garde d’oublier cette belle allure
338 TextUniq| bonnets normands, avaient gardé les grandes lignes des hennins
339 TextUniq| gravé très finement par Gastine. Costumes de femmes du Pays
340 TextUniq| fonds de carton, recouvert généralement d’un papier bleu glacé,
341 TextUniq| lie encore~ La gerbe.~ Dieppe, dont le
342 TextUniq| la portaient. C’était un gigantesque papillon au vol déployé.~
343 TextUniq| généralement d’un papier bleu glacé, qui emboitaient la tête.
344 TextUniq| improvisés, a chanté tous les glorieux bonnets d’antan.~~
345 TextUniq| passant sous le menton, des gorgières, des mentonnières, et parfois
346 TextUniq| parfois les écarts d’un goût qui tombe dans l’exagération.
347 TextUniq| était vraiment charmant et gracieux. Le capot était une espèce
348 TextUniq| belle allure des Normandes, grandies encore par leur bonnet.~
349 TextUniq| l’originalité du Bonnet granvillais consistait dans l’arrangement
350 TextUniq| séduisantes.~ Quand une Granvillaise, ainsi coiffée, apparaissait
351 TextUniq| le dessiner. Son ouvrage, gravé très finement par Gastine.
352 TextUniq| Superbe ;~ Un rite grec de Canéphore~ Sur
353 TextUniq| qui de ses pauvres doigts gris que fait trembler le temps
354 TextUniq| ruban et de très légères guirlandes de fleurs. A Dieppe, la
355 TextUniq| dessinateur de modes fort habile, qui poursuivant un travail
356 TextUniq| Granvillaises qui le portaient, l’habitude de se draper avec un art
357 TextUniq| était le modèle coquet et hardi, des coiffes de Pont-l’Evêque
358 TextUniq| étaient solidement bridés et haubannés, comme leurs barques. N’
359 TextUniq| Lisieux, au fond petit et haut, placé tout au sommet du
360 TextUniq| existèrent cependant, que dans la Haute-Normandie. Le peintre Léon Le Clerc
361 TextUniq| toujours la même disposition en hauteur, qui ajoutait encore à la
362 TextUniq| était-ce, sinon un souvenir du hennin du moyen âge, qui, lui-même,
363 TextUniq| apparaissent encore, pour quelques heures, sur les cheveux blonds
364 TextUniq| authentiques, à Rouen, on fut très heureux de retrouver – il y a une
365 TextUniq| par eux-mêmes - notamment Hippolyte Bellangé et Pauquet, dans
366 TextUniq| toutefois leurs origines, leur histoire, et surtout leur diversité
367 TextUniq| en arrière ; la Coiffe de Honfleur, que Lanté trouve « étroite
368 TextUniq| jeune fille, parente de son hôte, pour le dessiner. Son ouvrage,
369 TextUniq| corne, qui, en ces climats humides, abritaient ces immenses
370 TextUniq| paru chez Aubert.~ C’est Hyacinthe Langlois qui a donné quelques
371 | Ici
372 TextUniq| commencé par Pêcheux, eut l’idée, en 1826, de parcourir la
373 TextUniq| coloriées de la Normandie illustrée. Ce sont les dessinateurs
374 TextUniq| humides, abritaient ces immenses coiffures. Jamais, pourtant,
375 TextUniq| Charles-Théophile Féret, qui, en vers improvisés, a chanté tous les glorieux
376 TextUniq| sur le costume, s’était inspiré des hauts bonnets coniques
377 TextUniq| conservées. On en trouve dans l’intéressant musée Voisin, de Fauville,
378 TextUniq| une armature qui soutenait intérieurement la coiffe et lui permettaient
379 TextUniq| fastueux que les hennins d’Isabeau de Bavière, moins hauts
380 TextUniq| Pont-l’Evêque, Menneval, Ivry, Le Tréport et bien d’autres
381 | Jamais
382 TextUniq| fortunes. Jusqu’en 1827, les jeunes paysannes dans les foires,
383 TextUniq| effet de cette frêle et jolie coiffure était vraiment
384 TextUniq| front et qui servait aux laitières du Cotentin à retenir leurs
385 TextUniq| était maintenu par un fil de laiton sur la tête des Coutançaises
386 TextUniq| Aubert.~ C’est Hyacinthe Langlois qui a donné quelques costumes
387 TextUniq| pas être froissées par la lanière de cuir passant sur le front
388 TextUniq| après avoir formé un très large pli tombant jusqu’au-dessous
389 TextUniq| barbes, une seconde paire de larges ailes blanches dont le contour,
390 TextUniq| doublée dans le sens de sa largeur. On le posait par le milieu
391 TextUniq| noeuds de ruban et de très légères guirlandes de fleurs. A
392 TextUniq| sur le front et des droits légers dressaient là deux petites
393 TextUniq| en 1911, un tableau de Lemonnier, appartenant, croyons-nous,
394 TextUniq| Haute-Normandie. Le peintre Léon Le Clerc et le docteur Stephen
395 TextUniq| réduites que le peintre Levavasseur, qui exposait dernièrement
396 TextUniq| Sur le faîte blanc lie encore~ La gerbe.~
397 TextUniq| Pont-de-l’Arche. C’est Théodore Liebart dans son livre paru en 1906,
398 TextUniq| avaient gardé les grandes lignes des hennins d’autrefois,
399 TextUniq| prieure d’une confrérie de Limpiville, offrant le pain bénit.
400 TextUniq| Théodore Liebart dans son livre paru en 1906, sur le Costume
401 TextUniq| Celles-ci se composaient d’une longue pièce, également en mousseline,
402 TextUniq| haute, chiffonnée avec deux longues barbes, tombant de chaque
403 TextUniq| et il nous souvient que lors d’une Exposition de coiffes
404 TextUniq| comment ne pas chanter le los des anciennes coiffes normandes,
405 | lui
406 TextUniq| hennin du moyen âge, qui, lui-même, d’après Maillot dans ses
407 TextUniq| costumes. C’est encore le lyrique poète Charles-Théophile
408 TextUniq| qui, lui-même, d’après Maillot dans ses Recherches sur
409 TextUniq| cette coiffure de toile, majestueuse, riche et variée ? Qu’était-ce,
410 | mal
411 TextUniq| apparaissait dans sa grande mante de drap blanc ou encore
412 TextUniq| capot était une espèce de manteau de drap noir – drap de Saint-Cyr,
413 TextUniq| qu’ayant trouvé chez un marchand d’estampes du Havre, un
414 TextUniq| leur chevelure en plein marché et la troquaient, suivant
415 TextUniq| le Costume normand. C’est Masson de Saint-Amand, qui orne
416 TextUniq| autres Pierre de Clémangis, maudissaient comme les « cornes du diable »,
417 TextUniq| Alvimare, Pont-l’Evêque, Menneval, Ivry, Le Tréport et bien
418 TextUniq| seyantes, passant sous le menton, des gorgières, des mentonnières,
419 TextUniq| menton, des gorgières, des mentonnières, et parfois sur le front,
420 | mer
421 TextUniq| Yvetot, qui avait perdu sa mère. D’autres variétés du Bonnet
422 TextUniq| Normandes se transmettaient de mères en filles. Les ateliers
423 TextUniq| elle a vécu aux champs.~ Michelet, qui a souvent parcouru
424 TextUniq| des écailllères et des « midinettes » du Havre ; les bonnets
425 | mieux
426 TextUniq| Villedieu-les-Poëles.~ Restent encore mille coiffes qui sont des fantaisies
427 TextUniq| avait à l’Exposition du Millénaire normand, en 1911, un tableau
428 TextUniq| Saint-Valery porte une mître ;~ Au Bois d’Enbourg
429 TextUniq| compatriotes triomphèrent de la mode.~ Comment un tel édifice
430 TextUniq| autrefois, tempérées et modérées toutefois par la sagesse
431 TextUniq| devenu un dessinateur de modes fort habile, qui poursuivant
432 TextUniq| contentait de coiffure plus modeste, la simple cornette, la
433 TextUniq| transformations d’un type très simple, modifié souvent par le caprice et
434 TextUniq| Révolution, les Normandes ne modifièrent pas la forme de leurs coiffes
435 TextUniq| on pouvait examiner les moindres détails, reproduits avec
436 | monde
437 TextUniq| Bellangé et Pauquet, dans la monographie du Normand, par Emile de
438 TextUniq| Stéphen Chauvet, étaient montées sur des fonds de carton,
439 TextUniq| Bonnets Cauchois complètement montés. Comment retrouver l’agencement
440 TextUniq| Cherbourg, Neuville, Formerie, Montfort-sur-Risle, Isigny, Etrépagny, Preuseville,
441 TextUniq| noire, repliée comme un mouchoir, et qu’on appelait une thérèse.
442 TextUniq| vent, tantôt les ailes d’un moulin, tantôt les voiles d’un
443 TextUniq| trouve dans l’intéressant musée Voisin, de Fauville, dans
444 TextUniq| Voisin, de Fauville, dans les musées de Caudebec-en-Caux ou de
445 TextUniq| suite de coiffes dessinées naïvement par Winkler : coiffes de
446 TextUniq| normande et de dessiner d’après nature, toute une série de bonnets
447 TextUniq| splendides, arboraient jusqu’à neuf aunes de dentelles !~ Les
448 TextUniq| Orgueilleuse, Cherbourg, Neuville, Formerie, Montfort-sur-Risle,
449 TextUniq| avait certaines coiffures de noces ou de fêtes des riches fermières,
450 TextUniq| exemples – se trouvait un noeud de ruban de soie dont les
451 TextUniq| épingles et l’on posait des noeuds de ruban et de très légères
452 TextUniq| passe d’une pièce d’étoffe noire, repliée comme un mouchoir,
453 TextUniq| Paix, n° 4 bis et à Caen.~ Nombreux y sont les types du véritable
454 TextUniq| Français peints par eux-mêmes - notamment Hippolyte Bellangé et Pauquet,
455 | notre
456 TextUniq| fin du XVIIIe siècle, une Nourrice normande tenant un petit
457 TextUniq| Durand aîné, rue de la Paix, n° 4 bis et à Caen.~ Nombreux
458 TextUniq| cauchois de Rolleville, il fut obligé d’en coiffer une jeune fille,
459 TextUniq| dessinateurs s’en sont seulement occupés. C’est le dessinateur Lalaisse,
460 TextUniq| par tous les vents de l’Océan. Toujours est-il qu’il avait
461 TextUniq| confrérie de Limpiville, offrant le pain bénit. Là, coiffant
462 TextUniq| ressemblaient à de grandes ailes d’oiseaux de mer. On en voyait autrefois
463 TextUniq| on les ramenait du côté opposé où elles restaient flottantes.
464 TextUniq| tombant jusqu’au-dessous de l’oreille. Cette coiffure, par entre-croisement,
465 TextUniq| se rabattaient sur les oreilles, en encadrant le visage
466 TextUniq| Granville, Bretteville-l’Orgueilleuse, Cherbourg, Neuville, Formerie,
467 TextUniq| du pays normand. Toute l’originalité du Bonnet granvillais consistait
468 TextUniq| très vraisemblablement l’origine des coiffes normandes. On
469 TextUniq| connaître toutefois leurs origines, leur histoire, et surtout
470 TextUniq| selon les dentelles qui les ornaient. Et dans le pays de Caux,
471 TextUniq| étaient placés de petits ornements de cuivre, des feuilles,
472 TextUniq| Normandie, n’a eu garde d’oublier cette belle allure des Normandes,
473 TextUniq| abondance~ Arbore son outrecuidance~ Superbe ;~
474 TextUniq| Varengeville, ou la simple coiffe, ouverte et tombante, en grands plis
475 TextUniq| hôte, pour le dessiner. Son ouvrage, gravé très finement par
476 TextUniq| Autrefois le bonnet des ouvrières de Rouen et des villages
477 TextUniq| parfois aussi de cabochons, de paillettes brillantes, ont souvent
478 TextUniq| de Limpiville, offrant le pain bénit. Là, coiffant une
479 TextUniq| des barbes, une seconde paire de larges ailes blanches
480 TextUniq| Durand aîné, rue de la Paix, n° 4 bis et à Caen.~ Nombreux
481 TextUniq| recouvert généralement d’un papier bleu glacé, qui emboitaient
482 TextUniq| C’était un gigantesque papillon au vol déployé.~ Ne vous
483 TextUniq| dentelles !~ Les dentelles qui paraient les sabots de drap d’or
484 TextUniq| ancienne province de Normandie paraissait chez l’éditeur Crapelet,
485 | parce
486 TextUniq| eut l’idée, en 1826, de parcourir la campagne normande et
487 TextUniq| Michelet, qui a souvent parcouru la Normandie, n’a eu garde
488 TextUniq| de tulle~ Se pare~ Saint-Valery porte
489 TextUniq| coiffer une jeune fille, parente de son hôte, pour le dessiner.
490 TextUniq| la sagesse du terroir et parés d’une grâce plus légère.~ ~*~**~ ~
491 TextUniq| faisaient l’ébahissement des Parisiens, quand ils rencontraient
492 TextUniq| de grâce et d’ampleur.~ Parmi les coiffes normandes assez
493 TextUniq| suivant les terroirs et les paroisses, de ces fouillis de dentelles
494 TextUniq| types très variés. Ils se partageaient parfois en deux parties
495 TextUniq| permettaient d’avoir sa forme particulière. A l’arrière de la coiffe –
496 TextUniq| tuyautées et placées dans la partie tournant, sur les côtés.
497 TextUniq| on rencontre, du reste, partout. Du Pays de Caux à l’Avranchin,
498 TextUniq| coiffures de fête, de grande parure et d’apparat. Dans la vie
499 TextUniq| les côtés. Sur ces hautes passes, on attachait aussi de riches
500 TextUniq| notamment Hippolyte Bellangé et Pauquet, dans la monographie du
|