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Gorge Dubosc
Les sobriquets gastronomiques en Normandie

IntraText - Concordances

(Hapax Legomena)


12-natur | noces-yveto

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1 | 12 2 TextUniq| vrai que ceux qui, vers 1780, lançaient ce sobriquet 3 | 6 4 TextUniq| mare, et que les pêcheurs abandonnent au rebut. Le crablin, ce 5 TextUniq| aux moines de l’ancienne abbaye, célèbre par ses immenses 6 TextUniq| une allusion à Madame, l’abbesse de Montivilliers, exerçant 7 TextUniq| plaisantèrent, dit-on, en les accusant d’avoir passé le temps à 8 TextUniq| un de ces dictons qui a acquis une véritable renommée littéraire. 9 TextUniq| digne de figurer dans l’admirable roman L’Ex-voto, de Lucie 10 TextUniq| les méridionaux, au lieu d’adoucir la prononciation des porrrreaux 11 TextUniq| Grestain ! Le sobriquet s’adressait surtout aux moines de l’ 12 TextUniq| orienté de façon convenable et aéré des deux bouts, où pendaient 13 TextUniq| du Roi !~Est-il besoin d’affirmer que d’autres comestibles 14 TextUniq| qu’on dégustait au Moyen Age ; les Bourres et les Bourrettes 15 TextUniq| plats et les assiettes ». Agir autrement, c’eût été presque 16 TextUniq| de la vie, que les vagues aient respecté en se retirant, 17 TextUniq| gastronomique de nos bons aïeux, a écrit, « qu’à Pâques, 18 TextUniq| comme les Picards et qu’ils aimaient particulièrement à déguster 19 TextUniq| bouilleux, c’est-à-dire aimant la bouillie de blé ou de 20 TextUniq| pour n'avoir point toujours aimé les liesses, les bon repas 21 TextUniq| puisque le proverbe « J’aimerais mieux pêcher des coques 22 | air 23 | ait 24 TextUniq| fines herbes ». Faut-il ajouter que par un privilège de 25 TextUniq| moine créé par la verve d’Alexandre Dumas, faisaient en temps 26 TextUniq| nature et devenaient un alimentmaigre. Le canard et les 27 TextUniq| bien qu’il entre dans l’alimentation quotidiennes des populations 28 TextUniq| braves paysans bas-normands allaient vendre leurs légumes jusqu’ 29 | aller 30 TextUniq| Mangeurs soupe aux porreaux ? N’allez pas croire qu’ils étaient 31 | allons 32 TextUniq| maîtres au logis. C’était une allusion à Madame, l’abbesse de Montivilliers, 33 TextUniq| eux, étaient de véritables amateurs de la bonne viande de l’ 34 TextUniq| conserver le crablin pour amender les terres, et aussi pour 35 TextUniq| présents aux parents et amis, qui les mangeaient en famille 36 TextUniq| été presque reprocher à l’amphitryon de ne point nourrir suffisamment 37 TextUniq| gratifiés d’un sobriquet amusant par les habitants du faubourg 38 TextUniq| vrai ? Tout au moins, cette anecdote médisante était populaire 39 TextUniq| délicieux, animal roi, cher ange. »~Cette célébrité de mangeurs 40 TextUniq| Eure une sorte de petite anguille, cité dans le Dict de l’ 41 TextUniq| pourceaux et des canards. Ces animaux se présentaient sous un 42 TextUniq| cochons élevés pendant l’année. On en faisait des jambons, 43 TextUniq| exemple dans le banquet annuel de la compagnie des Sapeurs-pompiers 44 TextUniq| pois, figure dans un poème anonyme sur une petite histoire 45 | ans 46 TextUniq| ainsi désignée, parait être antérieure à cette date de 1591 ? M. 47 TextUniq| un style ou un motif créé antérieurement. Et c’est ainsi qu'aurait 48 TextUniq| cité dans le Dict de l’Apostoile ; la Soupe au savouret, 49 TextUniq| Parlement de Normandie, qui s’appelait le Repas du cochon. La tradition 50 TextUniq| autrefois les Rouennais, appelés surtout normands bouilleux, 51 TextUniq| Georges Visinet, et qui s’appelle le Banquet du cochon ! Legrand 52 TextUniq| méridionaux de Marseille appellent les « fruits de mer », frutti 53 TextUniq| relève de Madame », qui s’applique aux maris n’étant pas… maîtres 54 TextUniq| urbaines, était autrefois très apprécié. Il y avait jadis à Rouen, 55 TextUniq| garde-mangers copieusement approvisionnés !~Dans ses Lettres d’un 56 | après 57 TextUniq| même dispensés du trajet aquatique, au bénéfice de leurs estomacs ! 58 TextUniq| de Seine, frétillants et argentés, qui figurent depuis longtemps 59 TextUniq| retentissant et puis à un bâton armé d’une pointe de fer un peu 60 TextUniq| depuis longtemps dans ses armoiries ; par ses délicieuses pâtisseries ; 61 TextUniq| de colère un Montivillon arracha avec les dents l’oreille 62 TextUniq| présentaient sous un bel aspect, … mais il fallait plus 63 TextUniq| franchir le pont et d’aller s’asseoir aux tables réputées des 64 TextUniq| Saint-Léonard, « faisait donc assommer, à la sainte Catherine, 65 TextUniq| de l’odeur désagréable s’attachant à leurs vêtements, par suite 66 TextUniq| de soupe de Louviers, si attentifs à leur repas qu'ils en oublient 67 TextUniq| sables du Calvados :~« L’attirail du pêcheur, dit-il, est 68 TextUniq| Basse-normandie, ce qui leur aurait attiré de la part de leurs voisins 69 TextUniq| savent, à la vérité, faire aucun ragoût, mais ils tirent 70 TextUniq| faisait des jambons, puis des aunes de boudin, des saucisses, 71 TextUniq| sur Saint-Paul et Eauplet, auprès de Rouen.~*~**~N’allons 72 TextUniq| blason » populaire.~Canel, auquel nous avons fait de très 73 TextUniq| pois,~Lui dit : « Tu ne l’auras pas :~Je l’mettrai plutôt 74 TextUniq| Banquet du cochon ! Legrand d’Aussy, qui, dans sa Vie privée 75 | autour 76 | autre 77 TextUniq| et les assiettes ». Agir autrement, c’eût été presque reprocher 78 TextUniq| procession à une heure fort avancée, les plaisantèrent, dit-on, 79 TextUniq| défraîchis, les poissons avariés, dont personne ne voudrait, 80 TextUniq| Elle ne voudrait point l’avouer, que les sobriquets gastronomiques 81 TextUniq| fricassée avec du beurre d’Avranches et des fines herbes ». Faut-il 82 TextUniq| précipitée dans la Risle ! Même bagarre entre deux processions rivales, 83 TextUniq| les Oies de bures ; la Baleine de Bernières, près de Caen, 84 TextUniq| les moutons ? Grâce à ce baptême improvisé, ils changeaient 85 TextUniq| d’Argentan, avaient été baptisé Les Parisiens d’Avoines, 86 TextUniq| manger sous le pouce, à la barbe de leur voisins, le saucisson, 87 TextUniq| Cotentin, les Bartias ou Barettes de Morigny ; ces deux locutions 88 TextUniq| exemple, dans le Cotentin, les Bartias ou Barettes de Morigny ; 89 | bas 90 TextUniq| rappelant que ces braves paysans bas-normands allaient vendre leurs légumes 91 TextUniq| retentissant et puis à un bâton armé d’une pointe de fer 92 | beau 93 TextUniq| Avoines, parisiens « à gros bec ».~Cherchons encore s’il 94 TextUniq| se présentaient sous un bel aspect, … mais il fallait 95 TextUniq| du trajet aquatique, au bénéfice de leurs estomacs ! Etait-ce 96 TextUniq| on prenait soin de faire bénir à l’église. » D’après Canel, 97 TextUniq| de bures ; la Baleine de Bernières, près de Caen, qu’on dégustait 98 TextUniq| sont ainsi affublés les Bervillais, viendrait de l’odeur désagréable 99 TextUniq| en faveur du Roi !~Est-il besoin d’affirmer que d’autres 100 TextUniq| meilleurs : les Gigots de Beuzeville, près de Pont-Audemer ; 101 TextUniq| surprendre par le maréchal de Biron, aux ordres de Henri IV. 102 TextUniq| poissonneries, avec deux valves blanches ou relevées d’un incarnat 103 TextUniq| est-à-dire aimant la bouillie de blé ou de sarrasin, étaient 104 TextUniq| plusieurs fois un os de boeuf nommé le savouret, et Les 105 TextUniq| jeter de ce côté, par les boeufs et les moutons ? Grâce à 106 TextUniq| proverbe de jadis, est « bombancière ». Elle est trop bien favorisée 107 TextUniq| Grestain, dans l’Eure, sur les bords de l’Estuaire, non loin 108 TextUniq| jambons, puis des aunes de boudin, des saucisses, envoyés 109 TextUniq| appelés surtout normands bouilleux, c’est-à-dire aimant la 110 TextUniq| c’est-à-dire aimant la bouillie de blé ou de sarrasin, étaient 111 TextUniq| tourteaux, la salicoque, le « bouquet »…. défraîchis, les poissons 112 TextUniq| la Foire Saint-Mathieu, à Bourg-Achard ; les Pimperniaux de l’Eure 113 TextUniq| de Saint-aignan, les bons bourgeois de Pont-Audemer, pour narguer 114 TextUniq| dégustait au Moyen Age ; les Bourres et les Bourrettes de la 115 TextUniq| Age ; les Bourres et les Bourrettes de la Foire Saint-Mathieu, 116 TextUniq| convenable et aéré des deux bouts, où pendaient aux crochets, 117 TextUniq| air mélancolique l’écuelle brisée tenue à la main, rappelle 118 TextUniq| à propos, qu’un tour de broche de plus, elles seraient 119 TextUniq| Pont-Audemer ; les Oies de bures ; la Baleine de Bernières, 120 TextUniq| jadis dans son domaine du Calidu, et par sa fabrique de moutarde 121 TextUniq| étrilles sur les sables du Calvados :~« L’attirail du pêcheur, 122 TextUniq| côté de Domfront ? Dans les campagnes, jadis, la civilité et la 123 TextUniq| nourrir des pourceaux et des canards. Ces animaux se présentaient 124 TextUniq| servie, dans l'ancienne capitale du pays de Caux. Qui pourrait, 125 TextUniq| On a ainsi les Navets de Carcagny, près de Caen, ainsi dénommés 126 TextUniq| riposte, comme dans bien des cas en use le « blason » populaire.~ 127 TextUniq| donc assommer, à la sainte Catherine, le cochon qui devait être 128 TextUniq| petite ville.~Aussi bien, Caudebec-en-Caux ne méritait-elle pas sa 129 TextUniq| reste, faire un crime aux Caudebécais d’être friands ? Friandise 130 TextUniq| ancienne capitale du pays de Caux. Qui pourrait, du reste, 131 TextUniq| moines de l’ancienne abbaye, célèbre par ses immenses cuisines 132 TextUniq| roi, cher ange. »~Cette célébrité de mangeurs et dégustateurs 133 | cent 134 TextUniq| maintenue dans bien des cérémonies, par exemple dans le banquet 135 TextUniq| contraire, témoigne d’un certain goût. Il est vrai que ceux 136 TextUniq| blason populaire, grâce à certaines publications traditionalistes 137 TextUniq| dégustateurs de cochonnailles « de chaircuiterie » leur était venue de ce 138 TextUniq| des écailles voguant en chaloupe, et sous l’autre dressée 139 TextUniq| ce baptême improvisé, ils changeaient en quelques secondes de 140 TextUniq| comme tout finit par des chansons, pour perpétuer le souvenir 141 TextUniq| bonne viande de l’animal chanté par Monselet :~« Car tout 142 TextUniq| marmouset sculpté sur un chapiteau, contemplant d'un air mélancolique 143 TextUniq| que par un privilège de Charles VI, les gens du Mont-Saint-Michel 144 TextUniq| porc délicieux, animal roi, cher ange. »~Cette célébrité 145 TextUniq| populaires gastronomiques, en cherchant bien encore, on trouverait 146 TextUniq| parisiens « à gros bec ».~Cherchons encore s’il existe quelques 147 TextUniq| et de la côte, pénible et chétif métier, puisque le proverbe «  148 | chez 149 TextUniq| est trop bien favorisée du ciel, pour n'avoir point toujours 150 TextUniq| Yvetot ?~Faut-il encore citer parmi ces sobriquets généraux, 151 TextUniq| mode de Caen !!!~*~**~On en citerait bien d’autres, mais voici 152 TextUniq| son importance parmi les cités normandes, où elle comptait 153 TextUniq| les campagnes, jadis, la civilité et la politesse obligeaient 154 TextUniq| Rouen, bataille avec le clergé du faubourg Saint-Aignan, 155 TextUniq| mangeurs et dégustateurs de cochonnailles « de chaircuiterie » leur 156 TextUniq| tuaient un ou plusieurs cochons élevés pendant l’année. 157 TextUniq| une noix, de la forme d’un coeur, un peu semblable aux délicieuses 158 TextUniq| viendrait de ce qu’en un jour de colère un Montivillon arracha avec 159 TextUniq| des poireaux, comme à la Comédie-Française !~A côté des Mangeurs de 160 TextUniq| d’affirmer que d’autres comestibles ou victuailles ont fourni, 161 TextUniq| délicate et sa dégustation au commencement du repas, s’était maintenue 162 TextUniq| au Mont. Bien entendu, ce commerce de coquilles de pèlerinage 163 TextUniq| cultivait guère [que] dans cette commune ; les Navets de Fontenay, 164 TextUniq| le banquet annuel de la compagnie des Sapeurs-pompiers de 165 TextUniq| surnom dont joyeusement les Compagnons du Tour de France les avaient 166 TextUniq| la viande, les samedis, compris entre Noël et la Purification.~ 167 TextUniq| cités normandes, où elle comptait au premier rang. Aujourd’ 168 TextUniq| plus courts, mais dans leur concision, tout aussi expressifs. 169 TextUniq| comme une voile ».~Et Nodier conclut que « rien n’est délicieux 170 TextUniq| tout aussi expressifs. Connaissez-vous, par exemple, les Crablins 171 TextUniq| habitants de la petite cité conquise pendant qu’elle était à 172 TextUniq| grandes fêtes. Le lard, moins considéré que jadis sur les hautes 173 TextUniq| sculpté sur un chapiteau, contemplant d'un air mélancolique l’ 174 TextUniq| crablin. Aussi dans les contes anciens, le canard de Berville 175 TextUniq| mirent dans l’esprit de contester ce privilège, revendiqué 176 TextUniq| l’Estuaire, non loin de Conteville, le pays de Jean Revel, 177 TextUniq| pour détruire la fétidité contractée sous l’influence du crablin. 178 TextUniq| couloir orienté de façon convenable et aéré des deux bouts, 179 TextUniq| cuisines et ses garde-mangers copieusement approvisionnés !~Dans ses 180 TextUniq| à tout prendre, est un coquillage de la grosseur d’une noix, 181 TextUniq| de mer, le crustacé, les coquillages, tout ce que les méridionaux 182 TextUniq| Mont-Saint-Michel et de la côte, pénible et chétif métier, 183 TextUniq| Voici, par exemple, dans le Cotentin, les Bartias ou Barettes 184 TextUniq| formait, dit-il, un long couloir orienté de façon convenable 185 | coup 186 TextUniq| poireaux dans la soupe ou coupés en petits morceaux et enrobés 187 TextUniq| évènement, on tourna quelques couplets. L’un justement rappelle 188 TextUniq| beurre ». Des paysans de Courson, rencontrant un jour ceux 189 TextUniq| trouverait des termes plus courts, mais dans leur concision, 190 TextUniq| homards, les langoustes, les crabes, les huîtres étaient déposés 191 TextUniq| pourrait, du reste, faire un crime aux Caudebécais d’être friands ? 192 TextUniq| bouts, où pendaient aux crochets, les provisions. Dans le 193 TextUniq| une pointe de fer un peu crochue qui sert à sonder le sable 194 TextUniq| mieux parfois qu’on ne le croirait par ces dictons satiriques. 195 TextUniq| aux porreaux ? N’allez pas croire qu’ils étaient comme les 196 TextUniq| et enrobés dans la pâte croustillante d’une flamiche ! Non, ce 197 TextUniq| tout le poisson de mer, le crustacé, les coquillages, tout ce 198 TextUniq| pâtisseries ; par ses fruits cueillis jadis dans son domaine du 199 TextUniq| célèbre par ses immenses cuisines et ses garde-mangers copieusement 200 TextUniq| donné souvent des repas. Les cuisiniers ne savent, à la vérité, 201 TextUniq| dénommés parce que l’on ne les cultivait guère [que] dans cette commune ; 202 TextUniq| procès très long, maintien du curé de Saint-Ouen dans son droit, 203 TextUniq| celle de Saint-Ouen. Les curés des trois paroisses secondaires 204 TextUniq| amusante. Il est peut-être curieux grâce au blason populaire, 205 TextUniq| retourner. Un petit trou cylindrique, seul vestige de la vie, 206 TextUniq| pont, entre Longpaon et Darnétal, près de Rouen, qui, depuis 207 TextUniq| être antérieure à cette date de 1591 ? M. P. Dibon, dans 208 TextUniq| quand ils n’avaient rien débité, se nourrissaient sur leur 209 TextUniq| écrit, « qu’à Pâques, on se décarêmait avec un jambon, friandise 210 TextUniq| marins d’Harfleur, bien déchue aujourdhui de sa renommée 211 TextUniq| qu’elle était à dîner et décoché par la malice populaire. 212 TextUniq| seul coup de pique, il la découvre et l’enlève. C’est de là 213 TextUniq| coques comme on pourrait décrire la pêche aux étrilles sur 214 TextUniq| Fée aux Miettes, Nodier a décrit la pêche aux coques comme 215 TextUniq| provocation ? Et le sobriquet dédaigneux de Mangeurs de pois, n’était 216 TextUniq| Friandise n’est point un défaut et, au contraire, témoigne 217 TextUniq| en oublient leur propre défense, voici les Friands de Caudebec, 218 TextUniq| salicoque, le « bouquet »…. défraîchis, les poissons avariés, dont 219 TextUniq| Bernières, près de Caen, qu’on dégustait au Moyen Age ; les Bourres 220 TextUniq| célébrité de mangeurs et dégustateurs de cochonnailles « de chaircuiterie » 221 TextUniq| dorée et délicate et sa dégustation au commencement du repas, 222 TextUniq| aimaient particulièrement à déguster les poireaux dans la soupe 223 TextUniq| roman L’Ex-voto, de Lucie Delarue-Mardrus, la synthèse merveilleuse 224 TextUniq| les faubouriens. De par sa délimitation primitive fort rigoureuse, 225 TextUniq| sauf une imposition de 12 deniers pour livre en faveur du 226 TextUniq| engrais. C’est un terme de dénigrement, une injure très vraisemblablement 227 TextUniq| Montivillon arracha avec les dents l’oreille d’un Harfleurais, 228 TextUniq| le faubourg Saint-Aignan, dépendant du diocèse de Rouen, dédié 229 TextUniq| crabes, les huîtres étaient déposés avant de paraître sur la 230 TextUniq| vie policée et heureuse se déroulai autour d'une table bien 231 TextUniq| Bervillais, viendrait de l’odeur désagréable s’attachant à leurs vêtements, 232 TextUniq| Saint-Amand, qui a donné une description fort savoureuse d’un dîner 233 TextUniq| canard de Berville était-il destiné à devenir la punition éternelle 234 TextUniq| nourriture différente, pour détruire la fétidité contractée sous 235 TextUniq| Catherine, le cochon qui devait être sa nourriture principale 236 TextUniq| quelques secondes de nature et devenaient un aliment… maigre. Le canard 237 TextUniq| Berville était-il destiné à devenir la punition éternelle des 238 TextUniq| fruits de mer », frutti di mare, et que les pêcheurs 239 TextUniq| cette date de 1591 ? M. P. Dibon, dans son Essai sur Louviers, 240 TextUniq| petite anguille, cité dans le Dict de l’Apostoile ; la Soupe 241 TextUniq| renommée littéraire. C’est le dicton : Vive Valognes pour le 242 TextUniq| maudite : « On y jette le bon Dieu à l’eau ».~A la suite de 243 TextUniq| un mois d’une nourriture différente, pour détruire la fétidité 244 TextUniq| terme normand qui était digne de figurer dans l’admirable 245 TextUniq| que la Normandie, comme disait le proverbe de jadis, est «  246 TextUniq| avant que ces expressions ne disparaissent pour toujours.~*~**~Voici, 247 TextUniq| et les oies étaient même dispensés du trajet aquatique, au 248 TextUniq| qui se mange, sont parfois dissimulés sous des noms ou termes 249 TextUniq| sobriquets gastronomiques distribués par les villes et les paroisses 250 | dit 251 TextUniq| avancée, les plaisantèrent, dit-on, en les accusant d’avoir 252 TextUniq| Français, a réuni tant de documents sur la vie gastronomique 253 TextUniq| cueillis jadis dans son domaine du Calidu, et par sa fabrique 254 TextUniq| Pâques, jours de réjouissance domestique, ils tuaient un ou plusieurs 255 TextUniq| petit village du côté de Domfront ? Dans les campagnes, jadis, 256 | donc 257 | donner 258 TextUniq| cochon de lait », à la peau dorée et délicate et sa dégustation 259 TextUniq| tous les poissons d’eau douce. A une extrémité du garde-manger, 260 TextUniq| dans laquelle il jette par douzaine, son gibier retentissant 261 TextUniq| chaloupe, et sous l’autre dressée comme une voile ».~Et Nodier 262 TextUniq| Saint-Aignan, sur la rive droite de la Risle qui les séparaient 263 TextUniq| par la verve d’Alexandre Dumas, faisaient en temps de carême, 264 TextUniq| notamment sur Saint-Paul et Eauplet, auprès de Rouen.~*~**~N’ 265 TextUniq| surface de l’Océan sur une des écailles voguant en chaloupe, et 266 TextUniq| exerçant sa juridiction ecclésiastique sur cent vingt-huit paroisses 267 TextUniq| d'un air mélancolique l’écuelle brisée tenue à la main, 268 TextUniq| placée sur le côté Sud de l’Eglise Notre-Dame, montrée à tous 269 TextUniq| imagiers-sculpteurs de nos églises ont perpétué souvent très 270 TextUniq| un ou plusieurs cochons élevés pendant l’année. On en faisait 271 TextUniq| Paris, un dîner d’anciens élèves du Lycée de Rouen, que présidait 272 TextUniq| Lettres d’un voyageur à l’embouchure de la Seine, Le Masson de 273 TextUniq| vase, du vent de mer, de l’embrun, le crablin, c’est tout 274 TextUniq| suffisamment ses convives. Emportés par leur gourmandise, les 275 TextUniq| sous des noms ou termes empruntés aux patois locaux. Voici, 276 TextUniq| avons fait de très larges emprunts a rappelé que l’épithète 277 TextUniq| était le gagne-pain des enfants et des femmes du Mont-Saint-Michel 278 TextUniq| ne s’en servait pas comme engrais. C’est un terme de dénigrement, 279 TextUniq| la longueur, permettant d’engraisser et de conserver tous les 280 TextUniq| pique, il la découvre et l’enlève. C’est de là que parfois 281 TextUniq| coupés en petits morceaux et enrobés dans la pâte croustillante 282 TextUniq| coquilles aux pèlerins comme « enseignes » et preuve de leur visite 283 TextUniq| leur visite au Mont. Bien entendu, ce commerce de coquilles 284 TextUniq| puissante de la vie de l’entrée de l’estuaire.~Dans cette 285 TextUniq| de boudin, des saucisses, envoyés en présents aux parents 286 TextUniq| serrées, qui pend sur son épaule et dans laquelle il jette 287 TextUniq| gastronomique, par ses fritures d’éperlans de Seine, frétillants et 288 TextUniq| secondaires se mirent dans l’esprit de contester ce privilège, 289 TextUniq| M. P. Dibon, dans son Essai sur Louviers, vous répondra 290 TextUniq| marquis répond : « C’est l’essentiel de la bonne chère. Ma foi. 291 TextUniq| surtout normands bouilleux, c’est-à-dire aimant la bouillie de blé 292 TextUniq| la table des moines. »~N’est-ce pas eux aussi qui, à l’exemple 293 TextUniq| livre en faveur du Roi !~Est-il besoin d’affirmer que d’ 294 TextUniq| aquatique, au bénéfice de leurs estomacs ! Etait-ce vrai ? Tout au 295 TextUniq| fabrique de moutarde à l’estragon, rivale de celle d’Yvetot ?~ 296 TextUniq| bénéfice de leurs estomacs ! Etait-ce vrai ? Tout au moins, cette 297 TextUniq| d’origine intra muros.~N’était-ce pas une véritable provocation ? 298 TextUniq| anciens, le canard de Berville était-il destiné à devenir la punition 299 TextUniq| destiné à devenir la punition éternelle des malheureux trépassés 300 TextUniq| pourrait décrire la pêche aux étrilles sur les sables du Calvados :~«  301 | eût 302 TextUniq| perpétuer le souvenir de l’évènement, on tourna quelques couplets. 303 TextUniq| faits historiques qu'elles évoquent. Les Mangeux de soupe de 304 TextUniq| dans l’admirable roman L’Ex-voto, de Lucie Delarue-Mardrus, 305 TextUniq| un jambon, friandise par excellence, que l’on prenait soin de 306 TextUniq| abbesse de Montivilliers, exerçant sa juridiction ecclésiastique 307 TextUniq| Cherchons encore s’il existe quelques autres Mangeux 308 TextUniq| porreaux de Rouen, qui n’existent pas dans la réalité, voici, 309 TextUniq| leur concision, tout aussi expressifs. Connaissez-vous, par exemple, 310 TextUniq| propos de Montivilliers, l’expression proverbiale bien amusante : «  311 TextUniq| recueillir, avant que ces expressions ne disparaissent pour toujours.~*~**~ 312 TextUniq| poissons d’eau douce. A une extrémité du garde-manger, était un 313 TextUniq| domaine du Calidu, et par sa fabrique de moutarde à l’estragon, 314 TextUniq| tanneurs ne jouissait pas de la faculté de manger de la viande, 315 TextUniq| prononçaient le mot porrrreaux, en faisant rouler les r comme les méridionaux, 316 TextUniq| traditions populaires et aux faits historiques qu'elles évoquent. 317 TextUniq| un bel aspect, … mais il fallait plus d’un mois d’une nourriture 318 TextUniq| dans le pays et il n’en fallut pas plus pour y implanter 319 TextUniq| près d’Argentan, et les fameux Navets de Martot, dans l’ 320 TextUniq| midi, à l’heure de la soupe familiale, fumant dans les assiettes, 321 TextUniq| amis, qui les mangeaient en famille aux grandes fêtes. Le lard, 322 TextUniq| sobriquet lancé par les faubouriens. De par sa délimitation 323 TextUniq| 12 deniers pour livre en faveur du Roi !~Est-il besoin d’ 324 TextUniq| bombancière ». Elle est trop bien favorisée du ciel, pour n'avoir point 325 TextUniq| Dans un joli roman, La Fée aux Miettes, Nodier a décrit 326 TextUniq| gagne-pain des enfants et des femmes du Mont-Saint-Michel et 327 TextUniq| bâton armé d’une pointe de fer un peu crochue qui sert 328 TextUniq| jadis à Rouen, le grand festin du Parlement de Normandie, 329 TextUniq| mangeaient en famille aux grandes fêtes. Le lard, moins considéré 330 TextUniq| différente, pour détruire la fétidité contractée sous l’influence 331 TextUniq| épithète Mangeurs de pois, figure dans un poème anonyme sur 332 TextUniq| frétillants et argentés, qui figurent depuis longtemps dans ses 333 TextUniq| normand qui était digne de figurer dans l’admirable roman L’ 334 TextUniq| beurre d’Avranches et des fines herbes ». Faut-il ajouter 335 TextUniq| son droit, et comme tout finit par des chansons, pour perpétuer 336 | fit 337 TextUniq| pâte croustillante d’une flamiche ! Non, ce sobriquet de Mangeurs 338 TextUniq| essentiel de la bonne chère. Ma foi. Vive Valognes pour le rôti ! » 339 TextUniq| et les Bourrettes de la Foire Saint-Mathieu, à Bourg-Achard ; 340 | fois 341 TextUniq| se nourrissaient sur leur fond. De là, le surnom dont joyeusement 342 TextUniq| commune ; les Navets de Fontenay, près d’Argentan, et les 343 TextUniq| garde-manger de Grestain :~« Il formait, dit-il, un long couloir 344 TextUniq| grosseur d’une noix, de la forme d’un coeur, un peu semblable 345 TextUniq| comestibles ou victuailles ont fourni, eux aussi, des sobriquets 346 TextUniq| dans sa Vie privée des Français, a réuni tant de documents 347 | France 348 TextUniq| Aussi bien, plutôt que de franchir le pont et d’aller s’asseoir 349 TextUniq| fritures d’éperlans de Seine, frétillants et argentés, qui figurent 350 TextUniq| délicieux comme la coque fricassée avec du beurre d’Avranches 351 TextUniq| réputation gastronomique, par ses fritures d’éperlans de Seine, frétillants 352 TextUniq| appellent les « fruits de mer », frutti di mare, et que les pêcheurs 353 TextUniq| heure de la soupe familiale, fumant dans les assiettes, s’étaient 354 TextUniq| pâle. Sa pêche était le gagne-pain des enfants et des femmes 355 TextUniq| immenses cuisines et ses garde-mangers copieusement approvisionnés !~ 356 TextUniq| savouret, et Les Savates du Gast, un joli endroit, près de 357 TextUniq| de plus, elles seraient gâtées. Et le marquis répond : «  358 TextUniq| citer parmi ces sobriquets généraux, les Lèche-plats de la Ferrière, 359 TextUniq| présidait jadis avec verve Georges Visinet, et qui s’appelle 360 TextUniq| jette par douzaine, son gibier retentissant et puis à un 361 TextUniq| passons et des meilleurs : les Gigots de Beuzeville, près de Pont-Audemer ; 362 TextUniq| aussi qui, à l’exemple de Gorenflot, le moine créé par la verve 363 TextUniq| Vire, où on fit manger à un gourmand de l’endroit de la savate 364 TextUniq| qui témoignaient chez les Gournaisiens d’une véritable réputation 365 TextUniq| même pour les Mâqueux de Gournay, les mangeurs ou plutôt 366 TextUniq| contraire, témoigne d’un certain goût. Il est vrai que ceux qui, 367 TextUniq| avait le privilège de faire gras. Aussi bien, plutôt que 368 TextUniq| pois de Pont-Audemer, ainsi gratifiés d’un sobriquet amusant par 369 TextUniq| est un coquillage de la grosseur d’une noix, de la forme 370 TextUniq| seulement de la façon rude, gutturale, rocailleuse dont les purins 371 TextUniq| après Canel, le tranquille habitant de Saint-Léonard, « faisait 372 TextUniq| ont-ils transgressé les habitudes ordinaires de la Basse-normandie, 373 TextUniq| populations des villages de Haute et Basse-Normandie, valant 374 TextUniq| considéré que jadis sur les hautes tables, bien qu’il entre 375 TextUniq| dont nous avons parlé plus hauts. En passant, rappelons, 376 TextUniq| de Biron, aux ordres de Henri IV. De là, ce sobriquet 377 TextUniq| d’Avranches et des fines herbes ». Faut-il ajouter que par 378 TextUniq| temps où la vie policée et heureuse se déroulai autour d'une 379 TextUniq| poème anonyme sur une petite histoire de procession religieuse :~«  380 TextUniq| aurait survécu la légende historique du Mangeux de soupe de Louviers !~ 381 TextUniq| populaires et aux faits historiques qu'elles évoquent. Les Mangeux 382 TextUniq| de mer encore vivant, les homards, les langoustes, les crabes, 383 TextUniq| contre, les Mangeux de lard d’Honfleur, ou plutôt du faubourg de 384 TextUniq| aux tables réputées des hôtelleries de Saint-aignan, les bons 385 TextUniq| langoustes, les crabes, les huîtres étaient déposés avant de 386 TextUniq| répondra que bien souvent les imagiers-sculpteurs de nos églises ont perpétué 387 TextUniq| abbaye, célèbre par ses immenses cuisines et ses garde-mangers 388 TextUniq| en fallut pas plus pour y implanter la légende des Gourmands 389 TextUniq| renommée maritime et de son importance parmi les cités normandes, 390 TextUniq| pèlerinage était libre, sauf une imposition de 12 deniers pour livre 391 TextUniq| moutons ? Grâce à ce baptême improvisé, ils changeaient en quelques 392 TextUniq| blanches ou relevées d’un incarnat pâle. Sa pêche était le 393 TextUniq| respecté en se retirant, lui indique le séjour de la coque et 394 TextUniq| fétidité contractée sous l’influence du crablin. Aussi dans les 395 TextUniq| terme de dénigrement, une injure très vraisemblablement lancée 396 TextUniq| montrée à tous les visiteurs s'intéressant encore aux traditions populaires 397 TextUniq| saucisson, comme eux, d’origine intra muros.~N’était-ce pas une 398 TextUniq| pour le rôti, que Lesage a introduit dans Turcaret. A un moment, 399 TextUniq| statue de Saint Sébastien, invoqué contre la peste. C’était 400 TextUniq| toute cette région, jusqu’à Isigny, le beurre est délicieux. 401 TextUniq| Biron, aux ordres de Henri IV. De là, ce sobriquet satirique 402 | J 403 TextUniq| on se décarêmait avec un jambon, friandise par excellence, 404 TextUniq| année. On en faisait des jambons, puis des aunes de boudin, 405 | Je 406 TextUniq| de Conteville, le pays de Jean Revel, le grand romancier 407 TextUniq| rivière de Risle, qui vient se jeter de ce côté, par les boeufs 408 TextUniq| Texte~Maintenant que les jeûnes du carême et les « grandes 409 TextUniq| bonne ville de tanneurs ne jouissait pas de la faculté de manger 410 TextUniq| voisins, se rendaient ce jour-là, manger sous le pouce, à 411 TextUniq| saint Martin et à Pâques, jours de réjouissance domestique, 412 TextUniq| fond. De là, le surnom dont joyeusement les Compagnons du Tour de 413 TextUniq| main, rappelle que le 6 juin 1591, les habitants de Louviers, 414 TextUniq| Montivilliers, exerçant sa juridiction ecclésiastique sur cent 415 TextUniq| quelques couplets. L’un justement rappelle le sobriquet des 416 TextUniq| les assiettes, s’étaient laissés surprendre par le maréchal 417 TextUniq| tradition du « cochon de lait », à la peau dorée et délicate 418 TextUniq| que ceux qui, vers 1780, lançaient ce sobriquet contre les 419 TextUniq| principale du sobriquet lancé par les faubouriens. De 420 TextUniq| injure très vraisemblablement lancée par les Terriens de Montivilliers, 421 TextUniq| sobriquets si nombreux dans le langage populaire, Les Mangeux de 422 TextUniq| vivant, les homards, les langoustes, les crabes, les huîtres 423 TextUniq| pend sur son épaule et dans laquelle il jette par douzaine, son 424 TextUniq| nous avons fait de très larges emprunts a rappelé que l’ 425 TextUniq| appelle le Banquet du cochon ! Legrand d’Aussy, qui, dans sa Vie 426 TextUniq| bas-normands allaient vendre leurs légumes jusqu’à Paris, et parfois, 427 TextUniq| Valognes pour le rôti, que Lesage a introduit dans Turcaret. 428 TextUniq| approvisionnés !~Dans ses Lettres d’un voyageur à l’embouchure 429 TextUniq| coquilles de pèlerinage était libre, sauf une imposition de 430 TextUniq| point toujours aimé les liesses, les bon repas et la chère 431 TextUniq| comme les méridionaux, au lieu d’adoucir la prononciation 432 TextUniq| faisait partie du diocèse de Lisieux, dédié à Saint-Pierre. A 433 TextUniq| acquis une véritable renommée littéraire. C’est le dicton : Vive 434 TextUniq| imposition de 12 deniers pour livre en faveur du Roi !~Est-il 435 TextUniq| termes empruntés aux patois locaux. Voici, par exemple, dans 436 TextUniq| Barettes de Morigny ; ces deux locutions normandes sont synonymes 437 TextUniq| n’étant pas… maîtres au logis. C’était une allusion à 438 | loin 439 TextUniq| rivales, sur un pont, entre Longpaon et Darnétal, près de Rouen, 440 | longtemps 441 TextUniq| source en parcourait toute la longueur, permettant d’engraisser 442 TextUniq| près de Rouen, qui, depuis lors fut désignée sous le sobriquet 443 TextUniq| admirable roman L’Ex-voto, de Lucie Delarue-Mardrus, la synthèse 444 TextUniq| titre remontant au temps luttant au temps où la vie policée 445 TextUniq| Saint Sébastien, dans la lutte, est précipitée dans la 446 TextUniq| dîner d’anciens élèves du Lycée de Rouen, que présidait 447 | M 448 TextUniq| les mangeurs ou plutôt les mâcheurs, qui témoignaient chez les 449 TextUniq| se réduit à une résille à mailles serrées, qui pend sur son 450 TextUniq| commencement du repas, s’était maintenue dans bien des cérémonies, 451 TextUniq| scandale, procès très long, maintien du curé de Saint-Ouen dans 452 TextUniq| applique aux maris n’étant pas… maîtres au logis. C’était une allusion 453 TextUniq| la punition éternelle des malheureux trépassés en péché de gourmandise !...~*~**~ 454 TextUniq| dîner et décoché par la malice populaire. Soutiendra-t-on 455 TextUniq| parents et amis, qui les mangeaient en famille aux grandes fêtes. 456 TextUniq| fruits de mer », frutti di mare, et que les pêcheurs abandonnent 457 TextUniq| laissés surprendre par le maréchal de Biron, aux ordres de 458 TextUniq| Montivilliers, contre les anciens marins d’Harfleur, bien déchue 459 TextUniq| Madame », qui s’applique aux maris n’étant pas… maîtres au 460 TextUniq| aujourdhui de sa renommée maritime et de son importance parmi 461 TextUniq| représentés par ce petit marmouset sculpté sur un chapiteau, 462 TextUniq| elles seraient gâtées. Et le marquis répond : « C’est l’essentiel 463 TextUniq| ce que les méridionaux de Marseille appellent les « fruits de 464 TextUniq| rocailleuse dont les purins de Martainville ou de Saint-Nicaise prononçaient 465 TextUniq| ce qu’à Noël, à la saint Martin et à Pâques, jours de réjouissance 466 TextUniq| et les fameux Navets de Martot, dans l’Eure. Et nous en 467 TextUniq| embouchure de la Seine, Le Masson de Saint-Amand, qui a donné 468 TextUniq| sous le sobriquet de Terre maudite : « On y jette le bon Dieu 469 TextUniq| au moins, cette anecdote médisante était populaire dans le 470 TextUniq| Et nous en passons et des meilleurs : les Gigots de Beuzeville, 471 TextUniq| chapiteau, contemplant d'un air mélancolique l’écuelle brisée tenue à 472 TextUniq| bien, Caudebec-en-Caux ne méritait-elle pas sa réputation gastronomique, 473 TextUniq| Delarue-Mardrus, la synthèse merveilleuse et puissante de la vie de 474 TextUniq| côte, pénible et chétif métier, puisque le proverbe « J’ 475 TextUniq| Tu ne l’auras pas :~Je l’mettrai plutôt dans ma pouquette~ 476 TextUniq| de Louviers, à l’heure de midi, à l’heure de la soupe familiale, 477 TextUniq| un joli roman, La Fée aux Miettes, Nodier a décrit la pêche 478 TextUniq| paroisses secondaires se mirent dans l’esprit de contester 479 TextUniq| comme le superlatif de la misère. Dans un joli roman, La 480 TextUniq| dans Turcaret. A un moment, Mme Turcaret se vante d’être 481 TextUniq| savate pour des tripes à la mode de Caen !!!~*~**~On en citerait 482 TextUniq| exemple de Gorenflot, le moine créé par la verve d’Alexandre 483 | mois 484 | moment 485 TextUniq| viande de l’animal chanté par Monselet :~« Car tout est bon en 486 TextUniq| bataille, et la statue de Monsieur Saint Sébastien, dans la 487 TextUniq| preuve de leur visite au Mont. Bien entendu, ce commerce 488 TextUniq| là que parfois la coque, montait à la surface de l’Océan 489 TextUniq| en un jour de colère un Montivillon arracha avec les dents l’ 490 TextUniq| de l’Eglise Notre-Dame, montrée à tous les visiteurs s'intéressant 491 TextUniq| soupe ou coupés en petits morceaux et enrobés dans la pâte 492 TextUniq| Saint-Nicaise prononçaient le mot porrrreaux, en faisant rouler 493 TextUniq| postérieurement un style ou un motif créé antérieurement. Et 494 TextUniq| Calidu, et par sa fabrique de moutarde à l’estragon, rivale de 495 TextUniq| côté, par les boeufs et les moutons ? Grâce à ce baptême improvisé, 496 TextUniq| Caen, qu’on dégustait au Moyen Age ; les Bourres et les 497 TextUniq| comme eux, d’origine intra muros.~N’était-ce pas une véritable 498 TextUniq| de carême, traverser à la nage la rivière de Risle, qui 499 TextUniq| bourgeois de Pont-Audemer, pour narguer leurs voisins, se rendaient 500 TextUniq| en quelques secondes de nature et devenaient un aliment…


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