12-natur | noces-yveto
gras = Texte principal
Chapitre gris = Texte de commentaire
501 TextUniq| savoureuse d’un dîner de noces normand, a d écrit le garde-manger
502 TextUniq| coquillage de la grosseur d’une noix, de la forme d’un coeur,
503 TextUniq| plusieurs fois un os de boeuf nommé le savouret, et Les Savates
504 TextUniq| parfois dissimulés sous des noms ou termes empruntés aux
505 | notre
506 TextUniq| le côté Sud de l’Eglise Notre-Dame, montrée à tous les visiteurs
507 TextUniq| avaient rien débité, se nourrissaient sur leur fond. De là, le
508 | O
509 TextUniq| civilité et la politesse obligeaient les convives à ne pas «
510 TextUniq| montait à la surface de l’Océan sur une des écailles voguant
511 TextUniq| Bervillais, viendrait de l’odeur désagréable s’attachant
512 TextUniq| gourmandise, les gens de Ferrière ont-ils transgressé les habitudes
513 TextUniq| transgressé les habitudes ordinaires de la Basse-normandie, ce
514 TextUniq| le maréchal de Biron, aux ordres de Henri IV. De là, ce sobriquet
515 TextUniq| arracha avec les dents l’oreille d’un Harfleurais, les deux
516 TextUniq| notamment Les Mangeurs d’oreilles de Montivilliers, mais ce
517 TextUniq| dit-il, un long couloir orienté de façon convenable et aéré
518 TextUniq| saucisson, comme eux, d’origine intra muros.~N’était-ce
519 TextUniq| resservir plusieurs fois un os de boeuf nommé le savouret,
520 TextUniq| attentifs à leur repas qu'ils en oublient leur propre défense, voici
521 | P
522 TextUniq| ou relevées d’un incarnat pâle. Sa pêche était le gagne-pain
523 TextUniq| sculpture ainsi désignée, parait être antérieure à cette
524 TextUniq| Montivilliers, sobriquet qui paraît bien avoir été une riposte
525 TextUniq| Montivilliers, mais ce sobriquet, paraît-il, n’aurait rien de gastronomique.
526 TextUniq| étaient déposés avant de paraître sur la table des moines. »~
527 | parce
528 TextUniq| Dans le bas, une source en parcourait toute la longueur, permettant
529 TextUniq| envoyés en présents aux parents et amis, qui les mangeaient
530 TextUniq| Caudebec, dont nous avons parlé plus hauts. En passant,
531 TextUniq| Rouen, le grand festin du Parlement de Normandie, qui s’appelait
532 TextUniq| était le privilège de la paroisse principale, celle de Saint-Ouen.
533 TextUniq| Picards et qu’ils aimaient particulièrement à déguster les poireaux
534 TextUniq| en voit guère – faisait partie du diocèse de Lisieux, dédié
535 TextUniq| avons parlé plus hauts. En passant, rappelons, à propos de
536 TextUniq| en les accusant d’avoir passé le temps à manger des tartines
537 TextUniq| Rouen.~*~**~N’allons pas passer sous silence Les Gourmands
538 TextUniq| dans l’Eure. Et nous en passons et des meilleurs : les Gigots
539 TextUniq| morceaux et enrobés dans la pâte croustillante d’une flamiche !
540 TextUniq| armoiries ; par ses délicieuses pâtisseries ; par ses fruits cueillis
541 TextUniq| ou termes empruntés aux patois locaux. Voici, par exemple,
542 TextUniq| crablin, comme aussi les pauvres pêcheurs de Berville, que
543 TextUniq| cochon de lait », à la peau dorée et délicate et sa
544 TextUniq| malheureux trépassés en péché de gourmandise !...~*~**~
545 TextUniq| proverbe « J’aimerais mieux pêcher des coques au Mont-Saint-Michel »,
546 TextUniq| Calvados :~« L’attirail du pêcheur, dit-il, est tout simple.
547 TextUniq| commerce de coquilles de pèlerinage était libre, sauf une imposition
548 TextUniq| vendre ces coquilles aux pèlerins comme « enseignes » et preuve
549 TextUniq| résille à mailles serrées, qui pend sur son épaule et dans laquelle
550 TextUniq| aéré des deux bouts, où pendaient aux crochets, les provisions.
551 TextUniq| Mont-Saint-Michel et de la côte, pénible et chétif métier, puisque
552 TextUniq| carême et les « grandes pénitences » sont terminés, il est
553 TextUniq| parcourait toute la longueur, permettant d’engraisser et de conserver
554 TextUniq| sont terminés, il est permis de proclamer que la Normandie,
555 TextUniq| imagiers-sculpteurs de nos églises ont perpétué souvent très postérieurement
556 TextUniq| finit par des chansons, pour perpétuer le souvenir de l’évènement,
557 TextUniq| les poissons avariés, dont personne ne voudrait, si on ne s’
558 TextUniq| Sébastien, invoqué contre la peste. C’était le privilège de
559 TextUniq| dans la soupe ou coupés en petits morceaux et enrobés dans
560 TextUniq| de façon amusante. Il est peut-être curieux grâce au blason
561 TextUniq| qu’ils étaient comme les Picards et qu’ils aimaient particulièrement
562 TextUniq| Saint-Mathieu, à Bourg-Achard ; les Pimperniaux de l’Eure une sorte de petite
563 TextUniq| coque et d’un seul coup de pique, il la découvre et l’enlève.
564 TextUniq| par une petite statuette, placée sur le côté Sud de l’Eglise
565 TextUniq| heure fort avancée, les plaisantèrent, dit-on, en les accusant
566 TextUniq| convives à ne pas « torcher les plats et les assiettes ». Agir
567 TextUniq| de pois, figure dans un poème anonyme sur une petite histoire
568 TextUniq| puis à un bâton armé d’une pointe de fer un peu crochue qui
569 TextUniq| vend maintenant dans nos poissonneries, avec deux valves blanches
570 TextUniq| luttant au temps où la vie policée et heureuse se déroulai
571 TextUniq| jadis, la civilité et la politesse obligeaient les convives
572 TextUniq| faisaient par vengeance politique contre la situation prospère
573 TextUniq| séparaient des véritables Pontaudemériens. Cette séparation avait
574 TextUniq| car tout en toi se mange~O porc délicieux, animal roi, cher
575 TextUniq| être la première qui ait porté des pretintailles à Valognes,
576 TextUniq| ont perpétué souvent très postérieurement un style ou un motif créé
577 TextUniq| jour-là, manger sous le pouce, à la barbe de leur voisins,
578 TextUniq| l’mettrai plutôt dans ma pouquette~Turlurette ! ».~*~**~Voici
579 TextUniq| et aussi pour nourrir des pourceaux et des canards. Ces animaux
580 TextUniq| Les Crablins d’Harfleur pourraient donner la main aux Pêcheurs
581 TextUniq| Le crablin, ce sont les pourris, les tourteaux, la salicoque,
582 TextUniq| Sébastien, dans la lutte, est précipitée dans la Risle ! Même bagarre
583 TextUniq| normandes, où elle comptait au premier rang. Aujourd’hui, les Harfleurais
584 TextUniq| Turcaret se vante d’être la première qui ait porté des pretintailles
585 TextUniq| par excellence, que l’on prenait soin de faire bénir à l’
586 TextUniq| Mont-Saint-Michel. La coque, à tout prendre, est un coquillage de la
587 TextUniq| canards. Ces animaux se présentaient sous un bel aspect, … mais
588 TextUniq| des saucisses, envoyés en présents aux parents et amis, qui
589 TextUniq| élèves du Lycée de Rouen, que présidait jadis avec verve Georges
590 | presque
591 TextUniq| première qui ait porté des pretintailles à Valognes, comme aussi
592 TextUniq| pèlerins comme « enseignes » et preuve de leur visite au Mont.
593 TextUniq| De par sa délimitation primitive fort rigoureuse, Pont-Audemer –
594 TextUniq| Aussy, qui, dans sa Vie privée des Français, a réuni tant
595 TextUniq| Pont-Audemer, grand scandale, procès très long, maintien du curé
596 TextUniq| Même bagarre entre deux processions rivales, sur un pont, entre
597 TextUniq| terminés, il est permis de proclamer que la Normandie, comme
598 TextUniq| religieuse :~« Tous les ans, on promenait par les rues de Pont-Audemer,
599 TextUniq| Martainville ou de Saint-Nicaise prononçaient le mot porrrreaux, en faisant
600 TextUniq| méridionaux, au lieu d’adoucir la prononciation des porrrreaux pour en faire
601 TextUniq| qu'ils en oublient leur propre défense, voici les Friands
602 TextUniq| politique contre la situation prospère de la petite ville.~Aussi
603 TextUniq| les unes aux autres, le prouveraient de façon amusante. Il est
604 TextUniq| de Mangeurs de porreaux, provenait seulement de la façon rude,
605 TextUniq| le rôti ! » qui est resté proverbial dans toute la Normandie.~ ~
606 TextUniq| Montivilliers, l’expression proverbiale bien amusante : « Il est
607 TextUniq| pendaient aux crochets, les provisions. Dans le bas, une source
608 TextUniq| était-ce pas une véritable provocation ? Et le sobriquet dédaigneux
609 TextUniq| populaire, grâce à certaines publications traditionalistes de les
610 TextUniq| pénible et chétif métier, puisque le proverbe « J’aimerais
611 TextUniq| synthèse merveilleuse et puissante de la vie de l’entrée de
612 TextUniq| était-il destiné à devenir la punition éternelle des malheureux
613 TextUniq| compris entre Noël et la Purification.~Au contraire, le faubourg
614 TextUniq| gutturale, rocailleuse dont les purins de Martainville ou de Saint-Nicaise
615 | quand
616 TextUniq| voisines étant souvent en querelle. Plus sérieux est le sobriquet
617 TextUniq| entre dans l’alimentation quotidiennes des populations urbaines,
618 | r
619 TextUniq| à la vérité, faire aucun ragoût, mais ils tirent les viandes
620 TextUniq| elle comptait au premier rang. Aujourd’hui, les Harfleurais
621 TextUniq| Mâqueux de salade d’Argentan, rappelant que ces braves paysans bas-normands
622 TextUniq| de très larges emprunts a rappelé que l’épithète Mangeurs
623 TextUniq| plus hauts. En passant, rappelons, à propos de Montivilliers,
624 TextUniq| qui n’existent pas dans la réalité, voici, par contre, les
625 TextUniq| pêcheurs abandonnent au rebut. Le crablin, ce sont les
626 TextUniq| traditionalistes de les recueillir, avant que ces expressions
627 TextUniq| est tout simple. Il se réduit à une résille à mailles
628 TextUniq| Martin et à Pâques, jours de réjouissance domestique, ils tuaient
629 TextUniq| est de Montivilliers, il relève de Madame », qui s’applique
630 TextUniq| deux valves blanches ou relevées d’un incarnat pâle. Sa pêche
631 TextUniq| petite histoire de procession religieuse :~« Tous les ans, on promenait
632 TextUniq| Friands de Caudebec, titre remontant au temps luttant au temps
633 TextUniq| Des paysans de Courson, rencontrant un jour ceux de Morigny,
634 TextUniq| narguer leurs voisins, se rendaient ce jour-là, manger sous
635 TextUniq| nourriture principale jusqu’eau renouveau ».~D’autres mangeux... de
636 TextUniq| seraient gâtées. Et le marquis répond : « C’est l’essentiel de
637 TextUniq| Essai sur Louviers, vous répondra que bien souvent les imagiers-sculpteurs
638 TextUniq| Mont-Saint-Michel », le représente comme le superlatif de la
639 TextUniq| Mangeux de soupe de Louviers, représentés par ce petit marmouset sculpté
640 TextUniq| autrement, c’eût été presque reprocher à l’amphitryon de ne point
641 TextUniq| aller s’asseoir aux tables réputées des hôtelleries de Saint-aignan,
642 TextUniq| du garde-manger, était un réservoir d’eau salée où le poisson
643 TextUniq| simple. Il se réduit à une résille à mailles serrées, qui pend
644 TextUniq| vie, que les vagues aient respecté en se retirant, lui indique
645 TextUniq| soupe très maigre où on fait resservir plusieurs fois un os de
646 TextUniq| de Caux. Qui pourrait, du reste, faire un crime aux Caudebécais
647 TextUniq| pour le rôti ! » qui est resté proverbial dans toute la
648 TextUniq| par douzaine, son gibier retentissant et puis à un bâton armé
649 TextUniq| vagues aient respecté en se retirant, lui indique le séjour de
650 TextUniq| sonder le sable et à le retourner. Un petit trou cylindrique,
651 TextUniq| Vie privée des Français, a réuni tant de documents sur la
652 TextUniq| Conteville, le pays de Jean Revel, le grand romancier normand.
653 TextUniq| un jour ceux de Morigny, revenant de la procession à une heure
654 TextUniq| contester ce privilège, revendiqué par le vicaire Vitrel, de
655 TextUniq| délimitation primitive fort rigoureuse, Pont-Audemer – cité comme
656 TextUniq| de moutarde à l’estragon, rivale de celle d’Yvetot ?~Faut-il
657 TextUniq| bagarre entre deux processions rivales, sur un pont, entre Longpaon
658 TextUniq| faubourg Saint-Aignan, sur la rive droite de la Risle qui les
659 TextUniq| traverser à la nage la rivière de Risle, qui vient se jeter
660 TextUniq| la façon rude, gutturale, rocailleuse dont les purins de Martainville
661 TextUniq| de Jean Revel, le grand romancier normand. Les Gourmands de
662 TextUniq| Savez-vous qu’autrefois les Rouennais, appelés surtout normands
663 TextUniq| mot porrrreaux, en faisant rouler les r comme les méridionaux,
664 TextUniq| provenait seulement de la façon rude, gutturale, rocailleuse
665 TextUniq| ans, on promenait par les rues de Pont-Audemer, la statue
666 TextUniq| crochue qui sert à sonder le sable et à le retourner. Un petit
667 TextUniq| pêche aux étrilles sur les sables du Calvados :~« L’attirail
668 TextUniq| de la Seine, Le Masson de Saint-Amand, qui a donné une description
669 TextUniq| aux délicieuses coquilles Saint-Jacques, qu’on vend maintenant dans
670 TextUniq| les Bourrettes de la Foire Saint-Mathieu, à Bourg-Achard ; les Pimperniaux
671 TextUniq| purins de Martainville ou de Saint-Nicaise prononçaient le mot porrrreaux,
672 TextUniq| normandes, notamment sur Saint-Paul et Eauplet, auprès de Rouen.~*~**~
673 TextUniq| diocèse de Lisieux, dédié à Saint-Pierre. A ce titre, notre bonne
674 TextUniq| faisait donc assommer, à la sainte Catherine, le cochon qui
675 TextUniq| sobriquet des Mâqueux de salade d’Argentan, rappelant que
676 TextUniq| était un réservoir d’eau salée où le poisson de mer encore
677 TextUniq| pourris, les tourteaux, la salicoque, le « bouquet »…. défraîchis,
678 TextUniq| manger de la viande, les samedis, compris entre Noël et la
679 TextUniq| annuel de la compagnie des Sapeurs-pompiers de Rouen. Il y a encore
680 TextUniq| la bouillie de blé ou de sarrasin, étaient aussi dénommés
681 TextUniq| IV. De là, ce sobriquet satirique de Mangeux de soupe, donné
682 TextUniq| croirait par ces dictons satiriques. On a ainsi les Navets de
683 TextUniq| des aunes de boudin, des saucisses, envoyés en présents aux
684 TextUniq| barbe de leur voisins, le saucisson, comme eux, d’origine intra
685 TextUniq| pèlerinage était libre, sauf une imposition de 12 deniers
686 TextUniq| gourmand de l’endroit de la savate pour des tripes à la mode
687 TextUniq| nommé le savouret, et Les Savates du Gast, un joli endroit,
688 TextUniq| repas. Les cuisiniers ne savent, à la vérité, faire aucun
689 TextUniq| autres Mangeux normands. Savez-vous qu’autrefois les Rouennais,
690 TextUniq| donné une description fort savoureuse d’un dîner de noces normand,
691 TextUniq| procession de Pont-Audemer, grand scandale, procès très long, maintien
692 TextUniq| représentés par ce petit marmouset sculpté sur un chapiteau, contemplant
693 TextUniq| Soutiendra-t-on que la petite sculpture ainsi désignée, parait être
694 TextUniq| curés des trois paroisses secondaires se mirent dans l’esprit
695 TextUniq| changeaient en quelques secondes de nature et devenaient
696 TextUniq| retirant, lui indique le séjour de la coque et d’un seul
697 TextUniq| forme d’un coeur, un peu semblable aux délicieuses coquilles
698 TextUniq| droite de la Risle qui les séparaient des véritables Pontaudemériens.
699 TextUniq| véritables Pontaudemériens. Cette séparation avait été la cause principale
700 TextUniq| de broche de plus, elles seraient gâtées. Et le marquis répond : «
701 TextUniq| souvent en querelle. Plus sérieux est le sobriquet des Mâqueux
702 TextUniq| à une résille à mailles serrées, qui pend sur son épaule
703 TextUniq| de fer un peu crochue qui sert à sonder le sable et à le
704 TextUniq| voudrait, si on ne s’en servait pas comme engrais. C’est
705 TextUniq| autour d'une table bien servie, dans l'ancienne capitale
706 | seulement
707 TextUniq| N’allons pas passer sous silence Les Gourmands de Grestain,
708 TextUniq| pêcheur, dit-il, est tout simple. Il se réduit à une résille
709 TextUniq| vengeance politique contre la situation prospère de la petite ville.~
710 TextUniq| excellence, que l’on prenait soin de faire bénir à l’église. »
711 TextUniq| un peu crochue qui sert à sonder le sable et à le retourner.
712 TextUniq| Pimperniaux de l’Eure une sorte de petite anguille, cité
713 TextUniq| provisions. Dans le bas, une source en parcourait toute la longueur,
714 TextUniq| par la malice populaire. Soutiendra-t-on que la petite sculpture
715 TextUniq| chansons, pour perpétuer le souvenir de l’évènement, on tourna
716 TextUniq| symbolisés par une petite statuette, placée sur le côté Sud
717 TextUniq| très postérieurement un style ou un motif créé antérieurement.
718 TextUniq| Pont-Audemer :~« L’gros Vitrel, su Mangeux de pois,~Lui dit : «
719 TextUniq| statuette, placée sur le côté Sud de l’Eglise Notre-Dame,
720 TextUniq| amphitryon de ne point nourrir suffisamment ses convives. Emportés par
721 TextUniq| le représente comme le superlatif de la misère. Dans un joli
722 TextUniq| parfois la coque, montait à la surface de l’Océan sur une des écailles
723 TextUniq| sur leur fond. De là, le surnom dont joyeusement les Compagnons
724 TextUniq| assiettes, s’étaient laissés surprendre par le maréchal de Biron,
725 TextUniq| Et c’est ainsi qu'aurait survécu la légende historique du
726 TextUniq| Mangeux de soupe de Louviers, symbolisés par une petite statuette,
727 TextUniq| locutions normandes sont synonymes de « mangeurs de beurre ».
728 TextUniq| Lucie Delarue-Mardrus, la synthèse merveilleuse et puissante
729 TextUniq| titre, notre bonne ville de tanneurs ne jouissait pas de la faculté
730 | tant
731 TextUniq| passé le temps à manger des tartines de beurre, car dans toute
732 TextUniq| plutôt les mâcheurs, qui témoignaient chez les Gournaisiens d’
733 TextUniq| défaut et, au contraire, témoigne d’un certain goût. Il est
734 TextUniq| mélancolique l’écuelle brisée tenue à la main, rappelle que
735 TextUniq| grandes pénitences » sont terminés, il est permis de proclamer
736 TextUniq| désignée sous le sobriquet de Terre maudite : « On y jette le
737 TextUniq| crablin pour amender les terres, et aussi pour nourrir des
738 TextUniq| Texte~Maintenant que les jeûnes
739 TextUniq| faire aucun ragoût, mais ils tirent les viandes si à propos,
740 TextUniq| les convives à ne pas « torcher les plats et les assiettes ».
741 TextUniq| souvenir de l’évènement, on tourna quelques couplets. L’un
742 TextUniq| ce sont les pourris, les tourteaux, la salicoque, le « bouquet »….
743 TextUniq| appelait le Repas du cochon. La tradition du « cochon de lait », à
744 TextUniq| à certaines publications traditionalistes de les recueillir, avant
745 TextUniq| s'intéressant encore aux traditions populaires et aux faits
746 TextUniq| les terriens du voisinage traitent aussi de la même façon.
747 TextUniq| étaient même dispensés du trajet aquatique, au bénéfice de
748 TextUniq| église. » D’après Canel, le tranquille habitant de Saint-Léonard, «
749 TextUniq| gens de Ferrière ont-ils transgressé les habitudes ordinaires
750 TextUniq| faisaient en temps de carême, traverser à la nage la rivière de
751 TextUniq| éternelle des malheureux trépassés en péché de gourmandise !...~*~**~
752 TextUniq| endroit de la savate pour des tripes à la mode de Caen !!!~*~**~
753 TextUniq| Saint-Ouen. Les curés des trois paroisses secondaires se
754 | trop
755 TextUniq| à le retourner. Un petit trou cylindrique, seul vestige
756 TextUniq| cherchant bien encore, on trouverait des termes plus courts,
757 | Tu
758 TextUniq| réjouissance domestique, ils tuaient un ou plusieurs cochons
759 TextUniq| plutôt dans ma pouquette~Turlurette ! ».~*~**~Voici encore quelques
760 TextUniq| villes et les paroisses les unes aux autres, le prouveraient
761 TextUniq| quotidiennes des populations urbaines, était autrefois très apprécié.
762 TextUniq| vêtements, par suite de l’usage qu’ils ont de conserver
763 TextUniq| comme dans bien des cas en use le « blason » populaire.~
764 TextUniq| vestige de la vie, que les vagues aient respecté en se retirant,
765 TextUniq| Haute et Basse-Normandie, valant mieux parfois qu’on ne le
766 TextUniq| poissonneries, avec deux valves blanches ou relevées d’un
767 TextUniq| moment, Mme Turcaret se vante d’être la première qui ait
768 TextUniq| des sobriquets nombreux et variés aux bonnes populations des
769 TextUniq| Dans cette région de la vase, du vent de mer, de l’embrun,
770 TextUniq| coquilles Saint-Jacques, qu’on vend maintenant dans nos poissonneries,
771 TextUniq| Caudebec, le faisaient par vengeance politique contre la situation
772 TextUniq| cette région de la vase, du vent de mer, de l’embrun, le
773 TextUniq| chaircuiterie » leur était venue de ce qu’à Noël, à la saint
774 TextUniq| cuisiniers ne savent, à la vérité, faire aucun ragoût, mais
775 | vers
776 TextUniq| petit trou cylindrique, seul vestige de la vie, que les vagues
777 TextUniq| désagréable s’attachant à leurs vêtements, par suite de l’usage qu’
778 TextUniq| un privilège de Charles VI, les gens du Mont-Saint-Michel
779 TextUniq| ragoût, mais ils tirent les viandes si à propos, qu’un tour
780 TextUniq| privilège, revendiqué par le vicaire Vitrel, de l’église Saint-Ouen.
781 TextUniq| d’autres comestibles ou victuailles ont fourni, eux aussi, des
782 TextUniq| la rivière de Risle, qui vient se jeter de ce côté, par
783 TextUniq| diocèse de Rouen, dédié à la Vierge, avait le privilège de faire
784 TextUniq| Lèche-plats de la Ferrière, petit village du côté de Domfront ? Dans
785 TextUniq| aux bonnes populations des villages de Haute et Basse-Normandie,
786 TextUniq| ecclésiastique sur cent vingt-huit paroisses normandes, notamment
787 TextUniq| un joli endroit, près de Vire, où on fit manger à un gourmand
788 TextUniq| jadis avec verve Georges Visinet, et qui s’appelle le Banquet
789 TextUniq| enseignes » et preuve de leur visite au Mont. Bien entendu, ce
790 TextUniq| Notre-Dame, montrée à tous les visiteurs s'intéressant encore aux
791 TextUniq| le poisson de mer encore vivant, les homards, les langoustes,
792 TextUniq| Océan sur une des écailles voguant en chaloupe, et sous l’autre
793 TextUniq| autre dressée comme une voile ».~Et Nodier conclut que «
794 TextUniq| Berville, que les terriens du voisinage traitent aussi de la même
795 TextUniq| Harfleurais, les deux villes voisines étant souvent en querelle.
796 | vous
797 TextUniq| Dans ses Lettres d’un voyageur à l’embouchure de la Seine,
798 TextUniq| dénigrement, une injure très vraisemblablement lancée par les Terriens
799 TextUniq| estragon, rivale de celle d’Yvetot ?~Faut-il encore citer parmi
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