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Gorge Dubosc
Les sobriquets gastronomiques en Normandie

IntraText - Concordances

(Hapax Legomena)


12-natur | noces-yveto

                                                     gras = Texte principal
    Chapitre                                         gris = Texte de commentaire
501 TextUniq| savoureuse d’un dîner de noces normand, a d écrit le garde-manger 502 TextUniq| coquillage de la grosseur d’une noix, de la forme d’un coeur, 503 TextUniq| plusieurs fois un os de boeuf nommé le savouret, et Les Savates 504 TextUniq| parfois dissimulés sous des noms ou termes empruntés aux 505 | notre 506 TextUniq| le côté Sud de l’Eglise Notre-Dame, montrée à tous les visiteurs 507 TextUniq| avaient rien débité, se nourrissaient sur leur fond. De là, le 508 | O 509 TextUniq| civilité et la politesse obligeaient les convives à ne pas «  510 TextUniq| montait à la surface de l’Océan sur une des écailles voguant 511 TextUniq| Bervillais, viendrait de l’odeur désagréable s’attachant 512 TextUniq| gourmandise, les gens de Ferrière ont-ils transgressé les habitudes 513 TextUniq| transgressé les habitudes ordinaires de la Basse-normandie, ce 514 TextUniq| le maréchal de Biron, aux ordres de Henri IV. De là, ce sobriquet 515 TextUniq| arracha avec les dents l’oreille d’un Harfleurais, les deux 516 TextUniq| notamment Les Mangeurs d’oreilles de Montivilliers, mais ce 517 TextUniq| dit-il, un long couloir orienté de façon convenable et aéré 518 TextUniq| saucisson, comme eux, d’origine intra muros.~N’était-ce 519 TextUniq| resservir plusieurs fois un os de boeuf nommé le savouret, 520 TextUniq| attentifs à leur repas qu'ils en oublient leur propre défense, voici 521 | P 522 TextUniq| ou relevées d’un incarnat pâle. Sa pêche était le gagne-pain 523 TextUniq| sculpture ainsi désignée, parait être antérieure à cette 524 TextUniq| Montivilliers, sobriquet qui paraît bien avoir été une riposte 525 TextUniq| Montivilliers, mais ce sobriquet, paraît-il, n’aurait rien de gastronomique. 526 TextUniq| étaient déposés avant de paraître sur la table des moines. »~ 527 | parce 528 TextUniq| Dans le bas, une source en parcourait toute la longueur, permettant 529 TextUniq| envoyés en présents aux parents et amis, qui les mangeaient 530 TextUniq| Caudebec, dont nous avons parlé plus hauts. En passant, 531 TextUniq| Rouen, le grand festin du Parlement de Normandie, qui s’appelait 532 TextUniq| était le privilège de la paroisse principale, celle de Saint-Ouen. 533 TextUniq| Picards et qu’ils aimaient particulièrement à déguster les poireaux 534 TextUniq| en voit guère – faisait partie du diocèse de Lisieux, dédié 535 TextUniq| avons parlé plus hauts. En passant, rappelons, à propos de 536 TextUniq| en les accusant d’avoir passé le temps à manger des tartines 537 TextUniq| Rouen.~*~**~N’allons pas passer sous silence Les Gourmands 538 TextUniq| dans l’Eure. Et nous en passons et des meilleurs : les Gigots 539 TextUniq| morceaux et enrobés dans la pâte croustillante d’une flamiche ! 540 TextUniq| armoiries ; par ses délicieuses pâtisseries ; par ses fruits cueillis 541 TextUniq| ou termes empruntés aux patois locaux. Voici, par exemple, 542 TextUniq| crablin, comme aussi les pauvres pêcheurs de Berville, que 543 TextUniq| cochon de lait », à la peau dorée et délicate et sa 544 TextUniq| malheureux trépassés en péché de gourmandise !...~*~**~ 545 TextUniq| proverbe « J’aimerais mieux pêcher des coques au Mont-Saint-Michel », 546 TextUniq| Calvados :~« L’attirail du pêcheur, dit-il, est tout simple. 547 TextUniq| commerce de coquilles de pèlerinage était libre, sauf une imposition 548 TextUniq| vendre ces coquilles aux pèlerins comme « enseignes » et preuve 549 TextUniq| résille à mailles serrées, qui pend sur son épaule et dans laquelle 550 TextUniq| aéré des deux bouts, où pendaient aux crochets, les provisions. 551 TextUniq| Mont-Saint-Michel et de la côte, pénible et chétif métier, puisque 552 TextUniq| carême et les « grandes pénitences » sont terminés, il est 553 TextUniq| parcourait toute la longueur, permettant d’engraisser et de conserver 554 TextUniq| sont terminés, il est permis de proclamer que la Normandie, 555 TextUniq| imagiers-sculpteurs de nos églises ont perpétué souvent très postérieurement 556 TextUniq| finit par des chansons, pour perpétuer le souvenir de l’évènement, 557 TextUniq| les poissons avariés, dont personne ne voudrait, si on ne s’ 558 TextUniq| Sébastien, invoqué contre la peste. C’était le privilège de 559 TextUniq| dans la soupe ou coupés en petits morceaux et enrobés dans 560 TextUniq| de façon amusante. Il est peut-être curieux grâce au blason 561 TextUniq| qu’ils étaient comme les Picards et qu’ils aimaient particulièrement 562 TextUniq| Saint-Mathieu, à Bourg-Achard ; les Pimperniaux de l’Eure une sorte de petite 563 TextUniq| coque et d’un seul coup de pique, il la découvre et l’enlève. 564 TextUniq| par une petite statuette, placée sur le côté Sud de l’Eglise 565 TextUniq| heure fort avancée, les plaisantèrent, dit-on, en les accusant 566 TextUniq| convives à ne pas « torcher les plats et les assiettes ». Agir 567 TextUniq| de pois, figure dans un poème anonyme sur une petite histoire 568 TextUniq| puis à un bâton armé d’une pointe de fer un peu crochue qui 569 TextUniq| vend maintenant dans nos poissonneries, avec deux valves blanches 570 TextUniq| luttant au temps où la vie policée et heureuse se déroulai 571 TextUniq| jadis, la civilité et la politesse obligeaient les convives 572 TextUniq| faisaient par vengeance politique contre la situation prospère 573 TextUniq| séparaient des véritables Pontaudemériens. Cette séparation avait 574 TextUniq| car tout en toi se mange~O porc délicieux, animal roi, cher 575 TextUniq| être la première qui ait porté des pretintailles à Valognes, 576 TextUniq| ont perpétué souvent très postérieurement un style ou un motif créé 577 TextUniq| jour-là, manger sous le pouce, à la barbe de leur voisins, 578 TextUniq| l’mettrai plutôt dans ma pouquette~Turlurette ! ».~*~**~Voici 579 TextUniq| et aussi pour nourrir des pourceaux et des canards. Ces animaux 580 TextUniq| Les Crablins d’Harfleur pourraient donner la main aux Pêcheurs 581 TextUniq| Le crablin, ce sont les pourris, les tourteaux, la salicoque, 582 TextUniq| Sébastien, dans la lutte, est précipitée dans la Risle ! Même bagarre 583 TextUniq| normandes, où elle comptait au premier rang. Aujourdhui, les Harfleurais 584 TextUniq| Turcaret se vante d’être la première qui ait porté des pretintailles 585 TextUniq| par excellence, que l’on prenait soin de faire bénir à l’ 586 TextUniq| Mont-Saint-Michel. La coque, à tout prendre, est un coquillage de la 587 TextUniq| canards. Ces animaux se présentaient sous un bel aspect, … mais 588 TextUniq| des saucisses, envoyés en présents aux parents et amis, qui 589 TextUniq| élèves du Lycée de Rouen, que présidait jadis avec verve Georges 590 | presque 591 TextUniq| première qui ait porté des pretintailles à Valognes, comme aussi 592 TextUniq| pèlerins comme « enseignes » et preuve de leur visite au Mont. 593 TextUniq| De par sa délimitation primitive fort rigoureuse, Pont-Audemer – 594 TextUniq| Aussy, qui, dans sa Vie privée des Français, a réuni tant 595 TextUniq| Pont-Audemer, grand scandale, procès très long, maintien du curé 596 TextUniq| Même bagarre entre deux processions rivales, sur un pont, entre 597 TextUniq| terminés, il est permis de proclamer que la Normandie, comme 598 TextUniq| religieuse :~« Tous les ans, on promenait par les rues de Pont-Audemer, 599 TextUniq| Martainville ou de Saint-Nicaise prononçaient le mot porrrreaux, en faisant 600 TextUniq| méridionaux, au lieu d’adoucir la prononciation des porrrreaux pour en faire 601 TextUniq| qu'ils en oublient leur propre défense, voici les Friands 602 TextUniq| politique contre la situation prospère de la petite ville.~Aussi 603 TextUniq| les unes aux autres, le prouveraient de façon amusante. Il est 604 TextUniq| de Mangeurs de porreaux, provenait seulement de la façon rude, 605 TextUniq| le rôti ! » qui est resté proverbial dans toute la Normandie.~ ~ 606 TextUniq| Montivilliers, l’expression proverbiale bien amusante : « Il est 607 TextUniq| pendaient aux crochets, les provisions. Dans le bas, une source 608 TextUniq| était-ce pas une véritable provocation ? Et le sobriquet dédaigneux 609 TextUniq| populaire, grâce à certaines publications traditionalistes de les 610 TextUniq| pénible et chétif métier, puisque le proverbe « J’aimerais 611 TextUniq| synthèse merveilleuse et puissante de la vie de l’entrée de 612 TextUniq| était-il destiné à devenir la punition éternelle des malheureux 613 TextUniq| compris entre Noël et la Purification.~Au contraire, le faubourg 614 TextUniq| gutturale, rocailleuse dont les purins de Martainville ou de Saint-Nicaise 615 | quand 616 TextUniq| voisines étant souvent en querelle. Plus sérieux est le sobriquet 617 TextUniq| entre dans l’alimentation quotidiennes des populations urbaines, 618 | r 619 TextUniq| à la vérité, faire aucun ragoût, mais ils tirent les viandes 620 TextUniq| elle comptait au premier rang. Aujourdhui, les Harfleurais 621 TextUniq| Mâqueux de salade d’Argentan, rappelant que ces braves paysans bas-normands 622 TextUniq| de très larges emprunts a rappelé que l’épithète Mangeurs 623 TextUniq| plus hauts. En passant, rappelons, à propos de Montivilliers, 624 TextUniq| qui n’existent pas dans la réalité, voici, par contre, les 625 TextUniq| pêcheurs abandonnent au rebut. Le crablin, ce sont les 626 TextUniq| traditionalistes de les recueillir, avant que ces expressions 627 TextUniq| est tout simple. Il se réduit à une résille à mailles 628 TextUniq| Martin et à Pâques, jours de réjouissance domestique, ils tuaient 629 TextUniq| est de Montivilliers, il relève de Madame », qui s’applique 630 TextUniq| deux valves blanches ou relevées d’un incarnat pâle. Sa pêche 631 TextUniq| petite histoire de procession religieuse :~« Tous les ans, on promenait 632 TextUniq| Friands de Caudebec, titre remontant au temps luttant au temps 633 TextUniq| Des paysans de Courson, rencontrant un jour ceux de Morigny, 634 TextUniq| narguer leurs voisins, se rendaient ce jour-là, manger sous 635 TextUniq| nourriture principale jusqu’eau renouveau ».~D’autres mangeux... de 636 TextUniq| seraient gâtées. Et le marquis répond : « C’est l’essentiel de 637 TextUniq| Essai sur Louviers, vous répondra que bien souvent les imagiers-sculpteurs 638 TextUniq| Mont-Saint-Michel », le représente comme le superlatif de la 639 TextUniq| Mangeux de soupe de Louviers, représentés par ce petit marmouset sculpté 640 TextUniq| autrement, c’eût été presque reprocher à l’amphitryon de ne point 641 TextUniq| aller s’asseoir aux tables réputées des hôtelleries de Saint-aignan, 642 TextUniq| du garde-manger, était un réservoir d’eau salée où le poisson 643 TextUniq| simple. Il se réduit à une résille à mailles serrées, qui pend 644 TextUniq| vie, que les vagues aient respecté en se retirant, lui indique 645 TextUniq| soupe très maigre où on fait resservir plusieurs fois un os de 646 TextUniq| de Caux. Qui pourrait, du reste, faire un crime aux Caudebécais 647 TextUniq| pour le rôti ! » qui est resté proverbial dans toute la 648 TextUniq| par douzaine, son gibier retentissant et puis à un bâton armé 649 TextUniq| vagues aient respecté en se retirant, lui indique le séjour de 650 TextUniq| sonder le sable et à le retourner. Un petit trou cylindrique, 651 TextUniq| Vie privée des Français, a réuni tant de documents sur la 652 TextUniq| Conteville, le pays de Jean Revel, le grand romancier normand. 653 TextUniq| un jour ceux de Morigny, revenant de la procession à une heure 654 TextUniq| contester ce privilège, revendiqué par le vicaire Vitrel, de 655 TextUniq| délimitation primitive fort rigoureuse, Pont-Audemercité comme 656 TextUniq| de moutarde à l’estragon, rivale de celle d’Yvetot ?~Faut-il 657 TextUniq| bagarre entre deux processions rivales, sur un pont, entre Longpaon 658 TextUniq| faubourg Saint-Aignan, sur la rive droite de la Risle qui les 659 TextUniq| traverser à la nage la rivière de Risle, qui vient se jeter 660 TextUniq| la façon rude, gutturale, rocailleuse dont les purins de Martainville 661 TextUniq| de Jean Revel, le grand romancier normand. Les Gourmands de 662 TextUniq| Savez-vous qu’autrefois les Rouennais, appelés surtout normands 663 TextUniq| mot porrrreaux, en faisant rouler les r comme les méridionaux, 664 TextUniq| provenait seulement de la façon rude, gutturale, rocailleuse 665 TextUniq| ans, on promenait par les rues de Pont-Audemer, la statue 666 TextUniq| crochue qui sert à sonder le sable et à le retourner. Un petit 667 TextUniq| pêche aux étrilles sur les sables du Calvados :~« L’attirail 668 TextUniq| de la Seine, Le Masson de Saint-Amand, qui a donné une description 669 TextUniq| aux délicieuses coquilles Saint-Jacques, qu’on vend maintenant dans 670 TextUniq| les Bourrettes de la Foire Saint-Mathieu, à Bourg-Achard ; les Pimperniaux 671 TextUniq| purins de Martainville ou de Saint-Nicaise prononçaient le mot porrrreaux, 672 TextUniq| normandes, notamment sur Saint-Paul et Eauplet, auprès de Rouen.~*~**~ 673 TextUniq| diocèse de Lisieux, dédié à Saint-Pierre. A ce titre, notre bonne 674 TextUniq| faisait donc assommer, à la sainte Catherine, le cochon qui 675 TextUniq| sobriquet des Mâqueux de salade d’Argentan, rappelant que 676 TextUniq| était un réservoir d’eau salée où le poisson de mer encore 677 TextUniq| pourris, les tourteaux, la salicoque, le « bouquet »…. défraîchis, 678 TextUniq| manger de la viande, les samedis, compris entre Noël et la 679 TextUniq| annuel de la compagnie des Sapeurs-pompiers de Rouen. Il y a encore 680 TextUniq| la bouillie de blé ou de sarrasin, étaient aussi dénommés 681 TextUniq| IV. De là, ce sobriquet satirique de Mangeux de soupe, donné 682 TextUniq| croirait par ces dictons satiriques. On a ainsi les Navets de 683 TextUniq| des aunes de boudin, des saucisses, envoyés en présents aux 684 TextUniq| barbe de leur voisins, le saucisson, comme eux, d’origine intra 685 TextUniq| pèlerinage était libre, sauf une imposition de 12 deniers 686 TextUniq| gourmand de l’endroit de la savate pour des tripes à la mode 687 TextUniq| nommé le savouret, et Les Savates du Gast, un joli endroit, 688 TextUniq| repas. Les cuisiniers ne savent, à la vérité, faire aucun 689 TextUniq| autres Mangeux normands. Savez-vous qu’autrefois les Rouennais, 690 TextUniq| donné une description fort savoureuse d’un dîner de noces normand, 691 TextUniq| procession de Pont-Audemer, grand scandale, procès très long, maintien 692 TextUniq| représentés par ce petit marmouset sculpté sur un chapiteau, contemplant 693 TextUniq| Soutiendra-t-on que la petite sculpture ainsi désignée, parait être 694 TextUniq| curés des trois paroisses secondaires se mirent dans l’esprit 695 TextUniq| changeaient en quelques secondes de nature et devenaient 696 TextUniq| retirant, lui indique le séjour de la coque et d’un seul 697 TextUniq| forme d’un coeur, un peu semblable aux délicieuses coquilles 698 TextUniq| droite de la Risle qui les séparaient des véritables Pontaudemériens. 699 TextUniq| véritables Pontaudemériens. Cette séparation avait été la cause principale 700 TextUniq| de broche de plus, elles seraient gâtées. Et le marquis répond : «  701 TextUniq| souvent en querelle. Plus sérieux est le sobriquet des Mâqueux 702 TextUniq| à une résille à mailles serrées, qui pend sur son épaule 703 TextUniq| de fer un peu crochue qui sert à sonder le sable et à le 704 TextUniq| voudrait, si on ne s’en servait pas comme engrais. C’est 705 TextUniq| autour d'une table bien servie, dans l'ancienne capitale 706 | seulement 707 TextUniq| N’allons pas passer sous silence Les Gourmands de Grestain, 708 TextUniq| pêcheur, dit-il, est tout simple. Il se réduit à une résille 709 TextUniq| vengeance politique contre la situation prospère de la petite ville.~ 710 TextUniq| excellence, que l’on prenait soin de faire bénir à l’église. » 711 TextUniq| un peu crochue qui sert à sonder le sable et à le retourner. 712 TextUniq| Pimperniaux de l’Eure une sorte de petite anguille, cité 713 TextUniq| provisions. Dans le bas, une source en parcourait toute la longueur, 714 TextUniq| par la malice populaire. Soutiendra-t-on que la petite sculpture 715 TextUniq| chansons, pour perpétuer le souvenir de l’évènement, on tourna 716 TextUniq| symbolisés par une petite statuette, placée sur le côté Sud 717 TextUniq| très postérieurement un style ou un motif créé antérieurement. 718 TextUniq| Pont-Audemer :~« L’gros Vitrel, su Mangeux de pois,~Lui dit : «  719 TextUniq| statuette, placée sur le côté Sud de l’Eglise Notre-Dame, 720 TextUniq| amphitryon de ne point nourrir suffisamment ses convives. Emportés par 721 TextUniq| le représente comme le superlatif de la misère. Dans un joli 722 TextUniq| parfois la coque, montait à la surface de l’Océan sur une des écailles 723 TextUniq| sur leur fond. De là, le surnom dont joyeusement les Compagnons 724 TextUniq| assiettes, s’étaient laissés surprendre par le maréchal de Biron, 725 TextUniq| Et c’est ainsi qu'aurait survécu la légende historique du 726 TextUniq| Mangeux de soupe de Louviers, symbolisés par une petite statuette, 727 TextUniq| locutions normandes sont synonymes de « mangeurs de beurre ». 728 TextUniq| Lucie Delarue-Mardrus, la synthèse merveilleuse et puissante 729 TextUniq| titre, notre bonne ville de tanneurs ne jouissait pas de la faculté 730 | tant 731 TextUniq| passé le temps à manger des tartines de beurre, car dans toute 732 TextUniq| plutôt les mâcheurs, qui témoignaient chez les Gournaisiens d’ 733 TextUniq| défaut et, au contraire, témoigne d’un certain goût. Il est 734 TextUniq| mélancolique l’écuelle brisée tenue à la main, rappelle que 735 TextUniq| grandes pénitences » sont terminés, il est permis de proclamer 736 TextUniq| désignée sous le sobriquet de Terre maudite : « On y jette le 737 TextUniq| crablin pour amender les terres, et aussi pour nourrir des 738 TextUniq| Texte~Maintenant que les jeûnes 739 TextUniq| faire aucun ragoût, mais ils tirent les viandes si à propos, 740 TextUniq| les convives à ne pas « torcher les plats et les assiettes ». 741 TextUniq| souvenir de l’évènement, on tourna quelques couplets. L’un 742 TextUniq| ce sont les pourris, les tourteaux, la salicoque, le « bouquet »…. 743 TextUniq| appelait le Repas du cochon. La tradition du « cochon de lait », à 744 TextUniq| à certaines publications traditionalistes de les recueillir, avant 745 TextUniq| s'intéressant encore aux traditions populaires et aux faits 746 TextUniq| les terriens du voisinage traitent aussi de la même façon. 747 TextUniq| étaient même dispensés du trajet aquatique, au bénéfice de 748 TextUniq| église. » D’après Canel, le tranquille habitant de Saint-Léonard, «  749 TextUniq| gens de Ferrière ont-ils transgressé les habitudes ordinaires 750 TextUniq| faisaient en temps de carême, traverser à la nage la rivière de 751 TextUniq| éternelle des malheureux trépassés en péché de gourmandise !...~*~**~ 752 TextUniq| endroit de la savate pour des tripes à la mode de Caen !!!~*~**~ 753 TextUniq| Saint-Ouen. Les curés des trois paroisses secondaires se 754 | trop 755 TextUniq| à le retourner. Un petit trou cylindrique, seul vestige 756 TextUniq| cherchant bien encore, on trouverait des termes plus courts, 757 | Tu 758 TextUniq| réjouissance domestique, ils tuaient un ou plusieurs cochons 759 TextUniq| plutôt dans ma pouquette~Turlurette ! ».~*~**~Voici encore quelques 760 TextUniq| villes et les paroisses les unes aux autres, le prouveraient 761 TextUniq| quotidiennes des populations urbaines, était autrefois très apprécié. 762 TextUniq| vêtements, par suite de l’usage qu’ils ont de conserver 763 TextUniq| comme dans bien des cas en use le « blason » populaire.~ 764 TextUniq| vestige de la vie, que les vagues aient respecté en se retirant, 765 TextUniq| Haute et Basse-Normandie, valant mieux parfois qu’on ne le 766 TextUniq| poissonneries, avec deux valves blanches ou relevées d’un 767 TextUniq| moment, Mme Turcaret se vante d’être la première qui ait 768 TextUniq| des sobriquets nombreux et variés aux bonnes populations des 769 TextUniq| Dans cette région de la vase, du vent de mer, de l’embrun, 770 TextUniq| coquilles Saint-Jacques, qu’on vend maintenant dans nos poissonneries, 771 TextUniq| Caudebec, le faisaient par vengeance politique contre la situation 772 TextUniq| cette région de la vase, du vent de mer, de l’embrun, le 773 TextUniq| chaircuiterie » leur était venue de ce qu’à Noël, à la saint 774 TextUniq| cuisiniers ne savent, à la vérité, faire aucun ragoût, mais 775 | vers 776 TextUniq| petit trou cylindrique, seul vestige de la vie, que les vagues 777 TextUniq| désagréable s’attachant à leurs vêtements, par suite de l’usage qu’ 778 TextUniq| un privilège de Charles VI, les gens du Mont-Saint-Michel 779 TextUniq| ragoût, mais ils tirent les viandes si à propos, qu’un tour 780 TextUniq| privilège, revendiqué par le vicaire Vitrel, de l’église Saint-Ouen. 781 TextUniq| d’autres comestibles ou victuailles ont fourni, eux aussi, des 782 TextUniq| la rivière de Risle, qui vient se jeter de ce côté, par 783 TextUniq| diocèse de Rouen, dédié à la Vierge, avait le privilège de faire 784 TextUniq| Lèche-plats de la Ferrière, petit village du côté de Domfront ? Dans 785 TextUniq| aux bonnes populations des villages de Haute et Basse-Normandie, 786 TextUniq| ecclésiastique sur cent vingt-huit paroisses normandes, notamment 787 TextUniq| un joli endroit, près de Vire, où on fit manger à un gourmand 788 TextUniq| jadis avec verve Georges Visinet, et qui s’appelle le Banquet 789 TextUniq| enseignes » et preuve de leur visite au Mont. Bien entendu, ce 790 TextUniq| Notre-Dame, montrée à tous les visiteurs s'intéressant encore aux 791 TextUniq| le poisson de mer encore vivant, les homards, les langoustes, 792 TextUniq| Océan sur une des écailles voguant en chaloupe, et sous l’autre 793 TextUniq| autre dressée comme une voile ».~Et Nodier conclut que «  794 TextUniq| Berville, que les terriens du voisinage traitent aussi de la même 795 TextUniq| Harfleurais, les deux villes voisines étant souvent en querelle. 796 | vous 797 TextUniq| Dans ses Lettres d’un voyageur à l’embouchure de la Seine, 798 TextUniq| dénigrement, une injure très vraisemblablement lancée par les Terriens 799 TextUniq| estragon, rivale de celle d’Yvetot ?~Faut-il encore citer parmi


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