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Gorge Dubosc
Quelques noms de lieux normands

IntraText - Concordances

(Hapax Legomena)


1030-scell | scien-yvill

    Chapitre
501 TextUniq| pour nous, l’étude très scientifique, basée sur la philologie 502 TextUniq| pour tenir les terres d’un seigneur, et aussi celui de cottage, 503 | selon 504 TextUniq| eu garde de passer sous silence tous les mots en mare, si 505 TextUniq| qui ont des formations similaires dans les pays scandinaves : 506 TextUniq| mer et des baies. Sanvic, situé au fond d’une petite crique 507 TextUniq| lieux-dits », il y en a près de six millions en France – qui 508 TextUniq| car on la trouve dans une soixantaine de noms de lieux, désignant 509 TextUniq| rouge» ou qui coule sur un sol rouge ; Mobecq et Varenguebec 510 TextUniq| de Montebourg, de Cabourg sont-il bien scandinaves ou existaient-ils 511 TextUniq| fontaine », du danois kilde, source ; Yquebeuf, du danois eg, 512 TextUniq| Longnon, membre de l’Institut, spécialisé sur ces matières, a professé 513 TextUniq| Danemark, Etainhus, comme Stenhus en Danemark, c’est la « 514 TextUniq| retrouve, par exemple, dans Stockholm, capitale de la Suède. Il 515 TextUniq| bien normand. Vic, Vik, qui subsiste en suédois, et viq, en danois, 516 TextUniq| pénétré sous la forme d’un substantif féminin dans le langage 517 TextUniq| danoise, norvégienne ou suédoise) si nombreux en Normandie, 518 TextUniq| chaumière », qui s’est francisé suivant la terminaison beu et surtout 519 TextUniq| quelques lignes.~ ~*~**~ ~Suivons, selon l’ordre alphabétique, 520 TextUniq| étrange et inaccoutumé, qui surprend l’oreille française. C’est 521 TextUniq| aussi le terme final d’un tas de noms de lieux : Bliquetuit, 522 TextUniq| de paysans constitué pour tenir les terres d’un seigneur, 523 TextUniq| le mot anglais house, et termine dans les pays du Nord, un 524 TextUniq| constitué pour tenir les terres d’un seigneur, et aussi 525 TextUniq| château fut construit par Thomas de Tournebu, qui vivait 526 TextUniq| torn et a pour synonyme Thornby, en Angleterre, dans le 527 TextUniq| juste et très curieuse.~ Thorp est encore un mot norois 528 TextUniq| Basse-Seine : Le Thuit, puis Thuit-Agron, Thuit-Anger, Thuit-Hébert, 529 TextUniq| Thuit, puis Thuit-Agron, Thuit-Anger, Thuit-Hébert, Thuit-Signol, 530 TextUniq| Thuit-Agron, Thuit-Anger, Thuit-Hébert, Thuit-Signol, Thuit-Simer. 531 TextUniq| Thuit-Anger, Thuit-Hébert, Thuit-Signol, Thuit-Simer. Il y a même 532 TextUniq| Thuit-Hébert, Thuit-Signol, Thuit-Simer. Il y a même quelque hameau 533 TextUniq| texte ancien.~ Le mot norois Thveit désigne une « terre », mais 534 TextUniq| Lindebeuf, « la chaumière des tilleuls », de lind, en suédois tilleul ; 535 TextUniq| cours de Longnon, sous le titre : Les Noms de Lieux de la 536 TextUniq| islandico-latino-danicum définit ainsi le toft ou tot « area, domus vacua », 537 TextUniq| Manche). C’est un terme tombé en désuétude de bonne heure, 538 TextUniq| publication des Dictionnaires topographiques, entreprise pour tous les 539 TextUniq| principes et les méthodes de la toponomastique moderne.~ Depuis 1889, Auguste 540 TextUniq| l’Eure ; dans le nom de Torholm, qui aurait été le nom primitif 541 TextUniq| mot se disant en danois torn et a pour synonyme Thornby, 542 TextUniq| canton de Beuzeville ; le Torp-Mesnil - entre nous, c’est deux 543 TextUniq| A peine citerait-on le Torpt dans l’Eure, dans le canton 544 TextUniq| masure du tilleul » ; Tournetot, la « masure de l’Epine ». 545 TextUniq| Seine-Inférieure) et Le Tourp (Manche). C’est un terme 546 TextUniq| jupons chaude), ainsi que le traduisaient quelques latinistes du XIIIe 547 TextUniq| leur Signification et leurs transformations. Ils y démontrent certaines 548 TextUniq| chaude, ou encore Calida tunica (cotte ou jupons chaude), 549 TextUniq| langues scandinaves, tvet, tved, désignent un « abattis 550 TextUniq| les langues scandinaves, tvet, tved, désignent un « abattis 551 TextUniq| rempart de pierre », si usité en de nombreux endroits 552 TextUniq| un temps, dans le langage usuel. Il est même devenu un nom 553 TextUniq| toft ou tot « area, domus vacua », cour d’une maison vide. 554 TextUniq| chaumière de la vallée, de dal « vallon » ; Lindebeuf, « la chaumière 555 TextUniq| Notitia Galliarum, d’Adrien de Valois, depuis les livres d’Auguste 556 TextUniq| homme, qu’on retrouve dans Varengeville, jadis Varengueville.~ Voici 557 TextUniq| un sol rouge ; Mobecq et Varenguebec dans la Manche, formé probablement 558 TextUniq| dans Varengeville, jadis Varengueville.~ Voici maintenant le terme 559 TextUniq| Brocottes dans le Calvados, Vaucotte et Caudecotte dans la Seine-Inférieure, 560 TextUniq| Long-Thuit, le Milthuit, Vauthuit, dans la Seine-Inférieure ; 561 TextUniq| son isolement à tous les vents et à tous les ouragans.~ 562 TextUniq| villageoise et de là est venu le terme coterie, par lequel 563 TextUniq| Hable de Dieppe, le Hable de Veulettes, de Cricqueville ; le Hablet 564 TextUniq| nom que Kilbo, en Suède ; Vibeuf, Ribeuf et Yquebeuf. Et 565 TextUniq| Sanvic est bien normand. Vic, Vik, qui subsiste en suédois, 566 TextUniq| vacua », cour d’une maison vide. On le trouve sous sa forme 567 TextUniq| Sanvic est bien normand. Vic, Vik, qui subsiste en suédois, 568 TextUniq| ou petite » et les hardis Viking, qui parcouraient les mers, 569 TextUniq| masure » ; Fultot, la « vilaine masure » ; Appetot, autrefois 570 TextUniq| désigne une petite habitation villageoise et de là est venu le terme 571 TextUniq| été le nom primitif des villages normands, défigurés en Couronne, 572 TextUniq| les chercheurs. Il y a une vingtaine d’années nous leur avons 573 TextUniq| subsiste en suédois, et viq, en danois, signifie une « 574 TextUniq| Thomas de Tournebu, qui vivait en 1180. Faut-il citer maintenant 575 TextUniq| question si complexe du vocabulaire géographique, a été complètement 576 TextUniq| dire « froid » et il faut voir dans Caudecotte, une « habitation 577 TextUniq| article dans Le Houlme, voisin d’une île de la rivière 578 TextUniq| fond d’une petite crique voisine du Havre, a pour équivalent 579 TextUniq| de Bigards, dans l’Eure, voudrait bien dire le « jardin des 580 TextUniq| Yvetot jusqu’à Bouquetot. A vraiment dire, il signifie une « 581 | vu 582 TextUniq| qui a son homonyme dans Wejby, en Danemark. Combien d’ 583 TextUniq| Angleterre ; Elbeuf autrefois Wellebeuf, qui a son homonyme dans 584 TextUniq| le nom latin de Bodus, au XIe siècle, puis de Boes. Viennent 585 TextUniq| traduisaient quelques latinistes du XIIIe et XIVe siècle. Il n’en 586 TextUniq| quelques latinistes du XIIIe et XIVe siècle. Il n’en est rien 587 TextUniq| qui autrefois s’écrivait Yblelon ; Yquelon, encore dans notre 588 TextUniq| Scellon, dans l’Eure ; Yébleron, dans la Seine-Inférieure, 589 TextUniq| Saint-Valery, Normare, Roumare et Ymare, était sans doute un nom 590 TextUniq| autrefois s’écrivait Yblelon ; Yquelon, encore dans notre département, 591 TextUniq| quatre-vingts localités, depuis Yvetot jusqu’à Bouquetot. A vraiment 592 TextUniq| Norville, Rouville et Yville. La remarque est très juste


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