Index | Mots: Alphabétique - Fréquence - Inversions - Longueur - Statistiques | Aide | Bibliothèque IntraText
Gorge Dubosc
L’Imagerie populaire à Rouen

IntraText - Concordances

(Hapax Legomena)


1489-domin | donna-pieds | pierr-yveto

     Chapitre
1 II| Saint-Severt, fondée le 7 novembre 1489, et confirmée en 1514. Planche 2 II| novembre 1489, et confirmée en 1514. Planche donnée par Jacques 3 II| en papier, domicilié en 1527-1531 sur la paroisse Saint-Jean ; 4 II| papier, domicilié en 1527-1531 sur la paroisse Saint-Jean ; 5 I| Thiboutot ; les Thieuvin, en 1541 ; les Thubeuf ; Vincent 6 II| Saint-Sacrement, fondée en 1548, image représentant un ostensoir 7 I| les statuts, confirmés en 1550 par Henri II et en 1588 8 | 156 9 II| étaient fort nombreuses. En 1573, à Roncherolles-sur-le-Vivier, 10 I| 1550 par Henri II et en 1588 par Henri III. Ces anciens 11 II| Sainte-Marguerite, faite en 1601, et refaite en 1669 et en 12 II| Saint-Michel, signées J. D. B. 1605. - Eglise Saint-Nicolas : 13 II| gravée par Le Sueur, en 1607 ; du Saint-Sacrement à Saint-Etienne-du-Rouvray ( 14 II| de Saint-Clair, fondée en 1615 et Confrérie des Trois-Nativités, 15 I| Mesnil-Pétète, rue Saint-Jean (1616) ; Nicolas Hamilton, devant 16 II| Claude Vallier, imagiers, en 1618.~ On voit, par le nombre 17 I| devant le Portail Saint-Jean (1619) ; Pierre de Larrivey, d’ 18 I| Larrivey, d’origine troyenne (1625) ; Adrien Delamare (1664- 19 II| Saint-Louis, confrérie fondée en 1631, exemplaire de 1675 avec 20 II| capitulaires, à la date de juillet 1632, rappellent que Me Simon 21 II| Saint-Croix-des-Pelletiers, qui grava, en 1635-36, des figures pour des 22 II| Le Sueur, à Rouen en 1636, mort le 19 décembre 1716, 23 II| origine de la Confrérie : 1638. - Eglise Saint-Eloi : Confrérie 24 II| Sainte-Marguerite (15 novembre 1644). On voit par ce placard 25 II| l’aîné, son fils, en 1663 « Il gravoit ordinairement 26 II| Amfreville-la-Campagne, 1665, et de diverses confréries 27 I| Guillaume Machuel, rue Ecuyère (1666) ; François Oursel, grande 28 II| faite en 1601, et refaite en 1669 et en 1782, celle de Saint-Cande-le-Vieux. 29 II| fondée en 1631, exemplaire de 1675 avec acrostiche en l’honneur 30 II| Boule d’or ; Le Cordier, en 1681 ; J.-B. Le Gris, graveur, 31 I| les Amette, qui vont de 1687 à 1708 ; les Amy qui avaient 32 II| tapisserie, qu’il mit en vogue en 1688. « Le sieur Papillon est 33 II| gravée par P. Le Sueur -1697). - Eglise Saint-Vivien : 34 II| image, par Pierre Le Sueur, 1701.~ Eglise Saint-Paul : Image 35 II| 1636, mort le 19 décembre 1716, qui fut un admirable graveur 36 II| 1664, refaite sur cuivre en 1720.~ Eglise Saint-Nicaise : 37 I| Amy, rue du Grand-Pont, 1724, orné d’arabesques d’une 38 | 173 39 I| confirmés par Louis XV en 1730.~ On y voit que les trois 40 II| en était fait à 400, en 1740, s’éleva jusqu’à 900 en 41 II| Vincent Le Sueur, 1668-1743, a encore gravé un grand 42 I| grande rue Saint-Jean (1750-1764) ; F. Béhourt et sa 43 I| F. Béhourt, rue Ecuyère (1753-1756) ; P. Seyer, rue Ecuyère ( 44 I| Béhourt, rue Ecuyère (1753-1756) ; P. Seyer, rue Ecuyère ( 45 II| image gravée par Jacques, en 1758 ; - Le Prieuré de Saint-Lô : 46 I| Béhourt et sa veuve (1752-1762) ; J.-F. Béhourt, rue Ecuyère ( 47 I| grande rue Saint-Jean (1750-1764) ; F. Béhourt et sa veuve ( 48 II| dont la planche donnée, en 1768, fut gravée par Neveu. - 49 I| Lecrêne-Labbey, à Falaise 1774, mort à Rouen en 1864, marié 50 I| les graveurs : Cotte, en 1777 ; Dubuc, auteur de plusieurs 51 I| rue Neuve Saint-Lô (1782-1786) ; P. Seyer et Béhourt ( 52 II| J.-B. Le Gris, graveur, 1788 ; Les Le Sueur, qu’on connaît 53 I| Seyer, rue Ecuyère (1765-1789) ; Pierre Ferrand, rue Neuve 54 I| P. Seyer et Béhourt (1790-1805) ; Montier, rue Neuve-Saint-Lô ; 55 I| 30 et 9, rue Herbière (1796-1826) ; Nicolas Periaux, 56 I| 1855) ; Frédéric Baudry (1797-1813) ; Frédéric Baudry 57 I| rue de la Grosse-Horloge (1803) ;  N.-A. Lebourg, rue des 58 I| Grande-Rue, 173, en 1810 (1806-1845) ; Ch. Bloquel, 34, 59 I| Bloquel, 34, rue Saint-Lô (1807-1821) ; Bloquel fils et 60 I| Béhourt et Trenchard-Béhourt (1809-1816) ; J.-B.-Sébastien 61 I| puis Grande-Rue, 173, en 1810 (1806-1845) ; Ch. Bloquel, 62 I| observateurs de la comète (1812) ; le Port de Rouen et le 63 I| Frédéric Baudry (1797-1813) ; Frédéric Baudry fils, 64 I| Trenchard-Béhourt (1809-1816) ; J.-B.-Sébastien Mégard ( 65 I| imprima tant de Canards (1820-1855) ; Frédéric Baudry ( 66 I| flèche de la Cathédrale (1823) ; la Foire Saint-Romain ( 67 I| rue des Carmes, 20 (1814-1837), qui fut un des directeurs 68 I| célèbre canardier Duchesne (1838-1858) ; Surville et Grindel, 69 I| Surville et Grindel, en 1839 ; Les détails intéressants 70 I| de la Vicomté, 55 (1826-1843) ; Emile Periaux, fils aîné, 71 I| fils et veuve Bloquel (1821-1846) ; veuve Béhourt et Trenchard-Béhourt ( 72 I| Rouen au Havre, et qui, en 1850, se retira à Elbeuf, rue 73 I| Bons-Enfants, 46-48, puis 64 (1851-1863). C’est l’imprimerie 74 I| imprima tant de Canards (1820-1855) ; Frédéric Baudry (1797- 75 I| canardier Duchesne (1838-1858) ; Surville et Grindel, 76 I| rue du Petit-Puits, 21 (1859-1871) ; Ernould (1831) ; 77 I| Bons-Enfants, 46-48, puis 64 (1851-1863). C’est l’imprimerie actuelle 78 I| Falaise 1774, mort à Rouen en 1864, marié à la fille de Labbey, 79 I| du Petit-Puits, 21 (1859-1871) ; Ernould (1831) ; veuve 80 I| fait leur apparition qu’en 1880, avec les couleurs chimiques 81 I| livres, Rouen bizarre, en 1888, fut le « roi des Canardiers ». 82 II| confréries de charité normande (1892), a recueilli des renseignements 83 II| historiques et archéologiques (1897) p. 346. D’autres aussi 84 | 19 85 I| la rue Saint-Romain, en 1907.~ Viennent encore : les 86 II| en Normandie, parues en 1908, dit « qu’il connaît une 87 II| archéologiques de Rouen 1909 (p. 332), M. Ch. de Beaurepaire 88 | 2 89 | 20 90 I| Sébastien Mégard (1821-1844), 200, rue Martainville ; Sébastien 91 | 21 92 | 24 93 | 25 94 | 28 95 | 3 96 | 30 97 II| archéologiques de Rouen 1909 (p. 332), M. Ch. de Beaurepaire 98 | 34 99 II| archéologiques (1897) p. 346. D’autres aussi ont été 100 | 35 101 I| extrait une liste de plus de 350 noms d’artisans, maîtres-imagiers 102 | 40 103 II| tirage qui s’en était fait à 400, en 1740, s’éleva jusqu’ 104 | 47 105 | 48 106 II| en 1744, pour retomber à 500 en 1781. Ces images, qu’ 107 | 52 108 | 55 109 | 64 110 II| encore à M. Le Prevost, pour 800 frairies à 1 livre 10 sous, 111 II| en 1740, s’éleva jusqu’à 900 en 1744, pour retomber à 112 I| du XVIIe siècle, édité d’abord par le premier Le Feugueux, 113 II| ouvrages, et quelquefois en abrégé, avec ces trois lettres : 114 II| le Chapitre, pour s’être absenté du choeur de la cathédrale, 115 II| vraisemblablement à des abus, puisqu’on voit, à plusieurs 116 II| fleuron du Dictionnaire de l’Académie française... » J’ai eu depuis, 117 II| renseignements très utiles sur les accessoires, sur les symboles des saints, 118 II| à six lieues à la ronde, accompagnées de leur clergé paroissial, 119 I| traversaient la France, accompagnés d’enfants, souvent traités 120 I| par des contre-tailles, achevaient l’oeuvre. ~ Pour l’impression 121 II| collectionneurs rouennais a même acquis une fort jolie armoire rouennaise, 122 I| judiciaires, politiques, d’actualités, et canards imaginaires 123 I| 1863). C’est l’imprimerie actuelle bien connue de MM. J. Lecerf 124 II| mère pendant qu’un prêtre l’administre. La planche avait été donnée 125 I| apprentissage, avant d’être admis au chef d’oeuvre. Les fils 126 I| leurs devises, de leurs adresses, ayant vécu à Rouen, depuis 127 I| origine troyenne (1625) ; Adrien Delamare (1664-1710) ; Guillaume 128 II| conserver ; et, de plus, affichées aux portes des confrères, 129 | afin 130 II| annoncer leur passage, en agitant leurs clochettes ou tintenelles, 131 | ai 132 II| sont pas à dédaigner. Elles aident à connaître, comme le faisait 133 I| dans leur nouveau volume, aidés par la curieuse Histoire 134 I| arrivé sur le plateau des Aigles, on suivait en tournant 135 II| leur faim… et leur soif, aiguisés par l’air du matin.~ Les « 136 I| des imagiers de Rouen ou d’ailleurs ? Il y avait les images 137 I| montre Charles X et le Dey d’Alger, en grande conversation ; 138 II| confrères et leurs soeurs allaient en pèlerinage à Saint-Clair-sur-Epte, 139 II| charge » de la Confrérie allait déposer, de maison en maison, 140 I| le coloriage, la joie, l’allégresse du coloris qui plaît tant 141 | aller 142 | allons 143 I| maîtres-imagiers rangés par ordre alphabétique de familles. Voici les Amette, 144 I| de l’Oie, et le jeu des Aluettes, imprimés à Nantes ; les 145 II| Vue du Prieuré des Deux Amants, en 1781 ; la famille des 146 II| près de la Tour Georges d‘Amboise, chargé par la Ville de 147 I| cédaient surtout aux marchands ambulant, aux colporteurs de la Haute-Garonne, 148 I| alphabétique de familles. Voici les Amette, qui vont de 1687 à 1708 ; 149 II| images des confréries d’Amfreville-la-Campagne, 1665, et de diverses confréries 150 I| degrés de la vie, puis l’amusant Crédit est mort, les mauvais 151 I| Francis Yard, l’auteur de l’An de la terre, qui aime à 152 I| collets superposés, rappelant ancien régime. Le sieur Lacrique 153 II| Chapelle Sainte-Clotilde, aux Andelys.- Eglise Saint-Sever : Image 154 I| images à l’aide d’un petit âne. Les colporteurs lorrains 155 I| les couleurs chimiques d’aniline. Les couleurs, toujours 156 I| du Gévaudan ; Le Menaras, animal-amphibie ; La Fille du tombeau, avec 157 I| bonne bière de Mars dont on annonçait la venue ; les jeux de loto, 158 II| avaient leurs Cliqueteurs pour annoncer leur passage, en agitant 159 II| Saint-Etienne-des-Tonneliers : image représentant l’Annonciation, entourée des instruments 160 I| cette époque et même un peu antérieurement, les Imprimeurs rouennais 161 I| Bon-Espoir, au Musée des Antiquités.~ Voici maintenant : les 162 II| en 1781 ; la famille des Antoine, Jacques, Laurent, Louis, 163 II| sanctuaire au cabaret, pour apaiser un peu leur faim… et leur 164 I| sont peu nombreux. Ils apparaissent surtout aux changements 165 I| ont, en effet, fait leur apparition qu’en 1880, avec les couleurs 166 II| les images de Confrérie, appartenait à la Corporation qui, tous 167 II| estampilles et marques de toiles apportées aux Halles ; Claude Maintru, 168 I| Flammés d’Yvetot ». Pour apposer ces papiers peints, une 169 I| morale : « Priant, lisant, apprend qu’il faut espérer tout 170 I| pouvaient travailler, avoir un apprenti, tenir boutique, mais seulement 171 I| domaine de l’image différentes appropriations très diverses ; les « rabats 172 I| Grand-Pont, 1724, orné d’arabesques d’une rare élégance.~ Jusqu’ 173 I| couleurs, on employait la gomme arabique.~ Le coloriage de ces images 174 I| Hellebout ; Pierre Hellot qui arbore comme devise : « Dieu est 175 I| de la Bête de Gévaudan, L’arbre d’amour, Les degrés de la 176 II| Saint-Vigor, de Pont-de-l’Arche où un clerc tient un espèce 177 I| Ruel, dont les fonctions d’architecte facilitaient les recherches, 178 I| tué, et Le grand diable d’argent, dont on tire la.…. queue, 179 I| Grand-Pont ; Les Lemoine : Aux armes de la ville de Rouen ; toute 180 II| même acquis une fort jolie armoire rouennaise, parce qu’à l’ 181 I| N.-A. Lebourg, rue des Arpents, 52 (1805).~ Pierre Periaux, 182 II| Saint-Clair-sur-Epte, après s’être arrêtés à la Chapelle Sainte-Clotilde, 183 I| jours de grandes fêtes, arrivé sur le plateau des Aigles, 184 I| elles restaient veuves.~ Un article de ces statuts est à noter. 185 I| batailles, fêtes, feux d’artifice, plusieurs de ces images 186 I| Pierre Periaux, à Asnières près Bayeux 9 décembre, 187 II| confrérie. Il cite Jean Asselin, graveur, rue aux Juifs, 188 I| présentée par les gardes à l’assemblée des maîtres et empreinte 189 I| Le Jugement de la Cour d’assises de Rouen, condamnant à mort 190 II| parce qu’en général on n’attache de prix aux objets qu’en 191 I| verdoyantes. En quelques pas, on atteignait le sanctuaire.~ Or, le long 192 II| Saint-Ursin et de Sainte-Clotide, auquel il faut joindre Saint-Nicolast, 193 | aurait 194 I| politiques, soumis au visa de l’autorisation préalable, sont peu nombreux. 195 | Autour 196 I| dessus la feuille de papier d’Auvergne, souvent un peu bleuté et 197 II| De même que les lépreux avertissaient le public de leur présence 198 I| pots de grès. La graine d’Avignon fournissait le brun ; la 199 I| devise : « Dieu est mon ayde pour tout espoir », devise 200 II| des dossiers du fond du Baillage de Rouen, ont été conservées 201 I| Cartiers-Dominotiers-Feuilletiers, dont le bailli Jean d’Estoutteville avait 202 I| Houppeville, lieutenant du Bailliage, et confirmés par Louis 203 I| ses poèmes, use ainsi de baleines de parapluies, taillées 204 I| durement, transportant leurs ballots d’images à l’aide d’un petit 205 I| dominotier restaient au bas de la bande et c’est ainsi que M. Ruel 206 I| les « rabats de cheminée » bandes décorées qu’on fixait au 207 I| En dehors des naissances, baptêmes, mariages, morts des souverains, 208 I| pavoisé de ces feuilles bariolées, dont le coup d’oeil était 209 I| était fille~            D’un baron de renom.~            D’ 210 II| remisaient leurs ornements et la barrette sur l’oreille, passaient 211 II| cents charités normandes. La Basse-Normandie en comptait aussi un grand 212 I| rencontres un trésor » ; les Baudart ; les Bernières ;les Bougon ; 213 II| à l’ornement en forme de baudrier qu’ils portent en sautoir 214 I| de Duchesne !~ Les plus beaux canards étaient peut-être 215 I| la fin du XVIIIe, existe bel et bien. Il est extrêmement 216 II| nouveaux convertis ; du Bellay, dont Papillon, dans son 217 | belle 218 II| Jean Papillon ; Jacques Belleau, en 1698, demeurant rue 219 II| Notre-Dame-de-Pitié, signée T.D.V. Belley. Image de la Confrérie de 220 I| papiers brillants, fut le berceau de l’industrie, si prospère 221 II| église de la Couture, de Bernay, le lundi de la Pentecôte. 222 I| trésor » ; les Baudart ; les Bernières ;les Bougon ; les Carpentier : 223 I| est mort ou comme La bonne bière de Mars dont on annonçait 224 II| estampe de ce graveur pour des billets mortuaires, qui est un beau 225 I| Chanoine-Davranches a écrit l’amusante biographie dans la Normandie littéraire, 226 I| un de nos livres, Rouen bizarre, en 1888, fut le « roi des 227 II| Confrérie de Sainte-Anne, fut blâmé par le Chapitre, pour s’ 228 I| pendant la guerre ; des blasons de corporation ; des cantiques 229 I| réduisaient, au rouge, au bleu, au jaune et brun, et à 230 I| avec ses grosses lunettes bleues. C’étaient Le Veau qui tette 231 I| Les tons faux, violacés ou bleus fadasses, n’ont, en effet, 232 I| Auvergne, souvent un peu bleuté et on obtenait l’impression, 233 I| ancienne maison de la rue du Bon-Espoir, au Musée des Antiquités.~ 234 I| de la Savonnerie (1836) ; Boniface Delamarre, rue des Murs-Saint-Ouen, 235 I| les plats d’un carton à bonnets, que, par privilège, les 236 I| ruelle à moitié campagnarde, bordée d’un côté par des maisons 237 II| Confrérie. Autour, comme une bordure, se trouvaient des petits 238 I| papiers peints, une des bordures était coupée, et on collait, 239 I| de l’Empire, le chanteur Boulard, qui se promenait par les 240 II| A la Clef d’or et A la Boule d’or ; Le Cordier, en 1681 ; 241 I| XVI, à cause de son nez bourbonnien et de son carrick vert à 242 II| Charité de Saint-Geneviève, de Bourg-Baudouin. La Sainte est représentée 243 II| qui est reproduite par X Boutigny dans l’atelier de notre 244 I| ateliers, vendaient dans leurs boutiques, leurs images dont ils avaient 245 I| était extraite du bois du Brésil et le brun provenait de 246 II| une sorte de diplôme, de brevet, comme on disait parfois 247 I| Papillon et ses papiers brillants, fut le berceau de l’industrie, 248 II| réussit pas et ces coins se brisèrent. Il en fut de même à la 249 I| représentaient des tissus brochés, des toiles imprimées, des « 250 I| chez Bloquel, en une petite brochure de 36 pages, l’un des canards 251 I| gardes des livres ou des brochures, et, enfin « les lanternes 252 II| sautoir et où est souvent brodée l’image du Saint Patron. 253 II| Petit-Andely et surtout à Broglie, où les quatorze confrères 254 I| patron», à l’aide de grosses brosses drues et serrées, qui étendaient 255 II| de leur présence par le bruit des sonnettes, de même les 256 I| un enduit composé d’huile brûlée et de litharge. Le séchage 257 I| cadrans d’horloge. Savary des Brûlons, cite encore, comme rentrant 258 I| Ernould (1831) ; veuve Brunet, rue des Faulx, ; près la 259 II| système des corporations, brutalement supprimé par la Révolution 260 II| Frères de Charité eurent pour but de les ensevelir convenablement 261 I| taillées et emmanchées. Des butavants et des gouges pour échopper 262 | ça 263 II| passaient du sanctuaire au cabaret, pour apaiser un peu leur 264 I| affiches d’intérieurs de cabarets, comme Crédit est mort ou 265 I| peu spécial à Rouen, les cadrans d’horloge. Savary des Brûlons, 266 II| Eglise Saint-Nicolas : Cadre richement orné, image de 267 II| symboles des saints, ce que Cahier et Martin ont appelé les 268 I| église, ruelle à moitié campagnarde, bordée d’un côté par des 269 II| gardant les moutons dans la campagne de Nanterre, dans un goût 270 I| 47, imprimeur du célèbre canardier Duchesne (1838-1858) ; Surville 271 II| confrérie de Saint-Martin de Canteleu ; de la Charité de Grand-Quevilly, 272 II| caractère. Les registres capitulaires, à la date de juillet 1632, 273 II| ressemblait au coqueluchon, ou capuce, destiné à se préserver 274 II| paraissait peu digne de leur caractère. Les registres capitulaires, 275 II| et Martin ont appelé les Caractéristiques des Saints, si utiles aux 276 I| Bernières ;les Bougon ; les Carpentier : Au Colomb royal ; les 277 I| à bout, plusieurs de ces carrés mesurant 35 x 40. En général 278 I| nez bourbonnien et de son carrick vert à collets superposés, 279 II| confrérie et, pendant sa longue carrière, s’était spécialisé dans 280 II| Confrérie de Quincampoix, et Le Cartel, - parfaitement - qui signe 281 I| formaient la corporation des Cartiers-Dominotiers-Feuilletiers, dont le bailli Jean d’Estoutteville 282 I| fort réjouissant.~*~**~~Les Cartiers-Imagiers des nombreuses villes où 283 II| Heureusement que ses nombreux cartons sur l’imagerie religieuse 284 I| soutenez-nous afin que nous ne nous cassions pas le cou, par Gustave, 285 I| Papillon, qui a même établi un catalogue de ses propres oeuvres publié 286 I| Voici maintenant : les Le Cauchois ; les Lecornu, qui portent 287 II| images de Saint-André, Porte Cauchoise pour la Confrérie de la 288 I| le sujet d’une nouvelle causerie, au courant du mois de mai, 289 II| populaires, a dû être une des causes de leur disparition parce 290 I| collections, mais ils les cédaient surtout aux marchands ambulant, 291 II| soutane de drap blanc, avec ceinture et chaperon également blancs. 292 | Cela 293 | cent 294 I| Rouen, en effet, fut un centre fort important pour l’imagerie 295 II| renseignements sur plus de quatre cents charités normandes. La Basse-Normandie 296 | Cependant 297 I| meilleurs ! Au fond, ce cercueil des marques des Cartiers-Dominotiers, 298 II| convenablement en suivant tout un cérémonial symbolique. Comme jadis, 299 I| Paumier ; les Picquefeu : Au Cerisier couronné ; toute la suite 300 II| une destruction presque certaine.~*~**~~Malgré toutes ces 301 I| rénovés à Rouen, lors de certaines fêtes franco-belges pendant 302 | cet 303 | ceux 304 II| Charité portaient aussi leurs chandeliers, leurs instruments, leurs 305 I| apparaissent surtout aux changements de dynasties ou de ministères. 306 I| Hyacinthe Lelièvre, dont M. Chanoine-Davranches a écrit l’amusante biographie 307 I| premiers colporteurs fut le chansonnier Morainville, puis Charasse, 308 I| de N.S.J.C. chanté sur le chant « Enfin, j’aime tant », 309 I| imagerie a toujours été frais, chantant, gai. Jamais de tons faux 310 I| Viennent encore les canardschantants qu’interprétaient dans les 311 I| de la Passion de N.S.J.C. chanté sur le chant « Enfin, j’ 312 I| cantiques et des complaintes chantées aux veillées ; des images 313 I| vers la fin de l’Empire, le chanteur Boulard, qui se promenait 314 I| de la Haute-Garonne, aux chanteurs de cantiques qui traversaient 315 II| spécial, consistant en un chapeau spécial ou chaperon, dont 316 II| rappellent que Me Simon Duchesne, chapelain de la Confrérie de Sainte-Anne, 317 II| après s’être arrêtés à la Chapelle Sainte-Clotilde, aux Andelys.- 318 I| chansonnier Morainville, puis Charasse, qui se rendait de Rouen 319 II| Tour Georges d‘Amboise, chargé par la Ville de faire les 320 II| Saint-Michel de la même église, chargée des inhumations et qui prenait 321 II| Elles étaient spécialement chargées d’escorter le viatique quand 322 II| chapelains de la cathédrale de se charger de cette commission qui 323 II| parfois remplies par les Charitons, les plus jeunes frères 324 I| Murs-Saint-Ouen, puis rue des Charrettes, 47, imprimeur du célèbre 325 I| la corde, imprimées chez Chassaignon, rue Gît-le-Coeur, 7. Parmi 326 II| Saint-Cande et qui y possédait une châsse magnifique. Date d’origine 327 I| apprentissage, avant d’être admis au chef d’oeuvre. Les fils et les 328 I| apprentissage et sans « chef-doeuvre ». Les veuves jouissaient 329 II| rouennaises servant de «chemises» à des dossiers du fond 330 II| Veuclin, qui fut un redoutable chercheur, dans ses Documents concernant 331 I| 1880, avec les couleurs chimiques d’aniline. Les couleurs, 332 I| imprimés à Nantes ; les ombres chinoises, les constructions à découper. 333 II| pour s’être absenté du choeur de la cathédrale, pour aller 334 I| On y retrouve, classés chronologiquement, les noms suivants :~ Louis 335 I| ministères. Un a trait à la chute du ministère Polignac. Un 336 II| restaient debout, tenant des cierges ornementés de rubans, sur 337 II| de la confrérie. Dans les circonstances solennelles, le « maître 338 II| confréries que nous avons citées. Il était entré dans la 339 I| Cartiers-Dominotiers. On y retrouve, classés chronologiquement, les noms 340 II| cartes d’adresse : A la Clef d’or et A la Boule d’or ; 341 II| l’enfant Jésus remet les clefs à Saint-Pierre. Donnée par 342 II| de Pont-de-l’Arche où un clerc tient un espèce de dragon 343 II| ronde, accompagnées de leur clergé paroissial, défilaient majestueusement 344 II| de Charité avaient leurs Cliqueteurs pour annoncer leur passage, 345 II| passage, en agitant leurs clochettes ou tintenelles, fonctions 346 I| d’une sorte de pointe ou clou, emmanchée dans un couteau. 347 I| fixait le « bois » avec des clous sur la table de l’atelier 348 II| venu à Paris chez Noël Cochin, inventeur des papiers de 349 I| royal ; les de Hautot ; Au coeur royal, rue du Gros-Horloge, 350 I| papiers servant à doubler les coffres, les tiroirs, les layettes, 351 I| marionnettes, avait souvent pour collaborateur, Hyacinthe Lelièvre, dont 352 I| terre de Sienne. Pour le collage de ces couleurs, on employait 353 I| bordures était coupée, et on collait, bout à bout, plusieurs 354 I| images dont ils avaient des collections, mais ils les cédaient surtout 355 II| tournées, étaient souvent collées aux portes, tandis que d’ 356 I| et de son carrick vert à collets superposés, rappelant ancien 357 II| image de confrérie. Les colleurs semblent avoir été payés 358 I| Bougon ; les Carpentier : Au Colomb royal ; les de Hautot ; 359 II| Saint-Hubert et le Cerf. Colonnes surmontées de vases de fleurs. 360 I| 1661. Cette planche est coloriée en vermillon, en violet, 361 I| avec les observateurs de la comète (1812) ; le Port de Rouen 362 | Comment 363 II| cathédrale de se charger de cette commission qui paraissait peu digne 364 II| sont même spéciales aux communautés d’art. Les images de Confrérie 365 I| pour échopper les blancs, complétaient l’outillage. Le travail 366 I| ont donné un liste très complète de la plupart de ces Imprimeurs 367 I| Le sieur Lacrique père, composait les dessins que Duchesne 368 I| durcissait avec un enduit composé d’huile brûlée et de litharge. 369 II| frustes, étaient généralement composées, dit le Dr Helot, d’un sujet 370 I| Galice.~ Qu’est-ce que ne comprenait pas autrefois le domaine 371 II| normandes. La Basse-Normandie en comptait aussi un grand nombre.~*~**~~ 372 II| Il faut, pour s’en rendre compte, se rendre à l’église de 373 II| chercheur, dans ses Documents concernant les confréries de charité 374 II| mais en y réfléchissant on conçoit que le nombre infini de 375 I| Cour d’assises de Rouen, condamnant à mort les nommés Jean-Pierre 376 I| Médecin à la corde, qui fut condamné à mort et exécuté, le 28 377 I| humide. Aussi, comme la confection des pochoirs était longue 378 II| fondée le 7 novembre 1489, et confirmée en 1514. Planche donnée 379 II| dédaigner. Elles aident à connaître, comme le faisait remarquer 380 I| imprimerie actuelle bien connue de MM. J. Lecerf père et 381 II| étaient d’un grand format et conséquemment difficiles à conserver ; 382 II| conséquemment difficiles à conserver ; et, de plus, affichées 383 I| Cartiers-dominotiers de Rouen conservèrent le privilège de l’Imagerie, 384 II| fonctions, un costume spécial, consistant en un chapeau spécial ou 385 I| Imagerie populaire en France, constate que M. Georges Ruel, dont 386 I| foire Saint-Romain, qui constituèrent aussi le grand répertoire 387 I| les ombres chinoises, les constructions à découper. Quoi encore ? 388 II| à se préserver de l’air contaminé par la peste. De même que 389 I| gros traits indiquant le contour et supportant le tirage. 390 | contre 391 I| hachures, séparées par des contre-tailles, achevaient l’oeuvre. ~ 392 II| les différents genres de contretables, qui, pendant plus de deux 393 II| pour but de les ensevelir convenablement en suivant tout un cérémonial 394 I| dauphins et autres figures convenables au sujet qui cause la joye 395 I| le Dey d’Alger, en grande conversation ; un autre encore, édité 396 II| dans l’Etat des nouveaux convertis ; du Bellay, dont Papillon, 397 II| origine et son histoire, les convocations à la fête.~ Ces images, 398 II| primitivement, ressemblait au coqueluchon, ou capuce, destiné à se 399 II| des vitriers l’église des Cordeliers, image gravée par Jacques, 400 II| et A la Boule d’or ; Le Cordier, en 1681 ; J.-B. Le Gris, 401 II| pour les Maîtres Peigniers, Cornetiers et Tabletiers de Rouen. 402 I| reproduisant les différents corps et les différentes tenues.~ 403 I| inventés de toutes pièces, qui correspondaient à l’imagination populaire : 404 II| leurs traditions, leurs costumes, leurs usages pittoresques 405 | côté 406 I| encore parmi les graveurs : Cotte, en 1777 ; Dubuc, auteur 407 I| ne nous cassions pas le cou, par Gustave, de Rouen, 408 I| étaient imprimées en une seule couleur, en plusieurs teintes, ou 409 | coup 410 I| une des bordures était coupée, et on collait, bout à bout, 411 I| Pommeraye : Le Jugement de la Cour d’assises de Rouen, condamnant 412 I| une nouvelle causerie, au courant du mois de mai, qui est 413 I| Picquefeu : Au Cerisier couronné ; toute la suite des Primoult ; 414 I| fleurissante et à L’Espine couronnée ; les Dubosc ; les Dugripont ; 415 I| quelques oeuvres ont survécu au cours des siècles. Notre concitoyen 416 II| rendre à l’église de la Couture, de Bernay, le lundi de 417 I| draps. A Rouen, les Imagiers créant les images populaires formaient 418 II| honneur desquels on avait créé la Confrérie. Autour, comme 419 II| le département de l’Eure. Créés au XIe siècle, fondés à 420 I| Jamais de tons faux ou criards avec les anciennes couleurs. 421 I| fort tirage fut celui des crimes de Thibert, le fameux Médecin 422 I| frottoir ou frotton fait de crin et de colle forte. Plus 423 I| Berdalle, qui fut le père du critique dramatique Berdalle de la 424 II| Notre-Dame-de-Pitié, signée T.D.V. Belley. Image de la Confrérie 425 II| aux malades ; leur origine datait du XVIe siècle. Il y en 426 II| représentant la Vierge, datée de 1609 et signée de Pierre 427 II| avait été donnée par Me J. Daudebourg, ouvrier en la monnaie de 428 I| des fleurs de lys, des dauphins et autres figures convenables 429 I| canardiers eux-mêmes, et qu’ils débitaient dans les campagnes ou par 430 II| les confrères restaient debout, tenant des cierges ornementés 431 I| que nous l’avons dit au début, il y avait surtout à Rouen 432 I| Guerould et des Goujon, qui débutent en 1540 ; les Hellebout ; 433 I| sont : l’Exécution du nommé Decaux ; l’Exécution de Ginester 434 II| une famille de graveurs, décédé rue du Petit-Salut, a gravé 435 I| que M. Ruel a pu, en les décollant avec précaution, retrouver 436 I| rabats de cheminée » bandes décorées qu’on fixait au manteau 437 I| veloutés et drapés, des papiers décorés à l’aide de tontisses de 438 I| étaient faits en carton découpé, assez épais pour ne pas 439 I| chinoises, les constructions à découper. Quoi encore ? Les canards 440 II| Rouen, ont été conservées et décrites par M. Ch. de Beaurepaire, 441 II| mais elles ne sont pas à dédaigner. Elles aident à connaître, 442 II| plusieurs reprises, le Chapitre défendre aux chapelains de la cathédrale 443 II| leur clergé paroissial, défilaient majestueusement par toutes 444 I| assez épais pour ne pas se déformer sous le passage de la brosse 445 I| Gévaudan, L’arbre d’amour, Les degrés de la vie, puis l’amusant 446 I| ces mots : « La Licorne déjetant tout venin » ; les Le Feugueux 447 I| nommé Marc et de la fille Delabarre, imprimés chez Periaux et 448 I| Savonnerie (1836) ; Boniface Delamarre, rue des Murs-Saint-Ouen, 449 I| ça de nez, imprimé chez Delaunay-Bloquel. Viennent encore les canards 450 I| royale ; toute la lignée des Delespine, qui porte pour devise : 451 I| travail ne pouvait être très délicat ; il était fait à gros traits 452 II| plus précieux et les plus délicats. Les vignettes, les armoiries, 453 I| tenture, qui sont vraiment délicieux. Ces dominoteries étaient 454 I| Saint-Pierre, une N.-D. de la Délivrande, un fragment d’une Sainte-Catherine, 455 I| la rue de Rouen, « où ils demeureront. »~ Or, ce livre extrêmement 456 II| principalement à Lisieux, dont dépendait l’église Saint-Cande et 457 II| imprimeur de Rouen, mais ce dernier est obligé de faire l’acrostiche 458 II| quelques graveurs rouennais, Derniers Mélanges historiques et 459 II| notre concitoyen et ami G. Dervois ; l’église de Bonsecours, 460 II| Patrice Picquenot, élève de Descamps, qui fut surtout un graveur 461 II| normands et méritent une rapide description.~ Parmi ces images de confrérie, 462 II| les saints en l’honneur desquels on avait créé la Confrérie. 463 II| Elles sont souvent d’un dessin lourd et naïf, mais elles 464 II| sanctuaires. C’était, pour les dessinateurs et les graveurs du XVIIIe 465 I| Lacrique père, composait les dessins que Duchesne gravait lui-même 466 I| colle de peau. On plaçait dessus la feuille de papier d’Auvergne, 467 II| coqueluchon, ou capuce, destiné à se préserver de l’air 468 II| détérioration et même à une destruction presque certaine.~*~**~~ 469 I| alors publiés par Surville. Détail curieux, dans l’un, le portrait 470 II| ce qui les exposait à une détérioration et même à une destruction 471 I| sur un tableau général. » Devaient ainsi figurer sur cette 472 | devant 473 I| III. Ces anciens statuts, devenus insuffisants, furent revisés 474 I| leurs marques, de leurs devises, de leurs adresses, ayant 475 II| confréries spéciales de dévotion à un saint ; confréries 476 I| autre montre Charles X et le Dey d’Alger, en grande conversation ; 477 II| que le grand fleuron du Dictionnaire de l’Académie française... » 478 I| arbore comme devise : « Dieu est mon ayde pour tout espoir », 479 I| une marque particulière et différente de celle des autres maîtres, 480 I| pochoirs était longue et difficile, pour ne pas les recommencer, 481 II| format et conséquemment difficiles à conserver ; et, de plus, 482 II| Malgré toutes ces difficultés, notre érudit concitoyen 483 II| commission qui paraissait peu digne de leur caractère. Les registres 484 II| devait recevoir une sorte de diplôme, de brevet, comme on disait 485 I| 1814-1837), qui fut un des directeurs du Journal de Rouen ; Lecrêne-Labbey, 486 II| être une des causes de leur disparition parce qu’en général on n’ 487 II| admirable collection a été dispersée, lors de sa vente. Cependant, 488 II| entourée des instruments de distillation de la corporation des Vinaigriers-Limonadiers, 489 II| appelait le Roi, ce qui le distinguait de celui de la Société de 490 II| recueillis par un de nos plus distingués collectionneurs. Cette documentation 491 II| 1781. Ces images, qu’on distribuait par tournées, étaient souvent 492 II| nombre énorme d’exemplaires, distribuées à profusion sont pourtant 493 II| Pendant longtemps, ces distributions d’images furent faites par 494 I| cette imagerie proprement dite, il faut faire encore rentrer 495 I| originale : « Quiconque se veut divertir, se joue avec la perdrix ». 496 I| rehaussées de couleurs. C’est un document unique pour l’histoire de 497 II| redoutable chercheur, dans ses Documents concernant les confréries 498 | doit 499 II| faiseur d’images en papier, domicilié en 1527-1531 sur la paroisse 500 I| vraiment délicieux. Ces dominoteries étaient imprimées en une 501 I| recueil de tous les Imagiers Dominotiers, de leurs marques, de leurs


1489-domin | donna-pieds | pierr-yveto

Best viewed with any browser at 800x600 or 768x1024 on Tablet PC
IntraText® (V89) - Some rights reserved by EuloTech SRL - 1996-2007. Content in this page is licensed under a Creative Commons License