1489-domin | donna-pieds | pierr-yveto
Chapitre
502 II| chapelains des Confréries. Cela donna lieu vraisemblablement à
503 II| sociétés de secours mutuels, donnaient un très grand luxe aux processions,
504 II| Image de la Sainte-Vierge, donnant un livre à Saint-Paul, tandis
505 II| servant de «chemises» à des dossiers du fond du Baillage de Rouen,
506 I| dominoterie, les papiers servant à doubler les coffres, les tiroirs,
507 I| fut le père du critique dramatique Berdalle de la Pommeraye :
508 II| portaient la soutane de drap blanc, avec ceinture et
509 I| de « préservation » ; les drapelets et pavillons de procession,
510 I| des papiers veloutés et drapés, des papiers décorés à l’
511 I| à l’aide de tontisses de draps. A Rouen, les Imagiers créant
512 | droit
513 II| en l’honneur de Nicolas- Droman. Viennent ensuite les images
514 I| aide de grosses brosses drues et serrées, qui étendaient
515 II| ces images populaires, a dû être une des causes de leur
516 I| L’Espine couronnée ; les Dubosc ; les Dugripont ; les Follope
517 I| graveurs : Cotte, en 1777 ; Dubuc, auteur de plusieurs bois
518 II| les coins du gouverneur duc d’Harcourt en 1765 ; il
519 I| couronnée ; les Dubosc ; les Dugripont ; les Follope et leur devise
520 I| Pyrame et Thisbé ; Neveu et Dujardin. En dehors des naissances,
521 I| les recommencer, on les durcissait avec un enduit composé d’
522 I| enfants, souvent traités assez durement, transportant leurs ballots
523 II| des images de confréries dut être considérable. Pour
524 II| église des Carmes ; Jean Duval, sur la paroisse Saint-Croix-des-Pelletiers,
525 II| de la Cathédrale ; Louis Duveau, graveur rue Massacre, 1744 ;
526 I| surtout aux changements de dynasties ou de ministères. Un a trait
527 I| collection Tumbeuf renferme un échantillon de ces papiers de tenture,
528 II| et qui prenait le titre d’Echevin. Une autre image de Confrérie
529 I| butavants et des gouges pour échopper les blancs, complétaient
530 I| M. Chanoine-Davranches a écrit l’amusante biographie dans
531 I| des épreuves sur bois, et éditèrent dès lors de nombreuses et
532 II| dire que, seul à Rouen, M. Edouard Pelay avait réuni une documentation
533 II| avec ceinture et chaperon également blancs. La Confrérie de
534 | Eh
535 I| d’arabesques d’une rare élégance.~ Jusqu’au milieu du XVIIe
536 II| était fait à 400, en 1740, s’éleva jusqu’à 900 en 1744, pour
537 II| Papillon, né en 1661, élevé à Rouen, chez son grand-père,
538 II| J.-B. Patrice Picquenot, élève de Descamps, qui fut surtout
539 II| en charge, nouvellement élu. M. le Dr Helot, dans ses
540 I| qui sont les successeurs émérites des imagiers de jadis.~*~**~~
541 I| sorte de pointe ou clou, emmanchée dans un couteau. Le graveur
542 I| parapluies, taillées et emmanchées. Des butavants et des gouges
543 I| surtout, vers la fin de l’Empire, le chanteur Boulard, qui
544 I| collage de ces couleurs, on employait la gomme arabique.~ Le coloriage
545 I| assemblée des maîtres et empreinte sur un tableau général. »
546 I| devise : « Si tu trouves un emy, tu rencontres un trésor » ;
547 II| des vignettes formant un encadrement au sujet central, tiré sur
548 I| on les durcissait avec un enduit composé d’huile brûlée et
549 II| en 1698, demeurant rue d’enfer ; Nicolas Bougon, faiseur
550 I| trois siècles ont gravé, enluminé et vendu les images populaires,
551 II| voit, tirées à un nombre énorme d’exemplaires, distribuées
552 I| fuseau, tenu par des ficelles enroulées. Notre concitoyen, le bon
553 II| Charité eurent pour but de les ensevelir convenablement en suivant
554 I| avoir pu retrouver la liste entière de ces artisans, qui pendant
555 II| représentant l’Annonciation, entourée des instruments de distillation
556 II| nous avons citées. Il était entré dans la Confrérie de Saint-Maclou,
557 II| Saint-Pierre-l’Honoré. En haut l’entrevue de Sainte-Anne et de Joachim
558 I| la faire imprimer sur les enveloppes de ses marchandises, « laquelle
559 I| en carton découpé, assez épais pour ne pas se déformer
560 II| instruments, leurs masses sur l’épaule.~ Les confréries de charité,
561 II| fondés à l’occasion des épidémies de peste, alors qu’on laissait
562 I| Et puis, tenues par des épingles en bois, sur les cordes
563 I| calendriers muraux ornés des épreuves sur bois, et éditèrent dès
564 I| Petit-Puits, 21 (1859-1871) ; Ernould (1831) ; veuve Brunet, rue
565 I| Il y avait là le Juif errant et Geneviève de Brabant,
566 II| toutes ces difficultés, notre érudit concitoyen M. E. Pelay,
567 II| spécialement chargées d’escorter le viatique quand on le
568 II| Arche où un clerc tient un espèce de dragon monstrueux, semblable
569 I| lisant, apprend qu’il faut espérer tout bonheur d’en haut ».
570 I| Dieu est mon ayde pour tout espoir », devise gravée sur une
571 I| Duchesne, dont nous avons esquissé le portrait dans un de nos
572 I| spectacle du Pont-Neuf, c’est-à-dire les anciennes Folies-Dramatiques
573 I| Saint-Jacques-de-Compostel, en Galice.~ Qu’est-ce que ne comprenait pas autrefois
574 II| depuis, de hasard, une autre estampe de ce graveur pour des billets
575 II| Pierre Le Sueur grava les estampilles et marques de toiles apportées
576 I| Cartiers-Dominotiers-Feuilletiers, dont le bailli Jean d’Estoutteville avait rédigé, en 1540, les
577 I| M. Papillon, qui a même établi un catalogue de ses propres
578 II| Beaurepaire, la date de l’établissement et le titre des Confréries,
579 I| bonne famille,~ Etait le beau Damon.~
580 II| de pélerinage, de gens s’étant rendus ensemble aux « lieux
581 II| figure, en 1698, dans l’Etat des nouveaux convertis ;
582 I| brosses drues et serrées, qui étendaient les tons. Ces pochoirs étaient
583 II| rares. On pourrait s’en étonner, dit M. Charles de Beaurepaire,
584 I| fabriquer, ainsi que les étuis à chapeaux.~ A l’Exposition
585 | eu
586 | eut
587 I| colporteurs ou canardiers eux-mêmes, et qu’ils débitaient dans
588 II| après s’être fait dire des évangiles, les confrères restaient
589 II| place importante dans l’évolution de l’idée religieuse. Plusieurs
590 II| a gravé plusieurs pièces excellentes, telles que le grand fleuron
591 I| mêlent.~ Comment les Cartiers exécutaient-ils ces images si recherchées
592 I| qui fut condamné à mort et exécuté, le 28 avril 1844. Quatre
593 II| les portraits qui ont été exécutés par cet habile artiste sont
594 II| confrérie fondée en 1631, exemplaire de 1675 avec acrostiche
595 | exemple
596 I| dans les foires et marchés, exhibant surtout des images religieuses :
597 I| à noter. C’est celui qui exige que tout Imagier Dominotier,
598 II| confrérie de Saint-Vigor existait sous une autre forme. Elle
599 I| jusqu’à la fin du XVIIIe, existe bel et bien. Il est extrêmement
600 II| usages pittoresques et qui existent encore, surtout dans le
601 II| des confrères, ce qui les exposait à une détérioration et même
602 I| et René Saulnier, en ont extrait une liste de plus de 350
603 I| brun ; la rosette était extraite du bois du Brésil et le
604 I| avec les références des fabriquants. La collection Tumbeuf renferme
605 I| que notre ville, avec la fabrique de Le François et avec Papillon
606 I| images populaires anciennes, fabriquées par la corporation des Cartiers-Dominotiers
607 I| portaient la marque des fabriques rouennaises, comme Lecrène-Labbé
608 I| les fonctions d’architecte facilitaient les recherches, a réuni
609 I| populaires, gravés d’une façon fruste et sommaire, parfois
610 I| faux, violacés ou bleus fadasses, n’ont, en effet, fait leur
611 II| pour apaiser un peu leur faim… et leur soif, aiguisés
612 II| enfer ; Nicolas Bougon, faiseur d’images en papier, domicilié
613 | faites
614 I| tons. Ces pochoirs étaient faits en carton découpé, assez
615 I| Rouen ; Lecrêne-Labbey, né à Falaise 1774, mort à Rouen en 1864,
616 I| par ordre alphabétique de familles. Voici les Amette, qui vont
617 I| veuve Brunet, rue des Faulx, ; près la place Saint-Ouen (
618 I| détails intéressants sur la Femme à la tête de mort !~ Il
619 I| de papier qu’on met aux fenêtres des manoirs dans les réjouissances
620 I| chansons sur les chemins de fer et leur inauguration, sur
621 I| Ecuyère (1765-1789) ; Pierre Ferrand, rue Neuve Saint-Lô (1782-
622 II| histoire, les convocations à la fête.~ Ces images, assez simples,
623 II| notamment à celle de la Fête-Dieu ou de la Pentecôte. Il faut,
624 I| que pour les images, les feuillets comme on disait alors. Après
625 I| souverains, batailles, fêtes, feux d’artifice, plusieurs de
626 I| le portrait du régicide Fieschi est donné pour celui de
627 II| qui était protestant, et figure, en 1698, dans l’Etat des
628 I| général. » Devaient ainsi figurer sur cette marque leur nom,
629 I| oeuvre. Les fils et les filles des maîtres étaient reçus
630 I| de ressorts de montres, fixés à un manche en forme de
631 I| toiles imprimées, des « Flammés d’Yvetot ». Pour apposer
632 I| 1814) ; l’incendie de la flèche de la Cathédrale (1823) ;
633 I| pour devise : A l’Espine fleurissante et à L’Espine couronnée ;
634 II| excellentes, telles que le grand fleuron du Dictionnaire de l’Académie
635 II| nombre de vignettes et de fleurons. Pierre Le Sueur grava les
636 I| le même office dans les foires et marchés, exhibant surtout
637 I| est-à-dire les anciennes Folies-Dramatiques de Saint-Sever. Il y a encore
638 I| Dubosc ; les Dugripont ; les Follope et leur devise morale : «
639 II| Eure. Créés au XIe siècle, fondés à l’occasion des épidémies
640 II| la Révolution et remplacé forcément aujourd’hui par les groupements
641 I| créant les images populaires formaient la corporation des Cartiers-Dominotiers-Feuilletiers,
642 II| gravures étaient d’un grand format et conséquemment difficiles
643 II| confréries normandes, et de leur formation, toutes les images religieuses,
644 I| imprégnait d’un ton noir, formé de noir de fumée et de colle
645 II| autre qu’une pièce en vers, formée par les premières lettres
646 II| la création sous diverses formes, de confréries diverses :
647 I| fait de crin et de colle forte. Plus tard, on usa de la
648 I| grès. La graine d’Avignon fournissait le brun ; la rosette était
649 I| D. de la Délivrande, un fragment d’une Sainte-Catherine,
650 I| concitoyen, le bon poète Francis Yard, l’auteur de l’An de
651 I| lors de certaines fêtes franco-belges pendant la guerre ; des
652 I| tours de lit » formant frises, remplacés quand ils étaient
653 I| obtenait l’impression, au frottoir ou frotton fait de crin
654 I| impression, au frottoir ou frotton fait de crin et de colle
655 I| populaires, gravés d’une façon fruste et sommaire, parfois par
656 II| images, assez simples, un peu frustes, étaient généralement composées,
657 I| célèbre complainte du Crime de Fualdès, rééditée chez Bloquel,
658 I| ton noir, formé de noir de fumée et de colle de peau. On
659 I| calendriers, les litres funéraires et, ce qui est un peu spécial
660 I| à un manche en forme de fuseau, tenu par des ficelles enroulées.
661 I| toujours été frais, chantant, gai. Jamais de tons faux ou
662 I| Saint-Jacques-de-Compostel, en Galice.~ Qu’est-ce que ne comprenait
663 II| La Sainte est représentée gardant les moutons dans la campagne
664 II| monstrueux, semblable à la Gargouille, qui ravageait les environs
665 I| on suivait en tournant à gauche, près d’une pâtisserie populaire,
666 II| un peu frustes, étaient généralement composées, dit le Dr Helot,
667 II| confréries de pélerinage, de gens s’étant rendus ensemble
668 I| Decaux ; l’Exécution de Ginester et de Salabert ; l’Exécution
669 I| imprimées chez Chassaignon, rue Gît-le-Coeur, 7. Parmi ces canards judiciaires,
670 I| couleurs, on employait la gomme arabique.~ Le coloriage
671 I| emmanchées. Des butavants et des gouges pour échopper les blancs,
672 I| celle des Guerould et des Goujon, qui débutent en 1540 ;
673 II| Ville de faire les coins du gouverneur duc d’Harcourt en 1765 ;
674 I| sur du bois de poirier, au grain fin et serré, avec un outillage
675 I| dans des pots de grès. La graine d’Avignon fournissait le
676 II| élevé à Rouen, chez son grand-père, venu à Paris chez Noël
677 II| Canteleu ; de la Charité de Grand-Quevilly, gravée par J. Guéroult,
678 I| Grosse-Horloge, 12, puis Grande-Rue, 173, en 1810 (1806-1845) ;
679 I| Bonsecours, aux jours de grandes fêtes, arrivé sur le plateau
680 I| les dessins que Duchesne gravait lui-même grossièrement au
681 I| recherchées aujourd’hui ? En gravant leurs planches, sur du bois
682 I| dont plusieurs ont été gravées par les Lesueur et par le
683 II| son fils, né en 1663 « Il gravoit ordinairement son nom tout
684 II| faut encore remarquer ces gravures étaient d’un grand format
685 I| conservées dans des pots de grès. La graine d’Avignon fournissait
686 I| canards »~~Quand jadis on grimpait jusqu’à l’église de Bonsecours,
687 | gros
688 I| Au coeur royal, rue du Gros-Horloge, au XVIIe siècle,que notre
689 I| Duchesne gravait lui-même grossièrement au couteau. Le tout était
690 II| forcément aujourd’hui par les groupements syndicaux de patrons et
691 I| nombreuse est aussi la tribu des Guérin ; celle des Guerould et
692 I| tribu des Guérin ; celle des Guerould et des Goujon, qui débutent
693 II| Grand-Quevilly, gravée par J. Guéroult, I.-B., 1609 ; de la Charité
694 I| franco-belges pendant la guerre ; des blasons de corporation ;
695 I| cassions pas le cou, par Gustave, de Rouen, et la Saint-Vivien,
696 II| Sainte-Reine ; Gouël le jeune, qui habitait, en 1765, dans la rue de
697 I| Par la suite, quelques hachures, séparées par des contre-tailles,
698 I| et de l’autre, par des haies verdoyantes. En quelques
699 II| de toiles apportées aux Halles ; Claude Maintru, d’une
700 I| Saint-Jean (1616) ; Nicolas Hamilton, devant le Portail Saint-Jean (
701 II| de rubans, sur de longues hampes. Le spectacle était inoubliable.
702 II| coins du gouverneur duc d’Harcourt en 1765 ; il ne réussit
703 II| J’ai eu depuis, de hasard, une autre estampe de ce
704 I| ambulant, aux colporteurs de la Haute-Garonne, aux chanteurs de cantiques
705 I| qui se rendait de Rouen au Havre, et qui, en 1850, se retira
706 I| qui débutent en 1540 ; les Hellebout ; Pierre Hellot qui arbore
707 I| les Hellebout ; Pierre Hellot qui arbore comme devise : «
708 I| Imagerie en Normandie, du Dr Hélot, et par leurs recherches
709 I| la Vicomté, 30 et 9, rue Herbière (1796-1826) ; Nicolas Periaux,
710 II| résultat de ses recherches. Heureusement que ses nombreux cartons
711 II| Papillon, dans son Traité historique de la Gravure sur bois,
712 II| Eglise Saint-Pierre-l’Honoré. En haut l’entrevue de Sainte-Anne
713 I| spécial à Rouen, les cadrans d’horloge. Savary des Brûlons, cite
714 I| modifiés encore par François de Houppeville, lieutenant du Bailliage,
715 II| en taille-douce, par Jean Housset, en 1664, refaite sur cuivre
716 I| avec un enduit composé d’huile brûlée et de litharge. Le
717 I| le passage de la brosse humide. Aussi, comme la confection
718 I| souvent pour collaborateur, Hyacinthe Lelièvre, dont M. Chanoine-Davranches
719 I| tire la.…. queue, toute une iconographie tour à tour sentimentale,
720 II| importante dans l’évolution de l’idée religieuse. Plusieurs de
721 I| II et en 1588 par Henri III. Ces anciens statuts, devenus
722 I| est extrêmement curieux et illustré de toutes ces marques, rehaussées
723 I| dont le bois a servi à illustrer un canard populaire ; le
724 I| celui qui exige que tout Imagier Dominotier, voulant travailler
725 I| qui correspondaient à l’imagination populaire : La Bête du Gévaudan ;
726 I| le récit du passage de l’impératrice Marie-Louise (1814) ; l’
727 I| 000 exemplaires, suivant l’importance. Duchesne, qui était aussi
728 I| effet, fut un centre fort important pour l’imagerie populaire,
729 II| qui tiennent une place importante dans l’évolution de l’idée
730 I| brosse à longs poils, on l’imprégnait d’un ton noir, formé de
731 I| aîné, rue Percière, qui imprima tant de Canards (1820-1855) ;
732 I| n’a plus que ça de nez, imprimé chez Delaunay-Bloquel. Viennent
733 II| autre forme. Elle avait été imprimée chez Mégard, en 1845. Le
734 I| 64 (1851-1863). C’est l’imprimerie actuelle bien connue de
735 II| Saint-Jean-Porte-Latine des imprimeurs-libraires, par Le Sueur (1668), planche
736 I| les chemins de fer et leur inauguration, sur la foire Saint-Romain,
737 I| Marie-Louise (1814) ; l’incendie de la flèche de la Cathédrale (
738 II| à l’époque, prouvant son incorporation, par une mention spéciale.
739 I| était fait à gros traits indiquant le contour et supportant
740 I| brillants, fut le berceau de l’industrie, si prospère aujourd’hui,
741 I| intérêt et c’est un bonheur inespéré que d’avoir pu retrouver
742 II| on conçoit que le nombre infini de ces images populaires,
743 II| même église, chargée des inhumations et qui prenait le titre
744 II| hampes. Le spectacle était inoubliable. Sortis de l’église, les
745 II| avait la place pour les inscriptions et pour ce qu’on appelait
746 II| nouveau membre se faisait inscrire sur le registre de la Confrérie,
747 II| maître en charge, qu’on inscrivait ensuite à la main. Ces images,
748 I| anciens statuts, devenus insuffisants, furent revisés et modifiés
749 II| Cette documentation si intéressante, pourra rendre possible
750 I| Grindel, en 1839 ; Les détails intéressants sur la Femme à la tête de
751 II| rouennaise, parce qu’à l’intérieur avait été collée une image
752 I| étaient sales ; les affiches d’intérieurs de cabarets, comme Crédit
753 I| les canards… chantants qu’interprétaient dans les rues Le père Lajoie
754 I| les canards imaginaires, inventés de toutes pièces, qui correspondaient
755 II| Paris chez Noël Cochin, inventeur des papiers de tapisserie,
756 II| qui rappelle les vierges italiennes. C’est Papillon qui grava
757 | Jamais
758 II| confrérie donnée par F.-G. Jaudin, en 1767, gravée par Gouël.
759 I| Testu ; les de Lynant ; un Jehan Mollière qui remonte à 1540 ;
760 II| Saint-Paul, tandis que l’enfant Jésus remet les clefs à Saint-Pierre.
761 I| de loto, de l’Oie, et le jeu des Aluettes, imprimés à
762 II| les Charitons, les plus jeunes frères reçus. Les Frères
763 I| annonçait la venue ; les jeux de loto, de l’Oie, et le
764 II| entrevue de Sainte-Anne et de Joachim à la Porte-Dorée ; en bas,
765 I| ensuite dans le coloriage, la joie, l’allégresse du coloris
766 I| remplaça par celui de son ami Josse. Dans les campagnes, on
767 I| Quiconque se veut divertir, se joue avec la perdrix ». Et nous
768 I| populaire, pour les cartes à jouer et pour tout ce qu’on appelait
769 I| chef-d’oeuvre ». Les veuves jouissaient des privilèges et des prérogatives
770 II| les premières lueurs du jour les confréries, de cinq
771 I| fut un des directeurs du Journal de Rouen ; Lecrêne-Labbey,
772 I| convenables au sujet qui cause la joye du peuple ». Enfin, ainsi
773 I| Berdalle de la Pommeraye : Le Jugement de la Cour d’assises de
774 I| plein-vent ? Il y avait là le Juif errant et Geneviève de Brabant,
775 II| Asselin, graveur, rue aux Juifs, qui était protestant, et
776 II| capitulaires, à la date de juillet 1632, rappellent que Me
777 II| artiste sont regardés à juste titre, comme des chefs-d’
778 II| avec ces trois lettres : P.L.S. Il savoit aussi dessiner
779 I| ancien régime. Le sieur Lacrique père, composait les dessins
780 I| interprétaient dans les rues Le père Lajoie et surtout, vers la fin
781 I| brochures, et, enfin « les lanternes de papier qu’on met aux
782 I| enveloppes de ses marchandises, « laquelle marque sera présentée par
783 I| superposition de deux tons. Les laques étaient conservées dans
784 I| Saint-Jean (1619) ; Pierre de Larrivey, d’origine troyenne (1625) ;
785 II| famille des Antoine, Jacques, Laurent, Louis, Renault, qui furent
786 I| mort les nommés Jean-Pierre Lavergne*… et d’autres canards imprimés
787 I| coffres, les tiroirs, les layettes, à faire les gardes des
788 I| Grosse-Horloge (1803) ; N.-A. Lebourg, rue des Arpents, 52 (1805).~
789 I| actuelle bien connue de MM. J. Lecerf père et fils, qui sont les
790 I| les Le Cauchois ; les Lecornu, qui portent pour marque
791 I| fabriques rouennaises, comme Lecrène-Labbé et bien d’autres.~*~**~~
792 I| directeurs du Journal de Rouen ; Lecrêne-Labbey, né à Falaise 1774, mort
793 I| la rue Grand-Pont ; Les Lemoine : Aux armes de la ville
794 II| Jacques Moisant et Jean Lemonnier, maître en charge (1696).
795 II| la peste. De même que les lépreux avertissaient le public
796 I| réjouissances publiques sur lesquels sont imprimés et peintes
797 II| des Confréries. Cela donna lieu vraisemblablement à des
798 II| confréries, de cinq à six lieues à la ronde, accompagnées
799 I| François de Houppeville, lieutenant du Bailliage, et confirmés
800 II| étant rendus ensemble aux « lieux saints », ou à quelque sanctuaire
801 I| devise morale : « Priant, lisant, apprend qu’il faut espérer
802 I| composé d’huile brûlée et de litharge. Le séchage se faisait sur
803 I| grands calendriers, les litres funéraires et, ce qui est
804 I| biographie dans la Normandie littéraire, pour ses chansons, et Louis
805 II| et marchand d’estampes, locataire d’une boutique près de la
806 I| à l’aide d’une brosse à longs poils, on l’imprégnait d’
807 | longtemps
808 II| ornementés de rubans, sur de longues hampes. Le spectacle était
809 I| petit âne. Les colporteurs lorrains remplissaient le même office
810 | lorsqu
811 I| annonçait la venue ; les jeux de loto, de l’Oie, et le jeu des
812 I| encore, édité par Duchesne : Louis-Philippe n’a plus que ça de nez,
813 II| sont souvent d’un dessin lourd et naïf, mais elles ne sont
814 II| Pentecôte. Dès les premières lueurs du jour les confréries,
815 I| dessins que Duchesne gravait lui-même grossièrement au couteau.
816 II| la Couture, de Bernay, le lundi de la Pentecôte. Dès les
817 I| les rues avec ses grosses lunettes bleues. C’étaient Le Veau
818 II| donnaient un très grand luxe aux processions, notamment
819 I| armoiries, des fleurs de lys, des dauphins et autres
820 I| 1664-1710) ; Guillaume Machuel, rue Ecuyère (1666) ; François
821 II| qui y possédait une châsse magnifique. Date d’origine de la Confrérie :
822 I| causerie, au courant du mois de mai, qui est le temps des pélerinages
823 II| inscrivait ensuite à la main. Ces images, dites frairies,
824 I| de 350 noms d’artisans, maîtres-imagiers rangés par ordre alphabétique
825 II| clergé paroissial, défilaient majestueusement par toutes les routes et
826 II| costume, dont un enfant malade sur un lit, soutenu par
827 II| viatique quand on le porte aux malades ; leur origine datait du
828 II| presque certaine.~*~**~~Malgré toutes ces difficultés,
829 II| des images religieuses. Malheureusement, cette admirable collection
830 I| ressorts de montres, fixés à un manche en forme de fuseau, tenu
831 II| blanc, comme sur l’image du Manoir-sur-Seine, la date et le nom du maître
832 I| on met aux fenêtres des manoirs dans les réjouissances publiques
833 I| plusieurs teintes, ou simplement marbrées. Elles représentaient des
834 I| sur les enveloppes de ses marchandises, « laquelle marque sera
835 I| les cédaient surtout aux marchands ambulant, aux colporteurs
836 I| office dans les foires et marchés, exhibant surtout des images
837 I| des naissances, baptêmes, mariages, morts des souverains, batailles,
838 I| 1774, mort à Rouen en 1864, marié à la fille de Labbey, rue
839 I| passage de l’impératrice Marie-Louise (1814) ; l’incendie de la
840 I| les Thubeuf ; Vincent marin, qui avait une devise bien
841 I| était aussi montreur de marionnettes, avait souvent pour collaborateur,
842 I| des prérogatives de leurs maris et pouvaient travailler,
843 II| symbolique. Comme jadis, les Marqueurs de la Peste, à Rouen, ils
844 I| comme La bonne bière de Mars dont on annonçait la venue ;
845 I| Mégard (1821-1844), 200, rue Martainville ; Sébastien Mégard, son
846 II| saints, ce que Cahier et Martin ont appelé les Caractéristiques
847 II| Louis Duveau, graveur rue Massacre, 1744 ; Duvivier l’aîné,
848 II| leurs instruments, leurs masses sur l’épaule.~ Les confréries
849 II| soif, aiguisés par l’air du matin.~ Les « Confréries du Saint-Sacrement »,
850 I| se retira à Elbeuf, rue Maurepas. Duchesne, dont nous avons
851 I| amusant Crédit est mort, les mauvais payeurs l’ont tué, et Le
852 I| Et nous en passons et des meilleurs ! Au fond, ce cercueil des
853 I| Geneviève de Brabant, la mélancolique complainte de Damon et Henriette :~
854 I| Maîtres-imprimeurs ne s’en mêlent.~ Comment les Cartiers exécutaient-ils
855 II| ce que lorsqu’un nouveau membre se faisait inscrire sur
856 I| La Bête du Gévaudan ; Le Menaras, animal-amphibie ; La Fille
857 II| son incorporation, par une mention spéciale. C’était l’image
858 II| sur un lit, soutenu par sa mère pendant qu’un prêtre l’administre.
859 II| rouennais ou normands et méritent une rapide description.~
860 II| Carmes, en 1731 ; Nicolas Meru ; Pierre Mullard ; Les Papillon -
861 I| noms suivants :~ Louis du Mesnil-Pétète, rue Saint-Jean (1616) ;
862 I| plusieurs de ces carrés mesurant 35 x 40. En général le nom
863 I| lanternes de papier qu’on met aux fenêtres des manoirs
864 I| bois, puis de la presse métallique…~ Tout était ensuite dans
865 II| anciennes corporations d’art et métiers ; confréries spéciales de
866 I| images de batailles ; images militaires reproduisant les différents
867 I| famille, ayant tiré des milliers d’images, c’est à peine
868 I| Un a trait à la chute du ministère Polignac. Un autre montre
869 I| changements de dynasties ou de ministères. Un a trait à la chute du
870 I| Saint-Hubert et le Cerf miraculeux, puis des cantiques de pèlerinage,
871 I| les Maîtres-imprimeurs se mirent aussi à fabriquer des images.~
872 II| papiers de tapisserie, qu’il mit en vogue en 1688. « Le sieur
873 I| Elle était le modèle !~ Et puis, tenues par des
874 I| insuffisants, furent revisés et modifiés encore par François de Houppeville,
875 | mois
876 II| Planche donnée par Jacques Moisant et Jean Lemonnier, maître
877 I| chemin de l’église, ruelle à moitié campagnarde, bordée d’un
878 I| les de Lynant ; un Jehan Mollière qui remonte à 1540 ; les
879 | mon
880 | Monde
881 II| tient un espèce de dragon monstrueux, semblable à la Gargouille,
882 II| Confrérie des Pèlerins du Mont Saint-Michel, signées J.
883 II| sanctuaire vénéré, comme le Mont-Saint-Michel ou Saint-Jacques-de-Compostelle.~
884 I| et Béhourt (1790-1805) ; Montier, rue Neuve-Saint-Lô ; Nicolas
885 I| ministère Polignac. Un autre montre Charles X et le Dey d’Alger,
886 I| servait aussi de ressorts de montres, fixés à un manche en forme
887 I| Duchesne, qui était aussi montreur de marionnettes, avait souvent
888 I| colporteurs fut le chansonnier Morainville, puis Charasse, qui se rendait
889 I| les Follope et leur devise morale : « Priant, lisant, apprend
890 II| mortuaires, qui est un beau morceau. Vincent Le Sueur, 1668-
891 II| graveur pour des billets mortuaires, qui est un beau morceau.
892 I| marque une licorne avec ces mots : « La Licorne déjetant
893 II| praticien, signait I. P., mourut en 1710. - Papillon, né
894 II| représentée gardant les moutons dans la campagne de Nanterre,
895 II| Nicolas Meru ; Pierre Mullard ; Les Papillon - Jean Papillon,
896 I| spécialité de calendriers muraux ornés des épreuves sur bois,
897 I| Boniface Delamarre, rue des Murs-Saint-Ouen, puis rue des Charrettes,
898 I| la rue du Bon-Espoir, au Musée des Antiquités.~ Voici maintenant :
899 II| rôle de sociétés de secours mutuels, donnaient un très grand
900 II| avoir fait représenter un mystère, qui fut publié de nos jours
901 I| où sont représentés les mystères de la Passion de N.S.J.C.
902 I| Dujardin. En dehors des naissances, baptêmes, mariages, morts
903 II| moutons dans la campagne de Nanterre, dans un goût qui rappelle
904 I| des Aluettes, imprimés à Nantes ; les ombres chinoises,
905 I| 1789) ; Pierre Ferrand, rue Neuve Saint-Lô (1782-1786) ; P.
906 I| 1790-1805) ; Montier, rue Neuve-Saint-Lô ; Nicolas Labbey, 12, rue
907 II| acrostiche en l’honneur de Nicolas- Droman. Viennent ensuite
908 II| grand-père, venu à Paris chez Noël Cochin, inventeur des papiers
909 I| bonheur d’en haut ».Très nombreuse est aussi la tribu des Guérin ;
910 I| Rouen, condamnant à mort les nommés Jean-Pierre Lavergne*… et
911 II| religieuse dans notre pays normand.~ ~
912 I| article de ces statuts est à noter. C’est celui qui exige que
913 II| Dans une très curieuse notice sur quelques graveurs rouennais,
914 I| pèlerinage, le cantique de Notre-Dame-de-Liesse, celui si naïf de la Création
915 II| de Saint-Mathurin et de Notre-Dame-de-Pitié, signée T.D.V. Belley. Image
916 II| en 1698, dans l’Etat des nouveaux convertis ; du Bellay, dont
917 | nouvelle
918 II| nom du maître en charge, nouvellement élu. M. le Dr Helot, dans
919 II| de la Poterne, mort le 25 novembre1705 ; Jean et Claude Vallier,
920 I| leurs vives couleurs, la nudité des murs. Quelles images
921 II| on n’attache de prix aux objets qu’en raison de leur rareté.
922 II| Rouen, mais ce dernier est obligé de faire l’acrostiche du
923 I| Pont de bateaux, avec les observateurs de la comète (1812) ; le
924 I| souvent un peu bleuté et on obtenait l’impression, au frottoir
925 I| violet et le vert étaient obtenus par superposition de deux
926 I| pages, l’un des canards qui obtint le plus fort tirage fut
927 II| au XIe siècle, fondés à l’occasion des épidémies de peste,
928 I| bariolées, dont le coup d’oeil était fort réjouissant.~*~**~~
929 I| lorrains remplissaient le même office dans les foires et marchés,
930 I| les jeux de loto, de l’Oie, et le jeu des Aluettes,
931 II| Charité de Saint-Ouen, à Oissel ; de Saint-Roch d’Orival ;
932 I| imprimés à Nantes ; les ombres chinoises, les constructions
933 II| rouennais, et nous en avons omis, comme P. Costil, comme
934 II| né en 1663 « Il gravoit ordinairement son nom tout au long sur
935 II| contre et au préjudice des ordonnances.~ Les images de Confrérie,
936 I| maîtres-imagiers rangés par ordre alphabétique de familles.
937 II| ornements et la barrette sur l’oreille, passaient du sanctuaire
938 I| avait été si pittoresquement organisée, dans la vieille maison
939 II| Jean Papillon, né à Rouen, originaire de Touraine, graveur sur
940 II| Oissel ; de Saint-Roch d’Orival ; de Saint-Aubin du Petit-Couronne,
941 II| debout, tenant des cierges ornementés de rubans, sur de longues
942 II| frères remisaient leurs ornements et la barrette sur l’oreille,
943 I| de la terre, qui aime à orner de « bois » ses poèmes,
944 II| 1548, image représentant un ostensoir avec les statues de la Vierge
945 II| comme celles qu’a relevées Ouin-Lacroix, dans son Histoire des anciennes
946 I| Ecuyère (1666) ; François Oursel, grande rue Saint-Jean (
947 II| nom tout au long sur ses ouvrages, et quelquefois en abrégé,
948 I| une petite brochure de 36 pages, l’un des canards qui obtint
949 I| qui remonte à 1540 ; les Paillette ; les Paumier ; les Picquefeu :
950 I| ficelles, qui se succédaient et paraient, de leurs vives couleurs,
951 II| de cette commission qui paraissait peu digne de leur caractère.
952 I| use ainsi de baleines de parapluies, taillées et emmanchées.
953 II| figures pour des affiches des pardons de la Cathédrale ; Louis
954 I| belle,~ Et d’un parfait amour~ Elle était
955 II| Quincampoix, et Le Cartel, - parfaitement - qui signe celle de la
956 II| accompagnées de leur clergé paroissial, défilaient majestueusement
957 II| représente les scènes célèbres du partage du manteau avec un pauvre
958 I| doit déposer une marque particulière et différente de celle des
959 II| en effet, ces images très particulières et très diverses ?~*~**~~
960 I| visiter tous les maîtres particuliers, aussi bien pour les cartes,
961 I| privilège de l’Imagerie, mais à partir de cette époque et même
962 II| populaire en Normandie, parues en 1908, dit « qu’il connaît
963 II| barrette sur l’oreille, passaient du sanctuaire au cabaret,
964 I| la perdrix ». Et nous en passons et des meilleurs ! Au fond,
965 I| tournant à gauche, près d’une pâtisserie populaire, le chemin de
966 II| Il faut encore cité J.-B. Patrice Picquenot, élève de Descamps,
967 I| 1540 ; les Paillette ; les Paumier ; les Picquefeu : Au Cerisier
968 II| partage du manteau avec un pauvre rencontré sur le chemin,
969 I| préservation » ; les drapelets et pavillons de procession, dans le goût
970 I| tendues dans l’atelier, tout pavoisé de ces feuilles bariolées,
971 II| en 1725, les confrères payaient encore à M. Le Prevost,
972 II| Roncherolles-sur-le-Vivier, on payait à l’imprimeur de livres,
973 II| colleurs semblent avoir été payés une quinzaine de sous par
974 I| Crédit est mort, les mauvais payeurs l’ont tué, et Le grand diable
975 II| populaire religieuse dans notre pays normand.~ ~
976 II| vignettes, les armoiries, les paysages et les portraits qui ont
977 I| de fumée et de colle de peau. On plaçait dessus la feuille
978 II| Confrérie pour les Maîtres Peigniers, Cornetiers et Tabletiers
979 I| milliers d’images, c’est à peine si quelques oeuvres ont
980 I| lesquels sont imprimés et peintes des armoiries, des fleurs
981 I| Pour apposer ces papiers peints, une des bordures était
982 II| un saint ; confréries de pélerinage, de gens s’étant rendus
983 I| mai, qui est le temps des pélerinages rouennais et normands !~
984 II| image de la Confrérie des Pèlerins du Mont Saint-Michel, signées
985 I| sortaient du célèbre atelier de Pellerin à Epinal, mais il y en avait
986 I| exposition d’images populaires, pendues sur des ficelles, qui se
987 I| Periaux, fils aîné, rue Percière, qui imprima tant de Canards (
988 I| divertir, se joue avec la perdrix ». Et nous en passons et
989 I| encore : les Delamare : A la perle royale ; toute la lignée
990 II| Sainte-Trinité, avec cinq personnages en bas, en costume, dont
991 I| et par leurs recherches personnelles, ont donné un liste très
992 | petit
993 II| Sainte-Croix-de-Bernay, au Petit-Andely et surtout à Broglie, où
994 II| Orival ; de Saint-Aubin du Petit-Couronne, gravée au XVIe siècle,
995 I| grande rue, 156, puis rue du Petit-Puits, 21 (1859-1871) ; Ernould (
996 II| graveurs, décédé rue du Petit-Salut, a gravé la planche sur
997 I| rééditée chez Bloquel, en une petite brochure de 36 pages, l’
998 I| Paillette ; les Paumier ; les Picquefeu : Au Cerisier couronné ;
999 II| encore cité J.-B. Patrice Picquenot, élève de Descamps, qui
1000 II| acrostiche n’était autre qu’une pièce en vers, formée par les
1001 II| dragon et un diable à ses pieds. Confrérie pour les Maîtres
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