1489-domin | donna-pieds | pierr-yveto
Chapitre
1002 I| sur l’Imagerie populaire, Pierre-Louis Duchartre et René Saulnier,
1003 II| maison en maison, ces images pieuses qu’on appelait des « frairies »
1004 I| tour à tour sentimentale, pittoresque et amusante ! La plupart
1005 I| populaire, qui avait été si pittoresquement organisée, dans la vieille
1006 II| leurs costumes, leurs usages pittoresques et qui existent encore,
1007 I| et de colle de peau. On plaçait dessus la feuille de papier
1008 II| novembre 1644). On voit par ce placard que les confrères et leurs
1009 II| d’autres images étaient placées dans les maisons. Un de
1010 I| allégresse du coloris qui plaît tant aux enfants, aux simples,
1011 I| grandes fêtes, arrivé sur le plateau des Aigles, on suivait en
1012 I| Elle était collée sur les plats d’un carton à bonnets, que,
1013 I| dans cette collection en plein-vent ? Il y avait là le Juif
1014 I| à orner de « bois » ses poèmes, use ainsi de baleines de
1015 I| Notre concitoyen, le bon poète Francis Yard, l’auteur de
1016 I| aide d’une brosse à longs poils, on l’imprégnait d’un ton
1017 I| servaient d’une sorte de pointe ou clou, emmanchée dans
1018 I| planches, sur du bois de poirier, au grain fin et serré,
1019 I| à la chute du ministère Polignac. Un autre montre Charles
1020 I| dramatique Berdalle de la Pommeraye : Le Jugement de la Cour
1021 II| Confrérie de Saint-Vigor, de Pont-de-l’Arche où un clerc tient
1022 I| artiste au spectacle du Pont-Neuf, c’est-à-dire les anciennes
1023 I| de la comète (1812) ; le Port de Rouen et le Pont Napoléon,
1024 I| Nicolas Hamilton, devant le Portail Saint-Jean (1619) ; Pierre
1025 I| au couteau. Le tout était porté chez l’imprimeur Emile Periaux,
1026 II| Sainte-Anne et de Joachim à la Porte-Dorée ; en bas, Saint-Foy avec
1027 II| la cathédrale, pour aller porter des frairies par les rues
1028 II| église Saint-Cande et qui y possédait une châsse magnifique. Date
1029 I| concitoyen et ami Georges Ruel possède pourtant une de ces images.
1030 II| intéressante, pourra rendre possible la publication d’un ouvrage
1031 I| étaient conservées dans des pots de grès. La graine d’Avignon
1032 II| documentation si intéressante, pourra rendre possible la publication
1033 II| pourtant assez rares. On pourrait s’en étonner, dit M. Charles
1034 I| devise gravée sur une des poutres de l’ancienne maison de
1035 I| outillage. Le travail ne pouvait être très délicat ; il était
1036 II| dessiner, mais habile comme praticien, signait I. P., mourut en
1037 I| au visa de l’autorisation préalable, sont peu nombreux. Ils
1038 I| pu, en les décollant avec précaution, retrouver des vieux dominos,
1039 II| dans les genres les plus précieux et les plus délicats. Les
1040 II| rues de Rouen, contre et au préjudice des ordonnances.~ Les images
1041 I| de grands seigneurs, de prélats, images de batailles ; images
1042 I| siècle, édité d’abord par le premier Le Feugueux, en 1661. Cette
1043 I| villes. A Rouen, un des premiers colporteurs fut le chansonnier
1044 II| chargée des inhumations et qui prenait le titre d’Echevin. Une
1045 II| les premières lettres du prénom et du nom du maître en charge,
1046 I| jouissaient des privilèges et des prérogatives de leurs maris et pouvaient
1047 II| avertissaient le public de leur présence par le bruit des sonnettes,
1048 II| même à la Monnaie, quand il présenta quelques louis. Il a signé
1049 I| religieuses : Sainte-Véronique présentant la Sainte-Face ; Saint-Hubert
1050 I| laquelle marque sera présentée par les gardes à l’assemblée
1051 I| religieuses, dites de « préservation » ; les drapelets et pavillons
1052 II| ou capuce, destiné à se préserver de l’air contaminé par la
1053 II| chez Mégard, en 1845. Le président de cette confrérie religieuse
1054 | presque
1055 II| par sa mère pendant qu’un prêtre l’administre. La planche
1056 II| payaient encore à M. Le Prevost, pour 800 frairies à 1 livre
1057 I| et leur devise morale : « Priant, lisant, apprend qu’il faut
1058 I| outillage très simple et très primitif. A Epinal, les graveurs
1059 II| Saint Patron. Ce vêtement, primitivement, ressemblait au coqueluchon,
1060 I| couronné ; toute la suite des Primoult ; les Savonay : Au bon marchand ;
1061 II| joindre Saint-Nicolast, trouvé principalement à Lisieux, dont dépendait
1062 II| ont fait l’ornement des principaux sanctuaires. C’était, pour
1063 I| Les veuves jouissaient des privilèges et des prérogatives de leurs
1064 II| général on n’attache de prix aux objets qu’en raison
1065 I| drapelets et pavillons de procession, dans le goût de ceux qui
1066 II| donnaient un très grand luxe aux processions, notamment à celle de la
1067 II| confréries rouennaises ou proches de Rouen, quelques feuilles
1068 II| exemplaires, distribuées à profusion sont pourtant assez rares.
1069 I| chanteur Boulard, qui se promenait par les rues avec ses grosses
1070 I| veillées ; des images de propagande, portraits de souverains,
1071 I| établi un catalogue de ses propres oeuvres publié par M. le
1072 I| berceau de l’industrie, si prospère aujourd’hui, des papiers
1073 I| les images religieuses de protection et les Confréries et de
1074 II| rue aux Juifs, qui était protestant, et figure, en 1698, dans
1075 II| disait parfois à l’époque, prouvant son incorporation, par une
1076 II| graveur d’estampes, comme le prouve sa Vue du Prieuré des Deux
1077 II| tiraient leur origine. D’où provenaient, en effet, ces images très
1078 I| bois du Brésil et le brun provenait de la terre de Sienne. Pour
1079 I| Periaux, pour Duchesne. Paris publia aussi quelques complaintes
1080 II| lépreux avertissaient le public de leur présence par le
1081 II| pourra rendre possible la publication d’un ouvrage d’ensemble
1082 I| manoirs dans les réjouissances publiques sur lesquels sont imprimés
1083 II| vraisemblablement à des abus, puisqu’on voit, à plusieurs reprises,
1084 I| papiers de tenture, les purs dominos et l’ouvrage sur
1085 I| campagnes ou par les rues et quartiers des villes. A Rouen, un
1086 II| surtout à Broglie, où les quatorze confrères portaient la soutane
1087 I| couleurs, la nudité des murs. Quelles images ne figuraient pas
1088 | quelque
1089 II| long sur ses ouvrages, et quelquefois en abrégé, avec ces trois
1090 I| argent, dont on tire la.…. queue, toute une iconographie
1091 I| devise bien originale : « Quiconque se veut divertir, se joue
1092 II| image de la Confrérie de Quincampoix, et Le Cartel, - parfaitement -
1093 II| semblent avoir été payés une quinzaine de sous par tournée. Pendant
1094 | Quoi
1095 I| appropriations très diverses ; les « rabats de cheminée » bandes décorées
1096 II| de prix aux objets qu’en raison de leur rareté. Il faut
1097 I| artisans, maîtres-imagiers rangés par ordre alphabétique de
1098 II| normands et méritent une rapide description.~ Parmi ces
1099 I| vert à collets superposés, rappelant ancien régime. Le sieur
1100 II| Nanterre, dans un goût qui rappelle les vierges italiennes.
1101 II| la date de juillet 1632, rappellent que Me Simon Duchesne, chapelain
1102 I| d’imprimeurs qu’il faut rapporter tous les calendriers royaux
1103 I| orné d’arabesques d’une rare élégance.~ Jusqu’au milieu
1104 II| objets qu’en raison de leur rareté. Il faut encore remarquer
1105 II| semblable à la Gargouille, qui ravageait les environs de Bayeux.
1106 I| de l’imagerie rouennaise. Récemment, dans leur très beau livre
1107 II| représentant Saint-François, recevant les stigmates, Saint-Amand
1108 II| la Confrérie, il devait recevoir une sorte de diplôme, de
1109 II| était spécialisé dans la recherche des images religieuses.
1110 I| exécutaient-ils ces images si recherchées aujourd’hui ? En gravant
1111 I| le Pont Napoléon, avec le récit du passage de l’impératrice
1112 I| difficile, pour ne pas les recommencer, on les durcissait avec
1113 I| extrêmement curieux, formant un recueil de tous les Imagiers Dominotiers,
1114 II| charité normande (1892), a recueilli des renseignements sur plus
1115 II| religieuse normande, ont été recueillis par un de nos plus distingués
1116 I| Jean d’Estoutteville avait rédigé, en 1540, les statuts, confirmés
1117 II| E. Veuclin, qui fut un redoutable chercheur, dans ses Documents
1118 I| peu nombreuses. Elles se réduisaient, au rouge, au bleu, au jaune
1119 I| complainte du Crime de Fualdès, rééditée chez Bloquel, en une petite
1120 I| vieux dominos, avec les références des fabriquants. La collection
1121 II| de Beaurepaire, mais en y réfléchissant on conçoit que le nombre
1122 I| Dans les campagnes, on n’y regardait pas de si près ! ~ Avec
1123 II| cet habile artiste sont regardés à juste titre, comme des
1124 I| dans l’un, le portrait du régicide Fieschi est donné pour celui
1125 I| superposés, rappelant ancien régime. Le sieur Lacrique père,
1126 II| faisait inscrire sur le registre de la Confrérie, il devait
1127 II| digne de leur caractère. Les registres capitulaires, à la date
1128 I| illustré de toutes ces marques, rehaussées de couleurs. C’est un document
1129 I| fenêtres des manoirs dans les réjouissances publiques sur lesquels sont
1130 I| le coup d’oeil était fort réjouissant.~*~**~~Les Cartiers-Imagiers
1131 I| auteur de plusieurs bois relatifs à la vie de Napoléon et
1132 II| corporation, comme celles qu’a relevées Ouin-Lacroix, dans son Histoire
1133 II| trouvaient des petits sujets religieux sans grand intérêt, des
1134 II| tandis que l’enfant Jésus remet les clefs à Saint-Pierre.
1135 II| de l’église, les frères remisaient leurs ornements et la barrette
1136 I| un Jehan Mollière qui remonte à 1540 ; les Paillette ;
1137 I| le portrait de Marc, le remplaça par celui de son ami Josse.
1138 II| supprimé par la Révolution et remplacé forcément aujourd’hui par
1139 I| Imprimeurs rouennais qui remplacèrent les Cartiers-Dominotiers.
1140 I| de lit » formant frises, remplacés quand ils étaient sales ;
1141 II| tintenelles, fonctions parfois remplies par les Charitons, les plus
1142 I| Les colporteurs lorrains remplissaient le même office dans les
1143 II| Jacques, Laurent, Louis, Renault, qui furent tous graveurs
1144 I| le long de ce chemin, on rencontrait une véritable exposition
1145 I| canards judiciaires, on rencontre encore, en 1836, chez Berdalle,
1146 II| du manteau avec un pauvre rencontré sur le chemin, puis, enfin,
1147 I| Si tu trouves un emy, tu rencontres un trésor » ; les Baudart ;
1148 I| Morainville, puis Charasse, qui se rendait de Rouen au Havre, et qui,
1149 I| Le Veau qui tette ou le Rendez-vous de la Saint-Vivien ; La
1150 II| pélerinage, de gens s’étant rendus ensemble aux « lieux saints »,
1151 I| fabriquants. La collection Tumbeuf renferme un échantillon de ces papiers
1152 I| D’un baron de renom.~ D’ancienne
1153 I| goût de ceux qui furent rénovés à Rouen, lors de certaines
1154 I| Brûlons, cite encore, comme rentrant dans la fabrication de la
1155 I| dite, il faut faire encore rentrer dans ce domaine de l’image
1156 I| constituèrent aussi le grand répertoire de Duchesne !~ Les plus
1157 II| ancienne société française reposait sur le système des corporations,
1158 II| et aux graveurs pour la représentation des scènes religieuses.
1159 II| Vinaigriers-Limonadiers, avec les représentations de Saint-Vincent, Saint-Nicolas
1160 II| Saint-Martin-du-Vivier et qui représente les scènes célèbres du partage
1161 II| Bourg-Baudouin. La Sainte est représentée gardant les moutons dans
1162 II| célèbre pour avoir fait représenter un mystère, qui fut publié
1163 I| Cantique spirituel où sont représentés les mystères de la Passion
1164 II| puisqu’on voit, à plusieurs reprises, le Chapitre défendre aux
1165 I| batailles ; images militaires reproduisant les différents corps et
1166 II| 1668), planche qui est reproduite par X Boutigny dans l’atelier
1167 II| populaire en Normandie et même reproduites : celle, par exemple, de
1168 II| vêtement, primitivement, ressemblait au coqueluchon, ou capuce,
1169 I| qu’on se servait aussi de ressorts de montres, fixés à un manche
1170 I| concitoyen Georges Ruel, avait ressuscité dans son originale exposition
1171 II| chaperon, dont le nom est resté à l’ornement en forme de
1172 I| à la tête de mort !~ Il resterait encore à passer en revue,
1173 II| il aurait pu résumer le résultat de ses recherches. Heureusement
1174 II| religieuses. Seul, il aurait pu résumer le résultat de ses recherches.
1175 I| Havre, et qui, en 1850, se retira à Elbeuf, rue Maurepas.
1176 II| jusqu’à 900 en 1744, pour retomber à 500 en 1781. Ces images,
1177 II| 1725 et une autre en 1731 retouchée par Maintru, en 1752, aux
1178 I| Cartiers-Dominotiers. On y retrouve, classés chronologiquement,
1179 II| Harcourt en 1765 ; il ne réussit pas et ces coins se brisèrent.
1180 I| La foire d’Elbeuf ou le Réveil de la Saint-Gilles ; Saint-Vivien,
1181 I| devenus insuffisants, furent revisés et modifiés encore par François
1182 II| brutalement supprimé par la Révolution et remplacé forcément aujourd’
1183 II| Eglise Saint-Nicolas : Cadre richement orné, image de Sainte-Reine
1184 II| charité, en dehors de leur rôle de sociétés de secours mutuels,
1185 II| fort nombreuses. En 1573, à Roncherolles-sur-le-Vivier, on payait à l’imprimeur
1186 II| de cinq à six lieues à la ronde, accompagnées de leur clergé
1187 II| majestueusement par toutes les routes et par tous les chemins,
1188 I| toute la lignée des Le Roux ; les Lesueur ; les Le Testu ;
1189 I| les Delamare : A la perle royale ; toute la lignée des Delespine,
1190 I| rapporter tous les calendriers royaux rouennais ornés de planches
1191 II| des cierges ornementés de rubans, sur de longues hampes.
1192 I| le chemin de l’église, ruelle à moitié campagnarde, bordée
1193 II| graveur ; de la Charité de Saint-Adrien et Saint-Sébastien, de Saint-Crespin-du-Becquet,
1194 II| Viennent ensuite les images de Saint-André, Porte Cauchoise pour la
1195 I| Surville et Grindel, rue Saint-Antoine, 10, puis rue des Bons-Enfants,
1196 II| Saint-Roch d’Orival ; de Saint-Aubin du Petit-Couronne, gravée
1197 II| dont dépendait l’église Saint-Cande et qui y possédait une châsse
1198 II| 1669 et en 1782, celle de Saint-Cande-le-Vieux. Confrérie de Saint-Ursin
1199 II| allaient en pèlerinage à Saint-Clair-sur-Epte, après s’être arrêtés à
1200 II| Saint-Adrien et Saint-Sébastien, de Saint-Crespin-du-Becquet, gravée par Le Sueur, en
1201 II| Jean Duval, sur la paroisse Saint-Croix-des-Pelletiers, qui grava, en 1635-36,
1202 II| Sainte-Marie-la-Petite : Confrérie de Saint-Cyr et de Sainte-Julitte. Gravure
1203 II| Saint-Vincent, Saint-Nicolas et Saint-Etienne. Gravure en taille-douce,
1204 II| gravée par Neveu. - Eglise Saint-Etienne-des-Tonneliers : image représentant l’Annonciation,
1205 II| 1607 ; du Saint-Sacrement à Saint-Etienne-du-Rouvray (1664).~ Il faut encore
1206 II| la Porte-Dorée ; en bas, Saint-Foy avec un dragon et un diable
1207 II| Saint-Amand, représentant Saint-François, recevant les stigmates,
1208 II| l’image de la Charité de Saint-Geneviève, de Bourg-Baudouin. La Sainte
1209 II| celle de la Confrérie de Saint-Gervais, que le nombre des images
1210 I| Elbeuf ou le Réveil de la Saint-Gilles ; Saint-Vivien, soutenez-nous
1211 I| cantique du Pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostel, en Galice.~ Qu’est-ce que
1212 II| le Mont-Saint-Michel ou Saint-Jacques-de-Compostelle.~ Enfin, surtout en Normandie,
1213 II| Saint-Lô : Image, et de Saint-Jean-Porte-Latine des imprimeurs-libraires,
1214 II| pour leur impression. A Saint-Léger-du-Bourdeny, en 1725, les confrères
1215 II| stigmates, Saint-Amand et Saint-Louis, confrérie fondée en 1631,
1216 II| Charité Saint-Martin, fondée à Saint-Martin-du-Vivier et qui représente les scènes
1217 II| cuivre en 1720.~ Eglise Saint-Nicaise : image de confrérie, représentant
1218 II| auquel il faut joindre Saint-Nicolast, trouvé principalement à
1219 II| Confrérie de la Passion, à Saint-Patrice, fut aussi célèbre pour
1220 II| par P. Le Sueur. - Eglise Saint-Pierre-l’Honoré. En haut l’entrevue
1221 II| Saint-Ouen, à Oissel ; de Saint-Roch d’Orival ; de Saint-Aubin
1222 II| Charité de Saint-Adrien et Saint-Sébastien, de Saint-Crespin-du-Becquet,
1223 II| Image de la confrérie de Saint-Severt, fondée le 7 novembre 1489,
1224 II| Saint-Cande-le-Vieux. Confrérie de Saint-Ursin et de Sainte-Clotide, auquel
1225 II| avec les représentations de Saint-Vincent, Saint-Nicolas et Saint-Etienne.
1226 II| Saint-Geneviève, de Bourg-Baudouin. La Sainte est représentée gardant
1227 II| Confrérie de Saint-Ursin et de Sainte-Clotide, auquel il faut joindre
1228 II| notamment à Lisieux, à Caen, à Sainte-Croix-de-Bernay, au Petit-Andely et surtout
1229 I| Sainte-Véronique présentant la Sainte-Face ; Saint-Hubert et le Cerf
1230 II| Confrérie de Saint-Cyr et de Sainte-Julitte. Gravure en taille-douce,
1231 II| Le Sueur, 1704. - Eglise Sainte-Marie-la-Petite : Confrérie de Saint-Cyr
1232 II| image de la Confrérie de Sainte-Suzanne, Saint-Mathurin, Sainte-Clotilde,
1233 I| des images religieuses : Sainte-Véronique présentant la Sainte-Face ;
1234 II| Sainte-Trinité, Sainte-Vierge et de saintes. Gravure sur bois du XVIIIe
1235 I| Exécution de Ginester et de Salabert ; l’Exécution du nommé Marc
1236 I| remplacés quand ils étaient sales ; les affiches d’intérieurs
1237 II| ornement des principaux sanctuaires. C’était, pour les dessinateurs
1238 II| quelques exemplaires sur satin. Autre image, par Pierre
1239 II| baudrier qu’ils portent en sautoir et où est souvent brodée
1240 I| les cadrans d’horloge. Savary des Brûlons, cite encore,
1241 | savoir
1242 II| trois lettres : P.L.S. Il savoit aussi dessiner assez proprement.
1243 I| suite des Primoult ; les Savonay : Au bon marchand ; Jacques
1244 I| 1831) ; Berdalle, rue de la Savonnerie (1836) ; Boniface Delamarre,
1245 I| brûlée et de litharge. Le séchage se faisait sur des cordes
1246 I| Nicolas Periaux, son second fils, rue de la Vicomté,
1247 II| leur rôle de sociétés de secours mutuels, donnaient un très
1248 I| de souverains, de grands seigneurs, de prélats, images de batailles ;
1249 II| espèce de dragon monstrueux, semblable à la Gargouille, qui ravageait
1250 II| confrérie. Les colleurs semblent avoir été payés une quinzaine
1251 I| iconographie tour à tour sentimentale, pittoresque et amusante !
1252 I| suite, quelques hachures, séparées par des contre-tailles,
1253 II| laissait les morts sans sépulture, les Frères de Charité eurent
1254 I| jadis.~*~**~~C’est à cette série d’imprimeurs qu’il faut
1255 I| comme on disait alors. Après serment, le jeune ouvrier, devait
1256 I| poirier, au grain fin et serré, avec un outillage très
1257 I| grosses brosses drues et serrées, qui étendaient les tons.
1258 I| Epinal, les graveurs se servaient d’une sorte de pointe ou
1259 I| image Garnier dit qu’on se servait aussi de ressorts de montres,
1260 I| Saint-Romain (1836), dont le bois a servi à illustrer un canard populaire ;
1261 I| le jeune ouvrier, devait servir pendant quatre ans d’apprentissage,
1262 I| étaient imprimées en une seule couleur, en plusieurs teintes,
1263 | seulement
1264 I| provenait de la terre de Sienne. Pour le collage de ces
1265 II| habile comme praticien, signait I. P., mourut en 1710. -
1266 II| volantes intéressantes, signalées par le Dr Helot, dans ses
1267 II| signée de Pierre Le Sueur. Signalons encore les images de la
1268 II| Cartel, - parfaitement - qui signe celle de la Confrérie de
1269 II| Pèlerins du Mont Saint-Michel, signées J. D. B. 1605. - Eglise
1270 II| 1632, rappellent que Me Simon Duchesne, chapelain de la
1271 I| avec un outillage très simple et très primitif. A Epinal,
1272 I| en plusieurs teintes, ou simplement marbrées. Elles représentaient
1273 II| les confréries, de cinq à six lieues à la ronde, accompagnées
1274 II| en dehors de leur rôle de sociétés de secours mutuels, donnaient
1275 II| que les confrères et leurs soeurs allaient en pèlerinage à
1276 II| un peu leur faim… et leur soif, aiguisés par l’air du matin.~
1277 II| Dans les circonstances solennelles, le « maître en charge »
1278 I| gravés d’une façon fruste et sommaire, parfois par les colporteurs
1279 II| présence par le bruit des sonnettes, de même les Frères de Charité
1280 I| de ces feuilles volantes sortaient du célèbre atelier de Pellerin
1281 I| ces papiers de tenture, sortant de chez Amy, rue du Grand-Pont,
1282 I| quelques-unes. Il y a bien des sortes de canards, judiciaires,
1283 II| spectacle était inoubliable. Sortis de l’église, les frères
1284 I| Les canards politiques, soumis au visa de l’autorisation
1285 II| quatorze confrères portaient la soutane de drap blanc, avec ceinture
1286 I| Saint-Gilles ; Saint-Vivien, soutenez-nous afin que nous ne nous cassions
1287 II| enfant malade sur un lit, soutenu par sa mère pendant qu’un
1288 II| incorporation, par une mention spéciale. C’était l’image de la confrérie.
1289 II| Charités. Elles étaient spécialement chargées d’escorter le viatique
1290 II| longue carrière, s’était spécialisé dans la recherche des images
1291 I| rouennais eurent une véritable spécialité de calendriers muraux ornés
1292 I| images. C’est le Cantique spirituel où sont représentés les
1293 II| représentant un ostensoir avec les statues de la Vierge et Saint-Eloi,
1294 II| Saint-François, recevant les stigmates, Saint-Amand et Saint-Louis,
1295 I| Au bon marchand ; Jacques Subito ; les Thiboutot ; les Thieuvin,
1296 I| sur des ficelles, qui se succédaient et paraient, de leurs vives
1297 I| rouennais, si nombreux, se succédant de famille en famille, ayant
1298 I| père et fils, qui sont les successeurs émérites des imagiers de
1299 I| le plateau des Aigles, on suivait en tournant à gauche, près
1300 I| chronologiquement, les noms suivants :~ Louis du Mesnil-Pétète,
1301 I| son carrick vert à collets superposés, rappelant ancien régime.
1302 I| vert étaient obtenus par superposition de deux tons. Les laques
1303 II| de Sainte-Reine et de son supplice, gravée sur cuivre, en 1696,
1304 I| indiquant le contour et supportant le tirage. Par la suite,
1305 II| corporations, brutalement supprimé par la Révolution et remplacé
1306 | sûr
1307 II| Saint-Hubert et le Cerf. Colonnes surmontées de vases de fleurs. Image
1308 I| sur cette marque leur nom, surnom et la rue de Rouen, « où
1309 I| était un type qu’on avait surnommé Louis XVI, à cause de son
1310 I| canard populaire ; le Pont suspendu, et enfin, à une époque
1311 II| les accessoires, sur les symboles des saints, ce que Cahier
1312 II| suivant tout un cérémonial symbolique. Comme jadis, les Marqueurs
1313 II| hui par les groupements syndicaux de patrons et d’artisans.
1314 II| française reposait sur le système des corporations, brutalement
1315 | T
1316 I| avec des clous sur la table de l’atelier et, à l’aide
1317 I| maîtres et empreinte sur un tableau général. » Devaient ainsi
1318 II| Peigniers, Cornetiers et Tabletiers de Rouen. Gravé par P. Costil (
1319 I| baleines de parapluies, taillées et emmanchées. Des butavants
1320 II| inventeur des papiers de tapisserie, qu’il mit en vogue en 1688. «
1321 I| et de colle forte. Plus tard, on usa de la presse en
1322 I| seule couleur, en plusieurs teintes, ou simplement marbrées.
1323 II| confrères restaient debout, tenant des cierges ornementés de
1324 I| travailler, avoir un apprenti, tenir boutique, mais seulement
1325 I| manche en forme de fuseau, tenu par des ficelles enroulées.
1326 I| gardes du métier étaient tenus de visiter tous les maîtres
1327 I| Roux ; les Lesueur ; les Le Testu ; les de Lynant ; un Jehan
1328 I| intéressants sur la Femme à la tête de mort !~ Il resterait
1329 I| bleues. C’étaient Le Veau qui tette ou le Rendez-vous de la
1330 II| graveurs du XVIIIe siècle, un thème tout trouvé.~ La plupart
1331 II| graveurs au XVIIe siècle ; Theroulde, Jean Toutain, maître graveur,
1332 I| marchand ; Jacques Subito ; les Thiboutot ; les Thieuvin, en 1541 ;
1333 I| Subito ; les Thiboutot ; les Thieuvin, en 1541 ; les Thubeuf ;
1334 I| Thieuvin, en 1541 ; les Thubeuf ; Vincent marin, qui avait
1335 II| titre des Confréries, qui tiennent une place importante dans
1336 II| Pont-de-l’Arche où un clerc tient un espèce de dragon monstrueux,
1337 II| agitant leurs clochettes ou tintenelles, fonctions parfois remplies
1338 II| allons passer en revue, tiraient leur origine. D’où provenaient,
1339 I| imprimeur Emile Periaux, qui tirait 1.000 à 2.000 exemplaires,
1340 I| diable d’argent, dont on tire la.…. queue, toute une iconographie
1341 II| Confrérie, comme on le voit, tirées à un nombre énorme d’exemplaires,
1342 I| doubler les coffres, les tiroirs, les layettes, à faire les
1343 I| Elles représentaient des tissus brochés, des toiles imprimées,
1344 I| animal-amphibie ; La Fille du tombeau, avec une complainte de
1345 | ton
1346 I| papiers décorés à l’aide de tontisses de draps. A Rouen, les Imagiers
1347 II| né à Rouen, originaire de Touraine, graveur sur bois sans savoir
1348 I| des Aigles, on suivait en tournant à gauche, près d’une pâtisserie
1349 II| une quinzaine de sous par tournée. Pendant longtemps, ces
1350 II| images, qu’on distribuait par tournées, étaient souvent collées
1351 I| manteau de la cheminée ; « tours de lit » formant frises,
1352 II| siècle ; Theroulde, Jean Toutain, maître graveur, demeurant
1353 II| si curieuses par leurs traditions, leurs costumes, leurs usages
1354 I| dynasties ou de ministères. Un a trait à la chute du ministère
1355 II| dont Papillon, dans son Traité historique de la Gravure
1356 I| accompagnés d’enfants, souvent traités assez durement, transportant
1357 I| délicat ; il était fait à gros traits indiquant le contour et
1358 I| traités assez durement, transportant leurs ballots d’images à
1359 I| complétaient l’outillage. Le travail ne pouvait être très délicat ;
1360 I| chanteurs de cantiques qui traversaient la France, accompagnés d’
1361 I| 1846) ; veuve Béhourt et Trenchard-Béhourt (1809-1816) ; J.-B.-Sébastien
1362 I| un emy, tu rencontres un trésor » ; les Baudart ; les Bernières ;
1363 I| Très nombreuse est aussi la tribu des Guérin ; celle des Guerould
1364 II| en 1615 et Confrérie des Trois-Nativités, gravure de Pierre Le Sueur,
1365 I| avaient pour devise : « Si tu trouves un emy, tu rencontres un
1366 I| d’une Sainte-Catherine, trouvés aussi dans un carton à chapeaux.
1367 I| Pierre de Larrivey, d’origine troyenne (1625) ; Adrien Delamare (
1368 I| les mauvais payeurs l’ont tué, et Le grand diable d’argent,
1369 I| fabriquants. La collection Tumbeuf renferme un échantillon
1370 I| Canardiers ». C’était un type qu’on avait surnommé Louis
1371 I| couleurs. C’est un document unique pour l’histoire de l’imagerie
1372 I| colle forte. Plus tard, on usa de la presse en bois, puis
1373 II| traditions, leurs costumes, leurs usages pittoresques et qui existent
1374 I| de « bois » ses poèmes, use ainsi de baleines de parapluies,
1375 II| donnée, en 1767, par L. J. Le Vacher. - Eglise Saint-Maclou :
1376 II| novembre1705 ; Jean et Claude Vallier, imagiers, en 1618.~ On
1377 II| petits sujets pouvaient varier. Enfin, au bas de cette
1378 II| Colonnes surmontées de vases de fleurs. Image de la Confrérie
1379 I| lunettes bleues. C’étaient Le Veau qui tette ou le Rendez-vous
1380 I| de leurs adresses, ayant vécu à Rouen, depuis le milieu
1381 I| complaintes chantées aux veillées ; des images de propagande,
1382 I| aujourd’hui, des papiers veloutés et drapés, des papiers décorés
1383 I| trouvaient des ateliers, vendaient dans leurs boutiques, leurs
1384 I| siècles ont gravé, enluminé et vendu les images populaires, jusqu’
1385 II| ou à quelque sanctuaire vénéré, comme le Mont-Saint-Michel
1386 I| La Licorne déjetant tout venin » ; les Le Feugueux et Guillaume
1387 II| été dispersée, lors de sa vente. Cependant, un certain nombre
1388 II| Rouen, chez son grand-père, venu à Paris chez Noël Cochin,
1389 I| Mars dont on annonçait la venue ; les jeux de loto, de l’
1390 II| de nos jours par M. P. Le Verdier. Telles étaient les principales
1391 I| de l’autre, par des haies verdoyantes. En quelques pas, on atteignait
1392 I| dès lors de nombreuses et véritables images proprement dites.
1393 I| planche est coloriée en vermillon, en violet, en jaune et
1394 II| des Saints, si utiles aux verriers et aux graveurs pour la
1395 II| image du Saint Patron. Ce vêtement, primitivement, ressemblait
1396 II| département de l’Eure, E. Veuclin, qui fut un redoutable chercheur,
1397 I| originale : « Quiconque se veut divertir, se joue avec la
1398 II| spécialement chargées d’escorter le viatique quand on le porte aux malades ;
1399 II| pour la Confrérie de la Viere, Sainte-Anne, Sainte-Marguerite,
1400 II| un goût qui rappelle les vierges italiennes. C’est Papillon
1401 I| précaution, retrouver des vieux dominos, avec les références
1402 I| Cartiers-Dominotiers, est du plus vif intérêt et c’est un bonheur
1403 II| distillation de la corporation des Vinaigriers-Limonadiers, avec les représentations
1404 I| couleurs. Les tons faux, violacés ou bleus fadasses, n’ont,
1405 I| canards politiques, soumis au visa de l’autorisation préalable,
1406 I| métier étaient tenus de visiter tous les maîtres particuliers,
1407 II| 1752, aux armoiries des vitriers l’église des Cordeliers,
1408 I| succédaient et paraient, de leurs vives couleurs, la nudité des
1409 II| tapisserie, qu’il mit en vogue en 1688. « Le sieur Papillon
1410 II| au bas de cette feuille volante, il y avait la place pour
1411 I| Saulnier, dans leur nouveau volume, aidés par la curieuse Histoire
1412 I| familles. Voici les Amette, qui vont de 1687 à 1708 ; les Amy
1413 I| tout Imagier Dominotier, voulant travailler au «métier»,
1414 I| papiers de tenture, qui sont vraiment délicieux. Ces dominoteries
1415 II| Confréries. Cela donna lieu vraisemblablement à des abus, puisqu’on voit,
1416 II| département de l’Eure. Créés au XIe siècle, fondés à l’occasion
1417 I| et confirmés par Louis XV en 1730.~ On y voit que
1418 I| on avait surnommé Louis XVI, à cause de son nez bourbonnien
1419 I| concitoyen, le bon poète Francis Yard, l’auteur de l’An de la
1420 I| imprimées, des « Flammés d’Yvetot ». Pour apposer ces papiers
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