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Catulle Mendès
La femme de Tabarin

IntraText - Concordances

(Hapax Legomena)


1629-parti | passe-zeuxi

    Scène
1 Int| La place Dauphine, en 1629.~ C’est alors que florissait 2 III| haineuse et hagarde. Tabarin, abîmé dans l’horreur, ne l’a ni 3 III| cou ; il s’est assis, d’abord, auprès d’elle, puis il 4 Int| vers un chapeau de feutre accroché au mur : c’est le chapeau 5 Int| volets des maisons sont accrochés des tableaux que des amateurs 6 Ire| argent, nous partirons. J’achèterai une terre, comme un honnête 7 III| jusqu’à celui de véritable acteur.~~LA PRINCESSE PHILOXÈNE.~ 8 III| de votre teint, à cette admirable comédienne.~ (Artaban s’ 9 II | faire prévenir qu’il aura affaire à des personnes de qualité, 10 III| encore ! Je l’aime ! Je suis affreux, je t’ai fait du mal. Ne 11 III| vers son mari, toujours agenouillé, qui déchire sa souquenille 12 III| parfaitement joué. Daignez agréer, chère Télamire, que j’offre 13 Int| éclatant rideau, rouge et vert, agrémenté de figures tabariniques, 14 III| terribles. Veux-tu que j’aille chercher le garde, dis ? 15 III| suis un pauvre homme… Je l’aimais tant… Ah ! ma femme ! ah ! 16 Ire| joli. Mais toi, tu ne m’aimes pas. Sais-tu bien que souvent, 17 III| afin qu’elle m’entende plus aisément.~ (Tabarin, continuant la 18 Ire| est au cabaret que je suis allé, en compagnie du bon M. 19 III| vivre sans donner quelques allégements à mes flammes ; et le feu 20 III| osé appuyer. Un médecin ! Allez chercher un médecin ! Mais, 21 Int| Boileau, n’a pas dédaigné d’allier à Térence ; et, dès le matin, 22 II | descendre sur la terre.~ AMALTHÉE.~ Eh ! vous ne voyez pas 23 III| sur les genoux du garde. L’amant brusquement s’enfuit. Tabarin 24 III| amour ! Vive le phénix des amants ! Le petit Cupidon est entré 25 Int| accrochés des tableaux que des amateurs observent avec minutie. 26 III| Canaille ! (Elle a rendu l’âme. Des bravos, des cris, des 27 Ire| tu sais bien quanto io t’amo !~ FRANCISQUINE.~ Bon ! 28 III| ce n’est point vous que j’amuserai par les métamorphoses de 29 III| la foule, pareille à un animal blessé, haineuse et hagarde. 30 Int| minutie. Origine de nos Salons annuels.~~Mais la singularité principale 31 | ans 32 III| PHILOXÈNE.~ Il y a quelque apparence de vrai dans le soupçon 33 III| telle que l’on oublie d’applaudir.)~ TABARIN.~ Ah ! toi ! 34 III| éclatent en un tonnerre d’applaudissements. Puis Tabarin laisse choir 35 III| genoux, hébêté, pendant qu’on applaudit de plus en plus.)~ TABARIN,  36 Ire| Héraclée.~ FRANCISQUINE.~ Tu as appris tous ces beaux discours 37 III| peut-être, je n’ai pas osé appuyer. Un médecin ! Allez chercher 38 Ire| bonne pour lui. Je t’aime ardemment, j’ai cette folie. Je t’ 39 Ire| aurons gagné beaucoup d’argent, nous partirons. J’achèterai 40 III| assassine pas avec une batte d’arlequin, et il faut que je tue, 41 III| effrayant.~ Mais une épée, une arme quelconque, est-ce que j’ 42 III| de son mari.)~ TABARINarpentant le tréteau à grands pas.~ 43 Int| arracheur de dents ; le dentiste arrachait, chaque jour une, les dents 44 Int| était mis aux gages d’un arracheur de dents ; le dentiste arrachait, 45 Ire| que ce malheur pourrait m’arriver un jour, en effet ? Il y 46 Int| qui est comme l’entrée des artistes. Des pots de fard et des 47 III| est-ce que j’en ai ? On n’assassine pas avec une batte d’arlequin, 48 III| coquettes et cornards ! Et vous, assemblée illustre d’imbéciles, de 49 III| homme vient de voir sa femme assise, et riant, sur les genoux 50 III| leurs habits ; je vendrai aujourd’hui plus de drogues que 51 | aura 52 Ire| et des plus riches, qui auraient bien voulu de moi. Mais 53 Ire| haut-de-chausses, mais tu en auras dans ta poche. Parce que 54 II | prendre place, les badauds auront bientôt envahi les bancs 55 Ire| Tu veux que je te parle autrement ? Ecoute-moi, chérie. Le 56 Ire| baise mes lèvres comme on avale une cuillerée de soupe, 57 | avant 58 III| TÉLAMIRE.~ Vous ne nous aviez point prévenus, Polyandre, 59 III| à ton petit mari ? M’est avis qu’elle est peut-être dans 60 III| quelque veillaco s’était avisé de lui déranger la jupe, 61 | avons 62 | ayant 63 III| TÉLAMIRE, à Artaban.~ N’ayez point d’inquiétude au sujet 64 III| Ah ! ma petite colombe, baise-moi… ne t’en vas point ! Dire 65 III| on me pende !~(Le rideau baisse.)~~~~Catulle Mendès~ 66 Ire| chantant.~ Comme j’étais au banquet,~Bon birolet,~Et qu’on dansait 67 III| et, brusquement, elle en barbouille les lèvres de son mari. 68 | bas 69 III| votre épée, monsieur. Les bateleurs ont coutume de changer les 70 III| n’assassine pas avec une batte d’arlequin, et il faut que 71 III| Toutes les bouches sont béantes. Quelques yeux pleurent. « 72 | beau 73 | beaucoup 74 Ire| Tu as appris tous ces beaux discours dans la compagnie 75 Ire| ne moins que les moineaux becquetaient les raisins de Zeuxis, peintre 76 Ire| cornette de nuit, et je becquète tes ongles fripons, ne plus 77 III| plus en plus.)~ TABARINbégayant.~ Ah ! misérable ! Tu l’ 78 Int| baraque de Tabarin. Pour les besoins du drame qui va être représenté 79 Ire| FRANCISQUINE.~ Grosse bête ! sac à vin ! pendard ! 80 Ire| est pour les autres que ma bêtise fait rire ; pour toi, je 81 Int| sieur Mondor se prolonge de biais, à sept ou huit coudées 82 II | devant nous, les bornes de la bienséance. Pour moi, il est des syllabes 83 II | place, les badauds auront bientôt envahi les bancs et chaises 84 III| le tréteau, immobile et blême.)~ Miséricorde ! Ce n’est 85 III| foule, pareille à un animal blessé, haineuse et hagarde. Tabarin, 86 III| la main de sang dans sa blessure et, brusquement, elle en 87 Ire| souquenille, vois-tu, c’est une blouse. La parade, le fard, le 88 Int| Tabarin, que Molière, selon Boileau, n’a pas dédaigné d’allier 89 III| Oui, ton sang, je veux le boire ! Donne, encore ! Je l’aime ! 90 Int| comédien. Un escalier en bois vermoulu, de quelques marches, 91 III| cavalières ! mousquetaderès ! bombardas ! canonès ! morions ! corseletès ! 92 III| il écarte le rideau, et bondit dans l’intérieur de la baraque, 93 III| qui l’embrassait… Ah ! mes bonnes dames ! mes bons messieurs ? 94 III| mes bonnes dames ! mes bons messieurs ? Il n’y a plus 95 III| se laisse tomber sur le bord du tréteau, et pleure à 96 II | point, devant nous, les bornes de la bienséance. Pour moi, 97 Ire| visage la queue en l’air, ta bouche qui s’ouvre toute grande 98 III| industrieux comédien de l’Hôtel de Bourgogne.~ THÉODAMAS.~ Je ne serais 99 Ire| Nous avons bu quelques bouteilles en ton honneur, ma petite 100 III| Elle a rendu l’âme. Des bravos, des cris, des trépignements 101 III| lame de malheur !~ (Il la brise contre son ventre.)~ TÉLAMIRE,  102 III| Samaritaine, courtisans du Roi de Bronze, ce n’est point vous que 103 Int| Des pots de fard et des brosses sur la planchette d’un dressoir, 104 Ire| soupe ! C’est comme du sucre brûlé.~~~ 105 III| tout, recule, plein d’une brusque horreur, et son effroi, 106 II | honnêteté dans ses propos burlesques, et que nous puissions avoir 107 Ire| Tabarin, qui revient de la campagne, trouve un galant auprès 108 III| se tend.)~ FRANCISQUINE.~ Canaille ! (Elle a rendu l’âme. Des 109 III| autres facéties. Paulo majora canamus, comme dit mon maître Mondor.~ 110 III| mousquetaderès ! bombardas ! canonès ! morions ! corseletès ! 111 II | déesses peuvent avoir le caprice de descendre sur la terre.~ 112 Ire| exprès. Ote ma perruque, caresse mes cheveux. Veux-tu des 113 III| Le rideau baisse.)~~~~Catulle Mendès~ 114 III| souffres, et que j’en suis la cause ! Ce n’est pas grave peut-être, 115 III| j’étais aux champs. Ah ! cavalières ! mousquetaderès ! bombardas ! 116 III| comédie, à ne vous rien céder, commence à me divertir 117 Ire| que tu veux. Comme je suis célèbre, il y a des femmes, peut-être, 118 III| fraîches, je le confesse, que celles de votre teint, à cette 119 | celui 120 II | PHILOXÈNE.~ Il est tout à fait certain, que si je n’avais point 121 | ces 122 III| heureuse, j’avais presque cessé d’être un homme : et, tout 123 III| vue ! Là, chez moi, sur la chaise….,  et cet homme qui l’embrassait… 124 II | bientôt envahi les bancs et chaises que voilà.~~TÉLAMIRE.~ Est-il 125 | chambre 126 III| pendant que j’étais aux champs. Ah ! cavalières ! mousquetaderès ! 127 III| bateleurs ont coutume de changer les objets qu’on leur confie, 128 III| de paille, comme dans la chanson. Miséricorde du ciel ! Est-ce 129 Ire| vient du cabaret.~ TABARINchantant.~ Comme j’étais au banquet,~ 130 | chaque 131 Ire| bras nus, trop gras, me charme. Je suis un paysan, au fond. 132 Ire| avait dit : « Tabarin, me charo, mi te voglio pregar d’una 133 III| prends ! Mais, tiens, petite chatte, tiens, vois, c’est très 134 III| du tréteau, et pleure à chaudes larmes.)~ TÉLAMIRE, sur 135 Ire| sous tes petits pieds mal chaussés, comme ce grand cornard 136 III| maintenant il joue avec la chemisette que la femme de Tabarin 137 III| parfaitement joué. Daignez agréer, chère Télamire, que j’offre votre 138 Int| matin, les fenêtres sont chèrement louées.~ Les machinistes 139 | chez 140 III| applaudissements. Puis Tabarin laisse choir ses bras, et tombe à genoux, 141 | choses 142 III| Cependant Francisquine, claquant des dents et râlant, a saisi 143 III| et précieuses, bourgeois, clercs, filles et tire-laine, toute 144 Int| que florissait le poète Clidamant, qui, mal nourri par les 145 Ire| avec Piphagne. Tu as un bon coeur, tu ne voudrais pas me rendre 146 II | lui-même se montre à vos yeux, coiffé de son illustre chapeau.~ ( 147 II | mousquetaires, occupe tous les coins de la place. Des cris se 148 Ire| Je t’en donnerai, et un collier de perles aussi. Quand nous 149 III| mourir ! Ah ! ma petite colombe, baise-moi… ne t’en vas 150 III| votre glaive invaincu. Sa comédie, à ne vous rien céder, commence 151 III| comédie, à ne vous rien céder, commence à me divertir singulièrement.~ ( 152 III| comme il faut !~ (Dès le commencement de la parade, un soldat, 153 II | baladin salue, la parade va commencer.)~~~ 154 III| effroi, en un instant, se communique à toute la foule.)~ TABARIN,  155 III| sang qui coule en effet, comprend tout, recule, plein d’une 156 III| meurs pas ! Pardon ! Tu comprends, je t’avais vue… avec l’ 157 III| tragiques, ornées de pointes concordantes.~ TABARIN, toujours sur 158 III| roses, moins fraîches, je le confesse, que celles de votre teint, 159 III| changer les objets qu’on leur confie, lorsqu’ils seraient dans 160 Ire| FRANCISQUINE.~ Bon ! Tu me contes des fagots pour des cotterets. 161 III| plus aisément.~ (Tabarin, continuant la parade, soulève, en effet, 162 III| main va frapper, la face se contracte dans une convulsion suprême, 163 | contre 164 III| face se contracte dans une convulsion suprême, et Francisquine 165 III| dames, nobles seigneurs, coquettes et cornards ! Et vous, assemblée 166 Ire| chaussés, comme ce grand cornard d’Herculès, aux pieds de 167 III| seigneurs, coquettes et cornards ! Et vous, assemblée illustre 168 Ire| tête de lion empaillé pour cornette de nuit, et je becquète 169 III| bombardas ! canonès ! morions ! corseletès ! Si quelque veillaco s’ 170 | côté 171 Ire| contes des fagots pour des cotterets. Va, va, double jennin, 172 Int| de biais, à sept ou huit coudées du pavé de la place. Un 173 III| près, il voit le sang qui coule en effet, comprend tout, 174 Int| marches, conduit de cette coulisse au tréteau extérieur. Il 175 | coup 176 III| pour qui je recevais des coups de pied au derrière ? C’ 177 III| ducs de la Samaritaine, courtisans du Roi de Bronze, ce n’est 178 Ire| dansait à ma noce,~La mère au cousin Jacquet,~Bon birolet,~Me 179 III| que je ne sais plus que cracher poésie.~ Mais Francisquine 180 III| femme, qui veut fuir et qui crie, lui enfonce l’épée dans 181 Ire| sais-tu bien que souvent je crois que ce malheur pourrait 182 Ire| lèvres comme on avale une cuillerée de soupe, tout cela, et, 183 Int| ressemble à la fois à une cuisine et à une loge de comédien. 184 III| homme. Elle le mord à la cuisse, puis tout son corps se 185 III| phénix des amants ! Le petit Cupidon est entré si avant dans 186 II | touret qui me dérobe aux curiosités du populaire, je ne manquerais 187 III| plus parfaitement joué. Daignez agréer, chère Télamire, 188 Ire| banquet,~Bon birolet,~Et qu’on dansait à ma noce,~La mère au cousin 189 Int| lequel l’illustre farceur débite les drogues au profit du 190 III| toujours agenouillé, qui déchire sa souquenille et offre 191 Int| selon Boileau, n’a pas dédaigné d’allier à Térence ; et, 192 II | Les plus honnêtes gens ne dédaignent point de s’encanailler quelquefois, 193 II | encanailler quelquefois, et les déesses peuvent avoir le caprice 194 Ire| tes grands cheveux roux défaits ; il m’a semblé que le soleil 195 Ire| goutte.~ TABARIN, un peu dégrisé.~ Tu veux que je te parle 196 Int| chapeau de Fortunatus. Au dehors, devant le tréteau, des 197 III| laisse retomber la tenture et demeure sur le tréteau, immobile 198 Int| arracheur de dents ; le dentiste arrachait, chaque jour une, 199 II | de qualité, afin qu’il ne dépasse point, devant nous, les 200 III| veillaco s’était avisé de lui déranger la jupe, me donne au diable 201 III| il a eu, surtout dans la dernière partie de son monologue, 202 II | visage ce touret qui me dérobe aux curiosités du populaire, 203 III| recevais des coups de pied au derrière ? C’était pour elle, pour 204 II | peuvent avoir le caprice de descendre sur la terre.~ AMALTHÉE.~ 205 Ire| gagné à la loterie de la destinée. Ne me mords point, ne me 206 III| ah ! la gueuse ! ah ! mon Dieu, ma Francisquine !~ (Tabarin 207 III| ARTABAN.~ Ah ! par les dieux immortels ! On ne saurait 208 Ire| mi te voglio pregar d’una difficultaë. » Nous avons bu quelques 209 III| il a voulu s’en rendre digne par des efforts jusqu’alors 210 III| comédienne, dit Télamire : et ne dirait-on pas que le sang est du sang 211 Ire| Quand tu passeras, ils diront : « Voilà la femme de M. 212 III| Je veux les tuer, vous dis-je, et après je leur mangerai 213 III| heure encore, je le lui disais. Ah ! l’infâme ! Maintenant, 214 Int| représenté devant vous, elle est disposée comme suit : le tréteau 215 Int| tous les moyens dont ils disposent, la fraîcheur lumineuse 216 Ire| du vin ; cependant je me disposerai à manger mon potage.~ TABARIN.~ 217 Int| tréteau, des bancs sont disposés pour les élégants de la 218 III| grossiers, on ne saurait dissimuler qu’elle a quelque chose 219 III| rien céder, commence à me divertir singulièrement.~ (Artaban 220 | donner 221 Ire| oreilles en or ? Je t’en donnerai, et un collier de perles 222 III| donnez-moi votre épée, Mordieu ! donnez-la moi, où je m’en vas la prendre.~ 223 III| parlez, oui, vous ! là-bas, donnez-moi votre épée, Mordieu ! donnez-la 224 II | qui porte un singe sur son dos ? Ne vous paraît-il pas 225 Ire| pour des cotterets. Va, va, double jennin, de par le diable ! 226 III| TÉLAMIRE.~ Bien que cette douleur s’exprime en termes un peu 227 Int| Tabarin. Pour les besoins du drame qui va être représenté devant 228 Int| brosses sur la planchette d’un dressoir, garni de vaisselles ébréchées. 229 Int| théâtre en plein vent ; à droite, plus bas, au niveau du 230 III| superbe dans son air, et le drôle, après quelques leçons, 231 III| de niais et de filous, ducs de la Samaritaine, courtisans 232 Int| dressoir, garni de vaisselles ébréchées. Le lieu ressemble à la 233 III| merci.~ (D’un geste, il écarte le rideau, et bondit dans 234 III| qu’un cri d’admiration s’échappe à la fois de toutes les 235 Int| du pavé de la place. Un éclatant rideau, rouge et vert, agrémenté 236 III| tire-laine, toute la foule, éclatent en un tonnerre d’applaudissements. 237 Ire| je te parle autrement ? Ecoute-moi, chérie. Le bouffon, l’ivrogne, 238 III| en rendre digne par des efforts jusqu’alors inaccoutumés, 239 III| les yeux hors de la tête, effrayant.~ Mais une épée, une arme 240 III| brusque horreur, et son effroi, en un instant, se communique 241 | Eh 242 Int| bancs sont disposés pour les élégants de la cour. Car grand Tabarin, 243 Ire| lèvres, pendant qu’elle mange elle-même.)~Oh ! la bonne soupe ! 244 III| THÉODAMAS.~ Je ne serais point éloigner d’imaginer que, surexcité 245 II | beau voir que ce vilain s’émancipât outre mesure, et se hasardât, 246 III| chaise….,  et cet homme qui l’embrassait… Ah ! mes bonnes dames ! 247 III| histrion stupide, elle embrasse cet homme et se fait embrasser. 248 III| qu’elle a quelque chose d’émouvant et qu’elle serait de nature 249 Ire| qui avait une tête de lion empaillé pour cornette de nuit, et 250 III| gens de cour eux-mêmes sont émus et debout ; et toute la 251 II | ne dédaignent point de s’encanailler quelquefois, et les déesses 252 Int| la fumée monte comme un encens vers un chapeau de feutre 253 Ire| t’ai rencontrée un jour, endormie la tête près du trottoir, 254 II | syllabes dont je ne saurais endurer l’incongruité.~~ARTABAN.~ 255 | enfin 256 III| veut fuir et qui crie, lui enfonce l’épée dans la gorge, la 257 III| garde. L’amant brusquement s’enfuit. Tabarin laisse retomber 258 Ire| c’est très-joli ; tu as engraissé, chérie !~ FRANCISQUINE.~ 259 III| ce rideau, afin qu’elle m’entende plus aisément.~ (Tabarin, 260 Ire| Mondor, et pour moi, je n’y entends goutte.~ TABARIN, un peu 261 III| du fourneau, car elle a entendu le cri terrible de son mari.)~ 262 III| horreur, ne l’a ni vue ni entendue venir. Elle s’imbibe la 263 II | Mais voici que le rideau s’entrouvre, et il signor Tabarini 264 | entre 265 Int| peinte, qui est comme l’entrée des artistes. Des pots de 266 Ire| je l’ai vu l’autre soir entrer par cette petite porte. 267 II | les badauds auront bientôt envahi les bancs et chaises que 268 III| tumultueuse qu’un comédien peut envier environne le misérable histrion.)~ 269 III| un comédien peut envier environne le misérable histrion.)~ 270 III| retire sanglante, remonte épouvanté, à reculons, l’escalier 271 II | Mais voyez donc quelle équipée ! Et n’est-ce point un grand 272 | es 273 II | chaises que voilà.~~TÉLAMIRE.~ Est-il vrai que quelquefois le 274 III| inaccoutumés, et se hausser de l’état de bouffon jusqu’à celui 275 | été 276 II | discours grossiers et propres à étonner, mesdames, la pudicité de 277 II | manquerais pas de rougir étrangement…~ THÉODAMAS.~ De sorte que 278 | eût 279 III| toute part. Les gens de cour eux-mêmes sont émus et debout ; et 280 Ire| petite porte basse. Il est évident qu’il vient du cabaret.~ 281 Ire| un niais, sans le faire exprès. Ote ma perruque, caresse 282 III| Bien que cette douleur s’exprime en termes un peu grossiers, 283 Int| proclamait devant les badauds extasiés que l’opération n’avait 284 Int| cette coulisse au tréteau extérieur. Il y a sur un fourneau 285 III| où la main va frapper, la face se contracte dans une convulsion 286 III| Pourvu que tu ne sois plus fâchée, qu’importe à qui tu souries ? 287 Ire| Bon ! Tu me contes des fagots pour des cotterets. Va, 288 Ire| ruisseau. Je t’aime. Tu fais de moi ce que tu veux. Comme 289 III| Miséricorde du ciel ! Est-ce qu’il faudra que je les tue avec les 290 Ire| suis célèbre, il y a des femmes, peut-être, et des plus 291 Int| et, dès le matin, les fenêtres sont chèrement louées.~ 292 II | ARTABAN.~ Par mon épée ! Il ferait beau voir que ce vilain 293 III| La vérité est que je suis féru d’amour, et ce, pour ma 294 III| allégements à mes flammes ; et le feu me transporte de telle façon, 295 Int| encens vers un chapeau de feutre accroché au mur : c’est 296 III| après quelques leçons, figurerait à miracle un héros de tragédie.~ 297 Int| rouge et vert, agrémenté de figures tabariniques, sert de toile 298 III| imbéciles, de niais et de filous, ducs de la Samaritaine, 299 III| quelques allégements à mes flammes ; et le feu me transporte 300 II | jardin de votre visage se fleurirait, Philoxène, de quelques 301 Int| en 1629.~ C’est alors que florissait le poète Clidamant, qui, 302 II | plaindre de la témérité de ses folâteries ?~~LA PRINCESSE PHILOXÈNE.~ 303 Ire| aime ardemment, j’ai cette folie. Je t’ai rencontrée un jour, 304 II | de la place. Des cris se font entendre : « Tabarin ! Tabarin ! » 305 | fort 306 II | n’est-ce point un grand fou que ce Polyandre qui nous 307 III| bouquet de roses, moins fraîches, je le confesse, que celles 308 Int| moyens dont ils disposent, la fraîcheur lumineuse d’une jeune journée 309 III| au moment où la main va frapper, la face se contracte dans 310 Ire| et je becquète tes ongles fripons, ne plus ne moins que les 311 III| Francisquine est une petite friquette, et il se pourrait bien 312 III| précipite sur sa femme, qui veut fuir et qui crie, lui enfonce 313 Int| pleine de soupe, dont la fumée monte comme un encens vers 314 III| elle seule. Pour qu’elle fût une femme heureuse, j’avais 315 Int| les Muses, s’était mis aux gages d’un arracheur de dents ; 316 Ire| de la campagne, trouve un galant auprès de sa femme, sais-tu 317 Ire| Je n’aurai plus d’or aux galons de mon haut-de-chausses, 318 II | tire-laine, parmi lesquels des gardes et des mousquetaires, occupe 319 Int| planchette d’un dressoir, garni de vaisselles ébréchées. 320 III| dans la nécessité de les gâter de quelque façon que ce 321 III| monsieur, merci.~ (D’un geste, il écarte le rideau, et 322 III| prêtez à ce farceur votre glaive invaincu. Sa comédie, à 323 III| et debout ; et toute la gloire tumultueuse qu’un comédien 324 III| lui enfonce l’épée dans la gorge, la retire sanglante, remonte 325 III| plaire aux plus gens de goût, si elle était traduite 326 Ire| pour moi, je n’y entends goutte.~ TABARIN, un peu dégrisé.~ 327 III| l’épée d’où tombent des gouttes de sang, et si pâle, si 328 Ire| tiens, tes bras nus, trop gras, me charme. Je suis un paysan, 329 III| la cause ! Ce n’est pas grave peut-être, je n’ai pas osé 330 | gros 331 Ire| femme est…~~FRANCISQUINE.~ Grosse bête ! sac à vin ! pendard ! 332 III| bouffon ne sont point aussi grossières qu’il était permis de le 333 III| Ah ! ma femme ! ah ! la gueuse ! ah ! mon Dieu, ma Francisquine !~ ( 334 III| par la richesse de leurs habits ; je vendrai aujourd’hui 335 III| animal blessé, haineuse et hagarde. Tabarin, abîmé dans l’horreur, 336 III| pareille à un animal blessé, haineuse et hagarde. Tabarin, abîmé 337 II | émancipât outre mesure, et se hasardât, moi présent, à user de 338 II | point. Mais si nous ne nous hâtons de prendre place, les badauds 339 III| alors inaccoutumés, et se hausser de l’état de bouffon jusqu’ 340 III| ordinaire en deux ans.~ (Haut.) Nobles dames, nobles seigneurs, 341 Ire| plus d’or aux galons de mon haut-de-chausses, mais tu en auras dans ta 342 Ire| sors-tu ?~ TABARIN.~ Holà ! ! hi !  oh ! ma petite femme ! 343 III| bras, et tombe à genoux, hébêté, pendant qu’on applaudit 344 Ire| raisins de Zeuxis, peintre d’Héraclée.~ FRANCISQUINE.~ Tu as appris 345 Ire| comme ce grand cornard d’Herculès, aux pieds de la princesse 346 III| figurerait à miracle un héros de tragédie.~ TABARIN.~ 347 III| un homme : et, tout à l’heure encore, je le lui disais. 348 III| Pour qu’elle fût une femme heureuse, j’avais presque cessé d’ 349 Ire| TABARIN.~ Holà ! hé ! hi !  oh ! ma petite femme ! 350 III| les yeux hors de la tête, hideusement pâle, vers son mari, toujours 351 Ire| achèterai une terre, comme un honnête homme. Nous aurons des voisins 352 II | moquez-vous, mesdames ?  Les plus honnêtes gens ne dédaignent point 353 II | seigneur Tabarin offense l’honnêteté dans ses propos burlesques, 354 III| industrieux comédien de l’Hôtel de Bourgogne.~ THÉODAMAS.~ 355 III| habits ; je vendrai aujourd’hui plus de drogues que je n’ 356 | huit 357 | ici 358 II | SCÈNE II~ ~(Sur la place.)~~TELAMIRE,  359 III| SCÈNE III~~LES MÊMES, TABARIN sur 360 III| serais point éloigner d’imaginer que, surexcité par la présence 361 III| vous, assemblée illustre d’imbéciles, de niais et de filous, 362 III| ni entendue venir. Elle s’imbibe la main de sang dans sa 363 Int| machinistes sont priés d’imiter, par tous les moyens dont 364 III| demeure sur le tréteau, immobile et blême.)~ Miséricorde ! 365 Ire| à vin ! pendard ! brute immonde ! D’où sors-tu ?~ TABARIN.~ 366 III| ARTABAN.~ Ah ! par les dieux immortels ! On ne saurait rien voir 367 III| ne sois plus fâchée, qu’importe à qui tu souries ? Veux-tu 368 III| des efforts jusqu’alors inaccoutumés, et se hausser de l’état 369 III| les métamorphoses de mon incomparable chapeau, par des questions 370 II | je ne saurais endurer l’incongruité.~~ARTABAN.~ Par mon épée ! 371 III| de faire honneur au plus industrieux comédien de l’Hôtel de Bourgogne.~ 372 III| je le lui disais. Ah ! l’infâme ! Maintenant, pendant que 373 III| Artaban.~ N’ayez point d’inquiétude au sujet de votre épée, 374 III| horreur, et son effroi, en un instant, se communique à toute la 375 III| ce farceur votre glaive invaincu. Sa comédie, à ne vous rien 376 Ire| car tu sais bien quanto io t’amo !~ FRANCISQUINE.~ 377 Ire| SCÈNE Ire~~FRANCISQUINE, aux gros 378 Ire| Ecoute-moi, chérie. Le bouffon, l’ivrogne, n’est plus ; regarde l’ 379 Ire| noce,~La mère au cousin Jacquet,~Bon birolet,~Me dit : Votre 380 Ire| aurons des voisins qui seront jaloux. Quand tu passeras, ils 381 II | THÉODAMAS.~ De sorte que le jardin de votre visage se fleurirait, 382 Ire| cotterets. Va, va, double jennin, de par le diable ! Va-t’ 383 III| Miséricorde ! Ce n’est plus un jeu ! Francisquine ! Je l’ai 384 Int| fraîcheur lumineuse d’une jeune journée de printemps.~~~ 385 III| genoux, et maintenant il joue avec la chemisette que la 386 III| voir de plus parfaitement joué. Daignez agréer, chère Télamire, 387 Ire| que souvent, lorsque nous jouons la farceTabarin, qui 388 Int| fraîcheur lumineuse d’une jeune journée de printemps.~~~ 389 III| vides que les miennes, à en juger par la richesse de leurs 390 III| qui parlez, oui, vous ! là-bas, donnez-moi votre épée, 391 Int| l’opération n’avait pas laissé d’avoir quelque chose d’ 392 Ire| poche. Parce que je t’aime. Laisse-moi t’embrasser le cou. Tu n’ 393 III| monologue, des sanglots qui ne laisseraient point que de faire honneur 394 III| prend à deux mains.) Ah ! lame de malheur !~ (Il la brise 395 III| tréteau, et pleure à chaudes larmes.)~ TÉLAMIRE, sur la place.~ 396 III| le drôle, après quelques leçons, figurerait à miracle un 397 Int| comme suit : le tréteau sur lequel l’illustre farceur débite 398 II | filles, tire-laine, parmi lesquels des gardes et des mousquetaires, 399 | leurs 400 III| reparaît devant le public, levant au ciel l’épée d’où tombent 401 III| singulièrement.~ (Artaban se lève, s’approche du tréteau, 402 III| si je ne lui relance le limosin comme il faut !~ (Dès le 403 Ire| princesse qui avait une tête de lion empaillé pour cornette de 404 Int| fois à une cuisine et à une loge de comédien. Un escalier 405 | long 406 Int| baraque est visible. Des loques multicolores pendent du 407 | lorsqu 408 Ire| Sais-tu bien que souvent, lorsque nous jouons la farce où 409 Ire| petit quine, gagné à la loterie de la destinée. Ne me mords 410 Int| fenêtres sont chèrement louées.~ Les machinistes sont priés 411 II | ouvre, et il signor Tabarini lui-même se montre à vos yeux, coiffé 412 Int| disposent, la fraîcheur lumineuse d’une jeune journée de printemps.~~~ 413 Int| sont chèrement louées.~ Les machinistes sont priés d’imiter, par 414 III| épée, et la prend à deux mains.) Ah ! lame de malheur !~ ( 415 Int| pendit.~ Aux volets des maisons sont accrochés des tableaux 416 III| majora canamus, comme dit mon maître Mondor.~ La vérité est que 417 III| telles autres facéties. Paulo majora canamus, comme dit mon maître 418 Ire| ne voudrais pas me rendre malheureux. Ta chemise, comme cela, 419 Ire| cependant je me disposerai à manger mon potage.~ TABARIN.~ Point, 420 III| dis-je, et après je leur mangerai le corps.~ TÉLAMIRE.~ Bien 421 II | curiosités du populaire, je ne manquerais pas de rougir étrangement…~ 422 Int| bois vermoulu, de quelques marches, conduit de cette coulisse 423 Int| y a sur un fourneau une marmite pleine de soupe, dont la 424 Int| allier à Térence ; et, dès le matin, les fenêtres sont chèrement 425 Int| niveau du sol, l’intérieur même de la baraque est visible. 426 III| SCÈNE III~~LES MÊMES, TABARIN sur le tréteau, 427 III| rideau baisse.)~~~~Catulle Mendès~ 428 | merci 429 Ire| on dansait à ma noce,~La mère au cousin Jacquet,~Bon birolet,~ 430 III| bonnes dames ! mes bons messieurs ? Il n’y a plus de farce, 431 II | vilain s’émancipât outre mesure, et se hasardât, moi présent, 432 III| vous que j’amuserai par les métamorphoses de mon incomparable chapeau, 433 III| je t’ai fait du mal. Ne meurs pas ! Pardon ! Tu comprends, 434 III| que c’est vrai, et qu’elle meurt ? Tu me regardes avec des 435 Ire| dit : « Tabarin, me charo, mi te voglio pregar d’una difficultaë. » 436 Ire| TABARIN.~ Point, mignonne de miel ! Je  prends des torticolis 437 III| point aussi vides que les miennes, à en juger par la richesse 438 Ire| potage.~ TABARIN.~ Point, mignonne de miel ! Je  prends des 439 Int| amateurs observent avec minutie. Origine de nos Salons annuels.~~ 440 III| quelques leçons, figurerait à miracle un héros de tragédie.~ TABARIN.~ 441 Int| nourri par les Muses, s’était mis aux gages d’un arracheur 442 III| un médecin ! Mais, tas de misérables ! vous ne voyez donc pas 443 Ire| ne plus ne moins que les moineaux becquetaient les raisins 444 Int| Car grand Tabarin, que Molière, selon Boileau, n’a pas 445 | moment 446 III| la dernière partie de son monologue, des sanglots qui ne laisseraient 447 II | signor Tabarini lui-même se montre à vos yeux, coiffé de son 448 II | plus.~ POLYANDRE.~ Vous moquez-vous, mesdames ?  Les plus honnêtes 449 III| aussi ? Il reste encore des morceaux de l’épée ; tiens, prends ! 450 III| genoux de l’homme. Elle le mord à la cuisse, puis tout son 451 III| donnez-moi votre épée, Mordieu ! donnez-la moi, où je m’ 452 Ire| loterie de la destinée. Ne me mords point, ne me pince point, 453 III| bombardas ! canonès ! morions ! corseletès ! Si quelque 454 III| eu bien tort…. Ne va pas mourir ! Ah ! ma petite colombe, 455 III| champs. Ah ! cavalières ! mousquetaderès ! bombardas ! canonès ! 456 II | lesquels des gardes et des mousquetaires, occupe tous les coins de 457 Int| priés d’imiter, par tous les moyens dont ils disposent, la fraîcheur 458 Int| est visible. Des loques multicolores pendent du plafond, le long 459 Int| chapeau de feutre accroché au mur : c’est le chapeau de Fortunatus. 460 Int| qui, mal nourri par les Muses, s’était mis aux gages d’ 461 III| émouvant et qu’elle serait de nature à plaire aux plus gens de 462 III| lorsqu’ils seraient dans la nécessité de les gâter de quelque 463 Ire| Tes grands yeux ronds, ton nez qui se retrousse et qui 464 Int| à droite, plus bas, au niveau du sol, l’intérieur même 465 Ire| birolet,~Et qu’on dansait à ma noce,~La mère au cousin Jacquet,~ 466 | nom 467 | non 468 | nos 469 Int| poète Clidamant, qui, mal nourri par les Muses, s’était mis 470 Ire| FRANCISQUINE.~ Dis que je suis une nourrice, tout de suite ! Allons, 471 | nouveau 472 III| souquenille et offre sa poitrine nue. Mais, au moment où la main 473 Ire| empaillé pour cornette de nuit, et je becquète tes ongles 474 | O 475 III| ont coutume de changer les objets qu’on leur confie, lorsqu’ 476 Int| tableaux que des amateurs observent avec minutie. Origine de 477 II | gardes et des mousquetaires, occupe tous les coins de la place. 478 II | quelquefois le seigneur Tabarin offense l’honnêteté dans ses propos 479 Ire| retrousse et qui a l’air d’un oiseau posé sur ton visage la queue 480 | ont 481 Int| les badauds extasiés que l’opération n’avait pas laissé d’avoir 482 III| drogues que je n’en vends d’ordinaire en deux ans.~ (Haut.) Nobles 483 III| est venu. Mais prêtons l’oreille, s’il vous plaît, à la parade, 484 Int| observent avec minutie. Origine de nos Salons annuels.~~ 485 III| traduite en strophes tragiques, ornées de pointes concordantes.~ 486 III| grave peut-être, je n’ai pas osé appuyer. Un médecin ! Allez 487 Ire| niais, sans le faire exprès. Ote ma perruque, caresse mes 488 | ou 489 III| admiration est telle que l’on oublie d’applaudir.)~ TABARIN.~ 490 III| que la femme de Tabarin a oublié de raccommoder.)~ Holà ! 491 II | que ce vilain s’émancipât outre mesure, et se hasardât, 492 III| un pistolet, il serait de paille, comme dans la chanson. 493 II | singe sur son dos ? Ne vous paraît-il pas que le singe ressemble 494 | Parce 495 III| fait du mal. Ne meurs pas ! Pardon ! Tu comprends, je t’avais 496 III| devant toute la foule, pareille à un animal blessé, haineuse 497 III| saurait rien voir de plus parfaitement joué. Daignez agréer, chère 498 Ire| dégrisé.~ Tu veux que je te parle autrement ? Ecoute-moi, 499 III| tragédie.~ TABARIN.~ Vous qui parlez, oui, vous ! là-bas, donnez-moi 500 III| surtout dans la dernière partie de son monologue, des sanglots 501 Ire| beaucoup d’argent, nous partirons. J’achèterai une terre,


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