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Catulle Mendès
La femme de Tabarin

IntraText - Concordances

(Hapax Legomena)


1629-parti | passe-zeuxi

    Scène
502 Ire| seront jaloux. Quand tu passeras, ils diront : « Voilà la 503 III| telles autres facétiesPaulo majora canamus, comme dit 504 Int| sept ou huit coudées du pavé de la place. Un éclatant 505 III| mari. La foule respire à peine. L’admiration est telle 506 Int| recouverte d’une toile peinte, qui est comme l’entrée 507 Ire| becquetaient les raisins de Zeuxis, peintre d’Héraclée.~ FRANCISQUINE.~ 508 Ire| mes cheveux. Veux-tu des pendants d’oreilles en or ? Je t’ 509 Ire| Grosse bête ! sac à vin ! pendard ! brute immonde ! D’où sors-tu ?~ 510 III| tué ma femme ! Qu’on me pende !~(Le rideau baisse.)~~~~ 511 Int| Des loques multicolores pendent du plafond, le long de la 512 Int| ayant plus de dents, il se pendit.~ Aux volets des maisons 513 III| petit escalier, le monte péniblement, et se trouve enfin sur 514 Ire| donnerai, et un collier de perles aussi. Quand nous aurons 515 III| aussi grossières qu’il était permis de le redouter ; et il a 516 III| d’à côté, et avec votre permission, nobles seigneurs, je soulèverai 517 Ire| le faire exprès. Ote ma perruque, caresse mes cheveux. Veux-tu 518 II | qui nous conduit parmi les petites gens, pour entendre les 519 Ire| des torticolis sous tes petits pieds mal chaussés, comme 520 III| le paysan, l’homme du peuple, la brute, si l’on veut, 521 | peut 522 III| O vive l’amour ! Vive le phénix des amants ! Le petit Cupidon 523 III| je recevais des coups de pied au derrière ? C’était pour 524 Ire| Ne me mords point, ne me pince point, car tu sais bien 525 III| pourtant. Si j’avais un pistolet, il serait de paille, comme 526 Int| multicolores pendent du plafond, le long de la porte basse, 527 III| Saignante, la main sur la plaie, elle se traîne vers le 528 II | puissions avoir lieu de nous plaindre de la témérité de ses folâteries ?~~ 529 III| elle serait de nature à plaire aux plus gens de goût, si 530 III| prêtons l’oreille, s’il vous plaît, à la parade, car voici 531 Int| fard et des brosses sur la planchette d’un dressoir, garni de 532 III| et Francisquine retombe à plat ventre, la tête sur les 533 Int| un fourneau une marmite pleine de soupe, dont la fumée 534 III| sur le bord du tréteau, et pleure à chaudes larmes.)~ TÉLAMIRE,  535 III| sont béantes. Quelques yeux pleurent. « Voilà une fort agréable 536 Ire| mais tu en auras dans ta poche. Parce que je t’aime. Laisse-moi 537 III| coutume de voir, et de qui les poches ne sont point aussi vides 538 III| ne sais plus que cracher poésie.~ Mais Francisquine est 539 III| strophes tragiques, ornées de pointes concordantes.~ TABARIN540 III| tiens, vois, c’est très pointu, prends donc ! Ah ! chérie !~ ( 541 Ire| qui a l’air d’un oiseau posé sur ton visage la queue 542 Ire| disposerai à manger mon potage.~ TABARIN.~ Point, mignonne 543 Int| entrée des artistes. Des pots de fard et des brosses sur 544 III| que tu es morte, ma petite poularde, puisque tu ne réponds pas 545 III| et il faut que je tue, pourtant. Si j’avais un pistolet, 546 III| chercher le garde, dis ? Pourvu que tu ne sois plus fâchée, 547 III| le rideau, et tout à coup pousse un grand cri, car le pauvre 548 III| intérieur de la baraque, se précipite sur sa femme, qui veut fuir 549 Ire| me charo, mi te voglio pregar d’una difficultaë. » Nous 550 III| imaginer que, surexcité par la présence d’un public nouveau pour 551 II | mesure, et se hasardât, moi présent, à user de discours grossiers 552 | presque 553 III| le faut, allons, Artaban, prêtez à ce farceur votre glaive 554 III| qui vous est venu. Mais prêtons l’oreille, s’il vous plaît, 555 II | prudent peut-être de le faire prévenir qu’il aura affaire à des 556 III| Vous ne nous aviez point prévenus, Polyandre, qu’il nous serait 557 Int| louées.~ Les machinistes sont priés d’imiter, par tous les moyens 558 Int| annuels.~~Mais la singularité principale de la place Dauphine, c’ 559 Int| lumineuse d’une jeune journée de printemps.~~~ 560 III| auprès d’elle, puis il l’a prise sur ses genoux, et maintenant 561 Int| dents du poète, et le poète proclamait devant les badauds extasiés 562 Int| farceur débite les drogues au profit du sieur Mondor se prolonge 563 Int| profit du sieur Mondor se prolonge de biais, à sept ou huit 564 II | offense l’honnêteté dans ses propos burlesques, et que nous 565 II | de discours grossiers et propres à étonner, mesdames, la 566 II | PHILOXÈNE.~ Il ne serait que prudent peut-être de le faire prévenir 567 II | à étonner, mesdames, la pudicité de vos oreilles. Mais voici 568 III| rôle dans la parade. Mais, puisqu’il le faut, allons, Artaban, 569 III| morte, ma petite poularde, puisque tu ne réponds pas à ton 570 II | burlesques, et que nous puissions avoir lieu de nous plaindre 571 II | affaire à des personnes de qualité, afin qu’il ne dépasse point, 572 Ire| point, car tu sais bien quanto io t’amo !~ FRANCISQUINE.~ 573 III| Mais une épée, une arme quelconque, est-ce que j’en ai ? On 574 | quelle 575 Ire| par le diable ! Va-t’en quérir du vin ; cependant je me 576 Ire| oiseau posé sur ton visage la queue en l’air, ta bouche qui 577 Ire| Tabarini ! » Car j’aurai quitté le nom de Tabarin. Je n’ 578 III| femme de Tabarin a oublié de raccommoder.)~ Holà ! Francisquine, 579 Ire| moineaux becquetaient les raisins de Zeuxis, peintre d’Héraclée.~ 580 III| Francisquine, claquant des dents et râlant, a saisi le tronçon d’épée 581 III| lui tendait Tabarin ; elle rampe, les yeux hors de la tête, 582 III| des drogues, pour qui je recevais des coups de pied au derrière ? 583 Int| long de la porte basse, recouverte d’une toile peinte, qui 584 III| en effet, comprend tout, recule, plein d’une brusque horreur, 585 III| sanglante, remonte épouvanté, à reculons, l’escalier qui conduit 586 III| qu’il était permis de le redouter ; et il a eu, surtout dans 587 III| et qu’elle meurt ? Tu me regardes avec des yeux terribles. 588 III| donne au diable si je ne lui relance le limosin comme il faut !~ ( 589 III| que le seigneur Tabarin a relevé la tête.~ (Pendant ce temps, 590 III| tréteau, tire son épée et la remet à Tabarin.)~ TABARIN.~ Ah ! 591 III| gorge, la retire sanglante, remonte épouvanté, à reculons, l’ 592 Ire| ai cette folie. Je t’ai rencontrée un jour, endormie la tête 593 III| FRANCISQUINE.~ Canaille ! (Elle a rendu l’âme. Des bravos, des cris, 594 III| qui conduit au tréteau, et reparaît devant le public, levant 595 III| poularde, puisque tu ne réponds pas à ton petit mari ? M’ 596 II | TELAMIRE, se retournant et repoussant du talon sa jupe.~ Mais 597 Int| besoins du drame qui va être représenté devant vous, elle est disposée 598 Ire| embrasser le cou. Tu n’as pas reprisé ta chemise, là, devant ; 599 III| lèvres de son mari. La foule respire à peine. L’admiration est 600 III| A moi, sans elle, que me reste-t-il ? Rien. Ah ! le paysan, 601 III| cris, des trépignements retentissent de toute part. Les gens 602 III| l’épée dans la gorge, la retire sanglante, remonte épouvanté, 603 III| suprême, et Francisquine retombe à plat ventre, la tête sur 604 III| s’enfuit. Tabarin laisse retomber la tenture et demeure sur 605 II | la place.)~~TELAMIRE, se retournant et repoussant du talon sa 606 Ire| yeux ronds, ton nez qui se retrousse et qui a l’air d’un oiseau 607 Ire| la farceTabarin, qui revient de la campagne, trouve un 608 III| voir sa femme assise, et riant, sur les genoux du garde. 609 Ire| peut-être, et des plus riches, qui auraient bien voulu 610 III| miennes, à en juger par la richesse de leurs habits ; je vendrai 611 Ire| autres que ma bêtise fait rire ; pour toi, je suis un niais, 612 Ire| monseigneur le cardinal qui rôde quelquefois par ici. Il 613 III| Samaritaine, courtisans du Roi de Bronze, ce n’est point 614 III| il nous serait donné un rôle dans la parade. Mais, puisqu’ 615 Ire| t’aime. Tes grands yeux ronds, ton nez qui se retrousse 616 Int| place. Un éclatant rideau, rouge et vert, agrémenté de figures 617 II | je ne manquerais pas de rougir étrangement…~ THÉODAMAS.~ 618 Ire| soleil était tombé dans le ruisseau. Je t’aime. Tu fais de moi 619 Ire| FRANCISQUINE.~ Grosse bête ! sac à vin ! pendard ! brute 620 III| Francisquine n’est point morte. Saignante, la main sur la plaie, elle 621 III| claquant des dents et râlant, a saisi le tronçon d’épée que lui 622 Int| minutie. Origine de nos Salons annuels.~~Mais la singularité 623 II | Tabarin ! » Le baladin salue, la parade va commencer.)~~~ 624 III| et de filous, ducs de la Samaritaine, courtisans du Roi de Bronze, 625 III| dans la gorge, la retire sanglante, remonte épouvanté, à reculons, 626 III| partie de son monologue, des sanglots qui ne laisseraient point 627 Ire| près du fourneau. ~TABARINsaoûl. - Tabarin entre par la 628 III| chapeau, par des questions saugrenues, et telles autres facéties.  629 II | des syllabes dont je ne saurais endurer l’incongruité.~~ 630 III| baraque. Francisquine lui a sauté au cou ; il s’est assis, 631 III| pour moi, c’était tout ! Savez-vous pour qui je vendais des 632 | selon 633 Ire| cheveux roux défaits ; il m’a semblé que le soleil était tombé 634 Int| se prolonge de biais, à sept ou huit coudées du pavé 635 III| leur confie, lorsqu’ils seraient dans la nécessité de les 636 III| Bourgogne.~ THÉODAMAS.~ Je ne serais point éloigner d’imaginer 637 III| Holà ! Francisquine, holà ! Serait-ce que tu es morte, ma petite 638 | seront 639 Int| de figures tabariniques, sert de toile de fond à ce théâtre 640 III| était pour elle, pour elle seule. Pour qu’elle fût une femme 641 Int| les drogues au profit du sieur Mondor se prolonge de biais, 642 Int| Salons annuels.~~Mais la singularité principale de la place Dauphine, 643 III| commence à me divertir singulièrement.~ (Artaban se lève, s’approche 644 Ire| semble que je l’ai vu l’autre soir entrer par cette petite 645 | soit 646 Int| plus bas, au niveau du sol, l’intérieur même de la 647 III| commencement de la parade, un soldat, un garde du Cardinal, est 648 Ire| défaits ; il m’a semblé que le soleil était tombé dans le ruisseau. 649 Ire| pendard ! brute immonde ! D’où sors-tu ?~ TABARIN.~ Holà ! hé ! 650 III| la brute, si l’on veut, sort du baladin ! Je veux les 651 II | étrangement…~ THÉODAMAS.~ De sorte que le jardin de votre visage 652 III| vas point ! Dire que tu souffres, et que j’en suis la cause ! 653 III| Tabarin, continuant la parade, soulève, en effet, le rideau, et 654 III| permission, nobles seigneurs, je soulèverai ce rideau, afin qu’elle 655 III| apparence de vrai dans le soupçon qui vous est venu. Mais 656 III| fâchée, qu’importe à qui tu souries ? Veux-tu me tuer, toi aussi ? 657 | sous 658 III| dans la baraque, dont les spectateurs ne peuvent voir l’intérieur, 659 III| si elle était traduite en strophes tragiques, ornées de pointes 660 III| que je suis là, histrion stupide, elle embrasse cet homme 661 Ire| bonne soupe ! C’est comme du sucre brûlé.~~~ 662 Int| elle est disposée comme suit : le tréteau sur lequel 663 Ire| suis une nourrice, tout de suite ! Allons, mange ta soupe.~ 664 III| ayez point d’inquiétude au sujet de votre épée, monsieur. 665 III| Il y a quelque chose de superbe dans son air, et le drôle, 666 III| contracte dans une convulsion suprême, et Francisquine retombe 667 III| éloigner d’imaginer que, surexcité par la présence d’un public 668 III| le redouter ; et il a eu, surtout dans la dernière partie 669 II | bienséance. Pour moi, il est des syllabes dont je ne saurais endurer 670 Int| vert, agrémenté de figures tabariniques, sert de toile de fond à 671 Int| maisons sont accrochés des tableaux que des amateurs observent 672 II | retournant et repoussant du talon sa jupe.~ Mais voyez donc 673 III| chercher un médecin ! Mais, tas de misérables ! vous ne 674 III| confesse, que celles de votre teint, à cette admirable comédienne.~ ( 675 II | SCÈNE II~ ~(Sur la place.)~~TELAMIRE, se retournant et repoussant 676 III| questions saugrenues, et telles autres facéties. Paulo majora 677 II | lieu de nous plaindre de la témérité de ses folâteries ?~~LA 678 | temps 679 III| puis tout son corps se tend.)~ FRANCISQUINE.~ Canaille ! ( 680 III| le tronçon d’épée que lui tendait Tabarin ; elle rampe, les 681 III| Tabarin laisse retomber la tenture et demeure sur le tréteau, 682 Int| pas dédaigné d’allier à Térence ; et, dès le matin, les 683 III| cette douleur s’exprime en termes un peu grossiers, on ne 684 III| car elle a entendu le cri terrible de son mari.)~ TABARIN,  685 III| me regardes avec des yeux terribles. Veux-tu que j’aille chercher 686 III| pâle, si terrifié et si terrifiant, qu’un cri d’admiration 687 III| de sang, et si pâle, si terrifié et si terrifiant, qu’un 688 III| Francisquine se tient, terrifiée, près du fourneau, car elle 689 Int| sert de toile de fond à ce théâtre en plein vent ; à droite, 690 III| intérieur, Francisquine se tient, terrifiée, près du fourneau, 691 III| s’approche du tréteau, tire son épée et la remet à Tabarin.)~ 692 III| laisse choir ses bras, et tombe à genoux, hébêté, pendant 693 Ire| semblé que le soleil était tombé dans le ruisseau. Je t’aime. 694 III| levant au ciel l’épée d’où tombent des gouttes de sang, et 695 III| Francisquine !~ (Tabarin se laisse tomber sur le bord du tréteau, 696 III| n’est rien, j’ai eu bien tort…. Ne va pas mourir ! Ah ! 697 Ire| de miel ! Je  prends des torticolis sous tes petits pieds mal 698 II | avais point sur le visage ce touret qui me dérobe aux curiosités 699 III| gens de goût, si elle était traduite en strophes tragiques, ornées 700 III| figurerait à miracle un héros de tragédie.~ TABARIN.~ Vous qui parlez, 701 III| était traduite en strophes tragiques, ornées de pointes concordantes.~ 702 III| main sur la plaie, elle se traîne vers le petit escalier, 703 III| mes flammes ; et le feu me transporte de telle façon, que je ne 704 Int| quelque chose d’agréable : le trente-troisième jour, n’ayant plus de dents, 705 III| Des bravos, des cris, des trépignements retentissent de toute part. 706 | très 707 Ire| chemise, comme cela, c’est très-joli ; tu as engraissé, chérie !~ 708 III| dents et râlant, a saisi le tronçon d’épée que lui tendait Tabarin ; 709 | trop 710 Ire| endormie la tête près du trottoir, avec tes grands cheveux 711 III| exempts ! les exempts ! J’ai tué ma femme ! Qu’on me pende !~( 712 III| Ah ! misérable ! Tu l’as tuée ! Francisquine ? Ta petite 713 III| debout ; et toute la gloire tumultueuse qu’un comédien peut envier 714 Ire| charo, mi te voglio pregar d’una difficultaë. » Nous avons 715 II | hasardât, moi présent, à user de discours grossiers et 716 Ire| jennin, de par le diable ! Va-t’en quérir du vin ; cependant 717 Int| d’un dressoir, garni de vaisselles ébréchées. Le lieu ressemble 718 III| corseletès ! Si quelque veillaco s’était avisé de lui déranger 719 III| Savez-vous pour qui je vendais des drogues, pour qui je 720 III| richesse de leurs habits ; je vendrai aujourd’hui plus de drogues 721 III| plus de drogues que je n’en vends d’ordinaire en deux ans.~ ( 722 III| ne l’a ni vue ni entendue venir. Elle s’imbibe la main de 723 Int| fond à ce théâtre en plein vent ; à droite, plus bas, au 724 III| le soupçon qui vous est venu. Mais prêtons l’oreille, 725 III| dit mon maître Mondor.~ La vérité est que je suis féru d’amour, 726 Int| comédien. Un escalier en bois vermoulu, de quelques marches, conduit 727 Int| éclatant rideau, rouge et vert, agrémenté de figures tabariniques, 728 III| poches ne sont point aussi vides que les miennes, à en juger 729 II | ferait beau voir que ce vilain s’émancipât outre mesure, 730 Int| intérieur même de la baraque est visible. Des loques multicolores 731 III| poitrine, que je ne puis plus vivre sans donner quelques allégements 732 Ire| Tabarin, me charo, mi te voglio pregar d’una difficultaë. » 733 III| tiens, petite chatte, tiens, vois, c’est très pointu, prends 734 Ire| au fond. Ma souquenille, vois-tu, c’est une blouse. La parade, 735 Ire| honnête homme. Nous aurons des voisins qui seront jaloux. Quand 736 III| main. Mais, de près, il voit le sang qui coule en effet, 737 III| TABARINdebout, avec une voix de tonnerre.~ Les exempts ! 738 Int| dents, il se pendit.~ Aux volets des maisons sont accrochés 739 Ire| Tu as un bon coeur, tu ne voudrais pas me rendre malheureux. 740 | vu 741 Ire| becquetaient les raisins de Zeuxis, peintre d’Héraclée.~ FRANCISQUINE.~


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