Chap.

1        3| Chezelles, Steiner, tout un coin louche, sur lequel madame Hugon
2        4|      jour grandissait. Une lueur louche, d’une affreuse tristesse,
3        5|          ces escaliers de maison louche, comme le comte Muffat en
4        7|      galerie Saint-Marc, un coin louche, avec des boutiques obscures,
5        7| seulement, au fond de cette nuit louche, un bruit de savate, quelque
6        9|      flambait avec une tristesse louche. Contre la mince tige de
7        9|     montrait plus, dans la lueur louche de la servante, que le haut
8       11|      là-dessous quelque chose de louche. Il y avait un coup peut-être.
9       11|         avec des fonds d’origine louche, le comte tâchait de le
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