Chap.

  1        1|            croyait qu’elle se nommait madame Robert: une femme honnête
  2        2|               qui se~présenta.~— Oui, madame, monsieur Paul s’en est
  3        2|              pas dix minutes... Comme madame était fatiguée, il n’a pas
  4        2|              il m’a chargée de dire à madame qu’il viendrait demain.~
  5        2|               le jour, demain?~— Oui, madame, monsieur Paul est toujours
  6        2|               aurions une histoire!~— Madame ne m’a pas prévenue, je
  7        2|            savoir, murmura Zoé. Quand madame changera ses jours, elle
  8        2|            grand succès de la veille. Madame venait de montrer tant de
  9        2|            elle chantait si bien! Ah! madame pouvait être tranquille,
 10        2|               le petit chez sa tante, madame Lerat, aux Batignolles,
 11        2|              de chambre insinuait que madame aurait  confier ses besoins
 12        2|       sympathie respectueuse. Puisque madame daignait lui causer de ses
 13        2|           abord, elle aimait beaucoup madame, elle avait quitté exprès
 14        2|              elle avait quitté exprès madame Blanche, et Dieu sait si
 15        2|              Blanche, et Dieu sait si madame Blanche faisait des pieds
 16        2|               elle serait restée chez madame, même dans la gêne, parce
 17        2|            elle croyait à l’avenir de madame. Et elle finit par préciser
 18        2|             Oh! il allait en arriver! Madame n’aurait qu’un mot à dire
 19        2|           aurait envoyé à Rambouillet madame Lerat, qu’elle attendait
 20        2|               Elle m’a dit son nom... Madame Tricon.~— La Tricon! s’écria
 21        2|                lorsque Zoé fit entrer madame Lerat dans la chambre, Nana
 22        2|              apportait un peignoir.~— Madame, murmura-t-elle, le coiffeur
 23        2|           coup de peigne, il parla.~— Madame n’a peut-être pas vu les
 24        2|              avait acheté le journal. Madame Lerat mit ses lunettes et
 25        2|          revaudrait sa bonne manière. Madame Lerat, après avoir relu
 26        2|                rue de la Goutte-dOr. Madame Lerat branlait la tête.
 27        2|             le point de pleurer. Mais madame Lerat répétait que le passé
 28        2|        Justement, Zoé venait dire que madame était servie. On passa dans
 29        2|              vous étiez en compagnie.~Madame Maloir, l’air respectable,
 30        2|          accompagnait. La présence de madame Lerat sembla d’abord l’inquiéter.
 31        2|              elle croquait sans pain. Madame Lerat, devenue cérémonieuse,
 32        2|              je l’ai arrangé, murmura madame Maloir, la bouche pleine.~
 33        2|          empanaché d’une haute plume. Madame Maloir avait la manie de
 34        2|         histoires. Ainsi, un jour que madame Blanche était avec monsieur
 35        2|             des malheurs..., commença madame Lerat.~Et, se rapprochant
 36        2|          Lerat.~Et, se rapprochant de madame Maloir, elle lui fit des
 37        2|           prenaient des canards. Mais madame Maloir recevait les secrets
 38        2|       retourne.~Sans y prendre garde, madame Lerat venait de mettre deux
 39        2|          allons faire un bézigue, dit madame Maloir au bout d’un silence.
 40        2|          Maloir au bout d’un silence. Madame joue le bézigue?~Certes,
 41        2|              joue le bézigue?~Certes, madame Lerat le jouait, et à la
 42        2|          assiettes sales. Mais, comme madame Maloir allait prendre elle-même
 43        2|           lettre était pour Daguenet. Madame Maloir, d’elle-même, mit
 44        2|             baisers», murmura-t-elle.~Madame Lerat avait approuvé chaque
 45        2|              théâtre, qui apportait à madame un bulletin de service,
 46        2|             location pour huit jours; madame ne s’imaginait pas le nombre
 47        2|      lâcha-t-elle brutalement.~Alors, madame Maloir, qui comptait les
 48        2|               suite.~— Fais vite, dit madame Lerat en battant les cartes.
 49        2|       pardonner, dit sentencieusement madame Maloir, restée seule avec
 50        2|             Maloir, restée seule avec madame Lerat.~— J’ai quatre-vingts
 51        2|    appartement... Allons, houp! houp!~Madame Maloir voulait finir la
 52        2|            rien déranger, pendant que madame Lerat déménageait la bouteille
 53        2|              bout d’un silence, comme madame Lerat battait les cartes,
 54        2|             Lerat battait les cartes, madame Maloir demanda:~— Qui est-ce?~— 
 55        2|               être encore au collège!~Madame Lerat alla chercher une
 56        2|            vous l’avez mis...? reprit madame Maloir.~— Tiens! dans le
 57        2|              a tout juste une malle à madame et une table. C’est là que
 58        2|            Puis, à son retour, voyant madame Maloir qui l’interrogeait
 59        2|        lorsque les fleurs arrivaient. Madame trouverait ses bouquets
 60        2|              argent perdu.~— Moi, dit madame Maloir, je me contenterais
 61        2|           êtes pas difficile, murmura madame Lerat. On aurait seulement
 62        2|       étonnait, ne comprenant pas que madame restât si longtemps dehors.
 63        2|          dehors. D’ordinaire, lorsque madame se trouvait forcée de sortir,
 64        2|      emballait ça, et rondement. Mais madame Maloir déclara qu’on ne
 65        2|        anicroches dans la vie, disait madame Lerat. Le mieux était d’
 66        2|           elle n’avait plus de coeur, madame Lerat jeta du carreau.~La
 67        2|           dans le petit salon.~Alors, madame Maloir parla du banquier
 68        2|            Maloir parla du banquier à madame Lerat, qui ne connaissait
 69        2|               eu beau lui répéter que madame était sortie, il s’est installé
 70        2|            avait fait quelque chose à madame. Elles chuchotaient entre
 71        2|              Tout à coup, s’oubliant, madame Maloir annonça d’une voix
 72        2|               est pas malheureux! dit madame Lerat, les lèvres pincées,
 73        2|               vexée des cinq cents de madame Maloir. Tu peux te flatter
 74        2|               faire poser les gens!~— Madame n’est pas raisonnable, vraiment!
 75        2|            hein! cria-t-elle.~— Chut! madame, il y a du monde, dit la
 76        2|          gantées. Il était trop tard, madame Lerat n’irait que le lendemain
 77        2|               grandes explications.~— Madame, il y a du monde qui attend,
 78        2|               ne s’adressa même pas à madame Maloir, qui écoutait d’un
 79        2|              sur un bout de la table. Madame Lerat partit tout de suite,
 80        2|           assise,~se reposant.~— Oui, madame, trois personnes.~Et elle
 81        2|            vous ne m’attendez plus.~— Madame réfléchira, madame recevra
 82        2|            plus.~— Madame réfléchira, madame recevra monsieur Steiner,
 83        2|            vais faire un bézigue avec madame Maloir. J’aime mieux ça.~
 84        2|            cartes:~— J’ai répondu que madame recevait... Ces messieurs
 85        2|       Derrière son dos, elle laissait madame Maloir, qui, maintenant,
 86        2|            elle voyait avec peine que madame ne se décrassait pas vite
 87        2|                Elle osa même supplier madame de se calmer.~— Ah! ouiche!
 88        2|            milieu de ses dentelles.~— Madame, dit gravement le comte
 89        2|             elle était flattée.~— Ah! madame, reprit le marquis, si vous
 90        2|             Ce n’était pas comme chez madame Blanche, où il fallait passer
 91        2|            passer par le salon. Aussi madame Blanche avait-elle eu bien
 92        2|              le moricaud.~— Celui-là, madame, il y a beau temps que je
 93        2|             voulait simplement dire à madame qu’il ne pouvait venir ce
 94        2|              attendre le jeudi! Vite, madame Maloir allait faire une
 95        2|              lettre! Mais Zoé dit que madame Maloir avait filé sans qu’
 96        2|            ouvertement des conseils à madame; seulement, elle s’arrangeait
 97        2|        arrangeait pour faire profiter madame de son expérience, quand
 98        2|              de son expérience, quand madame paraissait s’emballer avec
 99        2|         attendit encore pour donner à madame le temps de la réflexion.
100        2|             le temps de la réflexion. Madame ne serait donc pas fière
101        2|            très frappée. Elle regarda madame, prise d’une subite admiration,
102        2|               Zoé entra, en disant:~— Madame, il y en a un qui ne veut
103        2|               préparer la toilette de madame. Bientôt elle dut l’habiller,
104        2|              de chambre, qui laissait madame à moitié lacée, chaussée
105        2|               était pour complimenter madame et lui faire en personne
106        2|               Zoé rentrait, criant:~— Madame, je renonce à ouvrir...
107        3|             pris l’habitude de nommer madame Muffat de Beuville, pour
108        3|            cercle devant la cheminée. Madame Du Joncquoy, dont le frère,
109        3|         souffrante, ma chère? demanda madame Chantereau, la femme d’un
110        3|          bûches qui avait roulé. Mais madame de Chezelle, une amie de
111        3|             de très belles fêtes, dit madame Du Joncquoy.~Le banquier
112        3|          Bismarck l’accompagnera, dit madame Du Joncquoy. Connaissez-vous
113        3|                Pourquoi donc? demanda madame Chantereau.~— Mon Dieu!
114        3|           comtesse, et s’inclinant:~— Madame, je me suis souvenu de votre
115        3|         aisance parfaite.~— Mon Dieu! madame, je vous avouerai que j’
116        3|            roi?~— On ne le pense pas, madame, répondit-il.~Elle ne couchait
117        3|           connaissait M. de Bismarck. Madame Du Joncquoy était presque
118        3|              elle la nommait sa chère madame Hugon. Voyant son cousin
119        3|               en quelques mots brefs: madame Hugon, veuve d’un notaire,
120        3|              ai amené Georges, disait madame Hugon à Sabine. Il a grandi,
121        3|             voir là cette respectable madame Hugon, cette figure maternelle
122        3|            une vocation irrésistible. Madame Chantereau, un peu cousine
123        3|         trouvé ça~curieux.~Cependant, madame Hugon plaignait la pauvre
124        3|              aventure de cette petite madame de Chezelles, qu’il appelait
125        3|              que les dames d’âge mûr, madame Chantereau, madame Du Joncquoy,
126        3|               mûr, madame Chantereau, madame Du Joncquoy, et quatre ou
127        3|               coin louche, sur lequel madame Hugon tranchait avec sa
128        3|          Toutes les voix repartirent; madame Du Joncquoy protestait,
129        3|               Du Joncquoy protestait, madame Chantereau savait qu’on
130        3|           salon, il tournait derrière madame de Chezelles, la seule femme
131        3|         joliment!~— Hier soir, disait madame Hugon, Georges m’a menée
132        3|                je l’avoue.~— Comment! madame, vous n’aimez pas la musique!
133        3|               pas la musique! s’écria madame Du Joncquoy en levant les
134        3|         Variétés, à laquelle la bonne madame Hugon n’avait rien compris;
135        3|             et extatique des maîtres. Madame Du Joncquoy n’aimait que
136        3|          Joncquoy n’aimait que Weber, madame Chantereau tenait pour les
137        3|             la cheminée, au momentmadame Du Joncquoy déclarait qu’
138        3|       Monsieur de Vandeuvres, demanda madame Chantereau qui haussait
139        3|           dimanche?~— Oh! atrocement, madame, répondit-il en s’avançant
140        3|               vos Allemands, répétait madame Chantereau. Le chant, c’
141        3|        monsieur de Vandeuvres?~— Moi, madame? répondit-il tranquillement,
142        3|           pour les glaces; cependant, madame Chantereau soutenait Latinville.
143        3|             lèvre inférieure pendait. Madame Hugon, en le voyant si accablé,
144        3| travaillez-vous donc si tard? demanda madame Du Joncquoy. Je vous croyais
145        3|         élevèrent devant la cheminée. Madame Du Joncquoy disait:~— Je
146        3|    conversation, pendant que la bonne madame Hugon s’endormait les yeux
147        3|           Comment! comment! reprenait madame Du Joncquoy, vous supposez
148        3|            riait, en effet, autour de madame Chantereau, qui venait de
149        4|             deux anciens messieurs de madame, du négociant et du Valaque,
150        4|               distinguée.~— Ah! chère madame, que vous êtes gentille!...
151        4|               porte du grand salon.~— Madame est servie.~Nana avait accepté
152        4|      consistait à appeler Labordette «madame»; elle devait l’amuser beaucoup,
153        4|             empêchée.~Elle parlait de madame Robert. Vandeuvres lui donna
154        4|               sa parole d’honneur que madame Robert avait refusé d’elle-même.
155        4|          brûlait. Zoé frissonna, aida madame à mettre son chapeau et
156        4|               encore. Elle grogna que madame aurait  se décider le
157        5|               Et je vais faire dire à madame Bron de monter du champagne,
158        5|               les petits bénéfices de madame Bron. Elle tapait des mains,
159        5|              la concierge du théâtre, madame Bron, passait devant la
160        5|       couvrait de fleurs. Puis, comme madame Bron revenait, elle remit
161        5|          était précipité, répétant:~— Madame Bron, écoutez... Écoutez
162        5|              écoutez... Écoutez donc, madame Bron... Montez à l’entracte
163        5|           ahuri. Et, courant derrière madame Bron, il reprenait:~— Hein?
164        5|                Il y avait bien encore madame Nana, comme il la nommait;
165        5|              la tête, chaque fois que madame Bron redescendait du théâtre
166        5|               sortir la Faloise. Mais madame Bron ne put la contenter
167        5|              tandis que l’habilleuse, madame Jules, préparait le maillot
168        5|               et la tunique de Vénus. Madame Jules n’avait plus d’âge,
169        5|              prince; mais je n’ai pu, madame, résister au désir de vous
170        5|          dit-il. Comment faites-vous, madame, pour vivre dans une pareille
171        5|           fallut s’entasser, Satin et madame Jules au fond, contre le
172        5|           trois fois, en murmurant:~— Madame... amiral... sire...~Et
173        5|             sans une goutte de sueur, madame Jules attendait de son air
174        5|              pas frapper sans avertir madame.~— Messieurs, vous permettez,
175        5|         embêtée de poser, pendant que madame Jules allait et venait tranquillement,
176        5|            hanches.~Un silence régna. Madame Jules avait remarqué une
177        5|            éleva derrière la porte.~— Madame, puis-je frapper? On s’impatiente
178        5|              qu’il lui appartenait.~— Madame, cria de nouveau la voix
179        5|        percale, en tendant les bras à madame Jules, qui lui passa les
180        5|               cette gaze aux épaules. Madame Jules tournait autour d’
181        5|             fête publique, la vieille madame Drouard, qui jouait Junon,
182        5|             elle remontait à sa loge, madame Bron, qui se promenait de
183        5|               à cause de Son Altesse. Madame Bron, depuis trente ans
184        5|            pour le soir. Elle remit à madame Bron un billet griffonné: «
185        5|               bas, dans la buvette de madame Bron, un figurant, chargé
186        5|              que les assiettes sales, madame Bron venait de distribuer
187        5|             la Faloise. Elle avait vu madame Bron remettre la lettre
188        5|             les chaises dépaillées de madame Bron, dans cette grande
189        5|              glisser sa fourrure, que madame Jules, debout derrière elle,
190        5|           Olympe entier avait rejoint madame Drouard, qui sommeillait.
191        5|         entêtaient sur les chaises de madame Bron. Tous tendaient le
192        6|              veille aux Fondettes, où madame Hugon, qui s’y trouvait
193        6|              eut réuni tout le monde, madame Hugon, avec son bon sourire
194        6|          côtelettes, très simplement, madame Hugon se lamenta en femme
195        6|            nom arracha un léger cri à madame Hugon.~— A propos, dit-elle,
196        6|              coup d’oeil de défiance. Madame Hugon continuait à donner
197        6|            bien ça, une horreur! cria madame Hugon qui se fâchait. Et
198        6|              murmura après un silence madame Hugon, retrouvant sa bonhomie,
199        6|            gros dos.~— N’importe, dit madame Hugon, en mettant des baisers
200        6|              joli!~— On voit bien que madame n’est pas de la campagne,
201        6|           bavard celui-là, qui priait madame d’excuser le désordre, attendu
202        6|           seulement reçu la lettre de madame le matin; mais, malgré ses
203        6|               Je vais faire visiter à madame, dit le jardinier.~Mais
204        6|           pièce, s’attardait derrière madame. Elle la regarda disparaître
205        6|              en grognant. Elle trouva madame sur le toit, s’appuyant
206        6|       retirant tout de suite son nez. Madame va être emportée... Quel
207        6|                  Quel chien de temps!~Madame n’entendait pas. La tête
208        6|             courut dans les allées.~— Madame va prendre du mal! criait
209        6|              marquise du perron.~Mais Madame voulait voir. A chaque nouvelle
210        6|               Il fallait vraiment que madame fût enragée. Maintenant
211        6|               et elle ne couvrait pas madame, dont la jupe ruisselait.
212        6|              de toilette, apportait à madame du linge pour se changer,
213        6|           soupe aux choux, en cas que madame ne dînât pas à Orléans,
214        6|              Orléans, avant de venir; madame avait oublié de lui marquer,
215        6|              la violence de la crise. Madame Hugon, qui le regardait
216        6|              dame, finit par lui dire madame Hugon, j’ai une nouvelle
217        6|               donc là, au cou? reprit madame Hugon, effrayée.~C’est tout
218        6|              demi-voix une romance de madame Lerat, pleine de fleurs
219        6|           dans la chambre voisine, où madame Lerat, très impressionnée
220        6|               à l’aube, sans entendre madame Lerat, qui ronflait à poings
221        6|               à Paris; on lui dit que madame était souffrante. Nana se
222        6|           cette aventure, pensait que madame devenait bête.~Le sixième
223        6|            une était déjà occupée par madame Lerat et Louiset. On donna
224        6|         pendant le déjeuner, la bonne madame Hugon revenait malgré elle
225        6|            Pour Daguenet et Fauchery, madame Hugon se montrait injuste.
226        6|               M. Théophile Venot, que madame Hugon se souvint d’avoir
227        6|              blonde de soleil. Alors, madame Hugon proposa de descendre
228        6|        venaient ensuite, aux côtés de madame Hugon; tandis que Vandeuvres,
229        6|               est à Orléans! répétait madame Hugon. Il a voulu consulter
230        6|          est-ce que c’est que ça? dit madame Hugon surprise.~Puis, elle
231        6|           durent reculer, pendant que madame Hugon et les autres s’arrêtaient
232        6|           mais cet enfant!~Cependant, madame Hugon n’avait pas reconnu
233        6|               sans traverser le pont. Madame Hugon s’appuyait au bras
234        6|              appelle? demanda Lucy.~— Madame d’Anglars.~— Irma d’Anglars,
235        6|                On sortait des vêpres. Madame, un instant, resta sous
236        6|              se levait du crépuscule, madame passait toujours, avec sa
237        6|             la scène qu’il redoutait. Madame Hugon se contenta de le
238        6|             un collet-monté ridicule. Madame Lerat, ayant lâché un mot
239        7|           appris par la concierge que madame, justement, partait pour
240        7|               un château où son amie, madame de Chezelles, était très
241        7|          moment l’idée de questionner madame Bron; puis, la crainte lui
242        7|               glissé de la fenêtre de madame Bron, jaunissait un bout
243        7|               servantes surprises par madame en train de mal faire. Le
244        7|                Mais où le mettrai-je, madame?~— Garde-le à la cuisine.
245        7|          devait revenir du château de madame de Chezelles. Rien, en effet,
246        7|         stupéfaction et d’inquiétude. Madame, prise d’une abominable
247        7|              pouvait toujours voir si madame ne s’était pas endormie.
248        7|            elle trouvait la bêtise de madame un peu forte. Pourtant,
249        8|          délicieux.~Le soir des Rois, madame Lerat arriva la première
250        8|              effet extraordinaire sur madame Lerat. Ses yeux se mouillèrent.~— 
251        8|           entraitgaiement.~Alors, madame Lerat retint la jeune femme
252        8|           brèche, par dévouement pour madame. Plus tard, madame la paierait;
253        8|               pour madame. Plus tard, madame la paierait; elle n’était
254        8|             des épaves, répondant que madame voyageait, sans jamais donner
255        8|            plaisir de rendre visite à madame. Cependant, le matin, elle
256        8|          matin, elle avait couru chez madame Lerat, parce qu’il se passait
257        8|        avancer une très forte somme à madame, si madame voulait revenir
258        8|              forte somme à madame, si madame voulait revenir dans son
259        8|              ce que j’ai répondu, dit madame Lerat; ma nièce a trop de~
260        8|             trop heureuse.~Justement, madame Maloir entrait, avec un
261        8|            fut une joie de se revoir. Madame Maloir expliqua que les
262        8|                Cela parut très drôle. Madame Lerat et madame Maloir se
263        8|           très drôle. Madame Lerat et madame Maloir se tordirent. Nana,
264        8|         devait défendre son assiette. Madame Lerat le gêna aussi. Elle
265        8|               malhonnête à l’égard de madame Maloir, qu’il ne servit
266        8|                La fève était tombée à madame Lerat, qui la mit dans le
267        8|               affectait de croire que madame était en voyage. Ah! madame
268        8|           madame était en voyage. Ah! madame avait fait bien des malheureux,
269        8|          souffert, après le départ de madame; il semblait une âme en
270        8|               on le voyait partoutmadame aurait pu être. Enfin, monsieur
271        8|          jours, quand elle n’avait ni madame Maloir, ni sa tante avec
272        8|            une femme, justement cette madame Robert qui préoccupait Nana
273        8|         refusé de venir à son souper. Madame Robert demeurait rue Mosnier,
274        8|              une visite de politesse; madame Robert, qu’elle avait rencontrée
275        8|           bonne endormie leur dit que madame n’était pas rentrée. Pourtant,
276        8|              répondait de la vertu de madame Robert. On la rencontrait
277        8|          surprise. Elle avait reconnu madame Robert. Celle-ci, avec sa
278        8|         distinguée; d’autant plus que madame Robert n’avait pas du tout
279        8|               années d’exercice.~Mais madame Robert avait aperçu Satin.
280        8|                enragée surtout contre madame Robert. Celle-là, par exemple,
281        8|         dépensé six francs, mais avec madame Maloir. Alors, il resta
282        8|                j’ai vu un gigot.~Mais madame Lerat n’avait pas cette
283        8|           Fontan avait mis à la porte madame Lerat, en disant qu’il ne
284        8|                 Comment, disait-elle, madame qui menait monsieur le comte,
285        8|         tourner en bourrique,—comment madame peut-elle se laisser massacrer
286        8|             aime.~La vérité était que madame Lerat se sentait inquiète,
287        8|              oiseau, comme l’appelait madame Lerat. Elle tremblait qu’
288        8|             indigestions. Un soir que madame Lerat se retirait, enragée
289        8|               elle, en lui reprochant madame Robert, furieusement. Mais
290        8|             Je serais bien allée chez madame Robert. Il y a toujours
291        8|           courut chez sa tante. Quand madame Lerat, qui justement prenait
292        8|    familiarité respectueuse:~— Enfin, madame nous est rendue... J’attendais
293        8|             est rendue... J’attendais madame.~Mais madame Lerat voulut
294        8|              J’attendais madame.~Mais madame Lerat voulut que Nana embrassât
295        9|        premier, monsieur le comte, et madame va être bien contente.»~
296        9|       penchant pour voir, au-dessous, madame Bron, dont elle entendait
297        9|           chaud, et cette curieuse de madame Bron n’avait pas besoin
298        9|           semblait glacé. Il l’appela madame; il s’estimait heureux de
299       10|               pelote, tout en servant madame le plus honnêtement possible.
300       10|          office et dans la chambre de madame. Zoé organisait tout, sortait
301       10|             détraquements. Seulement, madame donnait trop de mal à Zoé,
302       10|               heures de gâchis, quand madame avait fait une bêtise qu’
303       10|           avait pensé faire plaisir à madame. Georges regardait Nana
304       10|           ennui solitaire.~Sans doute madame Hugon apprit la rechute
305       10|       François monta pour demander si madame recevrait le lieutenant
306       10|              votre frère qui est chez madame?~— Oui, répondit l’enfant
307       10|        lentement:~— Vous avez tort... Madame va arranger ça.~Et ce fut
308       10|             Zoé lui ayant répondu que madame était avec des amis, il
309       10|           elle avait presque toujours madame Maloir, qui arrivait le
310       10|             était dans les grandeurs, madame Lerat ne dégonflait pas
311       10|         ruisseau. L’après-midi, comme madame s’enfermait, Zoé l’entendit
312       10|              à une petite table, avec madame Robert. En apercevant Nana,
313       10|              puis enleva Satin, comme madame Robert était aux cabinets.
314       10|            Elle parlait de souffleter madame Robert; un jour même, elle
315       10|          cadeaux; et, pour se venger, madame Robert écrivit aux amants
316       10|             un sourire. Il demanda si madame voulait bien lui permettre
317       10|               majestueux à mesure que madame se lâchait davantage. Julien,
318       10|            qui est une dinde.~— Mais, madame..., murmura la femme de
319       10|             chambre blessée.~Du coup, madame se leva, et la voix brève,
320       10|              as appelée dinde.~— Oui, madame..., c’est bien dur..., c’
321       10|        calme-toi.~— Moi qui aime tant madame..., balbutiait Zoé. Après
322       10|            tout ce que j’ai fait pour madame...~Alors, Nana embrassa
323       10|             manger, tant la colère de madame leur coupait l’appétit.
324       10|            leur coupait l’appétit. Et madame leur envoya un louis, comme
325       11|            Elle causait le matin avec madame Lerat, venue pour lui donner
326       12|               monsieur, arrivez donc! madame a failli mourir, hier~soir.~
327       12|           racontait la catastrophe.~— Madame a été prise de coliques
328       12|         est-ce pas? J’étais furieuse, madame aurait bien pu me confier
329       12|               la nouvelle aux amis de madame, le soir, à l’heure où madame
330       12|         madame, le soir, à l’heuremadame recevait d’habitude. Il
331       12|           monsieur, dit Zoé à Muffat. Madame est beaucoup mieux, elle
332       12|             monsieur que cette pauvre madame avait beaucoup souffert:~— 
333       12|               peu à peu envahissante. Madame Du Joncquoy, ne reconnaissant
334       12|           traversé la salle à manger. Madame Chantereau regardait d’un
335       12|                 Dites donc, murmurait madame Chantereau, si la comtesse
336       12|           Sabine est folle, répondait madame Du Joncquoy. L’avez-vous
337       12|               était le maître, reprit madame Chantereau, que pas un petit
338       12|         refait.~Mais elles se turent, madame de Chezelles entrait, suivie
339       12|                 Un aventurier, disait madame Du Joncquoy. Moi, je ne
340       12|              garde, le voici, murmura madame Chantereau.~Daguenet, qui
341       12|            Daguenet, qui avait aperçu madame Hugon avec ses fils, s’était
342       12|           Vous le connaissez? demanda madame Du Joncquoy, lorsque Daguenet
343       12|        hochaient la tête, pendant que madame Hugon, gênée elle-même,
344       12|         sourire.~— N’importe, conclut madame Chantereau, Estelle aurait
345       12|            disait près de la cheminée madame Du Joncquoy à l’oreille
346       12|               Joncquoy à l’oreille de madame Chantereau. Cette fille
347       12|              qu’il se ruine, continua madame Chantereau. Mon mari a eu
348       12|           plus douces.~— Eh bien! dit madame Du Joncquoy, il devrait
349       12|          convenances.~— Enfin, reprit madame Du Joncquoy, vous auriez
350       12|               murmura dédaigneusement madame Chantereau, je crois la
351       12|             les jupes, dans son coin. Madame Hugon, au milieu de sa lassitude
352       12|           lustre sur la peau blanche. Madame Du Joncquoy déclarait qu’
353       12|              nouvelles moeurs, disait madame Chantereau; jadis, de telles
354       13|          bouches. Puis, en haut, chez madame, la débâcle soufflait plus
355       13|         fallait serrer ces choses; et madame ayant dit de les jeter,
356       13|              partageait les débris de madame.~Ce jour-là, Georges, malgré
357       13|        nouvelle affreuse avait écrasé madame Hugon. Philippe était en
358       13|             être chez cette femme. Et madame Hugon, les yeux secs, les
359       13|            cause, François disait que madame ne le paierait jamais s’
360       13|               trois et quatre heures, madame déshabillée, épluchée, racontée,
361       13|          hôtel, affectait de défendre madame: tout de même, elle était
362       13|               vestibule, sans avertir madame. Comme elle descendait,
363       13|                Comme elle descendait, madame le trouva devant elle, à
364       13|        intelligence. On se fichait de madame, les murs éclataient, elle
365       13|           domestiques, qui avaient vu madame sortir à pied. En bas, sur
366       13|            lui demanda s’il attendait madame. Oui, il l’attendait, il
367       13|           main dans la poche.~— Voilà madame, dit en revenant Zoé, qui
368       13|       avançait. Et elle reconnaissait madame Hugon, terrifiée, ne s’expliquant
369       13|        défendit, la voix bégayante.~— Madame, ce n’est pas moi, je vous
370       13|              il s’est tué.~Lentement, madame Hugon s’approchait, vêtue
371       13|               s’est tué.~Sans un cri, madame Hugon se baissa. Oui, c’
372       13|             séparait.~— Je vous jure, madame... Si son frère était là,
373       13|               air chez elle, laissant madame Hugon donner des ordres.
374       13|             monsieur, déclara-t-elle, madame est assez désolée!~Muffat
375       13|             en passant:~— Vous savez, madame, que ce n’est pas parti.~
376       13|              Mais, ni le spectacle de madame Hugon en larmes, ni la vue
377       13|             parce qu’il couchait avec madame. Tous les huit jours, on
378       13|            supportait la stupidité de madame Maloir, jouant au bézigue
379       13|               de rance; il supportait madame Lerat et ses ragots, le
380       13|             que le coiffeur donnait à madame un dernier coup de peigne.
381       13|            simplement le majordome de madame. Installé en maître, le
382       13|              elle n’entrait plus chez madame sans dire:~— C’est drôle,
383       13|               descendait d’abord chez madame. Muffat l’écoutait, ne comprenant
384       13|            épaules. Tant pis! puisque madame devenait folle, madame s’
385       13|        puisque madame devenait folle, madame s’arrangerait toute seule.~
386       13|             impossible, elle quittait madame, elle s’établissait à son
387       13|              dames se la disputaient, madame Blanche lui avait fait un
388       13|            lèvres, elle serait enfin «madame», elle tiendrait à ses pieds,
389       13|          instant, après avoir dit que madame avait passé une bien mauvaise
390       13|               Lariboisière, tellement madame Robert l’avait mise dans
391       13|               flattée du désespoir de madame, finit par l’embrasser,
392       13|              que la voiture attendait madame, elle demanda son chapeau;
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