Chap.

  1        2|       dix-sept ans, il s’appelait Georges Hugon. La veille, il était
  2        3|           encore.~— Je t’ai amené Georges, disait madame Hugon à Sabine.
  3        3|        ils n’avaient pas remarqué Georges Hugon, qui les écoutait,
  4        3|        soir, disait madame Hugon, Georges m’a menée au théâtre. Oui,
  5        3|           elle donna plus loin, à Georges Hugon, la tasse de thé qu’
  6        3|       malgré sa grande politesse.~Georges et la Faloise, en train
  7        3|          j’aurais ~m’en douter!~Georges ne disait rien, mais il
  8        3|           au troisième étage, dit Georges tout d’un trait.~Et, comme
  9        3|       paletot dans l’antichambre. Georges, qui ne devait partir qu’
 10        4|           elle appela Daguenet et Georges, restés en arrière dans
 11        4|         chiffonnière. Daguenet et Georges durent rentrer la déchirure
 12        4|         du monde.~Elle s’échappa. Georges restait par terre, la queue
 13        4|          dirait du sucre, murmura Georges, avec son rire de bébé~gourmand.~
 14        4|     servît pas. Elle avait envoyé Georges demander ce qui se passait,
 15        4|          était là que Daguenet et Georges Hugon sympathisaient de
 16        4|          plaisanteries tombaient. Georges songeait qu’il avait assisté
 17        4|         là le grand étonnement de Georges. Il les trouvait «popote»,
 18        4|         du changement de service, Georges, de plus en plus étonné,
 19        4|          la Champagne pouilleuse. Georges écoutait, regardant ces
 20        4|         étaient très touchées. Et Georges, ennuyé d’entendre ces choses
 21        4|           un jeune homme, près de Georges, ayant voulu embrasser Léa
 22        4|         une belle indignation; et Georges, très gris, très excité
 23        4|           de se tenir tranquille, Georges, tout d’un coup, éprouva
 24        4|            tandis que Daguenet et Georges, debout, la regardaient
 25        4|        quart d’heure, Daguenet et Georges la suppliaient vainement
 26        4|    malheureuses!~Puis, apercevant Georges qui devenait très rouge,
 27        4|          Elle voulait que Paul et Georges fussent toujours d’accord,
 28        4|          suivie de Daguenet et de Georges, traversa la salle à manger,
 29        4| rencontrer les épingles mises par Georges. Quelques gouttes de sang
 30        4|      Bordenave ronflait toujours. Georges, qui était venu sournoisement
 31        5|         Bébé m’a dit ça, le petit Georges Hugon, vous le connaissez?...
 32        6|      trouvait seule avec son fils Georges, les avait invités à venir
 33        6|     devant un feu de sarments. Et Georges, qui n’avait pas revu la
 34        6|         abord, deux messieurs que Georges a invités, monsieur Fauchery
 35        6|       campagne dans les environs!~Georges, en entendant sa mère aborder
 36        6|          murmura la vieille dame. Georges, tu étais là, ce matin,
 37        6|         jardinier nous a parlé...~Georges eut l’air de fouiller sa
 38        6|        jardinier... N’est-ce pas? Georges, le jardinier disait qu’
 39        6|  tressaillement de surprise. Mais Georges répondait avec vivacité:~— 
 40        6|          vieille dame raconta que Georges lui avait de même annoncé
 41        6|           éprouva une inquiétude. Georges, qui tout de suite, au sortir
 42        6|            Tiens! pardi! répondit Georges, je suis venu.~Elle restait
 43        6|        serait mieux là. La vue de Georges n’avait pas surpris Zoé,
 44        6|     enrhumer, dit Nana, en voyant Georges pris d’un frisson.~Et pas
 45        6|         me manque un peu, murmura Georges, souriant.~Tous trois s’
 46        6|           feu de sarments. Alors, Georges, allongé dans un fauteuil,
 47        6|       gênaient pas. Nana appelait Georges: «Ma chère»; ça lui semblait
 48        6|       beau!... Regarde, ma chère.~Georges était venu; et, comme si
 49        6|     choses qu’elle ne savait pas. Georges, cependant, lui mettait
 50        6|       fenêtre.~— Attends, murmura Georges, la lampe lui fait peur,
 51        6|       vivre sage. Elle repoussait Georges qui s’enhardissait.~— Non,
 52        6|           le comte de Vandeuvres. Georges descendit le dernier, un
 53        6|      croyaient la devancer! Seul, Georges resta les cils baissés,
 54        6|        Muffat, lui aussi, regarda Georges. On achevait de déjeuner,
 55        6|       tombait encore par averses. Georges s’était hâté de disparaître,
 56        6|         le comte sortait du parc, Georges s’enfuit derrière lui. Il
 57        6|     enfant, elle n’aimait que son Georges. Et elle le baisait, et
 58        6|          chambre, et attends-moi.~Georges lui sauta au cou. C’était
 59        6|        tout lâché, que de tromper Georges.~Le comte s’était assis
 60        6|         le rejoindre, Nana trouva Georges toujours bien sage, derrière
 61        6|          descendre au jardin avec Georges, quand toute la maison fut
 62        6|         interrompant pour prendre Georges dans une étreinte de passion,
 63        6|         jour, à l’idée de tromper Georges. Un petit si innocent, et
 64        6|        résolu à quelque violence. Georges, qui passait par une petite
 65        6|       donc que le comte Muffat et Georges; le comte, qui prétendait
 66        6|      courir la gueuse; et quant à Georges, le pauvre enfant finissait
 67        6|          sans doute, expliquait à Georges et à Daguenet les sources
 68        6|          entendre.~— Et ce pauvre Georges qui est à Orléans! répétait
 69        6|         comprendre, en apercevant Georges perdu dans les jupes de
 70        6|         Hugon n’avait pas reconnu Georges d’abord. Lui, en traversant
 71        6|       coup la vieille dame, c’est Georges qui est avec elle!~Les voitures
 72        6|        apercevant de la pâleur de Georges, qui était resté raide,
 73        6|        Non, non, n’écris pas, dit Georges très inquiet. J’arrangerai
 74        6|          en serrant les genoux de Georges, sans s’inquiéter de Steiner.~
 75        6|         côté, elle ne voyait plus Georges devant elle. Une vision
 76        6|           et d’honneurs.~Le soir, Georges rentra aux Fondettes pour
 77        6|         montrant de l’obéissance. Georges, très ennuyé de cette morale,
 78        6|      retournait chez cette femme. Georges, soulagé, calculait sournoisement
 79        6|          rouge. Il avait jeté sur Georges un long regard. Au sortir
 80        7|           Il n’avait plus peur de Georges, retenu par sa mère aux
 81        8| décachetée. C’était une lettre de Georges, toujours enfermé aux Fondettes,
 82        8|           connaissait le style de Georges et l’appréciait. Mais, ce
 83        8|       lettre qu’il avait écrite à Georges. Alors, il la plia avec
 84       10|         femme stupéfaite.~C’était Georges, en effet. Mais, en la voyant
 85       10|           faire plaisir à madame. Georges regardait Nana avec un tel
 86       10|         libre. Il faut être sage.~Georges, descendu de voiture dans
 87       10|          plus rien. Elle trouvait Georges très gentil, elle aurait
 88       10|          en garnison à Vincennes. Georges, qui se cachait de son frère
 89       10|      lâcheur!~Le lendemain, comme Georges se trouvait seul avec Nana,
 90       10|   essayait un sourire, tandis que Georges, sans force sur un canapé,
 91       10|            Au quart, elle renvoya Georges, en lui faisant jurer de
 92       10|      était en redingote. D’abord, Georges traversa la chambre sur
 93       10|            n’est-ce pas? monsieur Georges.~— Oui, répéta-t-il avec
 94       10|    cordiales et familières.~Quand Georges osa rentrer dans le salon,
 95       10|         nous allions nous battre.~Georges ne comprenait toujours pas.
 96       10|           bientôt tous les jours, Georges finit par s’accoutumer un
 97       10|  longtemps, elle lui avait imposé Georges, un gamin qui l’amusait,
 98       10|            tandis que Philippe et Georges la traitaient en camarade,
 99       10|           elle, entre Philippe et Georges.~— N’est-ce pas, mon chat?
100       10|      demanda s’il fallait sortir. Georges était venu prendre Satin
101       10|          ses devoirs. Philippe et Georges se mettaient de la partie,
102       10|      apercevaient une baïonnette. Georges, ce soir-là, restait pâle,
103       10|           endormi sur sa jupe.~Et Georges redevint gai, tenant quelque
104       10|          se leva pour se retirer, Georges le suivit aussitôt; sa seule
105       11|            causait très haut avec Georges et Philippe Hugon, assis
106       11|      matin.~— Monsieur Venot, dit Georges stupéfait. Pas possible!
107       11|          comtesse est là-bas, dit Georges, dont les regards parcouraient
108       11|          ombrelle, Philippe.~Mais Georges, d’un mouvement brusque,
109       11|           Nana le fit appeler par Georges. Puis, quand il fut là:~— 
110       11|          idiot de la Faloise! dit Georges tout à coup.~Ce fut un étonnement.
111       11|     oublier que je veux parier... Georges, tu vois ce bookmaker, là-bas,
112       11|           majesté.~— Et Nana? dit Georges. Personne n’en demande?~
113       11|           je mets deux louis, dit Georges.~— Moi, trois louis, ajouta
114       11|            Pour rien au monde!... Georges, dix louis sur Lusignan
115       11|         se fichait d’elles. Quand Georges, hardiment, se présenta
116       11|     rouges.~— Mais c’est lui! dit Georges. Je ne le croyais pas de
117       11|          eut l’idée d’envoyer par Georges un verre de champagne à
118       11|       champagne, les petits. Mais Georges but le verre, craignant
119       11|      Faloise versait, Philippe et Georges racolaient des amis. Une
120       11|         les fit se lever. C’était Georges qui défendait Vandeuvres
121       11|          impressions. Philippe et Georges, Bordenave, la Faloise ne
122       11|  Hippodrome.~— Laissez donc! cria Georges, toujours plein d’espoir.
123       11|        jeté des clameurs féroces. Georges, étranglé, continuait tout
124       11|  assembler.~Nana, que Philippe et Georges mettaient tout bas au courant,
125       12|            il y avait là monsieur Georges. Il m’a aidée à la relever,
126       12|           escalier et les pièces. Georges venait de passer la nuit
127       12|           de chambre avait décidé Georges à retourner chez lui pour
128       12|          un charmant jeune homme. Georges l’aime beaucoup... Oh! une
129       12|      hommes, on causa du mariage. Georges se fâcha contre la Faloise,
130       12|     couchait avec quelqu’un? Mais Georges, emporté, répondit par un: «
131       12|           l’a pas aperçu, murmura Georges. Attention! il se retourne...
132       13|       Nana renversée, aux bras de Georges. Toute dénégation était
133       13|         histoire, une querelle de Georges, enragé de jalousie contre
134       13|     exigea seulement le renvoi de Georges. Mais toute illusion était
135       13|     débris de madame.~Ce jour-là, Georges, malgré la défense de Nana,
136       13|    Pourtant, la pensée brusque de Georges la consola; Georges lui
137       13|    brusque de Georges la consola; Georges lui restait, il pourrait
138       13|    concierge lui dit que monsieur Georges était sorti de bonne heure.
139       13|        vêtements, semblait morte. Georges devait être chez cette femme.
140       13|      chambre, elle se heurta dans Georges, debout au milieu du salon.
141       13|       autre, jamais!~La figure de Georges s’éclaira. S’il s’était
142       13|       elle parut surprise de voir Georges et lui demanda s’il attendait
143       13|          des portes se fermèrent. Georges entendit Nana qui payait
144       13|        Dans la voiture, l’idée de Georges s’en était allée, la faute
145       13|          tachée de rouge. C’était Georges, c’était son autre enfant.~
146       13|          c’était l’autre, c’était Georges. L’un déshonoré, l’autre
147       13|   regardait fixement le visage de Georges, elle écoutait, une main
148       13|   absolument qu’ils descendissent Georges évanoui dans sa voiture.
149       13|         chercher des nouvelles de Georges. Au bout de trois quarts
150       13|         malheur de Philippe et de Georges comme l’annonce de sa propre
151       13|          il l’avait surprise avec Georges, elle était revenue la première,
152       13|        compte avec moi: Philippe, Georges, Foucarmont, Steiner, ça
153       13|           meilleures nouvelles de Georges, alors en convalescence
154       13|    phrases, à propos de rien, que Georges était mort. Elle resta glacée.~— 
155       13|           la consoler au sujet de Georges, elle le fit taire de la
156       13|            et le blanc cadavre de Georges, veillé par Philippe, sorti
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