Chap.

  1        1|       connais toutes les filles de Paris!... Nana est une invention
  2        1|            achever son éducation à Paris. Le directeur pesa le jeune
  3        1|          monde, cette curiosité de Paris qui a la violence d’un accès
  4        1|           échangeaient des saluts. Paris était là, le Paris des lettres,
  5        1|         saluts. Paris était là, le Paris des lettres, de la finance
  6        1|           cette fameuse Nana, dont Paris s’occupait depuis huit jours!~
  7        1|           répétait la Faloise, que Paris étonnait encore.~Une sonnerie
  8        1|           obligeamment la Faloise. Paris entier va défiler à votre
  9        2|       était venu passer un hiver à Paris, l’avait installée là, en
 10        2|         son propre récit, comme si Paris entier eût croulé sous les
 11        2|          fleurs pour les femmes, à Paris.~— Je crois bien, vous n’
 12        3|          princes qui viendraient à Paris pour l’Exposition. Plusieurs
 13        3|            des bals à faire courir Paris. Derrière elle, son mari,
 14        3|    Chezelles, qui connaissait tout Paris, causait sur un canapé,
 15        3|           une des plus célèbres de Paris, lui coûtait un argent fou;
 16        3|           représentait la Prusse à Paris... Voilà un homme dont je
 17        3|       conservait un pied-à-terre à Paris, dans une maison qu’elle
 18        3|               Philippe n’est pas à Paris? demanda le comte Muffat.~— 
 19        3|            très touchante, dont le Paris mondain restait tout ému
 20        3|          il a une femme, c’est que Paris n’en veut plus.~Vandeuvres,
 21        4|          de la prise de voile dont Paris causait, Nana, intéressée,
 22        4|           l’étranger se ruant dans Paris. Enfin, peut-être, après
 23        4|         dans les Salines. Mais des paris s’ouvraient, ce n’étaient
 24        4|          devant ce réveil navré de Paris, elle se trouvait prise
 25        5|        gorges les plus célèbres de Paris. Elle portait une éternelle
 26        6|            de la route d’Orléans à Paris, comme un flot de verdure,
 27        6|      conversation était tombée sur Paris, et le nom de Steiner fut
 28        6|       ensemble sous les arbres! De Paris à Orléans, en wagon, elle
 29        6|         Zoé, fâchée d’avoir quitté Paris si vite, se tenait raide
 30        6|       quelles noces on donnerait à Paris, si l’on avait une salle
 31        6|            ouvrière sur le pavé de Paris. La pluie redoublait, elle
 32        6|         peur d’être grondé comme à Paris, quand je vais te voir sans
 33        6|          elle croyait avoir quitté Paris depuis vingt ans. Son existence
 34        6|   paraissait maussade. On causa de Paris; les affaires ne marchaient
 35        6|         ayant  faire un voyage à Paris; on lui dit que madame était
 36        6|            une bouffée de l’air de Paris, les potins de cette dernière
 37        6|     racontait que les crémières de Paris fabriquaient des oeufs avec
 38        6|           dames devaient rentrer à Paris, où la saison dépassait
 39        6|           entêtait. Elle abominait Paris, elle n’y ficherait pas
 40        6|          il voulait ramener Lucy à Paris, trouvant drôle d’enlever
 41        6|          levant, nous retournons à Paris.~Et elle coucha avec Muffat,
 42        7|          clinquant de l’article de Paris, les bijoux faux, le zinc
 43        7|        corrompant et désorganisant Paris entre ses cuisses de neige,
 44        7|       aurait empêchée de rentrer à Paris, la veille au soir, et de
 45        7| mélancolique sur le pavé boueux de Paris. Muffat était revenu dans
 46        7|           rattrapant. Le réveil de Paris, les équipes de balayeurs
 47        7|  décomposée d’un homme qui a couru Paris pour apporter une bonne
 48        8|     trompait, que des messieurs de Paris vous balançaient et jouaient
 49        8|            enragées sur le pavé de Paris, dans ce vice d’en bas qui
 50        8|           coin allumé et vivant du Paris nocturne, dernier marché
 51        8|         Les soirs humides, lorsque Paris mouillé exhalait une odeur
 52        8|        devait être du propre, dans Paris, de neuf heures du soir
 53        9|           cadeaux. Tu me donnerais Paris, ce serait non, toujours
 54        9|           de la grande dame, à ton Paris!~
 55       10|      révoltée, mettant le pied sur Paris, en maîtresse toute-puissante.
 56       10|          luxe, en fille du pavé de Paris ayant d’instinct toutes
 57       10|         qui occupa un instant tout Paris. Et Nana, au milieu de cette
 58       10|          mains de cette fille, que Paris désirait. Lui aussi accepta
 59       10|            il ait son heure et que Paris le sache.~Dès lors, Nana
 60       10|         femme, car elle accourut à Paris, elle vint réclamer l’aide
 61       10|         coins noirs des ordures de Paris. Aussi la présence de Nana
 62       10|   promenait un riche étranger dans Paris. Cependant, Muffat l’ayant
 63       10|         les troubles qui agitaient Paris, des articles incendiaires,
 64       10|           sa ruine prochaine, dont Paris causait déjà: peu importait
 65       10|          préparait pour le Prix de Paris. Il vivait sur ce cheval,
 66       10|        glaciale et vide du nouveau Paris. Mais Nana fit taire Satin.~— 
 67       10|       autrefois, qui occupait tout Paris de sa beauté; et un chien,
 68       11|           courait le Grand Prix de Paris au bois de Boulogne. Le
 69       11|    rappelèrent, pour changer leurs paris; elles avaient entendu des
 70       11|            des parieurs, les forts paris se faisaient dans l’enceinte
 71       11|         comme elle lui avouait ses paris, dix louis sur Lusignan
 72       11|            la Gaîté, nous claquons Paris à nous deux... Hein? tu
 73       11|       était le prix de la Ville de Paris, que gagnait Cornemuse.
 74       11|       Personne n’ignorait, dans le Paris galant et mondain, qu’il
 75       11|         guet, ils inscrivaient des paris, sur un geste, sur un clignement
 76       11|       pousser, le chargeant de ses paris secrets, le traitant toujours
 77       11|         que, très loin, du côté de Paris, le public qui ne payait
 78       11|         poitrines. Maintenant, les paris s’arrêtaient, le coup se
 79       11|          éclat la faisait reine de Paris. Ces dames perdaient toutes.
 80       11|          une histoire qui occupait Paris, la passionnait. Vandeuvres
 81       11|          entra; il avait réglé ses paris, il lui apportait une quarantaine
 82       12|       avocat de la comtesse amuser Paris, en parlant de Nana? Tout
 83       12|           avenue de Villiers. Tout Paris en cause... Mon Dieu! je
 84       12|   introduisait chez soi l’écume de Paris; et rien de plus naturel
 85       13|          existenceNana éclaira Paris d’un redoublement de splendeur.
 86       13|             un trône, un autel, où Paris viendrait adorer sa nudité
 87       13|         vers dix heures; il courut Paris, rôda sur les ponts, éprouva
 88       13|          malheur qui la retenait à Paris, dans la crainte d’une catastrophe;
 89       13|           dans le luxe éclatant de Paris. Des duchesses se la montraient
 90       13|          Mais, cher monsieur, tout Paris se moquerait de vous. On
 91       13|            qui écumait la place de Paris depuis vingt années, les
 92       13|           le lançât. En deux mois, Paris le connaîtrait, et il lirait
 93       13|    envoyaient en course au bout de Paris, pour rester seuls; puis,
 94       13|           pris du besoin d’étonner Paris. Le mari de Nana, hein?
 95       13|         scandale affreux dont tout Paris causait déjà. En le voyant
 96       13|             elle venait d’ébranler Paris et de bâtir cette fortune
 97       14|         francs. Une dernière fois, Paris l’avait vue dans une féerie:
 98       14|       enragé de réclames, allumait Paris par des affiches colossales,
 99       14|          et ses cheveux de flamme. Paris la verrait toujours comme
100       14|         qui se hâtaient de quitter Paris, dans la panique de la guerre
101       14|         pas me laisser massacrer à Paris.~Sa mère, en femme prudente,
102       14|          ne marchaient pas? Jamais Paris ne s’amuserait si fort.~
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