Chap.

 1        2|           mettre le petit chez sa tante, madame Lerat, aux Batignolles,
 2        2|          Je viens pour ça, dit la tante. Il y a un train à midi
 3        2|      passer une jolie matinée! Sa tante n’ayant pas voulu venir
 4        2| répondit-elle.~— Tiens! reprit la tante, on prétendait que tu l’
 5        2|        par mois. A ce chiffre, la tante s’oublia, cria à la nièce
 6        2|          elle sut que c’était une tante, elle la regarda d’un air
 7        2|        coup, Nana s’emporta.~— Ma tante, ne joue donc pas avec les
 8        2|         Elle suivait le jeu de sa tante, qui venait d’annoncer cent
 9        2|           as l’argent? demanda la tante.~— Tiens! cette question!
10        2|          en affaire. Et, comme sa tante avançait la main vers l’
11        4|       encore, Nana le disait à sa tante: en hommes, on ne pouvait
12        4|          était maintenant chez sa tante, qui l’amenait chaque matin,
13        6|      lettre, où elle suppliait sa tante d’amener immédiatement le
14        6|  autorisait personne, pas même sa tante, à dire des saletés en sa
15        7|         passerait la nuit chez sa tante, à le veiller. Mais lui,
16        7|         elle était encore chez sa tante à huit heures; puis, voyant
17        7|           chien!... Tu connais ma tante Lerat? Quand elle viendra,
18        8|   renoncer à la fortune.~— Oh! ma tante, je l’aime si fort! cria
19        8|         personne intelligente. La tante répéta les paroles de Zoé.
20        8|              Et puis, vois-tu, ma tante, je ne sais même plus si
21        8|           ni madame Maloir, ni sa tante avec Louiset, elle s’ennuyait
22        8|         ça passe à ta carcasse de tante, hein? ou tu te paies des
23        8|      basse.~— Puis, continuait la tante, tu n’as connu que des personnes
24        8|    sanglots, balbutiant:~— Oh! ma tante, je l’aime.~La vérité était
25        8|           c’est du propre, dit la tante qui avait compris.~Nana
26        8|           Nana, en allant chez sa tante, se trouva nez à nez avec
27        8|           hôtel et courut chez sa tante. Quand madame Lerat, qui
28       10|          son petit Louis, chez sa tante. Pendant des quinze jours,
29       10|         hôpital, du tabac pour la tante, des oranges et des biscuits
30       10|     possible, elle dînait chez sa tante, elle allait voir bébé.
31       11|        loin.~— Sans doute, dit la tante gravement. Lorsque les hommes
32       13|          francs, l’héritage d’une tante qu’elle aurait  toucher
33       14|        gare, elle descend chez sa tante, tu te rappelles, cette
34       14|           elle s’empoigne avec la tante, à propos de l’argent qu’
35       14|          Des parents éloignés, la tante sans doute. Une jolie tuile
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