Chap.

 1        1|        public pâmé, de ces quinze cents personnes entassées, noyées
 2        1|      succès.~— En voilà pour deux cents représentations, lui dit
 3        2|       Cette femme réclamait trois cents francs pour rendre Louiset.
 4        2|          ça ne me donne pas trois cents francs, répétait Nana, en
 5        2|         chignon. Il me faut trois cents francs, aujourdhui, tout
 6        2|           un qui vous donne trois cents francs.~Elle cherchait,
 7        2|      vivait de ses économies, six cents francs de rentes amassés
 8        2|         éclatante:~— J’ai le cinq cents!... Quinte majeure d’atout!~— 
 9        2|    pincées, encore vexée des cinq cents de madame Maloir. Tu peux
10        2|         pas tout, dit-elle. Trois cents francs à la nourrice, cinquante
11        8|           bien que six mille huit cents et quelques francs. Alors,
12        9|         des Folies, toi?... Trois cents francs par soir, et pendant
13        9|             Si l’on donnait trois cents francs à sa femme, Mignon
14        9|        Clarisse croyait aux trois cents francs. Ce Fontan cassait
15        9|           pincé, je n’ai pas deux cents lignes. Je voulais rendre
16        9|         Comment! je n’ai pas deux cents lignes, et on m’en coupe
17        9|     public, jouer un rôle de deux cents lignes!~— Pourquoi pas me
18        9|        les Folies offraient trois cents francs par soirée à Rose
19       11| commission à Labordette pour deux cents louis. Seule, la Tricon,
20       11|            Pour combien?~— Quinze cents louis, un peu partout.~Comme
21       11|     venait de la donner pour deux cents louis à cinquante.~Nana,
22       11|       vient encore de parier cinq cents louis au moins sur Lusignan,
23       11|        justement lui prendre deux cents louis sur Nana, que l’autre
24       12|           séchaient à peine. Cinq cents invitations étaient lancées,
25       12|          une folie d’empiler cinq cents personnes dans un appartement
26       12|          où l’on aurait tenu deux cents à peine. Alors, pourquoi
27       13|        demandé des emprunts, deux cents francs, trois cents francs,
28       13|          deux cents francs, trois cents francs, jamais davantage,
29       13|        pas le voir, avec ses deux cents francs. C’était un vrai
30       13|          trousseau, près de douze cents francs de robes et de linge;
31       13|            Il m’avait promis deux cents francs. Ah! ouiche! je peux
32       14|        fond d’un palais, sur deux cents esclaves dont elle coupait
Best viewed with any browser at 800x600 or 768x1024 on Tablet PC
IntraText® (VA1) - Some rights reserved by EuloTech SRL - 1996-2009. Content in this page is licensed under a Creative Commons License